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Les 4 tomes de trop selon moi, on se perd dans une histoire qui ne présente plus le même intérêt que les 2 premiers cycles. Beaucoup de longueurs et de blabla, le récit se perd dans les rites indiens et croyances mystiques, les préfaces de Jean Dufaux n'ont plus vraiment de plaisir à être lu. Les dessins de Ana Miralles sont toujours d'une grande beauté dans ses traits, mais dommage pour un scénario qui manque de consistance.
Un deuxième cycle très sombre et plus violent que le premier, qui reste de très bonne facture. Les dessins et couleurs de Ana Miralles sont toujours excellents et plaisants à regarder. Quelques longueurs se dessinent au fil des 5 tomes, notamment avec la description de Jean Dufaux en préface de chaque tome, qui a tendance à se perdre dans ces propos. Un final qui ne démérite pas.
Cette première partie des histoires de Djiin est la meilleur des 3 cycles, car plus dans son élément et sur la thématique qui lui était affiliée. Les dessins et couleurs d'Ana Miralles sont remplis de beauté, aussi bien pour les formes, les corps nus que les couleurs chaudes et les paysages Ottoman. Le scénario signé Jean Dufaux est convaincant également avec un étau qui se ressert au fil des tomes pour ce Cycle 1, même si l'ambiance générale reste parfois ésotérique et trop centrée sur nos deux héroines : Kim et Jade.
Ce tirage de tête est l'une des plus belles couvertures de la série Djinn , Ana Mirallès une artiste de génie .
Cet intégral est l'une des plus belles couvertures de la série Djinn, Ana Mirallès une grand artiste unique dans ce genre de dessin .
Deux époques, deux destins liés, une chasse au trésor, des harems..u.ne belle fantaisie érotique orientaliste avec deux récits menés en parallèle qui se déroulent à deux époques différentes. Une vraie prouesse au niveau du scénario mais également du dessin. J’ai beaucoup aimé
La beauté de ces femmes de harem dans la Turquie du début du 20ème siècle; Constantinople, ville magnifique, ayant pour cadre cette histoire. On est très vite happé par une histoire dans une ambiance magique et captivante. Cela nous permet également de découvrir une Istanbul ensorcelante au coeur d'une sensualité orientale.
J’aime bien le scénariste Dufaux que je considère comme l’un des meilleurs car très bien documenté. Il y a le souci du réalisme. Les personnages sont sans concession avec certes un bon brin de libertinage. Un bémol cependant: Dufaux signe à chaque fois la préface de son album et en révèle parfois un peu trop sur l'histoire.
La lecture demeure un peu délicate car il y a l'histoire de deux femmes à des époques différentes qui se superpose. Kim Nelson part sur les traces de sa grand-mère Jade qu'elle n'a pas connue. Le destin de ces deux femmes d'exception va nous tenir en haleine. Un lien spécial semble les lier.
Du très beau dessin également qui suscite l’admiration tant les corps sont parfaitement maîtrisés. Rien de racoleur sauf pour âme charitable préférant baigner dans le manga féminin avec ses petites minettes pré-pubaires! Ici, que de la grâce et du charme pour peu qu'on aime l'exotisme! :8 Bref, on ne tombe jamais dans la vulgarité.
Le second cycle se déroule dans une Afrique dangereuse et torride. C’est tout un autre univers qui est exploré pour la plus grande joie des lecteurs même si cela paraissait déroutant au premier abord. Cette Afrique est inquiétante avec ses sorciers et cette magie noire. Cependant, cette Afrique est également magnifique avec sa beauté sauvage.
Le troisième cycle va nous emmener dans les Indes totalement envoutantes et sensuelles où notre Djinn devra faire l'éducation sexuelle de la future épouse d'un Maharadjah afin de le contrôler à des fins purement politiques sur fond de colonisation anglicane. Chronologiquement, l'action se passe après le premier cycle mais avant le second. Cela m'a un peu perturbé car nous retrouvons des personnages dont on connaît par avance leur sort funeste. Le dessin est toujours aussi soigné avec une mise en couleur tout à fait délicieuse pour les yeux.
Djinn s'est enfin terminé avec le tome 13 près de 15 ans après le début de l'aventure. On fait un retour sur Kim Nelson. C'est le dernier tome du cycle indien mais qui fait le lien avec le cycle africain. On va avoir droit à un final assez digne de cette saga. On est surtout marqué par une certaine nostalgie de quitter cet univers et ces personnages féminins hors normes. On entendra encore sonner longtemps les fameuses clochettes du désir !
Une collection véritablement envoûtante avec un superbe graphisme fin et élégant et un scénario relevant du grand art !
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
Je n'ai pas pu aller plus loin dans la lecture de cette série. Je n'ai même pas réussi à finir ce volume tant c'est mauvais. Et c'est même de pire en pire avec chaque album successif.
je vous renvois à ma chrnoqie du premier volume pour une critique plus complète.
Il semble que je sois le seul avec Bibi 37 (et avec Chris, au commentaire duquel je souscris) à ne pas apprécier cette série. Dufaux et Mirallès ont créé la première bédé érotique qui vous fera bailler (un comble!) ou hausser les sourcils devant une telle accumulation de clichés et d'invraisemblances. Voir ma chronique du premier volume pour des commentaires plus détaillés!
Dufaux est auteur extrêmement prolifique, touche à tout. Trop sans doute: il y a dans sa bibliographie des œuvres majeures (Murena, Giacomo C), des œuvres mineures… et il y a Djinn.
Je n'ai pas cité Murena et Giacomo C en référence sans raison. Dufaux excelle dans les reconstitutions historiques soignées. Aussi, je m'attendait à découvrir avec ce Djinn la cour du sultan ottoman en 1912, une découverte du mystérieux harem, des intrigues de cour documentées et sophistiquées… Il n'en est rien. L'introduction de l'auteur laisse d'ailleurs planer le doute: entre fidélité historique et clichés (sic), de quel côté la balance va-t-elle pencher?
L’ambiguïté ne dure pas: la reconstitution historique est inexistante. Le fameux harem n'apparait que sur quelques rares pages. Tout le reste n'est qu'un salmigondis mêlant une chasse au trésor aux temps modernes (prétexte pour soumettre l'héroïne à toutes sortes de sévices soit-disant érotiques) et un vague complot à l'époque du "sultan noir" Murati, lequel n'a jamais existé (en 1912 le sultan ottoman est Mehmed V et il n'a plus guère de pouvoir).
Bref, loin d'une reconstitution historique soignée, Dufaux nous sert une ratatouille inintéressante, prétexte à dénuder non pas une mais deux héroïnes à deux époques différentes. Pourquoi pas, après tout. Le problème, c'est que si Dufaux est très bon pour les intrigues historiques, il ne brille manifestement pas dans le style érotique… Le trait de Mirallès (au passage, comment une femme a-t-elle pu accepter de dessiner un ouvrage aussi caricaturalement machiste, ça me dépasse!), n'aide guère. Autant ses personnages masculins sont soignés et leurs traits variés, autant les personnages féminins se ressemblent un peu tous… Les dialogues ne sont pas non plus très inspirés… Du coup, on baille (et ce n'est pas vraiment le but recherché par une série censément érotique), on se gratte la tête devant l'accumulation de clichés, et au final on s'ennuie ferme.
J'ai tenu jusqu'au milieu du 3e album. Et vous?
Je conseille vraiment la lecture de cette série, le harem nous fait voyager dans le temps et les sensations sont fortes. Pour un premier épisode : 9/10, excellent
La série se poursuit sur la même lancée, avec de nombreux allers retours et parallèles entre l'histoire de Kim et celle de sa grand-mère Jade. L'érotisme reste le pilier de la série avec le rite (un peu voyeur certes) des 30 clochettes.
Le trait doux et chaud d'Ana Miralles, ainsi que la narration maitrisée et distinguée de Jean Dufaux, font de cet album un début de série très prometteur. Le harem reste un thème assez mystérieux et envoûtant. Mais il faut avouer que l'intrigue reste pimentée par la pointe d'érotisme qui plaira sans doute à beaucoup, mais pourrait déplaire à d'autres.
Les couleurs chaudes et le dessin très sensuel sont parfaitement adaptés au ton de cette série, très empreint d'érotisme. Dans ce premier opus, jeux de pouvoirs et jeux de séduction sont au menu d'un scénario dont l'action se situe à Istanbul à deux époques distinctes (de nos jours et au début de la Première Guerre Mondiale). L'intrigue est pour l'instant un peu légère (dans tous les sens du terme), l'héroïne pas franchement charismatique, mais la qualité des dessins fait qu'on a quand même envie de savoir comment tout ça va évoluer au second tome. Laissons donc une chance à cette série, et attendons le prochain volume !
Avis pour "le Cycle India" : histoire complète en trois tomes.
Cette aventure se situe chronologiquement entre le 1er cycle "Ottoman" et le second cycle "Africa".
Bon scénario qui a comme trame de fond le mouvement indépendantiste dans les Indes Britanniques.
De la magie, le pouvoir de la Djinn, le sexe made in India...
Avec toujours d'excellents dessins.
beaucoup de plaisirs à lire cet album, où le dessin est toujours aussi agréable, en plus le scénario est à la hauteur, merci aux auteurs
Un deuxième tome centré sur le thème de la soumission, thème qui vient éclipser l'avancée de l'enquête amorcée dans le premier album. C'est aussi un thème dur, peut-être un peu trop à mon goût à ce stade-là du récit. J'aurais aimé que ce deuxième album nous rapproche des personnages en nous permettant de comprendre un peu mieux leurs motivations, or c'est plutôt le contraire qui se passe. Au résultat, j'en ressors avec l'impression que l'ensemble manque de crédibilité, que les épreuves imposées sont disproportionnées par rapport aux enjeux. J'espère que le troisième tome nous sortira de ce qui commence à ressembler à un scénario de film porno sado-masochiste.
Je ne regrette pas de m'être laissé tenter par ce premier tome. Le dessin est très bon, la couleur sublime, et l'érotisme assumé comme moteur principal de l'oeuvre est très bien maîtrisé. Quant au scénario, il laisse entrevoir une enquête entre deux temps aux nombreux rebondissements. Les transitions entre les deux époques sont d'ailleurs fluides, claires et remarquables de subtilité. En bref, ma curiosité est aiguisée.
Je viens de relire le tome 10 pour me replonger dans ce nouveau cycle de l'Inde. Ici, Dufaux se consacre exclusivement à l'histoire de Jade sans faire référence à Kim.
Le cycle me semble moins contemplatif que le précédent, le tout sur fond d'indépendance de l'Inde. Les intrigues sont toujours bien présentes.
Ici, on nous parle du peuple mené par Gandhi pour se libérer des anglais, de la naissance de la petite Saru Rakti, mais aussi de la jalousie d'Arbacane...
Les dessins sont moins bleus, plus verdoyants, et les auteurs nous font découvrir le monde autour du palais des plaisirs, sans pour autant oublier la touche sexy que l'on apprécie (même si la "belle" Arbacane me fait un peu peur parfois avec tout ses piercings !). Jade aide toujours Tamila à prendre conscience de son corps pour pouvoir prendre un peu de pouvoir sur son mari, mais cela lui apporte également des ennuis, car ses ennemis veulent l'empêcher de donner ce pouvoir à Tamila. Elle doit donc également se frotter à des complots...
J'ai apprécié plonger un peu plus dans l'histoire de l'Inde mais également dans celle de la mère de Saru. Là nous avançons un peu, des réponses nous sont données, notamment concernant la malédiction de Saru.
Une petite merveille...
Surement le meilleur d'une serie, qui prends toute son ampleur à mesure que s'accumule les tomes.
Pour commencer, il faut saluer les COULEURS, fabuleuses. Je crois que de tous les albums que j'ai lu, il est le meilleur de ce point de vue. Le dessin est aussi assez exceptionnel.
L'histoire reste passionnante, bien aidée ici par les 56 pages.
Ce cylce s'annonce le meilleur, pourvu que cette qualité reste.
Habituellement, je lis Djinn, qu'une fois l'intégrale parue pour enchainer les tome, les histoires de Dufaux prenant toutes leurs consistances lorsqu'on à une vue d'ensemble.
Ici, ce tome m'a déja énormémént satisfait..
Qu'une envie, aller en Indes, voir ces couleurs orangées, ces palais, cette culture.
Merci pour cette BD
Ce dernier cycle n’est-il pas celui de trop ?
Difficile de résumer l’histoire tant Jean Dufaux se perd dans des considérations mystico-érotico-historique qui frôlent la préciosité intellectuelle.
Reste le superbe dessin d’Ana Mirallès qui a encore progressé dans l’épure du trait, la richesse des décors et la sensualité des personnages.
A regarder plus qu’à lire…
Cette série est vraiment sauvée par le dessin d'Ana Mirales, l'histoire n'étant que le prétexte de mettre en scène de jolies choses.
Et le décor indien est un cadre particulièrement parfait pour ce ballet érotique qui se lit agréablement même si on a du mal à croire à cette lutte politique par le charme des femmes.
Mais cela fait un bel objet à avoir dans sa bibliothèque
Décidemment je n'y arrive pas avec cette histoire. Elle m'ennuie. Le scénario fait parfois sourire tant il est consternant de platitude.
On ne s'identifie à personne et on ne s'interesse à aucun des protagonistes tant ils sont peu crédibles.
C'est décider j'arrète là cette série.
5/10.
J'ai trouvé bien peu d'intérêt à cette histoire non pas qu'elle soit mal écrite mais le scénario est trop plat pour nous captiver. J'attendais peut-être autre chose de la part des auteurs.
Les dessins sont effectivement très beaux.
6/10
Ce 9ème opus clos l’histoire de Djinn.
Le scénario se perd entre mysticisme et mystère…Ce tome me laisse l’indicible sentiment d’être passé à coté de quelque chose…
La relecture du cycle africain, dans quelque temps, dissipera peut-être cette désagréable impression.
Reste le dessin d’Ana Mirallès dont la beauté, tout en simplicité et en sensualité, permet d’oublier les (quelques) méandres du scénario.
Fin du cycle africain. Dans le passé, Jade fait alliance avec le roi gorille pour unifier les clans et trouver un compromis avec l'envahisseur blanc et Kim va aller au bout de sa quête pour déjouer les plans de ceux qui voulaient remettre en cause le passé.
Il ne faut pas toujours chercher à comprendre ces histoires africaines à la limite de la légende et du surnaturel mais se laisser envouter par la beauté de l'Afrique et de ses mystères. Et la sensualité des dessins de Miralles fait le reste pour nous faire passer un assez bon moment de lecture.
Suite du cycle africain où Kim est sur la trace du passé de Jade. C'est toujours un récit à la Dufaux avec pleins de mystères, d'ésotérisme, de traditions et de réincarnation, mais c'est un peu plus compréhensible que les tomes précédents, et grâce aux dessins de Miralles, on goute à la sensualité et à l'envoutement de l'Afrique.
A lire donc.
Là se termine ce qui est excellent dans la série. On a pu suivre avec interêt les péripéties, les rebondissements et les personnages de ce premier cycle.
Pourquoi donc continuer avec les navets qui vont suivre ? Parce que l'éditeur a constaté que la série se vendait bien ? Parce que dans les cartons il y avait dès le départ une suite ?
Quand on lit la suite on est en droit d'en douter ! Cela devient creux sans interêt, on sent le remplissage et cela aurait pu avoir un tout autre titre qui n'aurait pas entaché la première partie...
Bravo pour les quatre premiers....
Haro pour les autres
on reste dans le : il faut vendre la série et toutes les suites possibles... cela nous rappelle Rambo 1 et 2 et 3 et 4.... dans notre société ce n'est pas la qualité qui compte, c'est de savoir jusqu'à quel point on peut utiliser une idée qui avait été reconnue comme bonne et intéressante au début.
La source est tarie depuis longtemps et on n'est même pas sûr que les auteurs avaient prévu dès la mise en chantier des premiers volumes qu'il y aurait une suite à leur premier cycle...
dommage de ternir les qualités de cette histoire par des rajouts qui sont sans interêt aucun... sauf financier.
on nous emméne en bateau... il faut faire du fric avec une série qui marchait bien alors on en rajoute...
le 1 er cycle ok impeccable mais la suite c'est uniquement du commercial on exploite les ficelles grosses comme des maisons ... on se demande même quel est l'interêt de ce 2 ème cycle.
ce n'est pas la première série qui a essayé de faire du beurre avec la renommée du 1 er cycle... la bd devient un business, plus un art... on exploite un filon... un 3ème cycle ai je lu dans les avis et pourquoi pas un 4 ème etc etc...
Quand j'ai découvert la saga de la djinn avec le tome 1, je suis tombé aussitôt sous le charme de l'histoire ainsi que des illustrations fantastiques d'ana miralles. Le premier cycle était étonnant et déconcertant par moments, mais jamais ennuyeux. Ce second cycle (qui n'en serait pas vraiment un, puisque des zones d'ombres seront expliquées dans un troisième cycle, s'intercalant ainsi entre le premier et le second, vous me suivez... Si ce troisième cycle s'intéresse à la continuation des aventures de Jade (son futur donc) et le passé récent de Kim, j'en ai déjà mal au crane pour recoller les morceaux), ce second cycle donc, est trop souvent déconcertant (de nombreuses morts de personnages centraux sont vite expédiées), s'attache à des personnages dont on se contrefout (car assez fades), les différentes intrigues s'éparpillent un peu trop et le récit devient ennuyeux, bien que conservant de beaux restes pour ce tome 8. Quant à la dessinatrice, son talent n'est plus à prouver, néanmoins certains dessins et mises en couleurs font moins aboutis que sur les tomes précédents. Mais il est vrai que la couverture est splendide (une des plus belles de cette année) et rattraperait presque tout le reste...
Voici mon avis qui vaut pour le premier cycle (les tomes 1 à 4). Série envoutante, sensualité, superbes dessins, scénario bien ficelé. La seule déception pour moi, c'est le 4ème tome "Le Trésor" et surtout à partir du moment ou ils se retrouvent face au soi-disant trésor. A partir de ce moment et jusqu'à la fin, j'avoue ne pas avoir tout compris. A cause de ça, pour moi il s'agit d'une bonne série, mais ce n'est pas un chef d'oeuvre.
Cette série est aux premiers regards assez spéciale pour son coté fantastique qui peut étre par moment un peu compliqué à suivre.
Le dessin est superbe, surtout les femmes sont très réussies.
Je ne pensais pas que je pouvais apprécier se style de série, qui faut le dire est très spéciale, en meme s'est du Dufaux tout craché, et j'adore.
Ouah quel couverture, elle déchire ne trouvez vous pas?
On retrouve Kim Nelson qui est en expédition pour retrouver la perle noire.
Sinon, dans le passé, Jade la djinn qui est devenue la déesse Anatku pour le peuple des africains, refuse de boire le poison qui lui fait oublier ses sentiments et la réalitée.
Il n'empéche cependant que la révolte des africains envers les blancs ses malheuresement produite en faisant trop de victimes innocentes.
Sinon une suite toujours géniale digne des autres albums.
Dans cet avant dernier épisode du second cycle, la tribu canibal ou se trouve Jade, et qui est prise comme la déesse Anakthu, veulent éliminer les blancs de leur terre.
Lord Nelson enfermé se retrouve avec la personne chargé de le retrouver par sa propre femme.
Les deux personnages veulent s'enfuire et pouvoir éliminer Jade.
On retrouve cette fois Kim Nelson en Afrique, qui tiend à rechercher une perle noire qui appartenait à Jade.
Pour cela elle doit faire certaines choses pour avancer dans sa quète, qui tourne par moment dans le fantastique, mais qui ne déplait pas.
Entre temps, elle découvre le cadavre de son descendant Lord Nelson.
Cette fois les auteurs nous emmennent en Afrique.
Le bateau ou se trouvait les Nelson et Jade à été attaqué par une tribu africaine de canibal.
On en apprend d'avantage sur le parcours des trois individus depuis la Turquie jusqu'à l'Afrique.
C'est un peu moins bon que Murena mais cela reste très haut d'une manière différente.
Fin de se premier cycle de Djinn, toujours mené superbement par Dufaux et Mirallès.
Kim toujours acompagné de Malek, ont réussi à sortir du harem, et se dirigent cette fois dans le désert pour y retrouver un trésor caché.
En 1912, les anglais cherchent à savoir se qui est arrivé à plusieurs de leur hommes disparus lors d'une sortie avec Jade, auprès du sultan.
On reconnait le style de Dufaux qui aime méler historique avec une touche de fantastique.
Dans ce troisième épisode, les hommes du sultans sont tous à la recherche de Jade, qui a été enlevé par Lord Nelson, se qui est mauvais pour les arrangements entre le sultan et les anglais.
Quant à elle, Kim doit seplier aux ordres que lui dicte le chef du harem pour sauver son ami Malek.
De plus elle en apprend un peu plus sur son passé.
Lord Nelson est acablé par la disparition de sa femme, et prends des contacts pour la retrouver, qui est devenue une nouvelle du sultan.
En meme temps mais plusieurs années après, Kim doit passer par des épreuves étranges pour pouvoir se permettre de faire la rencontre d'une perssonne importante.
Une suite très agréable.
L'histoire de cette série, se passe de deux façon, la première celle se passant en 1912, et la seconde à notre époque.
Les deux histoires se situent au Moyent Orient, aux alentours d'Istambul.
Kim Nelson une jeune anglaise essaye de remonter les traces de sa grand mère, Jade, qui était en 1912 la favorite du sultan.
Dans cette meme époque, Lord Nelson et sa femme font la connaissance pour la première fois du sultan et de Jade.
Un dessin joli qui permet d'apprécier la série.
L'aventure africaine continue, Jade est devenu une déesse et entraine le peuple noir dans la révolte, et tous sont prêt à mourir pour elle.
Avec un scénario qui vire avec le fantastique de plus en plus irréel et un dessin moins original, Djinn reste plaisant mais ne surprend plus autant. Un début de lassitude ?
Un avis valable pour le premier cycle en fait.
Il semble que je sois un des rare à ne pas avoir apprécier ces albums. Si le graphisme est superbe il semble un peu trop évident que les auteurs voulaient dessiner des nus. Je rejoins un autre avis que j'ai lu ici : ça fait penser à un vieux film érotique; c'est vrai, on y retrouve les clichés, le sexe complètement omni-présent, les femmes superbes et faciles, les hommes toujours très baraqués et une histoire plutôt légère, très loin de l'aspect historique que pouvait laisser penser le début de l'album.
Pourquoi ne pas avoir assumé et avoir produit une BD adulte ?
Bref, aux amateurs.
Miralles toujours au top, dessin très beau très accessible, très envoutant. L'histoire de Jean Dufaux est bien mené et captivante. Mais comme toujours l'atmosphère est pesante, l'amour jamais pur et le bonheur inaccessible ! Comme dans ses autres séries, Jean Dufaux a tendance a me donner le bourdon.
Mais c'est pas si mal puisque j'y reviens toujours.
Toujours excellent, bine qu'un léger cran en dessous des 2 premiers tomes.
Dans la lignée, et à la hauteur, du premier tome. Scénario soigné, bon dessin et belles couleurs.
Sur fond historique, la quete d'une jeune Anglaise dont la grand-mère était la favorite d'un sultan. Desservi par un beau dessin et des couleurs chaudes, l'histoire nous emmène dans une lointaine Turquie. Excellent.
Je n'ai pas du tout aimé. Le scénario m'a fait penser à vieux film érotique à la Emmanuelle, mâtiné d'un peu d'histoire (et encore). Ça sent le vieux fantasme occidental, avec la belle anglaise coincée au début, mais qui en redemande à la fin, la jeune métisse farouche qui se sert du sexe pour arriver à ses fins, le gros pervers dégoûtant et pédophile de surcroît... Que de clichés, que de clichés !
J'attendais une approche plus historique et réaliste du harem (qui pouvait certes exercer une influence certaine sur le pouvoir, mais sûrement plus par le jeu des hérédités que par les prouesses sexuelles des concubines), j'ai été très déçu.
Avec le dernier tome de ce magnifique quatuor ce clos le premier cycle de Djinn. Dufaux leve le voile sur ses personnages et sur le tresor du sultan, mais le mystere ne s'efface jamais tout a fait, un peu comme a la maniere du harem. Son temps est revolu, il entre desormais dans le monde du fantasme.
La sensualite et les couleurs de Miralles sont toujours aussi seduisantes, et contribuent majestueusement a tisser le lien entre les deux heroines par dela les epoques.
Un album merveilleux.
Une tres bonne serie acec une histoire tres originale. Pourvu que lasuite soit à la hauteur des trois premiers tomes