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Un bon western africain, peuplé de crapules sans vergogne, qui s’entretuent du début à la fin. Beaucoup d’action donc et un récit enlevé. Un peu trop cynique à mon goût même s’il est fort probable que ce cynisme soit très réaliste car de ce que j’ai pu lire et entendre, l’Afrique, ça ressemble beaucoup à ça : des territoires d’une richesse inouïe et des vautours pour les piller.
Quelle superbe série. Cela fait très longtemps que je n'avais pas autant aimé une BD. Le scénario, est très intéressant. Pour connaître l'histoire de l'Etat Indépendant du Congo, du Congo belge et de la RDC,je peux affirmer qu'il n' y a pas une seule erreur dans le script. Tous les détails historiques sont justes. Le dessin et les couleurs sont parfaits. Lorsque j'ai lu la série, j'ai été transporté le pays. Tout "transpire" le Congo : les paysages, les femmes, la violence, les politiciens pourris, etc.
A lire.
Petite déception pour moi, malgré les excellents commentaires sur cette série. J'ai eu difficile à suivre le scénario, les 3 tomes sont forts semblables et je m'en suis lassé, peut-être que j'en attendais trop.
une super série , a avoir dans sa bibliothèque , une vraie réussite ! on ne s ennuye pas à la lecture des 3 tomes !
Enfin ! de retour , NURY et VALLEE continuent leur œuvre de BD Adulte , réaliste , et sans concession .Du grand Cinéma sur papier ! Ce sont ces auteurs qui vont sortir la BD d'une certaine ornière ou la continuité des anciennes BD Franco-Belges l'avait enfermé ( des milliers de "fidèles " par exemple , continuent d'acheter , sans les lire , les albums bien dessinés mais , illisibles de BLAKE et MORTIMER .... ) Au moins , ici , on retrouve des BD que l'ont dévore ! ...Vivement les prochains albums de ces auteurs , qui n'ont pas besoin de HEROS RECURRENT , pour nous tenir en haleine ! Bravo .
Cette série est excellente et très originale, ce troisième tome conclut ce triptyque. J'ai déjà écrit sur les tomes 1 et 2 à peu près tout ce que j'avais à dire. La fin de ce troisième volet, je veux dire sa conclusion m'a déplu, sans pour autant enlever quoi que ce soit à la qualité de cette terrible aventure qui pète, qui déboîte, et qui bouge. C'est une bande dessinée très dynamique dans laquelle on plonge et comme l'a dit l'un des lecteurs et c'est dommage, on n'arrive pas à s'attacher à un quelconque héro. C'est pourquoi la mort de la fratrie au grand dam d'Orsini m'a déçue et a un peu plombé ma joie. Mais cette série vaut le détour, les trois tomes sont très bien, une fois dedans c'est partit.
Dans la lignée du tome 1 on a ici un très bon album, avec la même qualité de dessin, mais 10 planches de moins que son prédécesseur. Un album qui suscite également quelques questions et incohérences majeures mais c'est uniquement mon avis personnel ou alors je n'ai vraiment rien compris à ce volet.
L'histoire se déroule à 100 à l'heure comme son prédécesseur, avec des scènes effroyables et superbement dessinées, ça déboîte grave et ça envoie du lourd dans cette Afrique dangereuse ou la mort fait le guet à tous les virages. Charlie conduit Cantor aux diamants, pourquoi le fait-il ? Et pourquoi lui fait-il confiance en lui donnant les diamants tout en sachant qu'il pourrait le tuer une fois le butin récupéré alors que Charlie est intelligent et sournois ? Je trouve ça un peu incohérent même si à l'arrière plan c'est la sœur qui a une influence. Et ce qui me dérange également, c'est ce détour diplomatique chez Mwata Motu qui est présenté avec un charisme pharaonique, un danger des plus palpables, la peur bleue du ministre qui rajoute encore plus d'effroi et de terreur à cet illustre et sombre personnage sur un banc corné tel un trône de démon, dont les traits sont étrangement très similaires à ceux de Msiri au début du premier album et tout ça pourquoi ? Pour terminer sur son exécution simple et nette ainsi que d'autres exécutions sommaires. Là aussi, je dois avouer avoir été déçu. Je n'en ai pas du tout compris le sens. Si ce sont des fusillades pour uniquement la traversée des contrées avec les diamants, c'est réussi mais un peu tiré par les cheveux.
J'ai quand même aimé cet album tout autant que le tome un. Il s'achève sur les diamants qui sont à nouveau entre les mains de Charlie qui tient le flingue et Cantor qui conduit la jeep. Une chevauchée sauvage et dangereuse. Très bon album.
Comme précisé par les auteurs, ces derniers ont souhaité nous apporter un moment de divertissement sans s'autoproclamer historien et il ont réussi à merveille, je leur tire mon chapeau mais également pour m'avoir fait connaître cette série, absolument remarquable, avec des trognes caricaturées avec un dosage parfait et avec ce fonds de véracité qu'on peut parfois s'imaginer dans ces conflits géopolitiques liés à des exploitations diamantifères ou autres même, dans des pays pauvres ou en voie de développement ou la corruption fait rage, surtout dans ce contexte historique où les colonialistes étaient très méchants et se considéraient supérieurs aux africains.
Moi l'histoire, c'est simple je suis un nul absolu. En tout cas cette bande dessinée comprend 70 planches sulfureuses à souhait avec des trombines à faire peur et surtout à faire perdre confiance en quiconque, c'est le "tous pourris". Les scènes de terrain sont simplement splendides et représentées avec beaucoup de cruauté, surtout les tronches des cannibales. N'empêche, lorsqu'il s'agit de tellement de diamants, il est clair que la mort guette et personne n'est à l'abri et tout le monde est capable des pires horreurs. C'est un peu comme ce fameux film qui s'appelle Blood Diamond avec Jennifer Connelly et Léonardo Di Caprio il me semble.
Le scénario, bien que complet et précis pour l'ensemble des événements qui se déroulent dans cette aventure, est un peu compliqué, je reproche un peu les répétitions du départ avec Msiri, mais les planches sont vraiment chouettes. Il me semble toutefois que le tome 2 était mieux mais je vais le relire. Mais il faut avouer que cette série a le mérite d'être une grande nouveauté dans la bande dessinée, pour moi, d'une originalité absolue.
Forthys, le directeur de l’Union Minière du Haut-Katanga, n’en mène pas large lorsqu‘Orsini, l’ancien agent secret français, au service des intérêts de sa compagnie et des indépendantistes katangais lui annonce que le Ministre de l’Intérieur est au courant pour les diamants d’une valeur de dix millions. Forthys a raison de transpirer à grosses gouttes. Jamais le ministre ne le laissera quitter le pays malgré le bobard qu’il lui a servi. Les caves très animées et bruyantes du ministère les attendent Orsini et lui…
Pendant ce temps, les mercenaires poursuivent leur route « en mission diplomatique » chez le Mwata Motu, le maître du Kasaï, un homme qui n’a de comptes à rendre à qui que ce soit ! Cantor, le mercenaire en charge de l’opération, continue de couver Charlie, le noir qui sait où se trouvent les diamants, véritable objectif de Cantor.
Ah, petit détail mais qui compte : ils sont en plein territoire des terribles Balubas, et ceux-ci détestent les Lunda… Le Ministre qui les accompagne pour la mission diplomatique est un Lunda. Il a bien raison de se demander ce qu’il fabrique là…
Critique :
Voici la suite des aventures tonitruantes des mercenaires et de leurs commanditaires. Les vies ne valent pas cher, que ce soit à Elisabethville dans le monde « civilisé », ou dans la brousse avec les Balubas et les mercenaires pour qui faire couler le sang des autres n’est ni un problème technique ni un problème moral. Ces soldats de fortune vont verser des hectolitres d’hémoglobine et les Balubas ne seront pas en reste.
Pour ceux qui se poseraient la question « y-a-t-il des gentils dans cette histoire ? », la réponse est NON ! Clairement, NON ! Mais toute la subtilité de Fabien Nury consiste à mettre en évidence des émotions qui s’apparentent presque à du désintéressement chez certains protagonistes. Mais l’immense majorité des personnages n’est guidée que par leur égoïsme. Vous éprouverez sans doute de l’empathie pour certains que vous ne jugerez sans doute pas si mauvais que ça.
Une fois encore, le trait de Sylvain Vallée fait merveille pour nous faire ressentir la moiteur de cette Afrique tropicale, la peur qui suinte par tous les pores de la peau, l’avidité dans les regards venimeux, l’hypocrisie, mais aussi certaines formes de tendresse. Son dessin mi-caricatural, mi-réaliste est parfait pour ce scénario qu’on croirait sorti du cinéma des années soixante, lorsqu’un Lino Ventura crevait l’écran avec sa stature de catcheur et sa tête de mec à bouffer les emmerdeurs qui feraient mine de se dresser sur son chemin. Du grand art !
Ah, encore une précision : c’est une BD adulte ! Ne la laissez pas traîner dans les mains délicates de votre progéniture. Elle pourrait en subir un traumatisme avec des dégâts irréparables…
Allez ! Assez causé ! Passez au troisième et dernier tome !
Katanga 1960.
Contexte ;
Quatre-vingts ans de colonialisme belge au Congo se sont achevés le 30 juin 1960. Moins de deux semaines plus tard, Moïse Tschombé devient le président du Katanga, riche province minière du Congo. Le Katanga s’est déclaré indépendant au grand dam du Congo et des instances internationales. Mais vous savez ce que c’est ! La médisance va vite et les mauvaises langues affirment que derrière cette indépendance et Moïse Tschombé se trouve en réalité une entreprise belge, l’Union Minière du Haut-Katanga. Ah, ce que les gens peuvent être médisants ! Evidemment, tout ça ne se déroule pas sans de nombreux massacres et exodes de population. L’ONU décide donc d’y envoyer les casques bleus.
Petite page d’histoire :
Il y a toujours eu des mercenaires au Katanga. On prétend même qu’il serait la création de l’un d’entre eux ! Oh, non ! Pas un blanc ! Non ! Un Africain : Msiri ! Pas vraiment un enfant de la région (ni un enfant de chœur). Il est né en 1830 entre le lac Tanganyika et le lac Victoria. Il était l’un des fils d’un chef de la tribu des Nyamwezi qui tirait sa fortune du trafic d’esclaves en vendant des filles aux négriers de Zanzibar. Msiri qui prenait part aux expéditions se réservait les plus belles. Charité bien ordonnée…
Fermons ici cette page historique et revenons à 1960.
Tout ça pour vous dire qu’il va falloir que les autorités katangaises embauchent des mercenaires. Heu… Qui va payer ? Le Katanga est une jeune nation et… Ne vous fatiguez pas ! L’Union Minière du Haut-Katanga règlera la note ! Tant que le cuivre coulera à flots, la société se chargera de ces menus frais et de quelques autres…
Critique :
Ah, sacré Français ! Ce Fabien Nury quel scénariste ! Bien sûr, il prend quelques libertés avec l’histoire ! En fait, même un peu beaucoup, mais c’est pour nous concocter un scénario brillantissime qui tient du polar et du récit d’espionnage, mais c’est aussi un thriller politique rondement mené même si certains stéréotypes sont bien présents tels que cette espèce de Lino Ventura qui sera le personnage principal de cette super production. Les autres principaux « affreux » sont bien typés et ont des caractères très différents. Certains plus sympas que d’autres (ou moins antipathiques).
Si des mots tels que « nègre » vous mettent hors de vous et que vous envisagez de lapider les auteurs et de brûler la maison d’éditions Dargaud, plongez-vous la tête dans un seau d’eau glacée, ou carrément de glaçons, et respirez profondément (pas quand vous avez la tête sous l’eau ou dans les glaçons). N’oubliez pas le contexte de l’histoire : on n’est pas à l’époque de « Black lives matter » ! C’est une société coloniale profondément raciste où les idées de sous-hommes sont très présentes.
Les dessins de Sylvain Vallée sont légèrement caricaturaux mais conviennent si bien à cette histoire que je les applaudis des mains et des pieds.
Je ne vous recommande pas la lecture de ce premier tome, « Diamants », si vous n’êtes pas en possession du coffret avec l’intégrale car vous allez souffrir si vous ne disposez pas directement de la suite ! En homme prévoyant, après avoir été frustré à la lecture du premier album ne disposant pas de la suite non encore dessinée et diffusée, j’ai patiemment attendu de disposer du coffret pour les enfiler d’une traite… Rââââhhh ! Que c’est bon !
Incapable d’en faire la critique tellement j’étais sous le charme, j’ai laissé en sommeil durant quelques semaines ces merveilles. J’ai repris le coffret pour me délecter une fois encore de ce bijou (diamants serait plus de circonstance) afin d’en tirer une critique.
A retenir :
1. Achetez le coffret pour éviter une longue et trop pénible frustration !
2. Lisez bien les albums dans l’ordre !
3. Si vous êtes allergique à des mots tels que « nègre » et que vous êtes plutôt bienpensant, évitez de vous donner un gros coup de marteau sur les orteils car à la fin les méchants gagnent toujours !
4. Couper vos téléphones, prévoyez du ravitaillement, ligotez et bâillonnez vos enfants, faites croire à vos proches que vous êtes parti en Amazonie dans une zone blanche, barricadez-vous chez vous, volets fermés pour que tout le monde vous croie absent, pour profiter pleinement de ce bijou ! … Pardon de ces diamants si finement taillés sous la plume brute de Fabien Nury et le dessin étincelant de Sylvain Vallée.
Fortement commandable! ces 3 tomes de Katanga sont a lire absolument
Mercenaires, politiques, fratrie, clan et surtout avec un l'argent pour pourrir tous les rapports
Il est vrai que le nom de Fabien Nury est associé à de séries de bonne qualité. Il arrive toujours à dégager un cadre historique puis à concrétiser un scénario plus individuel. Il nous rejoue la partition de Il était une fois en France. Certains crient déjà à la meilleure bd de l’année. Je dirai qu’il ne faut quand même pas exagérer et prendre un peu de recul.
Là, j’avoue que le cadre du Katanga est très intéressant et habilement exploité. Cependant, en ce qui concerne le récit individuel de ce chauffeur félon en fuite et de ce mercenaire belge blasé ou cette femme black de petite vertu, ce n’est franchement pas folichon. J’avoue honnêtement avoir eu du mal à m’intéresser à leur sort sans compter sur le fait qu’il n’y a pas point d’originalité dans la trame.
Le dessin et les cadrages sont impeccables par contre. C’est réalisé à la manière cinématographique qui cartonne. Le personnage du mercenaire belge ressemble d’ailleurs à Lino Ventura comme une espèce de clin d’œil. Les dialogues sont assez percutants dans un contexte assez authentique. Bref, du rythme et de l’efficacité.
Il est question de la colonisation de l’Afrique et de l’exploitation des ressources par de grandes multinationales blanches qui corrompent les gouvernements locaux. Il est également question de l’histoire de l’Afrique avec ses dictateurs qui agissent au nom du peuple et de la décolonisation. Saga Africa…
Si vous n'avez que le tome 1, ne démarrez pas la lecture au début d'une période de confinement, les 2 autres tomes vont vous manquer cruellement. L'ensemble se dévore!
Le scénario est cynique à souhait, le dessin légèrement exagéré lui répond parfaitement et la mise en page nous fait tourner les pages.
Une très bonne série.
La série se termine avec ce troisième volet, et c'est vraiment ce que j'apprécie : nul besoin d'étirer la sauce sur X albums; au contraire, la fait de condenser l'intrigue sur trois tomes ne laisse place à aucune longueur et aucun temps mort, et la lecture est par conséquent extrêmement accrocheuse.
Un tome et une série extrêmement noire (sans jeu de mot), avec des personnages tous plus dégueulasses les uns que les autres, bien pourris jusqu'à la moelle (même les "gentils" ne sont pas si propres que ça), mais qui personnellement m'a bien scotché. Le tout est habillé par un dessin impeccable, mi-réaliste mi-caricatural, qui rend l'ensemble "indispensable" selon moi.
Excellente suite. L'intrigue est toujours aussi accrocheuse, avec des personnages tous plus cyniques et individualistes les uns que les autres, dans une ambiance toujours aussi malsaine. Graphiquement, tout est fait pour le plaisir de lecture : le dessin est dynamique, parfaitement maîtrisé; les décors sont très classes; bref on se régale à la lecture.
Une très bonne BD d'aventure qu'on prend plaisir à lire comme on prendrait plaisir à regarder un bon film d'action.
Cette série est selon moi correct, sans plus!
Elle est correct grâce au scénario et au dessin, ce qui est déjà pas mal! Mais si je fais le parallèle avec le 7ème art, je dirais que c'est une BD d'un feuilleton télé, mais en aucun cas une grande BD. La différence entre un feuilleton télé et un grand film tient en partie dans les personnages: dans un grand film, on est touché par le jeu de grands acteurs. Là, rien du tout: c'est la banalité, en l’occurrence la banalité du mal.
Je ne suis pas d'accord avec certaines critiques affirmant que cette série est "réaliste", "crédible", "humaine", "sonne vrai". Le fait que tous les personnages soient mauvais, est au contraire irréaliste et inhumain!
Longtemps que j'avais pas autant apprécié une BD ! Une série très maitrisée tant dans le récit que dans la construction graphique.
Une bonne grosse baffe !
Suite et fin de cette excellente série, tant par le scénario que par le dessin. Les différents protagonistes sont prêts à tout et il faut attendre le tout dernier moment pour savoir qui tirera son épingle du jeu dans cette course sans morale. Une très belle lecture!
Cette suite de la série est encore meilleure que le tome d'introduction. Les séquences de pure action s'enchaînent, avec certains plans dignes du cinéma, et on peine à reprendre son souffle. Ca dézingue à tout va... et les équilibres de pouvoir se déplacent. Qui l'emportera?
Ce 1er tome est clairement une mise en place... d'abord une introduction geographico-politique un peu longue à mon goût, suivie de la classique mais toujours efficace constitution de l'équipe de choc. Puis, place à beaucoup d'action, de violence, et de jeux de pouvoir. La suite s'annonce palpitante...
Et à la fin c'est toujours les méchants qui gagnent...
Excellente série en 3 tomes : à découvrir absolument !
Le meilleur exemple est le nombre d'avis déposés sur ce site concernant ce triptyque.
Cet avis porte sur la série complète. Et quelle série !! Une véritable claque !
Nury nous livre une excellente histoire, suffisamment bien réfléchie et construite pour nous embarquer totalement dans le Katanga. Il passe aisément d'une scène de combat, à un rebondissement ou à un dialogue bien ciselé sans que jamais le rythme et la tension ne baissent d'un cran.
J’aime beaucoup cette idée d’ouvrir chacun des albums sur le passé d’un des personnages afin de rendre l’ensemble plus personnel et plus authentique.
Le dessin n'est pas en reste avec des personnages aux gueules incroyables tous bien différents les uns des autres. Là aussi le travail est remarquable. La mise en couleur très sombre avec beaucoup de scènes de nuit donne une atmosphère très lourde, très pesante, où l'on ressent facilement régner l'insécurité, la corruption et la vengeance.
Une excellente et incontournable série qui restera longtemps gravée dans le milieu de la bande dessinée...
Étonnant comment certains sont incapables de faire la différence entre leurs opinions et la qualité d'un album. Heureusement, des auteurs ont envie de proposer aux lecteurs autre chose que des récits de héros sans peur ni reproches propres à séduire les adolescents (les plus jeunes).
Alors oui, l'histoire est noire, mais elle est totalement humaine et réaliste. Elle plonge dans les horreurs que l'être humain peut produire et pourquoi cela ne devrait-il être raconté ? Surtout quand cela est fait fait par deux auteurs au diapason, le scénariste sachant bâtir des personnages intéressants et gérer une tension de tous les instants, le dessinateur proposant fluidité de lecture et construction des atmosphères prégnantes.
De l'Aventure réaliste et parfaitement, avec son lot de laideur, ce qui restera toujours plus intéressant que les récits aseptisés que certains veulent nous imposer.
Ce troisième et dernier tome de la série Katanga poursuit dans la continuité de ses prédécesseurs. Je rappelle les points forts de cette plutôt bonne série, que j'avais évoqué sur les précédents billets: un dessin un peu cartoon mais très propre et à l'encrage qui donne envie de le lire en édition spéciale, la colorisation absolument parfaite (comme d'habitude) de Bastide, le réalisme historique du contexte et un montage parfaitement huilé. On n'est pas surpris, Nury fait partie des vieux briscards du scénario franco-belge qui imprime sa patte sombre en incarnant l'anti grand-public. L'historien renforce dans ce troisième tome le côté historique avec le sort fait à Patrice Lumumba, qui fait monter d'un cran, en une scène d'une rare violence, la tension et la noirceur de cette série que seule la conclusion dépasse en nihilisme. J'avais émis des réserves sur une vision des africains qui pouvait flirter avec le racisme tout en notant le traitement non préférable fait aux blancs. Et c'est au final ce qui m'a dérangé, cette absence totale d'espoir, de lumière, le seul être surnageant un peu, Alicia, étant une prostituée calculatrice... Quel est le message de cette série hormis dénoncer le système de la françafrique et de la colonisation? Il est certain que j'ai pris du plaisir à la lecture de cette trilogie très travaillée et parfaitement fabriquée, mais quand Il était une fois en France intéressait par son ambiguïté et ses zones grises, Katanga ne propose que du noir. Trop pour moi. C'est dommage car il y a un vrai talent et en introduisant un héros et un peu plus de sens historique cela aurait pu être une très grande série.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/02/09/bd-en-vrac-3
Une fin tout à fait immorale avec un twist qui revient aux premières planches de l'aventure, beau boulot !
Cette ode aux crapules est bien sûr assez peu ragoutante mais elle sonne très vrai.
On attend maintenant que Nury et Vallée nous offrent une nouvelle oeuvre du même tonneau, fut-il aussi désespérant.
Toujours la grande aventure, toujours aussi excellent et sombre. Cette fois-ci le clin d’œil est donné aux « Oies sauvages » (N’Dofa, l’avion qui n’arrive pas, etc.). Encore plus violent que le premier opus, mais aussi réussi. On en redemande !
La BD francophone a bien de la chance avec des scénaristes comme Nury ou Richelle qui suivent les pas de leurs glorieux aînés !
Nous sommes en 1960, le Congo vient d’accéder à l’indépendance mais sa plus riche province, le Katanga, poussée par des compagnies occidentales fait sécession. Pour l’OUA (Organisation de l’Unité Africaine) et l’ONU pas question d’ouvrir un boite de pandore qui contaminerait tout le continent (Kamerun, Biafra, Erythrée, etc.). Le régime katangais est donc illégal au regard de la communauté internationale. Du coup le gouvernement sécessionniste recrute avec l’argent des compagnies occidentales des mercenaires qu’on surnommera bien vite les affreux.
C’est le début d’un épisode sanglant pour lequel les magazines anglo-saxons titreront « The Darkest Africa » et qui d’une certaine manière se prolonge encore aujourd’hui.
C’est ce contexte qu’a choisi Nury pour nous raconter une formidable histoire avec un clin d’œil au film « Le dernier train du Katanga » (l’épisode du coffre qui s’ouvre à une heure précise et bien sûr les diamants).
C’est aussi superbe que sordide, l’homme dans son côté le plus sombre et le plus sauvage ... mais malheureusement tellement vrai.
Le dessin de Sylvain Vallée, à la limite de la caricature, sert de contrepoint magnifique à la noirceur du récit. Les couleurs de Jean Bastide sont à l’unisson.
Finalement, le scenario a viré à l'eau de rose !
Mais pour rester cohérent, ça finit quand même mal, et les méchants l'emportent. Et Cantor est vraiment très con.
3 albums pour nous expliquer que la pourriture gouverne le monde... Etait-ce nécessaire ?
Personnellement, je ne le pense pas.
Nury a le talent pour raconter une histoire, mais son histoire ne parle que de médiocres élevés au rang de personnages principaux.
C'est dommage, car sylvain Vallée a vraiment énormément de talent, qu'il pourrait consacrer à des oeuvres plus ambitieuses, de celles qui élèvent et non qui font regarder vers le caniveau.
Brillantissime ! Quelle classe, quel talent ! Fabien Nury est incroyable, Sylvain Vallée idem au dessin. Rien à redire, du très gros niveau. Chapeau bas Messieurs.
Que dire de plus que les autres commentaires ? De mon point de vue, Fabien Nury est le meilleur scénariste français depuis Charlier, qui était pour moi le meilleur et transcendait tout ce qu'il touchait, ce n'est donc pas peu dire. Le scénario est fluide, profond, les personnages complexes et le tout d'un redoutable réalisme. Quelle classe ! On peut se ruer sur tout ce qu'il fait, il a un talent énorme, c'est un vrai régal à chaque fois. Certains pourraient se demander quelle est la "morale" de l'histoire ? Précisément, il n'y en a pas, l'histoire se déroule froide et implacable et c'est tout, oubliez l'eau de rose et les happy end convenus, la moindre faiblesse tue les protagonistes les uns après les autres et ne reste debout à la fin que celui qui avait les meilleures cartes pour l'emporter. Pas de doute, c'est du lourd.
Et Sylvain Vallée est tout aussi brillant au dessin, on passe de longs moments à observer certaines cases et les "tronches" de tout ce panier de crabes, c'est un pur bonheur. L'enchainement des cases est d'une maitrise folle, c'est vraiment du très, très haut niveau. On ne peut pas mettre 6 étoiles ?
Voilà une série absolument géniale mais définitivement clivante. Il est évident que moult lecteurs trouveront ça abominable ou/et sans intérêt. Cette histoire ne peut que heurter la (bonne) conscience et secouer un peu nos confortables certitudes. Car le marasme dans lequel nous vivons aujourd’hui est né de ce cynisme absolu, décrit ici, qui a toujours présidé à la politique occidentale depuis les années 50. Quand le reste du monde n’était pour nos dirigeants et nos grandes entreprises qu’un moyen facile et rapide de s’enrichir outrageusement aux dépends des populations, jugées simples variables d’ajustement.
Au-delà de ça, c’est surtout une excellente BD. Mais la meilleure idée est vraiment de l’avoir condensée en 3 tomes. Du coup, c’est ultra rythmé, cinglant, radical… Bref, ça claque !
S’il y a une chose à retenir de cette mini-série Katanga, c’est son immoralité. L’être humain ne pèse pas lourd surtout s’il est noir. Des salopards font disparaitre, découpent, brûlent tout en discutant sans se rendre compte des gestes ignobles qu’ils effectuent.
L’histoire de ce troisième tome est à vomir mais c’est tellement bien fait, bien mis en scène, bien dessiné, bien raconté… En film, elle serait franchement insupportable alors qu’avec son graphisme semi réaliste semi caricaturale cette BD est excellente.
Un grand moment… fort peu recommandable ! A prendre au second degré avec cet humour noir qui défrise et déchire.
comme les 3 autres cet album est fabuleux aussi bien par les dessins que par le scénario.
je ne me lasse pas des tronches des différents personnages présentées sous tous les angles.
j'adore l'humour noir (sans jeux de mots) et là c'est un régal.
aucuns des personnages n'est sympatrique et c'est un délicat euphémisme.
seul Charlie, Alicia et dans un sens Armand Cantor présentent un peu d'humanité mais dans le genre paumée.
le politiquement correct est complétement absent et c'est pour moi un délice.
j'avoue ressentir un certain plaisir à penser à ces lecteurs "biens pensants" complétement étanches à la dérision qui seront outrés à la lecture de cette série qui pour moi restera comme l'une des meilleures de ses 20 dernières années voir plus.
je vais les relire pas mal de fois dans les années qui viennent avec le même plaisir que j'ai à voir et à revoir les tontons flingueurs par exemple ou encore un bon Tarantino.
une série à positionner à la meilleure place dans une bibliothèque.
Excellent premier tome signé par le tandem Nury-Vallée. Le dessin est très bon mais ce qui est excellent, c'est qu'il n'y a aucun partis pris ni pour les mercenaires ni pour les fonctionnaires et politiciens corrompus
Afrique noire, dans les années 60. Des diamants, cachés quelque part dans la nature, à récupérer. Et tout un tas de salauds en concurrence pour empocher le butin.
Le scénario très accrocheur et le dessin irréprochable (en particulier les cadrages, quasi-cinématographiques) rendent cette BD très attrayante. Ajoutez-y une atmosphère nauséabonde et tout un tas de personnages répugnants (mercenaires sans scrupule, hauts-fonctionnaires corrompus, ethnies africaines aux moeurs barbares ...), et vous obtenez une BD d'aventure très efficace. Très très bon !
J'avais beaucoup apprécié le premier tome lu il y a quelques semaines. Ce second opus (qui attend un troisième) a l'étrange particularité de commencer quelques planches avant un titre de "deuxième chapitre"... comme si le premier album avait été amputé de quelques pages. On enchaîne donc sur l'équipée des barbouzes pour récupérer les diamants en territoire sauvage... et le mot est faible. Même petite gène que sur le T1 à voir ces hordes de noirs en machettes semi-cannibales. La lecture est toujours plaisante, visuellement et pour les dialogues. Cette brochette d'ordures finies est amusante à regarder tant on ne s'attache à aucun, mais l'intrigue, plus action que sur le premier volume (étrange titre un peu trompeur d'ailleurs) est un peu réchauffée. Ça reste de la très bonne BD mais la recette de Vallée et Nury utilisée sur Il était une fois en France commence à tourner un peu en rond.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/03/27/albums-en-vrac
L’indépendance du Congo en 1960 attise les convoitises sur les matières premières d’un territoire encore mal contrôlé par un régime hautement corrompu. La Francafrique se mets en place à l’aide de conseiller de l’ombre et de barbouzes cherchant de l’activité après la fin des guerres coloniales. L’histoire ne sent pas bon et les hommes sont cupides. Bienvenue dans la réalité de la Francafrique…
Le duo d’il était une fois en France se reforme pour une série très ressemblante dans son traitement historico-realiste mais transposé dans la francafrique. Ce que j’aime chez Fabien Nury, comme chez Lupano, c’est que tout en restant dans de la vraie BD plaisir ils gardent toujours une part politique, polémique, grise.
J’avais lu avec réticence Il était une fois en France dont le thème ne m’attirait pas, avec des dessins que je trouvais assez grossiers… Et à la lecture j’avais été conquis par le talent d’écriture du scénariste et par une certaine expressivité des visages du dessinateur. Il en est de même ici. On part dans une BD d’aventure politique au sein des sales opération politico-economiques, à base de barbouseries les plus noires. Les héros sont de gros réac venus en Afrique pour buter du nègre et se remplir les poches… Pas vraiment de gentils chez Nury, mais comme il se place dans de la BD d’aventure cela n’est pas déprimant comme peuvent l’être certaines BD documentaires. La vision des africains pourrait même friser le racisme… si les blancs n’étaient pas tout aussi monstrueux.
La part graphique est étonnante, avec le trait presque cartoon ou BD jeunesse de Vallée qui s’avère (une fois qu’on s’y est habitué) très précis, lisible et particulièrement bien découpé. Si la version N&B de l’album permet d’apprécier les encrages du dessinateur, ce sont surtout les extraordinaires couleurs de Jean Bastide (pour moi le meilleur coloriste actuel) qui rehaussent ces dessins de façon impressionnante. Nous avons ici une vraie BD à trois mains où du scénariste au coloriste chacun participe à une partition graphique d’assez haut niveau.
Malgré son traitement vraiment sans détours et totalement pessimiste, Katanga réussit le pari d’allier l’action, l’exploration historique et la dénonciation d’une époque au sein d’un album de BD très grand public. Une réussite qui donnent envie de lire la suite.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/02/22/diamants/
Le scénario approche une partie de l'histoire africaine peu raconté, dans la bédé ou en général. Le dessin appuie bien l'action et on sent qu'il n'y a pas vraiment de partie pris entre cet univers qui semble a priori séparer les blancs des noirs.
En fait, seuls le pouvoir et l'argent dictent les actes des hommes quelques soient leur clan. Une réussite dans ce domaine. Ambiance inédite années 60 en Afrique inédite.
Katanga est une très bonne bédé mais de là à crier au génie...
Le dessin est réaliste et tout simplement époustouflant. Un scénario parfaitement découpé. Immersion garantie dans cette histoire qu'on imagine facilement inspirée de faits réels.
Après avoir lu une grande partie des avis, les positifs tout comme les négatifs, je serai censé avoir une opinion mitigée sur ces deux premiers tomes.
Toutefois, je dois vous avouer franchement que je les ai lus d'un trait !
J'ai été littéralement happé tant par le scénario de Fabien Nury que par les dessins de Sylvain Vallée (au passage je vous conseille les versions N&B) et, restons franc, le petit cul d'Alicia, qui sait parfaitement l'utiliser pour en sauver la peau !
Tous les personnages ont bien la tête de l'emploi, des desseins les plus fourbes, tous prêts à tout pour arriver à leurs fins.
Au final, n'hésitez pas, vous passerez un excellent moment de lecture.
Excellente réalisation scénaristique.
Les dessins sont très bons.
L'histoire et les personnages font penser aux films français des années 50-60.
Une grande réussite !
A la personne qui n'aime que l'eau de rose :
Le Katanga, j'y ai vécu ! Je l'ai quitté il y a un an et je peux assurer que le travail de Nury (le scénariste pour info !) est encore plus archi-doux que la réalité !
On ne vit plus (a t-on déjà vécu ce genre d'époque) à l'ère des bisousnours !!!
Pq ne pas présenter des réalités ? Cela vous fait mal à votre compte en banque ?? !!! Vous vivez des métaux dits "précieux" ?
Vous avez tjs envie de vous payer votre dernier IPhone vendu à un prix pour débiles mentaux ???
La BD, comme les romans SE DOIVENT aussi de nous présenter ce qui existe, et encore une fois, c'est encore plus loin de la réalité qu'on ne le pense...
C'est ce qui a fait que je me suis "enfuis" du Katanga malgré un salaire "net d'impôts" (quel impôts ??) que vous ne pourriez espérer !!!
Moi non plus je n'ai pas aimé "il était une fois en France", histoire réelle qui, bien avant la BD (ce que je reproche par ailleurs à cette BD...) avait été mise en scène avec Roger Hanin comme le "juif" de service. Et JAMAIS on n'avait "signalé" la chose... D'où mon propre boycotte aussi, même si les cotes BDM sont élevées.
Mais ici, on parle de qlq chose que les journaleux (journaleux, parce que les vrais journalistes d'investigations n'existent presque plus, et que ceux qui existent encore, ne font pas échos de par leur rareté, triste époque que nous vivons où tout finira par péter, je plains nos gosses !!), je disais donc, que l'on parle de qlq chose qui est encore pire que dans la BD.
Et si faire de la BD est pour vous n'est de ne faire que des images d'Epinal, et bien c'est que :
soit vous êtes plein de frics et n'avez aucune empathie, soit que vous êtes aveugle (volontaire ??) des milliers, je dis bien des milliers de "crasses" qui se passent dans notre "beau" monde que l'on appelle "Terre"...
Triste sire !
Et pour bien me faire comprendre : j'aime aussi les BD amusantes (de qualité !!) et ne suis pas un pessimiste prêt à se flinguer !
Don acte ! Et je reste poli !!
Y a du rythme et du dessin et de l'histoire et j'ai aimé et je le conseille et c'est tout et j'aime pas le commentaires longs et prétentieux mais il faut 100 caractères.
Un 2ème opus excellent et qui impose la série comme indiscutable à tout amateur de BD.
Dessins superbes, scénario bien ficelé.
On peut se faire une bonne idée de la poudrière qu'était le Congo (et qui l'est toujours) à l'époque .
Efficace!
narration sans faille qui enchevêtre les intérêts divergents des protagonistes, argent, pouvoir, aventuriers, chefs tribaux, cartels, une société générale à peine masquée sur fond de liquidation de Lumumba, dessin toujours aussi limpide.
Les dessins sont effectivement superbes et certains passages sont remarquablement réussis. D'autres passages me sont, en revanche, assez incompréhensibles, et j'avoue ne pas en avoir compris les finesses ni même la teneur.
Une suite magistrale.
Une série d’ores et déjà incontournable à lire absolument.
En revanche un avertissement s’impose : c’est très violent et les protagonistes sont tous plus roués, manipulateurs et pervers les uns que les autres… Amateurs de bons sentiments, passez votre chemin!
Une série qui frise la perfection. L'album transpire la maitrise tant graphique que scénaristique. Des personnages aux trognes charismatiques et patibulaires versés dans une intrigue au rythme effréné ou tout part en vrille. Violente, torturée et prenante du début à la fin, cette série est déjà un must !
j'avais beaucoup aimé le 1er tome et j'ai adoré le 2ème.
les dessins sont juste fabuleux.
les "gueules" sont expressives à souhait et les décors à l'avenant.
le scénario est parfaitement à l'unisson.
pas de fausses notes, même en cherchant bien.
en fermant les yeux l'on se croirait dans un mélange de 100 000 dollars au soleil, des tontons flingueurs et des Morfalous.
que du bon en bref.
dur vas être l'attente pour le prochain tome.
Toujours aussi extra cette série ! Dessins géniaux et scénario qui déchire. Bob Denard, sort du corps de Fabien Nury ! On pourrait effectivement croire qu’il s’agit des souvenirs de l’aventurier et ex militaire français au Katanga.
Politiques véreux et crapules en tous genres s’affrontent et se déchirent dans cette fabuleuse BD. De très haut niveau ! Rhaaaaa, encore un an à attendre pour avoir la suite ! Bravo les artistes.