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Scénario d'une grande banalité ; personnages ne suscitant aucun attachement ; fin prévisible ; dessin quelconque ; cases verbeuses. Je n'ai tiré aucun plaisir à la lecture de ce triptyque qui promet plus qu'il n'offre.
J'aime bien cette aventure à l'ancienne qui rappelle beaucoup Voyage au centre de la Terre de Jules Verne. Christophe Bec nous avait habitué à un peu plus de modernisme mais bon. Le plaisir de lecture reste toujours aussi intacte.
Les péripéties s'enchaînent et on peut deviner aisément celles-ci. Il n'y a pas véritablement de mystère, ni de véritable héros à cette grande aventure en milieu aquatique. Il y a un côté steampunk avec ce vaisseau sous-marin capable de descendre très bas dans les abîmes dans les années 1910.
Pour autant, on ne s'ennuie pas car le scénario est bien construit. A noter qu'il s'agit d'une reprise d'un petit récit de Paul De Semant paru en épisode dans la revue Le Globe Trotter en 1907. L'auteur lui rend un remerciement dans la préface. Je crois que cela permet également de réhabiliter cet ancien auteur peu connu.
Je n'ai pas aimé une partie de la calligraphie qui fait la narration qui par ailleurs est trop bavarde parfois. Mais bon, ce n'est qu'un petit détail. On va poursuivre l'aventure avec le Fulgur.
Fulgur est un récit d'aventure et d'anticipation dans la plus grande tradition de Jules Verne, même si le récit est adapté d'un roman de Paul de Sémant.
Dans cette bédé au style extrêmement classique, Bec et Nenadov propose une histoire à la croisée de "2000 lieux sous les mers" et "voyage au centre de la terre".
On pensera automatique au sous-marin militaire dans le précédent "Sanctuaire" de Christophe Bec, mais soyez rassuré que l'histoire est ici bien différente.
Dans la lignée du 2ème tome, ce dernier opus de la série se clôture de manière assez banale, mais pas moins bien menée. On suit les protagonistes avec attachement et on a envie de croire aussi fort qu'eux à la délivrance. L'aspect psychologique est davantage travaillé et on sent que certains sont prêt à tous pour retrouver l'air libre.
La diversité des décors mis en place dans l'album précédent se poursuit ici notamment lors de la découverte du temple Aztèque.
Dans l'ensemble la série est bien construite et bien dessinée avec un univers Steampunk et Julvernien efficace mais noyé sous un dédale de dialogues et de textes scientifiques inintéressants pour le récit.
Les deux premiers tomes m’avaient vraiment séduit mais la conclusion est décevante. Je rêvais d’une fin originale et celle-ci est d’une banalité navrante. Ce troisième volume est trop haché comme si les auteurs avaient hâte d’en finir pour passer à autre chose. Reste un triptyque qui doit sa qualité à ses deux premiers volumes. Quel gâchis, quel dommage !
Il était temps que l'on arrive à la fin de l'histoire. Cette aventure à la jules Vernes s'essoufflait au fil des tomes et il fallait effectivement trouver une sortie.
Une bonne série sans prétention, mais qui se laisse lire.
Un triptyque sans grande saveur.
Faire une adaptation d'un obscur auteur du début du XXème siècle, pourquoi pas... mais tout cela me semble bien fade... du Jules Vernes de bas étages...
Les mêmes conclusions que mon précédent avis sur le tome 2.
Dans la lignée du premier tome mais avec du mieux d'où une note supérieure. Le ratio dessin-texte est beaucoup mieux équilibré. Les dessins sont plus précis et la diversité des décors et des ambiances rend l'ensemble plus accrocheur. On sent que nos aventuriers sont sur la fin et approchent enfin de la délivrance. Résultat, on a hâte de lire la conclusion dans le troisième et dernier tome.
J'adore ce genre d'univers mélangeant l'historique, le fantastique, et le steampunk. Il est très bien retranscrit dans ce premier tome. L'ambiance qui s'en dégage est angoissante et enivrante. Ce qui est dommage et souvent récurent avec Bec, ce sont les dialogues à rallonges qui n'en finissent pas, qui n'apportent rien à l'histoire et qui ne font que perdent le lecteur et le ralentir dans sa lecture.
En plus, par l'intermédiaire des notes que le journaliste écrit, l'auteur nous décrit systématiquement ce que voient les personnages et l'ambiance qui s'en dégage alors que ce n'est pas nécessaire car le travail au dessin et à la couleur est tel qu'il suffit à lui seul à nous faire ressentir tout ça.
Car c'est bien là le gros point positif: les dessins et la mise en couleurs sont très efficaces même si les personnages se ressemblent tous un peu trop.
L'objet est beau, le carnet graphique est sympa et le chapitrage de l'histoire donne du cachet à l'ouvrage.
Mais en ce qui concerne le fond, je trouve le scénario trop linéaire et monotone...
J'espère que le 3ème tome donnera une fin intéressante à cette trilogie.
super BD : une vraie histoire d'aventure à la jules verne ou même la jack london ou le film les aventuriers de l'arche perdue.
On regrette beaucoup lorsque l'on tourne déjà la dernière page de l'album.
Les dessins et les scénarios nous immergent totalement dans cette caverne sans fin.
Bravo MR BEC, je deviens un grand fan de vos BD.
Du pur Jules Verne, du pur bonheur. Avec cette BD, c’est mon adolescence qui a ressurgit hantée par les voyages extraordinaires. Un medley réussit de plusieurs romans. Monsieur Bec, bravo.
Génial, un Bec au meilleur de sa forme ! Cela nous donne un deuxième tome aussi bon que le premier. J’en arrive à me demander s’il n’aurait pas retrouvé un vieux manuscrit du père Jules !
Un petit saupoudrage d’île mystérieuse et d’Hector Servadac dans cette histoire des abîmes, où les coups de théâtre se succèdent les uns aux autres, confirme que ces péripéties auraient pu être écrites à une époque aujourd’hui révolue.
Une réussite totale où l’imaginaire devient le personnage principal. Oui vraiment, Jules Verne n’aurait pas renié cette aventure. La couverture est géniale autant pour le dessin que pour la texture du cartonné. Magique ! Merci ! J’adoooorrre !
Une suite aussi bonne sinon meilleure que le tome précédent. Certes moins de superbes créatures des abysses, mais une ambiance angoissante à là Sanctuaire qui colle parfaitement.
Christophe Bec nous surprend à plusieurs reprises et la fin est presque trop vite arrivée.
Les dessins de Dejan Nenadov sont clairement au niveau, d'un réalisme brut incroyable.
Mention spéciale à la couverture, au papier et au petit carnet de croquis qui nous font vraiment croire au début du siècle passé, à lire au coin du feu une histoire de science-fiction à la Jules Verne.
Si le tome 3 est de la même veine, alors la série sera un de mes incontournables. Vraiment.
d'accord c'est une nouvelle version sous marine de voyage au centre de la terre et pourtant ça fonctionne très bien.
Lorsque l'on commence cette BD, on est surpris lorsque l'on est déjà à la fin.
Cette histoire d'aventuriers dans un monde inconnu et dangereux est tout à fait passionnante.
Si il fallait faire une petite critique, c'est l'écriture utilisé lorsque le narrateur parle ; un peu illisible.
Décidément BEC est une valeur sûre dans le monde la BD.
Vivement le tome 2
Je la recommande fortement.
Du déjà vu !
Cette BD surfe sur la vague de la mode éditorialiste portant sur les inventions du XIXème et début XXème siècle.
L'histoire est une reprise de Jules Verne, cela m'a fait penser également à la série "Carthago" et au 2ème tome du "Monster Club"...
Après Bec, comme à son habitude, arrive à créer une ambiance angoissante et étouffante,
Les dessins collent parfaitement à l'histoire avec leurs côtés réalistes.
Attendons la suite
Christophe Bec nous lance un nouveau récit fantastique sur un voyage aux quatre mille mètres des gouffres en quête d'un trésor, qui rappelle l'univers vernien - notamment Vingt mille lieux sous les mers en passant Voyage au centre de la Terre... et pourtant, comme lui-même l'a prononcé l'auteur au Journal du geek, c'est « une libre adaptation du roman de Paul de Sémant. Même si j’ai modifié un certain nombre de choses, modernisé des aspects, rythmé de façon plus moderne, c’est Paul de Sémant qui a conçu cette odyssée sous-marine. Crédible, je ne sais pas si c’est le bon terme, il y a surtout un charme suranné dans cet univers que l’on nomme aujourd’hui « steampunk », je me suis fait un malin plaisir de conserver tous ces aspects et de jouer avec à fond. En fait, on peut dire un peu ce qu’on veut : la radiofulgurite est un mode de propulsion qui défie la gravité… et hop ! dans ce type de récit, ça passe ».
Bon ! cette aventure en bande dessinée est plus ou moins une réussite, malgré une narration minuscule qui nous semblerait difficile à déchiffrer. Elle fait, pour moi, partie de la catégorie de déjà-vu même si je suis impatient de connaître la suite. En revanche, les couleurs de Tanja Cinna sont superbes à en tomber, de même que les graphismes de Dejan Nenadov.
Un très bon album, au scénario haletant : les situations s'enchaînent, il y a un vrai suspense et on une fois terminé une seule envie nous reste, celle de rapidement connaître la suite.
Christophe Bec renoue avec les profondeurs et cela fonctionne à merveille. Son scénario organisé en trois tomes, chacun divisé en plusieurs chapitres, est un régal de découpage et d'organisation.
Pourtant je n'ai pas été particulièrement fan des dessins de prime abord, mais je dois avouer que je trouve que les plus importants, à savoir ceux du chapitre 3 (pour ne rien dévoiler), sont vraiment réussis. Ce qui fait qu'au final, l'ensemble est très cohérent et se lit avec un plaisir grandissant au fur et à mesure (le temps de poser l'histoire en fait)
Pour les fans de Bec, de Jules Verne et des décors abyssaux, cette BD est faite pour vous.
Cela faisait un moment que Christophe Bec n’avait écrit un scénario de cette qualité. Le voici qui se mue en Jules Vernes pour nous faire vivre une histoire qui serait un mélange de « 20 000 lieues sous les mers » et « Voyage au centre de la terre ». D’ailleurs, on s’attend à tout moment à voir surgir le capitaine Nemo ou le professeur Lidenbrock.
Voici un joli mélange entre narration et action. Et par moment, il y en a du texte ! Mais cela ne gêne nullement car celui-ci est dans l’esprit de Jules Vernes et me rappelle cette image qui, dans les « Voyages extraordinaires », venait toutes les dix pages pour donner encore plus d’énergie au voyage de l’esprit. Vraiment c’est une réussite jusqu’au chien qui me rappelle aussi un peu Phann du roman « Deux ans de vacances ». Un bon moment d’adolescence… d’un autre temps.
Le dessin de Nenadov s’harmonise bien avec l’époque où se déroule l’histoire et le découpage en chapitres séparés par une imitation de papier vieilli est une belle réussite. Pour moi, ce style de BD est un plaisir intense et attendre la suite est un vrai supplice.