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Un histoire sans intérêt qui permet uniquement de conclure un cycle.
On suit en parallèle le destin de Sigwald qui participe à la 8 eme croisade qui voit mourir le roi Louis IX, et celui d'Hugues et Nolwenn qui meurent également.
A part cela il n'y a rien à dire d'une histoire sans relief ni éclat ou l'on est à la limite de l'ennui.
La première histoire de l'après Hugues de Crozenc et Nolwen, morts dans l'album précédent.
Sigwald se retrouve dépossédé de ses biens et sans le sous, il va retrouver sa soeur Mahaut qui, elle, semble prête à aller très loin pour s'extirper de la misère.
Les ressorts de l'intrigue sont tellement classiques qu'ils en perdent tout intérêt.
L'intrigue est dénuée du moindre intérêt. On suit Sigwald et sa mère qui, une fois de plus, se font capturer par des brigands désireux d'obtenir une rançon et délivrés aussitôt. Ensuite ils dénouent sans difficulté un nouveau complot contre le roi Saint Louis.
Je commence à m'ennuyer ferme dans cet interminable cycle des aigles décapités.
Dans un album Hugues sauve son fil, dans le suivant le fils sauve sa sœur, puis à nouveau le père sauve le fils, ici le fils sauve le père...
Cet album propose l'ultime confrontation attendue d'El Mansour et du père et du fils de Crozenc. Quelle déception, j'attendais quelque chose de grandiose... Tout est bouclé rapidement en quelques cases!
Un épisode sans le moindre intérêt dont le souci de coller à la vérité historique se fait au détriment de l'intrigue elle-même.
Fin d'une saga qui nous a tenu en haleine pendant plus de 30 ans !!!
Qualité des scénarios et épaisseur psychologique des personnages font de cette série un des must de la BD historique sur le moyen-âge.
sans retour , trop de longueur génère la langueur
le dessin manque de vigueur les planches deviennent fades le scénario ne fouette pas l'imaginaire . je me suis ennuyé tout au long de ce récit et je ne pense pas aller au delà de cet album
J'ai BEAUCOUP aimé les Aigles décapitées. Et ça me fait mal de mettre une note pareille à un album de cette série. Mais il faut bien reconnaître que le départ d'Erik Arnoux après le tome 18 a fait très mal à la qualité des scénarii… Incontestablement, on tourne en rond…
Les puristes arrêteront de lire la série au tome 15, avec une fin satisfaisante. Personnellement, j'arrête après ce tome 25, qui permet elle aussi de conclure un cycle.
J'ai BEAUCOUP aimé les Aigles décapitées. Et ça me fait mal de mettre une note pareille à un album de cette série. Mais il faut bien reconnaître que cet album est très, très mauvais, avec une psychologie des personnages plus que basique, un scénario faiblard et un happy end final qui repousse les limites du ridicule.
Les puristes arrêteront de lire la série au tome 15, avec une fin satisfaisante. Personnellement, j'arrête au tome 25, qui permet elle aussi de conclure un cycle. Mais il faut bien reconnaître que le départ d'Erik Arnoux après le tome 18 a fait très mal à la qualité des scénarii… et ça ne s'arrange pas…
Et ça continue encore et encore ...
En 2025, on en sera au tome 38 avec Louis de Crozenc se battant aux côtés de François 1er.
En 2033, tome 51 avec Edmond de Crozenc aux côtés de Louis XV.
En 2041, tome 62 avec Hugo de Crozenc dans une campagne napoléonienne...
Question aux auteurs, ou plutôt à l'auteur, cette série finira-t-elle un jour ?
Dans la stricte continuation du tome précédent ("la Marque de Nolwenn"), Kraehn et Pierret nous proposent cet "Otage", qui nous laissera avec les mêmes sentiments mitigés : un dessin qui s'améliore progressivement sans être particulièrement brillant - de nombreuses maladresses dans la représentation des personnages gâchent le travail plutôt bien fait au niveau des décors -, mais surtout ce scénario répétitif dans sa succession d'épisodes assez semblables, qui ne réussit pas à tirer parti de l'ambiguïté pourtant prometteuse des personnages. L'exemple le plus frappant de cette "impuissance" créatrice est évidemment Nolwenn, qui devrait être fascinante, mais qui reste, malgré les épreuves dans lesquelles la plonge le récit, totalement uni-dimensionnelle. Ajoutons dans ce tome des commentaires particulièrement mal venus sur la troupe de brigands, traitée avec un mépris indescriptible par les auteurs : nulle œuvre d'art, aussi mineure soit elle, ne gagne jamais rien à surplomber ainsi ses personnages, à les noyer dans le mépris et l'abjection. C'est une règle basique que Kraehn semble pourtant ignorer, et qui rend certains passages de "l'Otage" répugnants.
Il a fallu un peu de temps à Pierret, après sa reprise du dessin des "Aigles Décapitées", pour trouver le style qui conviendrait sans doute le mieux à cette BD d'aventures "historiques" (on notera que les ambitions réellement historiques qui constituaient le fond de commerce des premiers tomes sont désormais totalement abandonnées, et c'est sans doute aussi bien comme ça...) : on est désormais dans un graphisme qui évoque celui du regretté Jacques Martin ("Alix"), avec toutefois moins de caractère et d'élégance. De plus, reste toujours, comme au temps de Kraehn, ce flottement des visages, féminins en particulier, qui n'arrivent pas à "se ressembler" d'une case à l'autre... ce qui est pour moi l'une des différences fondamentales entre les bons dessinateurs et la masse des autres. Si nous nous intéressons maintenant au scénario de cette "Marque de Nolwenn", force est de constater que "les Aigles..." sont désormais centré sur le conflit complexe qui oppose Hughes l'usurpateur à ceux (Ravenaud en premier lieu) qui n'entendent pas se laisser déposséder par son apparition, conflit qui s'entremêle avec les conséquences du mariage de Hughes avec Nolween. Rien à y redire, même si Kraehn tombe encore une fois dans la facilité des allers et retours incessants des personnages entre les différents "châteaux" et des retournements de situation et changements d'alliance un peu trop nombreux pour être crédibles. Bref, d'un côté, on sent dans "la Marque de Nolween" le potentiel d'une vraie BD d'aventures, tandis que d'un autre, on n'arrête pas d'être déçus par la conduite du récit.
Il semble que Pierret ait pris la mesure du désastre formel qu'avait été "Alix", et décidé de réorienter son graphisme vers plus de réalisme, pour retrouver l'esprit des tous premiers tomes des "Aigles Décapitées" : on évite du coup la laideur qui caractérisait les tomes les plus récents, même si on est loin de la beauté et de la force qu'on serait en droit d'attendre à la fin du XXè siècle d'une série "historique" réellement professionnelle (ma référence personnelle restant le travail sublime d'un Hermann dans les "Tours de Bois Maury" par exemple). Du côté du scénario, Kraehn se remue un peu les méninges avec ces allers et retours et ces échanges de position de force et de faiblesse incessants entre tous ses personnages, si caractéristiques de la série, mais une fois de plus, la résolution semble bâclée, trop facile par rapport à la situation construite au cours des tomes 6 et 7. On peut aussi regretter l'abandon du contexte historique fouillé, qui était l'un des rares points forts des "Aigles Décapitées" : on a l'impression d'être ici dans un Moyen Age de pure convention, et les clichés qui abondent (le méchant si laid qui est un tueur de chats, n'en jetez plus !) n'aident pas à crédibiliser "la Prisonnière du Donjon".
Soyons directs : ce tome 6 des "Aigles Décapitées" est une petite horreur, le pire à date d'une série qui ne vole déjà pas très haut de manière générale ! Le dessin de Pierret, qui s'échine à copier la ligne moderne et simplifiée que Kraehn avait tout juste adoptée avant la "passation", est d'une maladresse tragique, et "Alix" est un monument de laideur graphique. Et cette fois, malheureusement, le scénario très faible de Kraehn ne rattrape rien : on a droit, sous le prétexte de délivrer cette Alix dont on n'avait plus entendu parler depuis 3 ans, à un nouveau périple pas très intelligent d'un Hughes qui s'avère une fois de plus un personnage falot, d'une incompétence rare, auquel il est bien difficile de trouver le moindre intérêt. Méchants de pacotille aux expressions de traîtres caricaturaux, situations incohérentes, manque de rythme endémique... toute la faiblesse des "Aigles Décapitées" éclate ici.
"Saint-Malo de l'Isle" est le second volet de la nouvelle aventure de Hughes débutée avec "l'Hérétique", qu'il clôt avec le même je-m’en-foutisme dont Pellerin avait fait preuve à la fin du premier "cycle" de 3 albums : Kraehn n'a donc rien appris, abusant à son tour de flashback explicatif délivré par un personnage qui permet de boucler en une page un récit qui aurait mérité bien mieux ? Cette manière de construire - ou plutôt de ne pas savoir construire - un récit est stupéfiante au mieux, consternante plutôt : d'un côté on accumule les péripéties sans grand intérêt, comme si on voulait étirer la fiction, d'un autre on bâcle le dénouement de l'histoire principale (ici la captivité de Sigwald en danger de mort, l'emprise de l'hérétique Goliard sur les pastouraux) en quelques cases narrées par un protagonistes ! Sinon, un autre sujet de consternation est la substitution en plein album (page 18) de Kraehn au dessin par Pierret, qui commence évidemment par le singer, avant de - très logiquement - dériver : au delà du problème de cohérence que tout cela pose à une série qui n'en est qu'à son cinquième tome (et qui n'a clairement pas encore trouver son style), le résultat reste peu satisfaisant, avec - toujours - ce manque de caractérisation des visages, et un brai manque de vie (faiblesses des gestes et des mouvements en particulier). Au crédit de "Saint-Malo de l'Isle", on peut néanmoins verser, comme à chaque fois, l'intérêt "historique" dans la description de cette ville si particulière politiquement, et la complexité du personnage de Nolwenn. C'est malheureusement peu !
Quatrième tome de la saga des "Aigles décapitées", "l'Hérétique" est donc celui de la rupture : Pellerin parti - le désastre scénaristique du tome précédent trahissait sans nul doute son désengagement du projet -, Kraehn prend la totalité de l’œuvre à sa charge, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu"on semble y gagner au change : tout en poursuivant son passionnant travail de mise en lumière d'histoires largement ignorées du Moyen âge (ici les "pastoureaux", ces bandes d'adolescents errant sous la direction de "gourous" déviants abusant de leur crédulité), "les Aigles" retrouve ses marques en contant une vraie histoire, à la fois riche en péripéties et simple narrativement, avec des personnages complexes (le juif, Nolween), donc émotionnellement engageants pour le lecteur (ce qui n'était pas le point fort des précédents volumes). Mieux, Kraehen prend acte de la fadeur essentielle de son "héros" pour en faire un vecteur de fiction, puisque son statut d'objet du désir et de la fiction des autres est au cœur du récit. Autre changement notable, même s'il est progressif au fil des pages de "l'Hérétique", Kraehn change de style graphique, tentant la modernisation de son trait, allant vers une ligne plus stylisée qui contraste certes avec le contexte de "vérité historique" de la série, mais se révèle fort plaisante en dépit d'une certaine maladresse (toujours ces visages changeant...). En tous cas, "les Aigles Décapitées" gagne ici une seconde vie !
Au troisième tome des "Aigles Décapitées", voilà que Pellerin, le scénariste, auquel il faut bien dire que l'on devait l'intérêt de cette série historique conventionnelle au risque d'être périmée dès sa publication, lâche la rampe. Ou lâche l'affaire, puisque la suite de la saga se fera sans lui. D'où le grand n'importe quoi de ces "Eperons d'Or" à la structure brouillonne, qui bâcle sans vergogne tous les fils narratifs ouverts durant les deux premiers tomes. On liquide très vite les personnages secondaires, on résout comme par enchantement (la découverte quasi miraculeuse de la tentative d'empoisonnement de St Louis que Pellerin nous sort de son chapeau vaut son pesant de Carambars) la problématique principale des "Aigles", et tout est bien qui finit bien. Et Alix ? Disparue de la fiction par un tour de passe passe éhonté (heureusement que notre beau jongleur se souvient in extremis qu'elle existe !). Et la complexité du réseau de mensonges qui a été tissé auparavant ? Tout se résout dans un immense pardon général, envers et contre toute logique et toute véracité psychologique. Comme il faut foncer pour terminer tout cela dans le cadre des 48 pages réglementaires, on a multiplié les ellipses, les coïncidences et les coups du sort, et on a consciencieusement rempli, une fois de plus, les cases, de dialogue et de texte jusqu'à l'asphyxie. Triste conclusion d'un cycle, donc.
Si au niveau du dessin de Jean-Charles Kraehn, on enregistre des petits progrès par rapport aux maladresses du premier tome, "l'Héritier sans Nom" continue de souffrir des mêmes tares : imprécision des visages que Kraehn a du mal à "figer", et excès de dialogues dans certaines cases, qui nuit à la fluidité de la lecture et qui privilégie la parole à l'action. C'est plus le scénario des Aigles Décapitées qui attirera l'attention par sa maturité dans la description des conflits entre les personnages, et ses "coups de théâtre" malins, comme la révélation assez impressionnante qui conclut ce second tome, et donne très envie de poursuivre la lecture. On déplorera quand même cette fois le manque de crédibilité de la relation naissante entre "le jongleur" et Alix, mais on soulignera avec plaisir le joli travail sur les couleurs, typique d'une époque où la colorisation des BDs n'était pas purement une affaire de logiciel.
Années 80 : la "BD pour adultes" franco-belge a pris son envol, et Glénat s'impose comme l'un des éditeurs les plus actifs en publiant à tour de bras de la BD d'aventures "historiques", c'est-à-dire en restant dans la tradition de la BD pour enfants / adultes, tout en y injectant un peu de violence, un soupçon de sexe, et des intrigues plus complexes. Honnêtement, il n'est pas facile à l'époque de séparer le bon grain de l'ivraie, tout cela se ressemblant plus qu'un peu : personnellement, je fais à l’époque le pari des "7 Vies de l'Epervier", que je ne regretterai pas, mais passe complètement à côté de ces "Aigles Décapitées" (pourquoi ce féminin ? Je ne peux que supposer qu'il s'agit d'un terme d'armoiries). 30 ans après, l'intrigue de la "Nuit des Jongleurs" tient encore bien la route, même si elle est un peu longue à démarrer : ces luttes de pouvoir dans un monde médiéval ne se sont pas démodées du tout, il suffit de penser à "Game of Thrones". Non, la limite de cette saga, du moins au niveau de son premier tome, c'est la faiblesse du dessin, à la fois très (trop ?) classique - on est loin du travail d'Hermann par exemple, sur les "Tours de Bois-Maury" - et assez flottant, avec des personnages à la caractérisation incertaine, changeant de visage d'une page, voire d'une case à l'autre. Pire, on peut trouver la construction des cases encore peu lisible, avec trop de bulles venant phagocyter l'espace, surtout dans la première partie du livre. Défauts de jeunesse, sans doute... En tous cas, on est prêt à faire un bout de chemin avec nos héros, intrigué que l'on se trouve à la fin de ce premier tome, par le potentiel du récit.
ça s'allonge,peut être aussi un peu de ras le bol sur des séries sans fin .
Et le ponpon,l'éditeur change le format afin d' augmenter le prix, collection vécu n' apparait plus.
Une serie de + que j'arrête.
Non ce n'est pas de la BD mais du roman historique!!
Le scénario est parfait du début à la fin mêlant grande et petite histoire.
Les dessins sont sans surprise.
Bref que du bonheur.
7/10.
Qu'il est difficile pour notre héros d'être chevalier en dehors de ses terres.
Un scénario par moment trop improbable et des méchants qu'on voit venir de loin.
A part cela une grosse dose d'histoire de France et des dessins ni meilleurs ni pires que dans les tome précédents.
7/10.
Série toujours aussi passionnante et très démonstrative du style de vie pendant le moyen age. on regrettera par moments des personnages trop manichéens;
A noter des dessins un peu viellots tout de même.
8/10.
Il serait peut-être temps d'envisager l'arrêt de cette série. Si les premiers tomes ont été excellents, il est regrettable de voir décliner une série pour une simple raison de volonté d'exploiter un filon. Le lecteur est convié à boire le vin jusqu'à la lie, lie qu'il commence à ingurgiter. Prenez donc exemple sur la superbe série 'Mémoire de cendres' qui s'est arrêtée (malheureusement dirais-je presque) ou sur les 'Sammy'. Quand on a plus rien à dire, le mieux est de se taire !
Un savant mélange de faits historiques et de romanesque.
Cette 2ème saison débute on ne peut mieux.
Les dessins restent un peu "vieillots" mais c'est ce qui fait leur charme.
A suivre sans modération.
7/10.
Excellent fin de cycle bien écrite avec une petite touche de référence historique.
Les dessins ont un peu vieillis.
A suivre sans modération.
7/10.
Excellente histoire de chevalerie dans un contexte de réalité historique.
Les personnages sont attachants et plus vraiment manichéens. Qu(on les aime ou non ils sont attachants.
Les dessins ont un peu vieillis.
Mais l'ensemble reste très agréable à parcourir.
8/10.
Encore un changement d'auteur dans cette série. Cette-fois c'est le scénariste.
Comme il reprend une histoire en cours, il est difficile d’apercevoir une différence.
Laissons-nous quelques tomes pour nous faire une idée.
Les dessins sont classiques sans plus
Un dessin très classique avec par moment trop de textes.
Un scénario bien conduit avec présentation des différents personnages et de l'intrigue principale.
Un zeste d'humour.
Et en route pour une belle série.
7/10.
L'histoire n'est pas très originale, on a une impression de déjà vu notamment dans les premiers albums de la série où Hugues était également accusés à tort.
Les dessins de Pierret sont corrects mais sont loin d'être des chef d'oeuvre.
La série s'installe un peu dans la routine. les scénarios ne sont pas mauvais, mais pas très originaux non plus. les dessins sont beaux mais n'évoluent plus.
Fin du suspens sur les origines du héros! le scénario est moins original que prévu.
Le dessin ne s'est plus amélioré, il est bien mais sans plus
La première chose qui frappe c'est que les dessins sont de plus en plus réussi.
Les personnages sont maintenant au niveau des décors. Le scénario est de qualité égale, l'histoire se poursuit agréablement avec de nombreux rebondissements.
Probablement le meilleur album depuis le reprise de Pierret au dessin. les personnages prennent du volume et les visages deviennent enfin plus réaliste.
Le scénario est simple mais éfficasse.
le scénario est toujours aussi intéressant, mais la surprise vient des dessins de Pierret qui deviennent de plus en plus réalistes. Les visages des personnages sont bien mieux réussis et plus expressifs.
Un très bon scénario avec des dessins jolis mais très simpliste. Certaines planches de décor sot très belles mais le visage de certains personnages comme celui de Nolwen par exemple sont trop classique à la Hergé. Dommage
Encore un changement dans les auteurs de cette série. Si Kraehn reste au scénario, c'est Pierret qui assure le dessin. La transition se fait en plein album sans que l'on s'en rende compte. Le dessin est bien sans plus. Mais laissons le dessinateur prendre ses marques.
On assiste à un virage dans la série puisque Pellerin n'est plus l'auteur du scénario.
Kraehn assure à lui tout seul cette BD. Du coté du scénario, je n'ai pas de critique à faire, l'histoire est bien construite et même assez originale. Par contre j'ai l'impression que le dessin se dégrade au fur et à mesure de l'avancée dans le récit. Comme si il lui était difficile d'exceller dans les deux.
L'intrigue continue a être palpitante bien que la fin semble comme accélérée. Est-ce que Pellerin envisageait déjà d'abandonner la série?
Les dessins sont toujours réussi.
Le deuxième opus est du même niveau que le précédent. Un bon scénario et de bon dessins font de cette BD un moment de lecture plaisant
Un excellent scénario qui nous amène au XIIIe siecle; l'intrigue est bien menée et claire. Le dessin est joli mais très classique.
Ce 23ème épisode me semble d'un meilleur niveau que les derniers volumes. Avec cette huitième et dernière croisade qui se prépare, la série reprend un petit côté historique pas déplaisant, même s'il y a du déjà lu !
Il faut dire qu'on tournait un peu en rond avec les derniers tomes ! Cet épisode est donc le bienvenu.
Sigwald s'en va donc restituer le coffret aux templiers (il est temps!) avant qui sait, de peut-être rejoindre l'armée des croisés, comme son père jadis ? On verra. En attendant, pour ma part, l'intérêt est quelque peu relancé !
Tres bon album sur une periode de l"histoire tres interessante , le scenario sans etre tres nouveau mais surtout les dessins nous amenent a adorer CES AIGLES DECAPITES .A lire ( A titre d'information le mien a un depot legal FEVRIER 1994 )
Hughes à la poursuite de son fils et de Al Mansour trouve Sigwald prisonnier de soldats du Roi qui assiègent un château rebelle. Il devra utiliser sa science des explosifs appris chez les arabes pour rentrer dans les bonnes grâces des soldats et sauver son fils.
Les dessins de Pierret sont très expressifs et restituent bien l'époque, ce qui procure le plaisir de lire cette histoire d'aventures bine racontée mais qui n'en finit pas; on voudrait bien que Hughes trouve enfin la paix.
En attendant un nouveau rebondissement de dernière minute appelle à attendre le prochain tome !
Pour ma part, c'est toujours un plaisir de retrouver Hughes, Sigwald et même Al Mansour d'album en album puisque étant un fan de la première heure et du premier tome, je suis un "conquis d'avance".
Cependant, "La main du prophète" est loin d'être le meilleur album de la série. L'histoire, si elle est loin d'être inintéressante, est assez prévisible. Sigwald, qui tenait le rôle principal dans le dernier épisode (ce qui pouvait ressembler à une passation de pouvoir) est ici relégué en seconde zone... Peut-être pas dans le prochain... A voir. Le siège du château de Noirlac, quant à lui, est bien rendu mais n'est malgré tout pas hyper passionnant !
Malgré ce scénario sans réel suspens mais non dénué de quelques traits d'humour, ce tome 21 se laisse lire avec plaisir, certes, mais... seulement peut-être pour les inconditionnels de la série (dont je fais partie !).
Suite et fin de l'histoire commencée au tome précédent où laissé pour mort, Hughes accusé du meurtre de la princesse de Lusignan doit déjouer le complot de Al Mansour pour tuer le Roi.
Scénario sans temps mort, dessins de qualité, très bon diptyque à qui il manque juste une touche de romantisme comme dans le début du cycle.
Hughes accompagne la croisade qui séjourne à Nicosie, participe à des joutes, conte fleurette et se fait ainsi de nouveaux ennemis au moment où il essaye de se voir renouveler la tenure sur son fief de Crozenc par Lusignan. Mais il se retrouve devoir déjouer un complot contre la vie du Roi.
Ce nouveau cycle des croisades est riche d'un scénario pleins de rebondissement et se laisse lire avec plaisir. Les dessins de Michel Pierret n'ont pas la rondeur de ceux de Kraehn mais ne déméritent pas.
Hugues de Crozenc reçoit une lettre d'une certaine Alix. Malgré son mariage de force, elle est toujours sa bien aimée.
Il va tenter d'aller la délivrer mais les choses ne vont pas s'arranger car toute sa troupe va être attaquée et va être livré à lui même.
Un album qui nous laisse présager un excellente aventure semée d'embuches.
Le scénario est toujours aussi parfait.
Bravo monsieur Kraehn.
Cet album suit de manière très cohérent l'album précédent. L'auteur résussi avec brio à nous balader dans cette histoire.
Les dessins sont repris à partir de la page 18 par Pierret ce qui améliore considérablement la qualité graphique. Le personnages sont plus fins et sont beaucoup plus charismatiques.
J'ai découvert les aigles décapitées par cet album. J'ai été immédiatement pris par cette histoire.
Suite à un naufrage et à la capture de Sigwald et des compagnon de Hugues, celui-ci est envoyé, en compagnie de Nolwenn, à St Malo pour aller récupérer la rançon. Entre temps, il est marié de force à sa compagne Nolwen.
Puis, il fera l'objet d'une trahison au sein de la ville fortifiée.
Bref, un très bon album dans lequel on se laisse prendre par le scénario.
Les dessins quant à eux respirent encore les début.