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Comment remporter une guerre civile en trois tomes ?
On réunit deux/trois péquenauds, de beaux discours, quelques morts, un bel emballage visuel et voilà le tour est joué !
Plus sérieusement, il faut déjà apprécier le style visuel de Jean-Michel Ponzio, qui s'apparente très fortement à des images de roman photo retouchées numériquement. Le résultat est très réaliste mais devient assez lassant au bout d'un moment, d'autant plus quand le scénario s'amuse à effectuer des allers-retours sans prévenir.
Le personnage principal m'a le plus énervé de par son comportement hautement instable et impulsif, de plus il ressemble par moment à l'ancien ministre et sinistre Manuel Valls le rendant encore moins sympathique. Les autres personnages restent corrects même si certains sont vides (par exemple Nadia pour ne citer qu'elle).
Je ne mentionnerai pas la vulgarité excessive et gratuite, le manque d'approfondissement global, l'absence de méchant digne de ce nom et de suspense. En revanche, j'ai bien ri à la lecture de certains dialogues ampoulés de philosophie et tombant plus souvent dans le ridicule qu'autre chose.
Une œuvre qui ne restera absolument pas dans les mémoires, c'est le cas de le dire !
J'aime beaucoup l'auteur mais là, je dois bien le dire: c'est une véritable déception. Le récit n'avance pas car il n'y a pas de trame intéressante. Tout juste, on suit le parcours d'un jeune commandant qui va basculer dans le côté obscur en provoquant le chaos, d'une guerre. Le contexte était celui de différentes enclaves menacé de tomber. On ne connait pas vraiment l'ennemi.
Cela se concentre sur une équipe de personnages et les actions sont très lentes. Il y a un manque manifeste de dynamisme car une grosse concentration sur l'ambiance de cet univers futuriste. Du coup, on n'a plus trop envie de voir la suite à la fin de ce premier tome peu prometteur. Il est vrai que l'auteur nous avait habitué à nettement mieux. C'est comme cela: on ne réussit pas à tous les coups.
Quant au dessin, cela ressemble un peu à un roman photo. Bref, on a vu mieux.
Je comprends les avis précédents.
Cependant, j'ai apprécié la lecture de ces albums (j'englobe les tomes 2 et 3). Je ne sais pas... l’interaction entre les personnages m'a convaincue.
Même s'il est vrai que le final est décevant et que le concept du "sauveur-messie" n'est pas assez exploré / explicité.
D’accord sur la note des deux précédents avis. Décidemment le graphisme de Ponzio ne passe pas et le scénario de Marazano sur ce troisième tome non plus d’ailleurs et pourtant j’ai essayé de m’accrocher. Peine perdue. Pourtant Marazano sait faire d’excellents scénarios comme « Les trois fantômes de Tesla » dont j’attends la suite impatiemment et Ponzio sait nous livrer un excellent travail comme « Terminus 1 ».
Il est permis à tout le monde de se rater…
A partir d'une idée séduisante, Marazano accouche d'une histoire sans intérêt : des révoltés qui finissent par gagner la guerre. Comme toujours chez les fonctionnaires du scénario de chez Dargaud, le scénariste oublie de mettre en scène "les méchants" et ne parle que des "gentils" : du coup, le suspens est proche de zéro. Dialogues vulgaires et sans intérêt. Le tout saupoudré de considérations politico-marxisantes qui ont au moins le mérite de faire rigoler! C'est dommage pour le dessinateur , dont le talent est gâché!
C'est tellement simple de gagner
une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant.
Avec de" belles et grandes" théories philosophiques... : "et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...
C'est tellement simple de gagner
Une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant.
Avec de" belles et grandes" théories philosophiques..."et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...
Dans le tome 1 dès les premières planches, la vulgarité est présente dans chaque phrase...Un personnage suffisant, une histoire très superficielle qui veut nous faire avaler des poncifs avec des grands airs de pseudo géopolitique.
Des dessins que je n'arrive toujours pas à accepter avec des détourages de personnages inadmissibles. La prochaine fois j'achète un roman photo...
Toujours cet hermétisme chez Marazano dans un exercice éculé vu et revu. On ne comprend pas tout mais visiblement c’est une marque de fabrique... Alors pourquoi se farcir de pâles copies d’un genre qui a déjà ses lettres de noblesse par ailleurs ?
Le dessin ? Au niveau mais à quoi bon quand le tout n’a rien d’emballant ?
cette suite est une véritable claque pour moi.
dans l'exacte continuité de tome 1.
mais avec quelque chose de plus.
j'avoue ne pas avoir tout compris, il vas me falloir du temps pour totalement assimiler.
ceci étant je pense que ce type d'histoire peut rebuter mais il faut aller plus loin.
contrairement à beaucoup de série celle-ci a un message ou du moins je l'ai pris comme tel.
elle montre un monde possible qui j'espère n'existera pas.
hélas tout semble montrer le contraire...
vivement la suite.
J’ai vraiment du mal avec le graphisme de Ponzio. Ce n’est pas qu’il soit mauvais mais on a souvent l’impression de voir des photos de têtes sur des corps dessinés. C’est très spécial. L’histoire en elle-même, sans être vraiment captivante, est plutôt plaisante à suivre.
Totalement d'accord avec les avis de Kurdy et Biggyjay.
Il faut apprécier l'aspect "roman photo", signature de M Ponzio, qui se ressent encore plus dans cet album que dans certaines de ses oeuvres précédentes.
Mais l'ambiance est réussie, j'ai envie de savoir la suite, alors c'est quand même bon signe.
Surtout, pour comparer avec ce qui est comparable (SF apocalyptique et dessins hyper-réalistes), je préfère largement cette oeuvre à ce que nous propose un Jorodowsky, qui nous propose des horreurs à la limite du supportable.
Certes, Jorodowsky arrive parfois à créer des personnages plus forts que ceux de Marazano, mais autant je relirai avec plaisir un Marazano, autant j'ai déjà "refourgué" à qui en voulait les quelques albums de Jorodowsky que j'ai eu le malheur d'acheter.
La fine équipe Marazano/Ponzio nous propose à chaque fois une oeuvre forte, plaisante à lire, et avec de jolies créatures enfin réalistes (et très éloignées de ces femmes de papier glacé qui n'existent pas dans la réalité).
Et rien que pour cela, j'achète tout leurs livres !
Et j'ajoute une chose : je voudrais bien poster ici un extrait de ces merveilleux dialogues marazanesques, mais la décence m'en empêche..........
Le scénariste s'est surpassé dans la vulgarité et la grossièreté; quel dommage pour le dessin virtuose de Ponzio ; j'interpelle Ponzio : comment fait- il pour accepter de coller ses dessins et son merveilleux univers sur un scénario aussi poussif, et surtout, sur des dialogues aussi grossiers ? Comment peut-il supporter cela ? Mystère...
J’ai trouvé l’histoire de ce premier volume un peu lente et je n’ai pas totalement accroché. Mais je garde confiance car le scénario est néanmoins intéressant et cela risque de se décanter par la suite. Quant au dessin, on a effectivement l’impression que l’on nous propose un roman photo plus qu’une BD et cela me gêne un « chouia ».
C'est pas trop mal réalisé, ça n'est pas inintéressant mais ça n'est pas exempt de reproches.
On va commencer par les reproches : le dessin de Ponzio est un roman photo 2.0 ! Je m'explique. Je pense réellement qu'il prend des photos en guise de storyboard qu'il habille ensuite graphiquement. Et à la longue, je trouve ça perturbant et culotté (dans le mauvais sens du terme). Deuxième point négatif, la complexité du scénario et de la narration. Les flashbacks ne sont pas indiqués et encore une fois ça perturbe. Il faut parfois relire certains passages.
On passe aux points positifs : il y a déjà l'ambiance très travaillée, que, personnellement, j'ai agrémenté par une musique d'ambiance. Dans ce cas, on a vraiment affaire à un récit augmenté ! Et c'est très cool !
Le second point positif est le suspense car jusqu'à la fin de la BD, on est toujours dans l'expectative de savoir ce qu'il va arriver ou bien ce qui est arrivé.
Malgré tout, ça mérite d'attendre le tome 2 pour avoir un jugement plus complet.
C'est pas mal...
Après il faut être adepte des mondes futuristes - apocalyptiques...
On comprend l'organisation du monde lors de ce premier tome, même si j'espère un approfondissement au prochain tome...
On nous donne des pistes pour nous préparer la suite par l'intermédiaire des rêves (visions ?) du héros.
A suivre...
suite de l'avis.
une preuve qu'il ne faut pas aller trop vite...
bref, un très bon scénario bien prenant.
une histoire de science fiction ou plutôt d'anticipation.
un futur possible, cauchemardesque et probable ou l'élite et encore plus élitiste que jamais grâce à la technique.
le reste de l'humanité n'étant qu'esclave ou mort.
j'aime moyennement les dessins même s'ils sont objectivement assez beaux mais c'est uniquement une question de gout étant un fervent de l'école franco-belge.
les médisants diront un vieux...
bref, j'attends la suite avec impatience.
j'ai lu ou plutôt dévoré cet album d'une traite tellemnt je suis rentré dans l'histoire.
le complexe du chimpanz&é des mêmes