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Les Nouveaux Spartiates font chanter le gouvernement suédois. Celui-ci dispose de 72 heures pour verser, en bitcoins, une rançon de 30 milliards de couronnes suédoises. Faute de quoi, le groupuscule suprémaciste blanc et libertarien rendra public les données du Data Center des services secrets et l’intégralité du projet de surveillance Hugin visant à connaître le moindre détail de la vie, non seulement des Suédois, mais de tous les Européens.
Le ministre de l’Intérieur l’a en travers de la gorge car il n’était au courant de rien ! La première ministre estimant qu’il s’y opposerait avait décidé qu’il ne devrait pas en être informé. C’est donc à un tout petit niveau que l’affaire a été décidée entre la cheffe du gouvernement et le chef des services secrets…
Pendant ce temps, Salander est toujours enfermée avec son otage libertarien et « masculiniste » dans un hôtel. C’est l’homme qui donne des conférences à des prix très élevés pour que de futurs machos sachent comment séduire les femmes. Mais ce calme relatif pourrait bien ne pas durer… Alpha, le maître des Nouveaux Spartiates à donné l’ordre à ses troupes d’attaquer…
Critique :
Et c’est une fois de plus à du cent à l’heure que Runsberg entraîne le lecteur dans cette folle équipée avec une Lisbeth Salander qui ne lâche jamais prise, des complotistes suprémacistes, racistes, libertariens menés pas un chef tout-puissant, un gouvernement suédois pris à la gorge et des journalistes inquiets pour l’un des leurs qui a disparu depuis quelques jours et qui est accusé par l’extrême-droite d’avoir tabassé lourdement quatre des siens avec des islamo-gauchistes…
Bref ! C’est tambour battant que l’auteur a ajouté un chapitre de plus à l’œuvre du regretté Stieg Larsson. Mon plaisir devrait donc être complet. Il ne l’est pas car je n’ai toujours pas digéré la qualité du dessin. L’œuvre méritait mieux. Bien sûr, le trait est dynamique, mais ce n’est pas suffisant quand je pense aux standards actuels. Le fait qu’Alpha ait des airs de Trump ne suffit pas.
Ne vous fiez pas à la qualité des illustrations des couvertures pour vous figurer que vous allez trouver la même dans les planches ! Les couvertures sont très réussies, la dernière tout particulièrement… Mais un album se limite-t-il à une splendide couverture ?
Retour dans le temps…
Plague, un super hacker, un élément clé de Hacker Republic, annonce à Lisbeth Salander qu’il quitte le groupe. Il doute de la sincérité de la motivation de nouveaux-venus au sein de cette famille de hackers. Un certain Télècle l’inquiète plus particulièrement car il milite pour des actions violentes. Lisbeth lui crie à la face que personne n’est irremplaçable. Pourtant, elle aurait bien besoin de Pleague !
Plusieurs mois plus tard…
En compagnie de Blomkvist, le célèbre journaliste de Millenium, après avoir réussi à échapper à des agresseurs très mal intentionnés à leur égard, elle s’introduit chez Plague. Visiblement, celui-ci a disparu depuis un temps certain. Serait-il parti en voyage ? Impensable ! Il déteste s’éloigner de chez lui. Il serait parti sans ses figurines, ses mangas et ses DVD auxquels il tient plus que tout ? Inimaginable ! Et le ménage a été fait sur son ordinateur…
Ce que Lisbeth ignore, c’est que la caméra de Plague est restée allumée et qu’à plusieurs kilomètres de là, les ravisseurs qui ont enlevé ses trois amis la voient et lancent l’alerte pour que leurs complices s’en emparent… Il la leur faut vivante…
Critique :
Bon ! Ok ! Le scénario, c’est du déjà vu ! Cependant, Runberg sait se montrer très efficace pour mener ce thriller à du cent à l’heure et pour donner envie de poursuivre la lecture sans s’arrêter une seconde. Nous revoilà partis sur les traces d’un groupuscule qui rêve de créer un nouveau monde de type libertarien avec un petit plus qui ressemble à une méchante dictature. Ses membres se la jouent nouveaux Spartiates. La faiblesse n’est pas tolérée chez ces musclors violents et obsédés par leur vision de la liberté. (Ils ne conçoivent pas ce mot de la même manière que les auteurs de dictionnaires.)
Les dessins sont toujours aussi dynamiques mais les visages, particulièrement, me déçoivent. Ces illustrations m’empêchent d’apprécier pleinement le récit… Mais je vais aborder tout de suite le troisième et dernier tome de cette aventure.
Göteborg (Suède). 13 août.
Lisbeth Salander et sa copine Trinity veulent assister au festival « Way out West ». Elles n’y sont pas encore car Trinity tient à se procurer de la MDMA. Elle a besoin d’un peu de détente vu qu’elles passent des journées enfermées, des journées de vingt heures dans l’appartement de Lisbeth, sur leurs ordis. Elle mérite bien un peu d’évasion non ?
Eh, bien, ce ne sera pas pour aujourd’hui ! Une camionnette surgit dans la nuit. Des hommes qui prétendent appartenir aux services de sécurité suédois s’emparent de Trinity et ratent de peu Lisbeth…
Critique :
Rien de neuf sous le soleil ! Salander est une fois de plus confrontée à un (des ?) complot(s). Dans sa ligne de mire une sorte de jeune premier, genre beau gosse propre sur lui : Sten Windoff. Ce faux gentleman est le président d’un parti d’extrême-droite raciste, homophobe et antiféministe, les Républicains suédois. Les idées sont simples : la Suède aux « vrais » Suédois ! Les femmes à la maison pour s’occuper du foyer, aux hommes seuls de prendre les décisions, dehors les étrangers, les gauchistes, les homos, et j’en passe et des meilleures. Ce parti risque fort de sortir vainqueur des prochaines élections qui sont toutes proches et de se retrouver au gouvernement. Les sondages les créditent de 34 % d’intentions de vote…
Mikael Blomkvist, du journal Millenium enquête sur lui et voudrait mettre en avant son passé de néo-nazi… Il risque de voir son nombre d’os se démultiplier pendant que, dans le même temps, ses gencives perdraient quelques dents qui encombreraient sa bouche si les partisans de Windoff ne veillaient pas à lui rectifier le portrait.
Lisbeth a d’autres préoccupations : l’enlèvement de sa copine hackeuse et une banque de données monstrueuse, créée pour les services secrets suédois, qui récolte la moindre miette d’information, non seulement sur les Suédois mais aussi sur tous ceux qui habitent en Europe, Russes compris… La NSA peut aller se rhabiller. Si Salander arrive à prouver cela, nul doute qu’une grave crise éclatera. Le pire, c’est ce qu’un Sten Windoff au pouvoir pourrait faire d’un monstre pareil…
Pour ceux qui douteraient que pareille chose soit possible, sachez qu’en Belgique, le plus grand parti du pays est le Vlaams Belang, un parti d’extrême-droite, raciste et xénophobe, qui a à sa tête un jeune homme propre sur lui…
Le scénario est tout ce qu’il y a de plus convenu. Il y a un côté déjà vu, comme dans « 24 heures chrono ». Mais reconnaissons que Runsberg s’en tire magnifiquement bien puisqu’il donne un rythme d’enfer à l’histoire. Là où le bas me blesse, c’est au niveau du dessin de la dessinatrice Ortega. Si l’action est très bien rendue, les visages sont assez sommaires, pas toujours très convaincants.
Vous m’excuserez de vous abandonner là, mais le deuxième album m’attend…
Bon, c’est comme la saga Millénium, avant que ça soit Millenium Saga…
Un complot secret politico glauque.
Une enquête underground.
Et vas-y, roule, avec des scènes de tensions, de poursuite, de doute, de complication…
Toujours des méchants très méchants, une Lisbeth à vif, un Blomkvist à fond dans ses enquêtes avec un gros soupçons de naïveté…
Bref, comme avant.
Bien tenu mais un peu compliqué pour ce que c’est à mon goût.
Comparer Millenium et Millenium Saga ne servirait à rien tellement il y a un monde entre les deux séries. Belen Ortega voit son dessin de déliter d'album en album. Parfois les visages en gros plan sont plus que corrects mais les autres cases semblent faites à la va vite. Comme si la dessinatrice ne croyait pas à cette série. C'est vraiment dommage.
Un final explosif, avec de nombreuses scènes de canardage : beaucoup ne s'en sortiront pas...
Certaines parties du scénario sont un peu simplistes ou expéditives, mais j'ai passé un bon moment de lecture.
J'attendais avec peur cette suite et comme souvent il faut mieux l'eviter , les dessins ne valent pas l'origine et le scenario est hyper conventionnel , autant dire que je suis loin d'etre fan
Désolé, je "lâche l'affaire".
J'avais déjà failli quitter cette fin de série avec "les âmes froides"
Le trait est toujours outrancier, sans intérêt, tellement simpliste qu'il ne procure aucune émotion. Le tout sombre lentement ...
Le seul regret dans cette suite, c'est la qualité du dessin. Atteindre la qualité de Man mais surtout Homs de la série Mère semble être une gageure pour Ortega dans ce deuxième album. Je pense qu'elle aurait pu au moins faire aussi bien que le tome 1.
Le scénario est plutôt bon (il serait encore meilleur avec un peu moins de grossièretés) mais le poids de Millenium doit être un peu lourd à porter pour ce Millenium Saga. Dommage, car avec Homs ça aurait eu une autre gueule !
Il est très agréable de retrouver les héros de la série Millénium.
Cette fois ci, nous partons sur un triptyque, avec comme gros méchants une organisation néo-nazie en passe de gagner les élections démocratiquement : en ayant bien entendu un côté sombre et illégal.
Seul bémol, les dessins sont moins bons que dans la série mère.
Voici une histoire prenante où la reine des hackeuses est toujours aussi déjantée. Elle est à nouveau confrontée à l’extrême droite qui essaye de se faire une virginité pour tenter de gagner les élections. Elle entre donc à nouveau en relation avec « Super Blomkvist », comme elle aime à l’appeler, pour contrer les fachos et libérer ses amis hackers malheureusement prisonniers. En effet, certaines personnes mal intentionnées aimeraient avoir accès aux dossiers les plus confidentiels des services secrets suédois.
J’ai trouvé l’histoire captivante, le seul regret, et bien qu’il soit quand même de bonne facture, j’ai trouvé le dessin un peu en dessous de celui de José Homs (tomes 1, 2 et 5) tout en étant au niveau de celui de Man (tomes 3, 4 et 6) concernant la série Millenium.