Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Le second cycle (appelé "Deuxième époque") des "7 vies de l'épervier" marque un ralentissement dans le rythme de l'intrigue, dans un cadre plus posé et explicatif. Les dessins de Juillard sont tout aussi plaisants, plus ronds et colorés. Cependant, le manque d'inertie dans ce début de cycle ne permet pas de rentrer aussi intensément que son prédécesseur. Le thème autour de la culture indienne m’intéresse moins et perd en intérêt au fil des pages. Également, bon nombre de personnages atypiques et plaisants sont morts dans le cycle 1. Du coup, il faut réécrire la personnalité de nombreux nouveaux personnages et cela a tendance à ralentir le déroulé des actions qui en découlent. De même que les personnages sont moins atypiques dans l'ensemble. Le T3 marque une coupure dans le rythme et donne aux "7 vies de l’épervier" un esprit plus contemplatif que d'action, qui dénote mon intérêt premier pour la série, malgré des dessins extrêmement bien réussis. Le T4 conclu loyalement ce cycle mais cela n'égale pas non plus son cycle ainée. Malgré de beaux atouts, ce cycle 2 déçoit par son scénario trop tenu, un manque d'intensité et de surprise sur certains tomes. A lire tout de même pour continuer à découvrir la suite de l'univers complexe et plaisant des "7 vies de l’Épervier".
Je partage l’avis de PEB. Je m’étais enfin senti prêt à sauter le pas et à lire la suite des 7 vies, alors que je me contentais de la seule série originelle depuis 15 ans...
Le tome 1 de la série est dans la droite ligne des 7 vies, une belle mise en place. Le tome 2 est un chef d’œuvre graphique, mais le scénario nous éloigne des 7 vies (ce qui peut être intéressant, tout dépendant de la suite).
Mais les tomes 3 et surtout 4 sont d’une indigence scenaristique... 15 rebondissements, une fin précipitée sans explications. Les personnages arrivent, partent, reviennent. Et les seules informations sont des astérisques à lire en bas de planche pour nous indiquer dans quel album aller piocher telle ou telle information (comment un personnage A et un personnage B se connaissent alors que depuis 11 tomes on le les voit jamais ensemble)
Je conserverai donc mon bel intégrale de 1998, sans essayer d’aller plus loin dans l’univers des 7 vies.
Plume aux vents est la suite de la mythique série Les 7 vies de l'épervier. L’histoire nous entraîne dans le Nouveau Monde des premiers colons. Ayant survécu par miracle à ses blessures lors d'un duel livré sous la tenue de l'Epervier, Ariane de Troïl s'embarque pour le Canada à la recherche de son père.
Le moins que l’on puisse dire est que cette suite ne s’imposait absolument pas. Je n’ai pas trop accroché malgré l’exotisme introduit. Je préférais nettement qu’on reste sur la fin des 7 vies. Cela a détruit un peu le mythe et toute la portée de la fin de cette sublime saga originelle. Mais bon, je conseillerais tout de même l'achat si on a été un fan de la série originelle.
Le personnage d’Ariane demeure sympathique et on suit quand même ses aventures chez les Indiens. Par ailleurs, Julliard a été le premier à introduire dans la bd le concept de suite ou série parallèle à partir d’un personnage d’une série mère. Ce procédé a été largement repris depuis par des séries à succès.
Note dessin : 3/5 – Note Scénario : 3/5 – Note Globale : 3/5
Fallait-il une suite au cycle magistral des "7 vies de l'épervier"? Grande question (4)…
Après un tome 1 intéressant, et un solide tome 2, le 3e album était fort décevant.
Qu'en est-il de cet album qui conclut la série?
Et bien ça ne s'arrange pas.
Beaucoup de causeries à vide, un scénario mollasson, et pour finir 15 pages qui se déroulent 10 ans après les 35 premières et qui ne semblent là que pour finir de remplir l'album!…
Une déception magistrale.
Alors à la question primordiale je réponds: non, il ne fallait pas de suite à la magnifique série des 7 Vies de l'épervier…
Fallait-il une suite au cycle magistral des "7 vies de l'épervier"? Grande question (ter)…
Après un tome 1 intéressant, et un solide tome 2 très dépaysant, ce 3e album nous prépare au final. Malheureusement, si le dessin reste somptueux, le scénario tourne à vide. Les rebondissements sonnent faux, le comportement des personnages est peu cohérent, et la convergence finale de tous les personnages principaux (y compris Germain Grandpain, sorti de Cœur Brûlé à point nommé) est, comme qui dirait, franchement abracadabrantesque…
A suivre…
Fallait-il une suite au cycle magistral des "7 vies de l'épervier"? Grande question (bis)…
Après un tome 1 intéressant, ce tome 2 de "Plume aux vents" est fort dépaysante. Le scénario tient la route et le dessin est toujours somptueux. A suivre…
Fallait-il une suite au cycle magistral des "7 vies de l'épervier"? Grande question…
Cet album reste dans l'esprit et n'est pas sans intérêt. Le scénario est consistant, le dessin de Julliard toujours à la hauteur. A suivre, donc…
Une série en dents de scie.
Clairement moins historique que le premier cycle des "7 vies de l'épervier", ce 2ème cycle est aussi un peu moins passionnant car plus décousu. Il n'en reste pas moins que j'ai éprouvé un grand plaisir à retrouver Ariane et à suivre ses aventures en France et au Québec. Attaquons maintenant le 3ème cycle !
La fin du cycle, Cothias se fait plaisir et nous fait plaisir avec une fin humoristique et invraisemblable, mais est-ce la réalité ou un rêve.
On est dans la chimère et l'irréalité, bien loin de la noirceur de la fin des 7 vies de l'épervier, mais cela transcende toute la série, et révèle ce qu'elle est, un conte philosophique qui remet en cause les idées reçues.
Et c'est tellement bien dessiné !
Alors qu'Ariane semble trouver la paix chez ses amis indiens après moulte péripéties, elle est rattrapé par son passé et son père.
Cet album marque le renversement de la série qui de très noir laisse entrevoir une fin heureuse.
C'est quand même un super scénario, qui se lit avec intensité et plaisir, toujours avec les dessins somptueux de Juillard.
Cet album est une pure merveille. Juillard est au sommet de son art, ses dessins du nouveau monde sont superbes, les décors et les paysages magnifiques.
Et que dire du scénario qui peut presque se lire comme un one-shot : Ariane retrouve son père dans le nouveau monde et tout ne se passe pas comme elle l'a espéré.
Beaucoup de thèmes sont abordés dans cet album, les rapports de filiation, les rapports homme-femme, nouveau et ancien monde, sur un fonds historique passionnant, et sans manichéisme.
Réellement un chef d'oeuvre de la bande dessinée.
Ariane a la vie dure et nous voilà replongé dans la vie du XVIIe siècle et ses intrigues, avec un des personnages toujours aussi fort, à la poursuite de ce qui n'est peut-être qu'une chimère.
Avoir donné une suite aux 7 vies de l'épervier enlève peut-être un peu de force au premier cycle mais Cothias sait relancer l'intérêt et les dessins de Juillard ont encore gagnés en maturité, ce qui ne semblait pas pourtant être possible.
Une suite donc à la hauteur de l'original.
Je suis d'accord avec Maximus. Il fallait mettre un terme à cette série c'est vrai, malheureusement la chute est tirée par les cheveux. On a du mal à comprendre par exemple avec qui parle Beaux Ténébreux dans les ruines du château des Troïl.
Avec pêle-mêle en guise de conclusion : la prise d'assault d'un trois mats espagnol par une goélette de pirate, la création d'une république, un bel Andalou féru de philosophie et persécuté, Beaux ténébreux qui se révèle être un nouveau Copernic...ouf il était temps d'arrêter, un peu plus et on dirait du Barbara Cartland.
Non, cette série sans concession aux bons sentiments aurait méritée une autre fin qu'une "happy end". Heureusement le trait de Juillard est toujours aussi beau.
Il était loin d'être facile de mettre un point final à ce cycle exceptionnel des 7vies...
Cet album y parvient de façon magistrale.
Le dessin de Juillard est superbe et abouti, on sent sa plénitude, tandis que le scénario a été particulièrement soigné par Cothias.
Il y a de grands moments de suspense et surtout d'émotion, et la fin est magnifique.
Vraiment superbe !
Cet album reste fidèle à la ligne des autres albums, pas de déception donc. Le début est assez inactif: le destin se charge de prendre les choses en mains .La fin aurait pu être objet d'un autre album, voir même d'une série ! Mais, il s'agit ici de finir une série ,ou plutôt 2 ! Car Plume au vent n'est " que " ma suite des 7 vies de l'épervier. Et là on trouve enfin sa " fin heureuse ". On ne termine pas dans le dramatique comme dans la série précédente. On reste sur sa faim, mais tant pis à nous d'imaginer la suite :les auteurs nous laissent assez de pistes dans cet épilogue.
Bref, si on aimait la série on devrait aimer cet album.