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La guerre des Malouines a été déclenché en avril 1982 par une junte militaire en Argentine qui gérait assez mal économiquement le pays au point de vouloir détourner l'attention de la population. Rien de mieux que de favoriser un sentiment patriotique pour récupérer des îles assez inhospitalières au large en les envahissant. Au passage, ils se sont mis à dos la quatrième puissance mondiale à savoir l'Angleterre gouvernée par une certaine Margaret Thatcher.
La Dame de fer n'a pas fait dans le compromis du dialogue. C'était la guerre avec un perdant et un gagnant. Elle a déployé toute la flotte royale ainsi que l'aviation notamment en mai à des milliers de kilomètres de l'Angleterre au beau milieu de l'Océan Atlantique. De nombreux croiseurs ont d'ailleurs été coulés.
On apprendra que des nazis ayant fui l'Europe au sortir de la Seconde Guerre Mondiale ont conseillé les militaires au pouvoir afin de leur apporter leur savoir-faire. Ce régime a fait disparaître des opposants politiques en les larguant dans l'Atlantique après les avoir endormis. Bref, une horrible manière de mourir. On se rend compte que les argentins n'étaient pas tendres.
J'ai regretté que la BD part un peu dans tous les sens sans nous montrer réellement ce qui a fait basculer le cours de cette guerre qui n'a duré au final que deux mois. C'est assez surfait même si on a droit à une tonne d'explication notamment dans le dossier en fin d'album. La chronologie ne permet pas de savoir quand a été ce point de basculement alors que les argentins avaient réussi à conquérir ses îles et que leurs bases terrestres se situaient sur le contient à 450 km de là.
Pour autant, on va avoir droit à une petite histoire d'un argentin qui semble se rebeller contre son camp et qui sera sauvé grâce à son camarade. Les auteurs ont voulu donner une dimension plus objective à ce récit alors que la barre est placée nettement du côté des anglais qui a déployé une véritable armada pour récupérer ce petit archipel perdu au beau milieu de l'Océan Atlantique.
L' album à la planche 48 titre - La Bataille de Fasthan Creek - sur Google et Wikipédia Fasthan s'écrit Fatshan le ''S'' est placé après le ''T'' et non avant, qui à tord, qui à raison ?
J'ai beaucoup de mal à comprendre que Jean-Yves Delitte, à la barre de cette belle série maritime, ait pu laisser Q-HA dessiner cet album alors que son travail sur No Ryang était déjà critiquable. Les navires sont grotesquement représentés et bien que le scénario soit intéressant, il en découle un album qu'on lit sans plaisir. Faire plus couleur locale en lorgnant vers le manga est manifestement un choix décevant. J'en viens à me demander si les impératifs financiers de l'édition n'ont pas précipités la parution d'une telle médiocrité graphique et si le courage n'a pas manqué pour refuser un travail aussi mal abouti. Je suis fan du travail de Jean-Yves Delitte, mais déçu de cette collaboration, où le dessin de Q-HA entache la qualité de la collection et souffre avec une évidence sans conteste de la comparaison avec le sens du détail didactique de Monsieur Delitte. Un coup dans l'eau !
Je veux bien croire que Jean-Yves Delitte connaisse son sujet pour les batailles de l'époque de la marine à voile - mes connaissance sur cette période sont toute façon trop faibles pour en juger - mais ses albums sur les batailles navales du 20ème siècle sont, pour la plupart, indigents et approximatif dans leur représentations des combats et de leur déroulements. Certes les dessins sont beaux et les navires (généralement) fidèlement représentés - ce qui est tout de même la moindre de choses pour un peintre de marine, mais ont est en droit d’exigé plus d'albums qui arborent un "Musée national de la marine" au bas de la couverture.
Je n'ai que feuilleté celui sur la bataille Santiago de Cuba... cela m'a suffit pour voir que celui-ci ne fais pas exception
- L'un des croiseur-cuirassés Espagnol est représenté sortant de Santiago de Cuba, flaqué à babord et tribord des destroyers Furor et Pluton, or le chenal du port 'était bien trop étroit pour permettre aux navires de sortir en 'ligne de front'. En réalité, le 3 Juillet 1898, la flotte Espagnol était partit au combat en 'ligne de file' (file indienne) et les deux destroyers était sortit en derniers
- Sur l'une des vignettes, l'un des croiseur-cuirassés Espagnol semble cassé en deux par une explosion, or les photos de ces navires échoués après la bataille montrent que leur coques étaient toutes resté d'un seul tenant - ce que confirme les dessins des rapports de combat de l'US Navy.
- Delitte n'est toujours pas capable de faire une représentation réaliste d'une gerbe d'obus de gros calibre explosant dans l'eau.
Une très bonne pioche encore une fois. C'était vraiment impressionnant. Jean-Yves Delitte nous implique directement par son sens du récit et par le dessin dans une bataille titanesque entre les deux forces en présence, l'Espagne et les USA. Il est facile de s'ennuyer dans une bataille navale quand l'auteur ne maitrise pas ce genre de récit, heureusement pour nous, monsieur Delitte est un spécialiste, peintre pour la Marine Belge et il dirige d'une main de fer son histoire. Certes, on sait déjà comment va se finir, on sait que les forces espagnoles ne font pas le poids, elles sont en sous nombre C'est spectaculaire et ça fait plaisir, pourtant la bataille est horrible, le scénariste ne nous épargne pas et il a raison, c'est une bataille et c'est ce que l'on veut. On ressent le côté destructeur des explosions, la douleur sur les visages. Certaines planches sont des peintures, de véritables tableaux représentant ce qu'il y a de plus horribles dans un conflit de ce genre. Les personnages ne sont pas en reste, on ressent toute l'horreur de la situation par de simples éléments de détails, des tics de visage, des remarques, c'est beau et encore une fois on ne peut que saluer une telle collection.
Cet album se lit comme un reportage.
Du grand art.
Pas de dialogues inutiles, juste l'évocation de l'état d'esprit des combattants ...
Le Wikipédia sur sa page - Guerre des Malouines -, reconnait Falklands avec un "S", pourtant la couverture de l'album ci-contre n'en comporte pas sur le titre. Mérite t-il une correction ?
Le travail est bien réalisé, cependant je n'ai pas été inspiré par le scénario et la reconstitution des évènements.
Je ne pense pas explorer les autres albums de la série.
Je regrette que l'auteur ne connaisse pas les règles de la langue française à propos des particules nobiliaires et nous assène du "de Villeneuve" en permanence.
On découvre la faiblesse du tempérament de l'amiral de Villeneuve, la tactique ancienne et connue de tous, la marche en ligne et le manque évident de communications et renseignements dû à l'époque.
Deux remarques romanesques, la blessure mortelle de Nelson infligée par un enfant inaguerri et la thèse de l'assassinat de Villeneuve commandé par l'Empereur.
J’ai feuilleté celui sur la bataille de Jutland … mais je l’ai reposé sur son présentoir, franchement déçu…
Oui les dessins sont beaux, ainsi que les couleurs… je n’ai a priori pas remarqué d’erreurs sur la représentation des navires… les prémisses de la bataille semblent bien expliqué (même s’il est difficile d’en juger sans une lecture approfondie)… Le problème, c’est la représentation de la bataille elle-même… ce n’est pas qu’elle soit fausse, c’est que l’auteur ne nous en montre pas grand-chose : quelque gros plans extérieurs sur des navires, des scènes sur des passerelles et dans les tourelles & casemates. et c’est tout, aucune scène d’ensemble, aucune représentation des manœuvres des deux flottes et de leurs différentes escadres & flottilles… alors qu’il s’en est passé des mouvements lors du Jutland
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Ayant fini par l'acheter après l'avoir trouvé un prix modique, je complète ma critique :
Les dessins des bateaux, de la mer, des paysages, sont très beaux et les images de navigations dans la houle et le tangage carrément superbes ... J'ai aussi trouvé très touchant le passage en automobile avec le capitaine et son épouse ... Dans l'ensemble, les scènes d'avant la bataille m'ont semblé crédible... malheureusement les approximations commencent dés la page 6 avec la pseudo représentation de la poupe du SMS Seydliz en cale sèche, alors que : 1) la dit cale sèche ressemble plus à une cale de construction, 2) le croiseur de bataille Seydliz n'a jamais eu de gouvernail de cette forme (ont dirait celui d'un navire de commerce) et ses hélices avaient trois pales (quatre sur le dessin).
Cela continu avec la discussion entre le général Molke et les amiraux Phol et Cheer où l'on donne l'impression que l'empereur Allemagne poussait à la grande confrontation avec la Royal Navy et que Cheer était un élément modérateur... alors qu'en réalité c'était tout le contraire : Guillaume II couvait ses cuirassés & croiseurs comme une poule ses poussins... et Cheer était de ceux qui voulaient prendre des risques.
- Page 28, le commandant du croiseur-cuirassé HMS Black Prince au courant de la capture des codes radio de la marine Allemande ! ... ainsi que de l’existence la "ROOM 40" !!.... et cela - dit-il - de la bouche même de l'amiral Jellicoe !!... ce qui, vu la conception qu'avaient les Britanniques du secret défense - en particulier sur les écoutes radio - me parait rigoureusement impossible !!!!!!!!!!.... D'autant que le caractère de Jellicoe, cordial mais un peut distant, et peut enclin à déléguer, et encore moins à faire des confidences, ne s'accorde pas non plus avec cette vision donné par la bd
- Page 29, un simple matelot (Allemand) sur une bannette.... en 1916 !!!... alors que, jusqu'aux années 1950, il me semble que la majorité des marins sans grades dormaient encore dans des hamacs (ex : Les escorteurs d'escadre T47, T53 & croiseur De Grasse, avant refonte).
- Page 33 à 47, des gerbes d'impactes d'obus dans l'eau complètement ridicules!... ont dirait des éclaboussures de cailloux!... Cela pourrait peut être passer avec les petits boulets non explosif des siècles précédents... mais pas avec des obus de 280, 305, 343 ou 380 mm ... Il suffit comparer avec les quelques photos de la bataille prise par les Allemands et les Britanniques ... ou alors avec les tableaux qu'en avaient fait Claus Bergen , Lionel Wyllie, Willy Stoewer, Alma Burlton, Hans Bordt & autres. (à titre indicatif, l'un des rare film à donner une représentation vraisemblable d'une gerbe d'eau d'obus de cuirassé, est le vieux "Sink the Bismarck!" de 1960)
- Pages 36, le croiseur de bataille HMS Queen Mary, au moment de sa destruction, dessiné avec les tourelles dans l'axe et faisant feux de ses seules pièces avant, droit devant !... alors qu'à ce moment là cela faisait plus d'une demi-heure que l'escadre de Beatty canonnait celle de Hipper aligner en ligne de file sur bâbord (un peut moins grave : Delittle à oublié de dessiner la tourelle centrale [tourelle 'X'] du Queen Mary)
- Double-pages 38-39, un destroyer Allemand qui se fait couper en deux par un obus de gros calibre tiré à distance, alors qu'à ce moment de la bataille - c'est à dire avant l'arrivé des escadres de Cheer et Jellicoe - les seuls destroyers allemands coulés, les V27 et V29, l'ont été lors d'un combat à courte distance - entre 1500 et 600 m - avec leur homologues Britanniques... et, contrairement à ce que laisse croire la page suivante, aucun n'a coulés 'corps et bien', il y a eu des survivants (qui ont été récupéré par les V26 et S35).
- Double-pages 42-43, un cuirassé classe Queen Elizabeth avec un bulbe anti-torpille en 1916 !... alors qu'ils n'ont commencé à recevoir ce genre d’extension à partir du milieu des années 20.
- Pages 46 & 47, le détail débile que même le lecteur le plus ignorant des usages de la guerre sur mer ne peut manqué de remarquer : un croiseur Britannique et un cuirassé Allemand, passerelle et hublots illuminés, en zone de combat de nuit !!!
- Pages 47 le croiseur-cuirassé HMS Black Prince qui se fait instantanément détruire par des tirs nocturnes à longue distance... alors qu'en réaliser les Allemands l'ont massacré à moins d'un kilomètre, après l'avoir préalablement illuminé de leur projecteurs - ce que ne montre pas la bd - de plus le Black Prince n'a pas couler tout de suite : tous les témoignage Allemands disent qu'il à continuer à naviguer en flamme quelque temps avant sombrer dans une explosion - qui a été corroborer par des relevé sur l'épave