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2 patrons, Loustal au dessin, Götting au scénario (inspiré de Noir, autre album de 2012). Autant dire qu’on ne prend pas de gros risque. Et comme avec Pigalle 62.27 dont j’ai déjà parlé, on n’est pas déçus.
Un raté prêt à tout pour du fric, des gangsters sans pitié, une blonde vénéneuse à souhait… tous les ingrédients du polar us des années 60 sont là. On y ajoute un chien noir et nous voilà partis dans une sombre noyade, une chute inexorable vers les enfers pour Stefan qui ne sait pas où il met le petit doigt (c’est le cas de le dire) en acceptant l’offre qui lui est faite : tuer quelqu’un. Sauf qu’il n’ a jamais fait ça Stefan et que c’est pas si facile….
Le style graphique de Loustal est coloré, taillé à la serpe, c’est vivant et les personnages ont beaucoup de consistance.
En conclusion, encore une réussite pour ce duo, mais est-ce une surprise ?
Il y a des lectures qui m’ont jadis marqué aussi bien en positif qu’en négatif. J’associais Loustal à un style graphique rigide et à un verbe pompeux. Bref, ses œuvres ne me plaisaient pas. C’est donc avec une certaine appréhension que j’ai abordé cette lecture de Black Dog.
J’ai remarqué une évolution positive à savoir que les textes qui composent la narration sont beaucoup moins rébarbatifs. Bref, il y a des dialogues et c’est beaucoup plus vivant que le style contemplatif d’antan.
Ce polar noir dans la plus pure tradition hollywoodienne se laisse suivre. Je ne dirai pas non plus que la lisibilité est bonne car il y a des scènes de flash-back qui ne sont pas évidentes comme il n’y a pas d’indication de temps ou quelque chose pour marquer cette rupture temporelle. Par ailleurs, le scénario est d’une simplicité déconcertante qui n'apporte rien.
Pour autant, je vais quand même donner la moyenne car j’ai repéré de sérieux progrès. Cela vient petit à petit. Il est vrai que parfois, on découvre un nouvel auteur qui a déjà tout.