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David Salomon, dit Soda, est flic à New York. Il vit en appartement avec sa mère cardiaque et refuse obstinément de lui avouer son vrai métier, de peur de la faire mourir d’inquiétude. Il se fait donc passer pour un pasteur, ce qui donne lieu le matin et le soir à un étrange manège : il change de vêtements dans l’ascenseur, en un temps record. Tout le monde au commissariat est au courant de sa petite combine et l’aide à entretenir le secret.
Humour omniprésent et dessin très accessible, pas de doute, Soda s’adresse à un large public. Au fil des albums, Philippe Tome aura toutefois donné à sa série une touche plus noire qu’il n’y paraît à première vue, la vie quotidienne d’un agent de police dans la Grosse Pomme n’étant pas précisément de tout repos. Lors de ses enquêtes, Soda entre donc en contact avec la lie de la société américaine. Si l’angle de vue ne manque pas de légèreté, c’est donc bien une réalité peu reluisante qui sert de toile de fond aux pérégrinations d’un héros qui ne manque pas d’attirer la sympathie. Il gagne aussi progressivement en épaisseur, aux prises avec une vocation parfois vacillante à force de coups portés et reçus au jour le jour. Il est parfois difficile de résister à l’envie de prendre la tangente avec Linda, collègue et plus si affinités...
À noter, au niveau du dessin, un passage de témoin très réussi entre Luc Warnant et Bruno Gazzotti, en plein milieu d’un album.
Ce scenario, je l'attends depuis que j'ai commence a lire les Soda. Suite a un enorme choc recu lors d'un accident de voiture, David est atteint d'amnesie et se prend vraiment pour un pasteur. Cela donne des scenes cocasses, surtout lorsque ses collegues l'interrogent au commissariat, d'ou il finit par s'enfuir car il tient a servir son office. Mais les malfrats continuent leurs mefaits et Soda retrouve la memoire juste a temps pour sauver sa peau en se souvenant de comment utiliser son arme lors d'une fusillade generale au beau milieu d'une eglise.
Le tout est tire par les cheveux, mais dans l'esprit de la serie, et les dessins toujours autant a mon gout.
Voila l'inevitable album des series qui depassent un certain nombre de numeros: le retour dans la jeunesse du protagoniste principal. Ici Soda et sa mere au coeur fragile font route jusqu'en Arizona, etat ou David a grandi et son pere, policier du village de Providence, est enterre. Verdict: l'exercice, sans etre excellent, est plutot reussi. Gazotti s'est fait plaisir et dessine des paysages differents des sempiternels districts de New-York. On a le droit a des scenes d'action reussies ( bus au debut, ravin au final...) Et surtout par le biais de la figure paternelle evoquee on en apprend un peu plus sur la construction psychologique de Soda. Lecture agreable.
Suite à une mission qui a failli mal tourner et qui l'a vu frôler la mort, SODA envisage sérieusement de rendre son insigne et de tout arrêter. Aussi quand il a l'opportunité de doubler la mafia russe sur un coup à dix millions de dollars, notre héros hésite sérieusement à basculer du mauvais côté de la barrière pour empocher le pactole ...
Un album au ton extrêmement noir qui opère un vrai changement dans la série ! Jusqu'à présent le cocktail action explosive / humour noir était la marque de fabrique de la série, mais avec cet épisode SODA bascule dans une atmosphère bien plus sombre. Violence crue et à la limite du soutenable, héros hésitant à trahir son code d'honneur et à basculer dans la catégorie des "ripoux", relations sexuelles explicites entre SODA et sa partenaire, meurtres de sang-froid, enjeux lourds ... l'enquête que mène SODA est beaucoup plus sérieuse que d'habitude et l'humour est réduit à sa portion congrue.
Un changement de ton qui personnellement me satisfait pleinement (d'autant que les dessins sont comme toujours magnifiques), tant je me suis régalé à la lecture de cet album.
Alors qu'il poursuivait un dangereux malfaiteur, SODA est victime d'un grave choc qui le rend partiellement amnésique. Le voilà qu'il ne se souvient plus d'aucuns de ses collègues ni même du fait qu'il soit flic et qu'il se prend pour un vrai pasteur !
Un tome bien "bourrin", avec nombre de scènes spectaculaires, de fusillades déjantées et de cascades "à la James Bond" qui rendent cet album totalement improbable, et même comique par moments (SODA échappe même à plusieurs balles tirées dans son dos à bout portant ...). Si la crédibilité de l'intrigue en prend un coup, ce côté action spectaculaire / humour de situation est aussi ce qui fait le charme de la série. Le coup du héros amnésique n'est en revanche guère original mais on s'en contentera. Pas le meilleur album de la série, mais franchement plaisant à lire.
SODA accompagne sa mère dans la petite bourgade de Providence, en Arizona, pour fleurir la tombe de son paternel. Mais le retour de SODA dans sa ville natale ne semble pas du goût de tout le monde, et quand notre héros commence à se pencher d'un peu trop près sur les circonstances troubles dans lesquelles son père a perdu la vie, certains autochtones commencent à transpirer ... et à envisager de se débarrasser une bonne fois pour toute de ce gêneur. Notre faux pasteur n'est pas au bout de ses (mauvaises) surprises ...
Probablement l'album le plus original de la série ! En raison de deux points : premièrement, il dévoile une partie des origines de SODA (avec notamment son père que l'on découvre enfin). Et deuxièmement, c'est le seul album à ce jour dont l'intrigue se déroule hors de New-York. Un changement de décor bienvenu qui permet de casser la monotonie dans laquelle aurait peu s'enfermer la série et qui donne surtout l'occasion à Gazzotti de dessiner des décors sublimes, les paysages sauvages de l'Arizona et l'atmosphère poisseuse d'un petit bled reculé de l'Amérique profonde étant magnifiquement retranscrits. Si l'intrigue globale n'est peut-être pas la plus palpitante de la série, plusieurs scènes marquantes (le trajet aller en bus, l'attaque nocturne, le règlement de compte dans le canyon sous l'orage ...) finissent de sortir cet album du lot.
Lecture agreable, grace aux dessins notamment, mais pas le meilleur Soda. Il y a moins d'inventivite qu'a l'accoutumee. Moins d'humour, deja. Puis David, qui n'a pas beaucoup de temps car il doit retourner a l'hopital toutes les deux heures voir sa mere, fait se rejoindre les elements de l'enquete comme par enchantement, et sauve le monde maniere Bruce Willis. Tout va trop vite. Cette " confession express" se lit d'une maniere trop express.
Note reelle 5/10.
Soda vieillit bien. Car je n'avais pas lu cet album depuis une vingtaine d'annes et le plaisir est toujours intact a sa lecture. Agreable et dynamique. Certes le denouement n'est guere plausible lorsque on apprend l'identite de chaque personnage mais cela n'enleve rien a plaisir de lecture. Les dessins de Gazotti correspondent tout a fait au genre de BD: polar/thriller de 7 a 77 ans.
" Dieu " est mort, mais certainement pas Soda.
J’ai bien aimé ce retour…
L’histoire est ultra prenante mais comme la base est aussi ultra poussée, l’attente de la résolution est immense…
Si je ne suis pas déçu par l’ensemble, très beau dessin, narration parfaite, jolie tension, la résolution est un poil tirée par les cheveux bien que satisfaisante.
C’est un tome qui met la barre très haut, l’atteint plutôt bien pour tout le côté « vie quotidienne » et mystère du meurtre.
Qui s’en sort bien sur la résolution mais donne un goût abracadabrantesque qui m’a laissé une légère déception…
Un album décevant, le moins bon pour moi...
Je n'ai pas trouvé d'intérêt à cette histoire, qui n'apporte rien à la série.
Le Noir dans la BD belge (6). Le personnage de Soda a été créé à la fin des années 80 par feu le Scénariste Philippe Tome et le Dessinateur Luc Warnant et publié dans le journal Spirou et s’adressait à un public plus mâture de la BD belge.
En effet, fantastique et paranoïa sont indissociables de ce flic qui se fait passer un Pasteur pour ne pas effrayer sa mère chez qui il vit, au cœur fragile.
Paranoïa des new-yorkais dont la célèbre ville est le troisième personnage principal de cette série.
Donc, ce Soda-Tome 14 : Le pasteur sanglant (Dupuis-2023) du Scénariste Olivier Bocquet et du Dessinateur Bruno Gazzotti, nous présente la descente en enfer du personnage Soda où un psy le manipule par « absences » et « cauchemars » , le fait accuser de meurtres et le fait douter, passer au bout de rouleau jusqu’à le mettre en prison pour des crimes qu’il n’a pas commis et est prêt à tuer sa mère comme bouquet final.
Déjà, dès la Couverture, nous avons un Soda avec la barbe de six jours s’élançant comme un désespéré dans une vague de Pasteurs.
Le Scénario est excellent et l’on vit ce purgatoire du personnage à ses côtés où la nuit et le manque de sommeil sont ses pires ennemis. Le Noir par son métier, son humour noir et cette apocalypse sont dignes des meilleurs Polars. Comme le film Néo- Noir Tightrope avec Clint Eastwood où le héros est confondu avec le meurtrier, doute et où ce dernier se nourrit de tous les côtés obscures et perversités du héros, où la nuit et le jour se confondent et s’opposent.
Les Dessins sont très bons aussi. On voit New-York, ses quartiers, ses flics, ses prostituées, son commissariat avec, dans chaque case, des Portraits et des détails haut en couleur. Dommage que le côté semi-réaliste empêche d’aller plus loin dans la noirceur.
A lire.
Un plaisir de retrouver Soda après tant d'années !
Je me suis régalé, suspense et humour sont toujours au rendez-vous, dans un New-York toujours aussi speed !
Vivement le prochain album.
On retrouve le Soda des belles années. Malheureusement les textes sont fades, sans style, et le scénario bien pauvre. On est loin du niveau de Tome. Heureusement que le dessin tient toujours bien la route!
Un retour de bonne facture mais le scénario est beaucoup trop classique. Dommage car le dessin est de qualité.
SODA est en proie depuis plusieurs semaines à divers troubles comportementaux : pertes de mémoire, cauchemars, hallucinations. Se peut-il que ces troubles l'aient amené à commettre une série de crimes ? La question peut sembler saugrenue mais quand une vieille dame l'accuse devant ses collègues d'avoir tenté de l'assassiner, le doute finit par s'installer ...
Un excellent album pour fêter le retour de ce héros atypique et la reprise de cette sympathique série, en stand-by depuis une dizaine d'années. Comme pour les meilleurs épisodes de la série, l'album mêle action bien pêchue, suspense, vraie bonne intrigue et humour finement dosé, le tout enrobé du dessin toujours aussi impeccable de Bruno Gazzotti que l'on est content de retrouver aux crayons. Bonne idée également d'avoir placé l'action au tournant des années 80/90, pour retrouver l'atmosphère des meilleurs albums de la série. Vivement la suite !
Enfin, le vrai retour de Soda !!
Le dernier Tome de Tome (ah ! ah) est passé à la trappe. D'ailleurs, il est dit ici même en présentation de la série que c'est un hors série avec un tome encore à paraître., ce qui semble bien peu probable. Il n'est d'ailleurs même pas réédité en grand format.
Ce ''Résurrection'' ovni qui se déroule dans les années 2000 et qui véhicule des idées complotistes bien loin de SODA, continue visiblement de marquer la série, tant Olivier Bocquet et Bruno Gazzotti insistent dans ce pasteur sanglant sur la présence des twin towers ( pages de garde et planche 5). On est bien de retour dans les années 80 et on continue là ou on s'était arrêté, c'est à dire après le tome 12.
La reprise scénaristique tient la route, et que c'est bon de retrouver Gazzotti aux pinceaux. Ne reste plus qu'a souhaiter qu'une nouvelle génération de lecteurs, s'ajoutant aux anciens, permette à la série de faire durer le succès. Les nouveaux auront du grand format et les anciens auront droit au changement de format qui fait bien sur les étagères.
Soda, le retour!!
Enfin un nouvel album dans la veine de ceux qui ont fait le succès de cette série!
Je retrouve avec plaisir un bon scénario avec du mystère, du suspens, de l'action et de l'humour, bref, tout ce que j'aime.
Et toujours les superbes dessins de Bruno Gazzotti, excellent dans le mouvement des scènes d'action.
Contre son gré, SODA est contraint de suivre les instructions d'une mystérieuse agence gouvernementale qui lui demande "d'éliminer" une cible gênante. Mais cette mystérieuse agence est-elle bien ce qu'elle prétend être ... ?
Si le dessin est toujours aussi remarquable (avec comme toujours des plans très dynamiques quasi-cinématographiques qui mettent très bien en valeur les nombreuses scènes d'action que propose le scénario de cet album), hélas j'ai trouvé le scénario un peu en retrait de ceux des précédents albums. Déjà parce que le scénario de cet épisode est beaucoup plus noir que ceux des albums précédents (l'humour léger de la série a quasiment disparu). Et aussi car j'ai du mal à adhérer aux délires conspirationnistes du scénariste, qui "politise" beaucoup trop son héros dont il se sert pour faire passer des thèses très discutables.
Le discours que tient SODA dans cet album et les messages que fait passer Tome sur la politique américaine sont d'ailleurs très représentatifs de l'anti-américanisme primaire qui était très en vogue dans la société française au début / milieu des années 2000. Pas hyper fan pour ma part de ce genre d'ambiance.
SODA a arrêté un gros bonnet de la mafia. Pour se venger, ce dernier dépose un contrat sur la maman de notre héros. Le début du cauchemar pour SODA, qui va devoir déjouer les plans de nombreux tueurs à gages tout en continuant à cacher son identité de flic à sa mère ...
Un excellent épisode, une fois de plus. Voir SODA tenter de protéger sa mère ciblée par de nombreux tueurs à gages tous aussi barrés les uns que les autres tout en essayant de continuer à lui dissimuler son identité de flic crée autant de tension que d'humour, ce qui fait que la lecture est un vrai régal. Les nombreux méchants de cet album sont tous bien farfelus et assez peu crédibles, mais ça reste bien dans l'esprit de la série et c'est ce genre de brochette de personnages et de situations que j'attends quand je lis un SODA. L'un de mes épisodes préférés de la série.
SODA est manipulé par un flic corrompu qui l'utilise pour assouvir une vengeance personnelle. Ne sera-t-il pas trop tard quand notre héros s'apercevra qu'il a été berné ... ?
Un excellent épisode, toujours aussi bien dessiné mais plus sombre que d'habitude, entre plusieurs séquences bien tristes (le destin tragique du personnage de "Baleinos") et un méchant cynique et machiavélique à souhait, l'un des plus réussis de la série. L'action est parfaitement mise en scène et le suspense est bien ménagé, avec les intentions du méchant qui restent troubles jusqu'au bout. Très bon !
SODA doit déjouer un attentat qui doit se dérouler en plein marathon de New York. Le maire de la ville serait visé ...
Encore un excellent épisode, bien qu'il ne soit pas mon préféré de la série. Il y a un très bon suspense et la machination orchestrée par les méchants est très bien pensée. En outre, la contrainte subie par notre héros (qui doit revenir à l'hôpital toutes les deux heures en habit de pasteur pour rassurer sa mère entre deux examens) apporte pas mal d'humour en plus d'ajouter du piment à la mission périlleuse que mène SODA.
Petit plus en faveur de cet album : la couverture qui pour moi est la meilleure de la série.
SODA doit retrouver une petite fille de deux ans enlevée par des tueurs. Une mission qui le conduira dans un monastère situé en plein Manhattan, où les tueurs se sont réfugiés. La partie s'annonce serrée ...
Encore un excellent volume. Le dessin est très réussi et le scénario particulièrement original. Voir SODA se faire passer pour un pasteur et s'introduire dans ce monastère où se cachent des tueurs déguisés en moines afin de les démasquer crée une belle tension et la lecture est bien accrocheuse, d'autant que l'action ne manque pas. L'un de mes épisodes préférés de la série.
SODA se retrouve par hasard sur la piste d'un tueur à gages. Mais dans cette chasse à l'homme qui risque de faire de nombreuses victimes collatérales, qui est le chat et qui est la souris ?
Le meilleur des quatre premiers tomes à mon goût. Certes cette histoire de billet qui passe de mains en mains et que le tueur cherche coûte que coûte à récupérer est un peu abracadabrante mais le scénario est très bien ficelé, avec de nombreux fils narratifs qui finissent tous par s'imbriquer les uns avec les autres lors du dénouement. Les personnages secondaires sont variés et attachants, l'action est bien présente et on ne s'ennuie pas. Et le dessin est encore plus réussi que dans le volume précédent. Un excellent épisode.
SODA reçoit la visite impromptue de son oncle, un véritable pasteur. Une visite qui va encore plus compliquer son quotidien, notamment quand l'oncle en question va se retrouver bien malgré lui au cœur d'une prise d'otages ...
La série décolle réellement à partir de ce troisième opus. Un scénario un cran encore au-dessus que celui du précédent volume, où humour finement dosé, action survitaminée et suspense font bon ménage, et surtout, arrivée aux crayons de Bruno Gazzotti, dont le dessin me séduit beaucoup plus que celui de son prédécesseur Luc Warnant et me paraît beaucoup mieux adapté au ton de cette série. Un très bon épisode.
SODA raconte ses débuts à New York et les raisons qui l'ont poussé à s'engager dans la police.
Un scénario nettement mieux ficelé que celui du premier tome (avec une ambiance noire et crasseuse bien appréciable) malgré des péripéties un peu trop improbables à mon goût, et un dessin certes toujours un petit peu trop caricatural mais en nette amélioration par rapport au volume précédent. Un bon épisode.
SODA est chargé de retrouver une prisonnière lui ayant filé entre les doigts alors qu'il la conduisait au tribunal. Mais l'enjeu n'est peut-être pas celui auquel il croit ...
Un premier tome correct, mais loin d'être extraordinaire. Le scénario est trop expéditif, avec une intrigue et des enjeux résolus beaucoup trop rapidement, et le dessin est beaucoup trop caricatural à mon goût, convenant peu à l'ambiance "polar". La série démarre pianissimo. Les albums suivants seront nettement meilleurs.
Un Soda qui cherche à remettre en doute la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 sur le World Trade Center. Il y a même tout un cahier à la fin de l'album qui parle de ça. Et malheureusement, le dessin de Verlinden n'est pas au même niveau que celui de Gazzotti.
Dommage que la série se termine sur cette note. Le fameux tome XIV à paraître qu'on montre au dos de la couverture ne paraîtra jamais, finalement...
Un autre Soda assez sombre, mais pas mal moins bon que le précédent.
Tome, tombé dans les théories du complot quant au 11 septembre 2001 (sujet qu'il abordera lui-même bien des années plus tard dans l'ultime album de la série), passe déjà plusieurs commentaires politiques à travers ce 12e opus. Rappelons que Gazzotti avait traîné Tome en justice pour qu'il finisse le scénario de cet album, et que Gazzotti avait déclaré que cet album serait son dernier... Pourquoi? Que s'était-il passé? Tome voulait-il injecter trop de politique dans Soda?
Quoi qu'il en soit, ça paraît, dans cette histoire. Le penchant comédie a pratiquement complètement disparu, ce qui normalement ne me déplairait pas (preuve : j'ai adoré le onzième volume), mais il y a une sorte de commentaire sous-jacent négatif ici que je n'aime pas. L'histoire n'est pas si intéressante à suivre que ça non plus. Dommage.
Waouh! Quel retour en force, cet album! Le meilleur de la série??
En tout cas, définitivement l'album le plus sombre de la série jusqu'à présent -- Soda est toujours de mauvaise humeur, les enjeux sont grands, la violence très présente et notre héros doit risquer sa vie pour un échange de plutonium... Une histoire beaucoup plus sérieuse qu'à l'habitude, avec une enquête passionnante, un scénario plus recherché, des relations plus étoffées, et des scènes d'action percutantes!
On s'entend, il ne faut quand même pas s'attendre à du réalisme (certaines scènes rappellent James Bond), mais j'approuve le changement de ton ici! Excellent!
Un autre album plutôt moyen. L'idée que Soda soit devenu amnésique et qu'il croie véritablement être pasteur est plutôt amusante et cocasse, mais finalement je trouve que l'album a peu à offrir qui soit nouveau. Même les petits dessins caricaturaux de Soda et de sa mère contribuent à ce sentiment d'album sans conséquence.
L'un des moins bons albums de la série jusqu'à présent selon moi -- toute la prémisse de l'histoire tient sur un malentendu et le tout me semble assez superficiel, sauf pour le père de Soda que l'on découvre enfin. C'est l'élément qui sauve l'ensemble.
Sinon, il y a également une répétition beaucoup trop pressante du fait que Soda n'est pas véritablement pasteur, qu'il a quitté la maison pour devenir pasteur, que la vie de pasteur est tranquille, qu'il doit s'habiller en pasteur... bla-bla-bla. Je sais que dans chaque album on réexplique au lecteur qu'il fait ça pour sa mère, mais ici on semble accorder beaucoup trop d'importance à ce point, comme si Tome avait manqué d'idées pour son scénario.
La mère de Soda n'a d'ailleurs jamais été crédible par rapport à ça, mais passons. Et je doute fort que Tome ait connu un seul pasteur de sa vie, parce que Tome confond fréquemment catholicisme et protestantisme. Bref.
Un album plutôt moyen, qui commence à sentir le réchauffé et qu'on oubliera vite.
Très bon album! Si les situations sont toujours aussi irréalistes qu'à l'habitude, la combine, cette fois, c'est que le méchant s'en prend à la mère de Soda en mettant un contrat sur sa tête! Soda doit alors s'arranger pour la protéger sans qu'elle se rende compte de quoi que ce soit. Beaucoup d'adrénaline et de bonnes scènes d'action dans ce tome. Un bon petit suspense-comédie qui est selon moi le meilleur tome depuis le #3.
Un bon album sur un policier corrompu qui tente d'utiliser Soda pour arriver à ses fins. Je n'ai pas trop aimé la voix hors champ utilisée par le personnage pour se décrire lui-même d'ordure à tout bout de champ. Un album aussi avec quelques commentaires sociaux pas trop subtils sur les États-Unis, moins qu'avant en tout cas. Et, comme d'habitude, la fin est un peu trop expéditive. Sinon, divertissant. Pas mal.
Soda se fait donner une adresse par une personne sur le point de mourir qui l'envoie dévaler dans la ville à la recherche d'un poseur de bombe. L’attrape ici, c'est que Soda doit retourner voir sa mère à l'hôpital toutes les deux heures entre ses examens de santé pour ne pas qu'elle s'inquiète. C'est farfelu, certes, mais c'est dans l'esprit de la BD. Qui était cette mystérieuse personne et que cachait-elle? Dans la même lignée que les autres albums : sympathique.
Pas mal; des méchants s'emparent d'un monastère et se font passer pour des moines. Soda doit y entrer en catimini. C'est Soda, mais ce n'est pas mon préféré.
Moins bon que le dernier, selon moi. Un assassin à la recherche d'un billet de banque qui passe de main en main... Un paquet de personnages qui se retrouvent pris dans l'histoire à cause dudit billet. C'est pas mal, mais l'histoire est légèrement abracadabrante, même pour un Soda. On passe quand même un bon moment!
Un excellent tome! ... Tome.. .tome... haha?
Le meilleur des trois premiers! Cette histoire de vrai pasteur invité par la mère de notre faux pasteur est prenante! Beaucoup de bonnes idées, comme par exemple cette chapelle empruntée qui a comme paroissiens des prisonniers en transit...
Ce qui me fascine toujours dans Soda, c'est à quel point j'imagine mal un éditeur vouloir publier une histoire comme ça aujourd'hui. On se moque de tout dans Soda, et les caricatures sont nombreuses...
Le deuxième et dernier album de Soda avec Warnant au dessin. Un album sur Soda avant qu'il soit devenu flic.
Et si vous imaginiez des assassinats que vous couchiez sur papier, et que la machine à écrire que vous utilisiez pour écrire vos nouvelles faisait qu'elles se concrétisent réellement? Ça fait sacrément penser à Death Note, c'est à se demander si Tsugumi Ōba ne s'en est pas inspiré pour écrire son manga!
Quoi qu'il en soit, ce second tome est meilleur que le premier. C'est aussi probablement ma couverture préférée de toute la série. La fin de l'histoire à première vue fait penser à un deus ex machina incroyable, mais...!
J'ai lu les Soda dans ma jeunesse et j'en gardais un souvenir mitigé. Je me rappelais que certains tomes étaient meilleurs que d'autres, puisque la série est composée uniquement de one-shot.
Ce premier tome est sympathique, mais pas extraordinaire. L'histoire avance vite et on ne s'ennuie pas. Par contre, l'intrigue est résolue très rapidement. Comme l'album ne fait que 46 pages, il me semble que faire les 48 n'aurait pas été de trop.
Pas mauvais.
le dessin, le scénario et la fin en queue de poisson rien ne m'a convaincu sur cet album. et ce n'est certainement pas les thèses complotistes évoquées un fin d'album qui relève le niveau
Avis pour les tomes 1 à 9 que je viens de lire en quelques jours.
Série décalée et impertinente, difficile de la classer dans un seul genre.
Les aventures de l'agent Salomon nous embarquent à chaque fois. Les auteurs savent se renouveler et chaque tome est un bon one-shot.
Soda est un brave gars officiant dans la police de New York. Pour ménager sa maman fragile du coeur, il se fait passer pour un curé. Cela donne lieu à des situations assez cocasses et franchement drôles. Pourtant, l'humour peut être plus sombre à l'image des situations navrantes qui peuvent s'abattre sur notre héros pas comme les autres.
Police, religion et mort sont les thèmes principaux. la violence urbaine est également présente. J'aime bien cette approche concernant un monde gris, situé entre le bien et le mal. Il y a une sorte de démystification du monde du polar.
Au final, tous les tomes de Soda ne se valent pas. Les derniers sont plutôt une déception. Cependant, l'oeuvre dans son ensemble est assez satisfaisante par son audace. Note réelle: 3,5.
On sort du ton et du style narratif des autres albums pour une histoire déprimante, partisane et sans intérêt. Très décevant et à oublier au plus vite.
Tome au top
Un tome de Soda comme je les aime : ce 1er volume du diptyque post 11-septembre est très prometteur, très noir, avec le petit zeste d'humour propre à la série. Pas déçu du tout.
Personnellement je découvre depuis peu cette série et j'ai vraiment apprécié ce tome.
On sent une longue réflexion derrière cette album, j'ai beaucoup aimé l'introduction des 2 premières pages où le sujet est suggéré par le regard du personnage à la fin de la page 2. Graphiquement c'est très réussi.
J'ai toujours apprécié ce personnage et les scenarii , j’ai moins aimé la post-face justificative sur le 11 septembre qui est soit trop courte soit trop longue et n'apporte pas grand chose à l'album ( tentative de justification ?)
Bien déçu par cet album tant au niveau du scénario que du dessin.
La police de caractère (pour malvoyants?) utilisée "dévore" tout le dessin et il faut parfois tenir l'album à bout de bras dans l'espoir d'éviter la claustrophobie.Dommage. Adieu Soda.
Quelle déception ! La série plongeait, elle vient de s'écraser. Le scénario n'est pas seulement moyen, il est même à peine compréhensible. Une catastrophe. Un premier album de la sorte n'aurait jamais été édité. Honte à Dupuis.
Grosse, grosse déception.
Fan de la série, fan de Tome et Janry, je ne comprends pas ce dernier SODA.
Les dessins sont décevants par rapport à Janry, mais bon, on s'en accommoderai.
Mais le scenario lui, a viré au n'importe quoi. SODA était un personnage intemporel, dans un New York intemporel, et le voilà plongé en 2001, lors des attentats, puis 13 ans plus tard en 2014 (visiblement vu la présence de la tour WTC1) sans avoir pris une ride, ni lui ni sa mère.
La théorie complotiste sur le 11 septembre... attention, terrain glissant.
L'auteur voudrait tuer la série qu'il ne s'y prendrai pas autrement.
Je voudrai ne l'avoir jamais lu.
Contrairement aux avis précédents je trouve cette "résurrection" de Soda très bonne. La modernisation du propos et du trait y est selon moi excellente. Seul le scénario, un poil confus, me laisse sur ma faim. Attendons le tome 14 !