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Avis pour la série :
J'ai enfin pris le temps de lire cette série, dont mon libraire me parlait depuis plusieurs années.
Je dois dire que je comprends l'engouement autour du tome 1 : des dessins splendides, un scénario intrigant et beaucoup de questions sans réponses (qu'est-ce que cette "TER" ? Pourquoi les personnages vivent-ils avec des technologies inutilisables/inutilisées, etc.).
Le tome 2 apporte également énormément de densité scénaristique, multipliant les pistes et les interrogations. Les dessins, toujours aussi beaux, maintiennent donc la série sur un excellent niveau : on découvre davantage ce héros silencieux "Mandor", ainsi que le monde de TER (pas si terrestre que cela...).
Malheureusement le tome 3 vient nettement diminuer l'engouement des débuts : la fin est plus confuse, moins maîtrisée. Trop de choses, pas assez d'explications. Tout s'enchaîne bien trop vite et la lecture s'en ressent.
Dommage, cela aurait mérité mieux. Même si la lecture fut fort divertissante, comme Rodolphe sait bien le faire :)
J'avais vraiment apprécié le premier album mais au fur et à mesure qu'avance l'histoire ma déception s'accentue. La fin de certains personnages se termine de manière assez expéditif, ce qui pour moi est regrettable. Je ne sais pas où l'auteur veut nous emmener mais j'ai l'impression qu'il n'y a plus aucun mystère et que quoi qu'il arrive l'engouement aura du mal a repartir, en ce qui me concerne bien entendu. J'ai du mal à accrocher aux sentiments de Beth vis à vis de Mandor, qui celui-ci, je le trouve à la fin de ce tome un peu trop inexpressif voir un peu trop dépressif à mon goût et encore plus lorsque l'on connait sa véritable identité. Pour moi ça ne Colle pas. Déçu.
J'ai adoré ce premier tome, une bonne BD de Science-fiction, avec des dessins et des couleurs au TOP, le scénario est vraiment pas mal lui aussi; au début j'avais quelques certitudes sur l'univers où les protagonistes évoluaient et bien finalement tout est parti en éclat, on est agréablement surpris je trouve. bel univers, je vais clairement prendre la suite!
C'est typiquement le genre de science fiction que j'aime bien. Certes, nous avons droit à un héros bien naïf qui commence à peine à savoir parler mais il y a toute une histoire assez intéressante derrière cela. Il y a surtout les décors et les personnages qui gravitent autour. A noter un ordre de haut dignitaires un peu mystérieux et surtout une fin qui nous dévoile l'impensable alors que l'on croyait à un monde apocalyptique terrestre.
Le scénariste Rodolphe maîtrise parfaitement tous les rouages de ce récit dépaysant. Le graphisme est également fort réussi avec des décors impressionnants de réalisme. Aussi bien sur le fond que sur la forme, cette bd est une réussite. On poursuivra avec plaisir l'aventure.
Original dans le scénario et le dessin. Les 3 tomes se valent. juste « très très bien ». De la grande SF.
Cette critique porte sur le premier cycle (3 premiers tomes) de cette série.
Comme à son habitude Daniel Maghen propose avec cette série SF une édition de grande qualité, voir luxueuse. Chaque album, grand format avec papier épais, propose un cahier graphique de seize pages très complet, comportant croquis, pages encrées et explications sur l'univers. Je le dis souvent, tous les éditeurs devraient proposer en standard pour ce prix (moins de vingt euros) de telles éditions augmentées. Les couvertures de ce premier cycle (achevé) sont très jolies, illustratives et inspirantes. Rien à reprocher, un Calvin pour l'édition.
Mandor n'a pas de souvenirs. Il est un être neuf hormis cet étrange tatouage sur l'épaule. Après avoir été découvert dans une tombe par le jeune Pip, il découvre ce monde aride où la vie semble s'être organisée autour du village fortifié de Bas Courtil. Il apprend le langage et les plaisirs de la vie et commence à poser des questions que personne ne posait. Où est-on? Qu'est-ce que TER? Pour cela il va entamer un voyage vers le nord avec ses compagnons...
Ne connaissant aucun des deux auteurs de cette série je découvre tout à la fois un style d'imaginaire (une version de l'exploration dans un univers de science-fiction teinté d'ethnographie) et un trait, assez classique en hachures (on est proche du Vicomte de Sasmira) et très technique. Le côté visuel rappelle les BD Glénat des années quatre-vingt-quatre-vingt-dix.
Très surprenante, cette série commence sur la découverte d'un monde avec sa technologie rétro-futuriste, son organisation sociale effleurée et très vite (dès la fin du tome un) bascule dans de la SF beaucoup plus classique lorsqu'est découvert le vaisseau. La suite nous décrit l'itinérance des héros dans les gigantesques couloirs de ce monde de métal déchiré par une guerre civile entre deux factions. On est donc surpris par la grande rapidité avec laquelle le récit évolue et change radicalement d'univers, de thématiques. Un peut trop sans doute pour un projet basé sur la découverte de mondes cohérents, on aurait aimé prendre plus le temps de découvrir chaque environnement rencontré, ce qui aurait sans doute nécessité des albums de quatre-vingt pages au lieu de cinquante...
De façon très cohérente avec leur objet, les dessins d'immenses décors architecturaux sont la grande force de cette série, le dessinateur se faisant de toute évidence plaisir à inventer un monde que le scénariste a construit de façon très poussée (bien qu'à peine effleuré dans la narration), comme le montrent les cahiers graphiques à la fois composés de planches avant colorisation (et superbes!), de recherches graphiques sur les personnages et d'éléments de l'univers qui donnent de la substance au scénario. Je le dis très souvent, ce qui solidifie une histoire c'est le hors champ, ce qui est à peine évoqué, un objet ou un costume dans un coin de l'image dont on ne sait rien mais que les auteurs ont placé là pour une bonne raison. Ici tout semble pensé et avoir une justification et le lecteur ressent alors ce monde bien au-delà des seuls dessins. Sur ce point le projet est une vraie réussite. Je tiquerais juste sur l'idée un peu saugrenue expliquant le monde du tome un et qui fait perdre en crédibilité l'intrigue. Passons...
Les personnages son un peu moins impressionnants que les décors (probablement en raison de la technique très classique de Dubois, qui peut rappeler Serpieri ou le Bourgeon de Cyann). Ils sont en outre peut-être un peu légers: hormis le héros qui apporte une certaine tendresse par sa naïveté, chacun est défini par une seule idée, le copain costaud, l'amoureuse, la femme fatale, le méchant chef religieux,... Dès que l'on pénètre dans le vaisseau l'augmentation de l'effectif renforce l'intrigue en complexifiant les problématiques bien que ceux de l'intérieur soient également assez manichéens.
Finalement TER voit ses faiblesses dans sa force. Un peu comme les références citées plus haut l'on suit des personnages ballottés comme des fétus de paille au gré d’événements extérieurs et sans réelle prise sur leur destinée. C'est un peu dommage car on perd ainsi en intensité dramatique ce que les dessins, les décors et l'univers construit donnent en corps. On a néanmoins grand plaisir à découvrir ces mondes lointains et à craindre les disparitions de personnages, pas loin d'être aussi fréquentes que dans Game of Thrones... A la fois trop courts et laissant deviner une série longue de plusieurs cycles, TER est une belle odyssée qui parvient à donner de l'originalité à un genre assez balisé et occupé par des auteurs et séries réputées.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/07/17/ter
Le dessin est beau et le scénario tient bien le lecteur en haleine... On devine parfois ce qui va venir mais il y a aussi quelques bonnes trouvailles qui font de ces 3 premiers albums (un cycle) une bonne série de SF.
Scénario assez classique pour ce 3ème tome, dans lequel on ne retrouve plus la magie du début... Il reste quand même quelques éléments de surprise et une fin ouverte... vers un 2ème cycle.
Changement radical de direction avec ce 2ème tome... Exit l'univers que l'on se plaisait à découvrir dans le 1er album... et place à un nouveau cadre et à de l'action. La lecture reste fluide et agréable mais tout cela est un peu déroutant.
Cette série de science-fiction part sur des bases très prometteuses, avec la découverte d'un univers intrigant, une faune exotique et une société codifée. Quelques "facilités" à l'eau de rose font fortement penser aux mondes de Léo, mais le mystère reste bien présent et le cliffhanger final est vraiment très réussi.
Comme je le craignais, je trouve ce tome 3 un peu en dessous les 2 premiers albums, du fait qu'à part les quelques bonnes révélations sur Mandor, il ne se passe pas grand-chose. Les protagonistes (qui manquent cruellement d'âme et de profondeur) se contentent d'arpenter le vaisseau jusqu'au poste de commandement tout en évitant les attaques des intégraux.
Néanmoins, l'ensemble de la trame reste accrocheuse et nous entraine facilement avec elle.
Coté dessin, c'est pareil, il nous diverti et nous séduit mais sans plus, étant donné que toute l'histoire se déroule dans les entrailles métalliques de Jupiter.
Pour finir, je pense que le choix éditorial de conclure ce premier triptyque sur une ouverture vers un second est fort dommageable. Je pense que ça explique en grande partie le vide scénaristique de ce troisième tome qui, au lieu de terminer en apothéose avec moultes rebondissements, s'est contenté de nous emmener tranquillement vers cette fin ouverte.
Toutefois, je suivrai avec attention la suite des aventures de Mandor, car je suis curieux de voir ce que vont nous réserver les auteurs.
TER est une très bonne série malgré tout qui mérite qu'on s'y intéresse.
Avec ce tome 3, je m'attendais à lire la fin de l'histoire. Hélas, il n'en est rien et cet opus ne fait que conclure un cycle, d'où ma déception.
Le dessin de Christophe Dubois est sompteux (rien que le cahier graphique de cette édition vaut le coup d'oeil), mais je dois dire que le scénario de Rodolphe ne m'a guère emballé. Avec un tome 1 original et réussi, nous retombons au fil des albums à un récit plus classique de science-fiction, même la révélation sur la véritable de "main d'or" n'en est plus une.
Dommage aussi que certains personnages disparaissent trop brutalement, flouant ainsi le lecteur.
Bref, un avis mitigé sur cette série
Une course-poursuite contre les Intégraux quasiment tout au long de cet album. Des explications sur le background, mais que je ne trouve pas assez poussées. Prochaine étape la Terre ?
[SPOILER]
Comme cette série est frustrante !
L’univers est splendide mais il manque une composante essentielle : LES PERSONNAGES.
Ce que j’avais redouté et critiqué au tome 2 se confirme… En fait, j’ai la désagréable impression que Rodolphe est un scénariste qui n’aime pas ses personnages ; du moins qu’il ne sait pas quoi en faire. Ils n’ont plus aucun charisme, c’est totalement navrant ! Mandor, censé être le héros de l’histoire, est complètement hors du coup, morne, passif. Il a si peu de caractère que la révélation le concernant m’a laissé parfaitement indifférent. Le jeune Pip, lui, est inexistant sur ce tome, et la belle Yss disparait en un clin d’œil, comme ça, sans enjeu dramatique.
De nouveaux protagonistes apparaissent mais ne sont que des sous-fifres sans épaisseur. Et Beth, la probable future héroïne, ne semble pas mieux lotie...
Les personnages M. Rodolphe ! C’est pourtant évident, non ? Comment s’immerger dans leurs aventures, ressentir de l’empathie, vibrer, s’identifier à eux s’ils n’ont aucune dimension psychologique et disparaissent les uns après les autres dès qu’on commence un peu à s’y attacher ? J’essaye de trouver une raison à cela, une justification scénaristique mais je n’en vois aucune. Je trouve incompréhensible d’être passé à côté.
Bon, c'est quand même une bonne BD dont la lecture reste agréable mais, sans cette absence de personnalités et les incohérences déjà évoquées dans les autres avis, TER serait un chef d’œuvre. Quel dommage !
Un premier tome très poétique, un deuxième explorateur et cataclysmique, le troisième très guerrier nous livre quelques secrets dont un concernant Mandor, auquel je ne m’attendais pas, mais qui donne toute sa logique au début du premier tome.
Rodolphe n’y va pas par quatre chemins en faisant disparaître Yss mais cela ouvre la voie à l’amour de Beth.
L’exploration du vaisseau par Mandor est pleine de surprises dont celle de tous ces corps qui doivent servir de garde-manger aux rebelles fanatiques.
Ce troisième volume a quand même un charme fou et tout ce qui paraît illogique dans cette série n’est, après tout, que secondaire. Je ne pense pas qu’il faille chercher la petite bête comme dans l’avis de killucru mais se laisser porter par l’histoire.
Au vu des quelques images du second cycle livrées à la fin de l’album, je pense que nous aurons droit à un retour poétique qui avait fait tout le charme du premier album.
La beauté du dessin liée à un scénario d’une grande originalité fera de cette série, sans aucun doute, un pilier de la BD de SF.
Oui, il y a des incohérences .... mais cette BD "fait le job" , elle nous emmène dans un univers extraordinaire, un peu comme si nous faisions un rêve, les tomes 1, 2 et 3 sont bien différents les uns des autres, oui ce n°3 est plutôt "rapide" par rapport a toute la construction du 1, la conclusion nous laisse un peu sur notre faim, mais c'est la transition avec la prochaine série. En tout cas on ne peut pas dire qu'on s'ennuie en lisant TER !!
Dommage !
Dans le premier tome, Rodolphe avait créé un univers onirique, poétique, attachant, qui m'avait beaucoup plu.
Hélas, dès le tome 2, il choisissait de se tourner vers de la scifi classique. Et c'est là où d'après moi, ça rate complètement!
Ça rate parce que les éléments scénaristiques qu'il avait mis en place dans le premier tome et qui fonctionnaient parfaitement pour une histoire plus symbolique deviennent complètement incohérents quand on les replace dans un univers qui au final se veut réaliste. Incohérents tant scientifiquement que scénaristiquement parlant.
Car je suis désolé mais (ATTENTION SPOIL TOME 1 ET 2) si le vaisseau dérive dans l'espace, comment peut-il y avoir des alternances jour-nuit en surface? Et la chaleur qui permet aux "surfaciens" de survivre, d'où vient-elle? Qui plus est, les personnes qui ont choisi de vivre en surface du vaisseau l'ont fait sciemment, sans être rejetés par ceux qui ont décidé de rester à l'intérieur, du coup, pourquoi n'y-a-t-il eu aucun contact en deux siècles entre ces deux mondes? Et Mandor? Si c'est un "guide" (et un guide spécial) envoyé par le monde intérieur pour prévenir les surfaciens de revenir au sein du vaisseau avant que celui-ci ne se remette en marche, pourquoi a-t-il perdu la mémoire et s'est retrouvé tout nu allongé dans une tombe?
Ce sont toutes ces incohérences (je les ai pas toutes citées pour pas spoiler le tome 3) qui font que je ne peux pas considérer cette série comme réussie.
Et Rodolphe nous promet un cycle deux -comme il a l'habitude de le faire- qui sera un planet opera comme il en existe déjà à la pelle...
Si le dessin de Dubois est toujours aussi bon (jetez un coup d’œil au cahier graphique), ce second volume prend un tournant beaucoup plus classique. Le mystérieux "Mandor" semble un peu perdre de son prestige, et s'efface un peu au profit du groupe.
A partir du moment où, à la fin du premier volume, on découvrait ce qui se cachait derrière "TER", il y a beaucoup moins de surprises dans le deuxième volume.
Néanmoins, j'ai envie de connaitre la fin dans le prochain volume.
Il faut tout de même souligner un rythme de parution soutenu, sans pour autant nuire à la qualité du dessin
D’un premier volume très poétique nous passons à un cataclysme sans garde-fou. Cela surprend et raye d’un seul coup d’un seul l’histoire tel que l’on pouvait se l’imaginer. Est-ce un bien, est-ce un mal, le scénariste est seul maître à bord. Je pourrais être déçu tellement le premier tome m’avait émerveillé.
En comparant les dessins des deux tomes, on se rend compte qu’il y a un léger moins bien. Mais peut-être que cela provient de la froideur de l’intérieur du vaisseau Jupiter qui nous est offert. L’histoire proposée est complètement folle et totalement irréelle. Un cocktail de la Druuna de Serpieri, des mondes de Léo mélangés avec un shaker Jules Vernes. Le résultat nous offre un monde de l’improbable tellement séduisant.
Mandor est le « prophète » que le monde extérieur du vaisseau Jupiter attend. Il s’est passé tellement de siècles pour que le vaisseau se régénère suite à une guerre galactique que le jour où celui-ci est définitivement réparé le monde extérieur, sorte de croute avec sa propre atmosphère, s’écroule.
Mandor que la population voulait tout d’abord trucider en le rendant responsable des « tremblements de terre » va guider celle-ci à l’intérieur du vaisseau. Mais personne n’est présent pour les réceptionner à l’exception du vide et de la froideur d’un monde métallique. Une petite poignée de personnes menée par Mandor va alors partir en exploration afin de trouver des survivants. Bien mal leur en a pris…
C’est un deuxième tome bien différent. Plus froid, celui-ci assassine la poésie du premier volume et le mot n’est pas trop fort. Mais la qualité est toujours là et j’avoue que je ne m’attendais pas du tout à ça. Et j’ai sacrément envie de connaître la suite.
[::: ATTENTION SPOILERS :::]
Graphiquement c’est toujours aussi beau mais ce tome 2 m’a laissé assez perplexe...
D’une part, ça va trop vite, le changement de lieu et d’ambiance étant radical et brutal.
D’autre part, la dimension humaine qui donnait son épaisseur au récit est ici réduite à la portion congrue. Mandor, sans charisme aucun, soudainement halluciné par des visions fait un piètre "guide" et la plupart des autres ne font que de la figuration. Je ne comprends pas l’intérêt d’avoir créé cette abondance de personnages dans le 1° tome pour les faire disparaitre là en un claquement de doigts. Des milliers d’humains sortent ainsi de l’histoire par la petite porte, sans enjeu particulier. Étrange…
Enfin, les raccourcis opportunément pris par le scénariste me laissent dubitatif… Toute la civilisation de TER, ces constructions pharaoniques, ce développement matériel et spirituel complexe, cet écosystème complet… seraient donc nés ex nihilo en quelques générations ? Et pas une réponse sur l’origine d’une atmosphère terrestre à l’extérieur d’un vaisseau dérivant dans l’espace : "Une atmosphère fut créée" (p. 46) ; 4 mots ! hum… C’est un peu léger, non ?
Je préfère le prendre comme un tome de transition et attends mieux du 3° car cette série est magnifique et son potentiel reste énorme.
Cette série est un vrai coup de cœur ! Prévue en trois tomes, sur un format court pour un sujet qui aurait mérité un plus long développement, il est vrai que ce tome 2 ne s’embarrasse pas avec le mystère, les révélations et intrigues étant levées au grand galop. Mais quel plaisir !!! Scénario efficace, dessins grandioses et fouillés, une vraie réussite... À lire et relire assurément.
Dans ce tome 2, la tragédie est au rdv et contraste avec le tome 1 qui nous présentait un monde sur un versant prophétique, magique et encore empli de bons sentiments.
Il convient désormais de se rendre à l’évidence...
En lisant ce tome 2, j’ai entrevu, telle une prophetie ou un rêve éveillé , une adaptation cinématographique !!! Tout y est.
Le futur Star Wars, carrément.
Les dessins sont excellents et j'ai adoré le cahier graphique en fin d'ouvrage, qui offre une profondeur supplémentaire au background.
Au niveau de l'histoire, l'équilibre du 1er tome est totalement bouleversé... on part sur une histoire de science-fiction plus classique...
Pour le dessin je n'ai rien à dire, il est beau, travaillé et réussi. Bien que l'idée soit originale (peut-être) je n'ai pas aimé cet album. J'ai eu le sentiment de lire des incohérences temporelles et des incohérences relationnelles ou caractérielles. Je préfère de loin le premier volet. Désolé mais j'ai un peu de mal à m'exprimer. Toutefois, bien qu'un vrai grand fan de Dick, Silverberg, Azimov, Wells, Orwel, Priest, Dish... je suis déçu de l'histoire, elle n'est pas très recherchée...
A tous les auteurs, lisez Philip K. Dick vous allez halluciner. Là il y a de la BD a exploiter (Le Dieu Venu du Centaure, Loterie Solaire, Docteur Bloodmoney, Ubik., L'Oeil dans le Ciel, Au bout du Labyrinthe...
Cette suite est dans la lignée du premier tome, tant au niveau de l'histoire que des dessins et de la mise en couleur.
On note le plaisir de découvrir une multitude de décors et de lieux différents par rapport au premier tome, ainsi qu’un peu d’action et de rebondissements. La dimension de la science-fiction prend ici toute son ampleur.
En revanche je suis un peu déçu que tout le mystère autour de TER et de Mandor soit dévoilé dès le milieu de ce 2ème tome. Du coup, j'espère que le 3ème et dernier album ne se contentera pas d'une simple découverte du vaisseau à la recherche de Yss et de Pip et d'un combat final contre les intégraux. Ça serait vraiment dommage.
Un excellent album de science-fiction qui nous entraine sur un monde inconnu à la découverte de ses habitants et de cet inconnu. L'intrigue et les questions qui en découlent rendent l'ensemble très accrocheur. Tout est savamment dosé et dévoilé au lecteur.
Coté dessin, le trait particulier apporté au dessin et son coté "brouillon" rend l'ensemble encore plus léger et poétique. Les couleurs renforcent d'avantage cette impression et notamment les scènes de nuit absolument superbes.
Les dernières pages et leurs révélations nous donnent furieusement envie de découvrir la suite.
Excellent album, bonne histoire. Beaux dessins que je rapproche plus de Manara (les visages) que de Serpieri. La prêtresse nue des pages 40 et 41 présente des erreurs anatomiques regrettables...
Petit détail pour les amoureux des éditions originales : les rééditions font figurer un mois d'impression, ce qui n'est pas le cas de la première édition.
Les éditions Daniel Maghen ont l'habitude de nous proposer des ouvrages de très belle qualité. Le travail est très soigné.
Je ne connaissais pas du tout le dessin de Christophe Dubois, et bien je dois avouer qu'il est vraiment superbe. Comme l'a souligné quelqu'un, son style fait peut se rapprocher de celui de Serpieri sur certaines planches. Les scènes de nuit sont particulièrement réussies et d'une beauté à couper le souffle.
Côté scénario, j'ai rapidement accroché.
Cet inconnu sorti de nulle part et doué de ses mains intrigue fortement. On reconnait aussi la patte de Rodolphe avec le bestiaire présent sur TER, digne de celui que l'on peut trouver sur "Aldébaran".
Et que dire de la dernière page qui nous donne furieusement envie de connaitre la suite.
Vivement le tome 2.
Très très belle ambiance ! Paysages, costumes, couleurs, cadrages, trait finement hachuré… tout concourt à façonner une atmosphère vaporeuse et hors du temps qui rend la lecture de "Ter" particulièrement agréable.
Cela dit, j’endosse pour quelques lignes le rôle du rabat-joie car les personnages m’ont semblé vraiment "gentillets" ; dans la société décrite ici, la densité de jeunes gens beaux, bons et vigoureux, vivant en parfaite harmonie frôle les 100%! Même les "méchants" n’ont l’air que de petits comploteurs de récré…
Allez, gageons que la suite nous mettra un petit coup de fouet dans ce doucereux décor et apportera les indispensables réponses aux nombreuses questions égrenées par l’intrigue, car ce 1° tome est réellement enthousiasmant et tout est en place pour enflammer notre imaginaire !
Très prometteur. Impatient de voir la suite. Et encore un super scénario de Rodolphe très bien accompagné au dessin. Bravo
Très belle impression,
Cela me fait penser à beaucoup de choses...
Le héros me fait penser au personnage de Jacques Mayol dans le "Grand Bleu", présent mais venant d'ailleurs...
L'ambiance du village est reposante comme dans la série "Magasin Général",
Enfin bref, une série de science fiction qui apporte beaucoup de bonnes sensations
Un scénario consistant appuyé par de très bons dessins font de ce 1er tome une belle réussite. Un univers dévasté où l’humanité semble encore avoir merdé et où les questions foisonnent avec les pages qui défilent. L’intrigue est posée, vivement la suite.
Excellente BD, au scénario et au dessin solides. On se régale à suivre les aventures mystérieuses de Mandor, Pip et la belle et ingénue Yss...Rafraîchissant et prometteur.
Bon moi je suis resté scotché. Le scénario, les dessins tout m'enthousiasme. Je l'ai déja lu 2 fois en 2 jours d'achat. Pour plus de détails allez lire l'avis de Kurdy 1207, que je partage pleinement, bien plus loquace que moi.
Vivement la suite!!!
j'ai bien aimé les dessins de cet album même si certains ne sont pas aussi bon que d'autres.
il y a quelque chose qui me gène sans avoir quoi exactement.
c'est juste un ressenti.
le scénario quand à lui est vraiment plaisant, je dirais même surprenant.
je n'avais pas vu venir la fin de l'album.
que de mystères à dévoiler.
vivement la suite.
Un scénario frais et plein de poésie servi par un dessein très agréable.
Un excellent moment passé à lire ce bel album. J'attends avec impatience le tome 2.
Cette BD aurait pu être dessinée par Serpieri tellement le héros Mandor me rappelle un de ses personnages et tellement les femmes y sont représentées dans leurs instants de nudité.
L’histoire ? Je la trouve géniale. Un homme venu du néant remis à la lumière par un pilleur de tombes, Pip. Il ne sait ni parler, ni lire, ni écrire mais il a des mains d’or, comme c’est écrit sur le tatouage qu’il a sur le torse. Mandor, « Main d’or1 », sait tout réparer, horloge, grille-pain ainsi qu’une machine projetant des hologrammes.
Très vite la population s’intéresse à lui et à ses « pouvoirs ». Yss, la sœur de Pip, tombe vite amoureuse de lui et de sa gentillesse naturelle. Par contre, cela lui attire l’inimitié de Vern qui s’était autoproclamé petit ami d’Yss. D’ailleurs celui-ci le défiera en combat singulier. Ce combat se terminera en un autre homérique contre un animal extraordinaire où les deux protagonistes se battront à l’unisson. De ce combat naîtra une amitié durable.
La machine à hologramme va pourtant lui attirer des ennuis et les collèges religieux de la cité où il a été recueilli, le soupçonneront de charlatanerie. Son histoire ressemble trop à une ancienne prophétie. La peur leur fera interner Mandor. Puis ils le délivreront, sur les conseils de la beauté obscure Beth, pour mieux l’espionner.
Mandor apprend que le monde sur lequel il vient de renaître s’appelle « Ter ». A ce moment commencera une quête qui entraînera Mandor, Yss, Pip et Vern dans un fabuleux pèlerinage sur un char à voiles non moins fabuleux.
Sublime, sublime, sublime. Certains esprit grincheux trouveront certainement des choses à redire mais je me suis laissé entraîner dans le monde des rêves avec cette histoire où Rodolphe a su m’emporter. Les personnages, les costumes, les paysages, le bestiaire et les idées simples véhiculées m’ont conquis et ces dessins de Dubois sont vraiment magnifiques. Je vais lire et relire ces pages du plaisir encore et encore. J’ai hâte qu’arrive la suite.