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Perso j'ai adoré, l'album le plus réussi de la série selon moi. récit bien mené et qui a l'avantage de ne prendre qu'un tome. Rafraichissant même si le sujet est tout sauf léger
Le premier tome s'était achevé avec la fugue de Wadji suite à la trahison de sa famille adoptive d'accueil qui n'avait pas supporté son comportement colérique et violent. Il faut dire que cet enfant n'avait connu que la guerre, les nombreuses privations et surtout la perte tragique de sa famille d'origine avant de connaître un parcours d'exil à travers l'Afrique.
Visiblement, cette famille bourgeoise n'était pas prêt à subir toutes les conséquences de ce lourd passé qui a laissé immanquablement des traces. Bref, quand le monde des bisounours bobos rencontre une certaine réalité de la souffrance humaine, cela peut ne pas toujours coller. Il faut savoir que 7% des enfants adoptés dans notre pays finissent par être à nouveau confié aux services sociaux. On parle alors d'échec d'adoption. C'est malheureux.
Bon, cette seconde partie va tout de même se terminer dans un happy end dans la joie et la bonne humeur après avoir fait monter la tension dramatique. Le dénouement apparaît presque comme pas très crédible mais on l'accepte aisément au vu des circonstances car on a envie que cette famille puisse trouver sa stabilité. La bienveillance finit par payer.
Le dessin est impeccable dans son exécution. J'aime beaucoup les couleurs également qui donne un peu de peps à cet album feel good.
Cette BD traite du thème de l'adoption. J'avais beaucoup aimé dans le même genre « Couleur de peau miel » qui était un très beau témoignage d'un enfant adopté. On retient que le déracinement est quelque chose de difficile à vivre poutre la perte de ses parents biologiques.
C'est vrai que je me mets à place de cette famille adoptive et aimante qui a tout fait pour bien accueillir cet enfant Wadji qui ne le rend pas bien. J'avoue que la patience et la gentillesse a ses limites.
Je trouve que ce n'est pas juste que les meilleures intentions ont parfois les pires conséquences. Une fois qu'on est sauvé, il faudrait être reconnaissant du bonheur et de la protection qu'on nous offre. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre dans un premier temps les réactions de ce petit garçon de 10 ans qui a vécu la guerre au Yémen.
Puis, petit à petit, on se rend compte de ce qui se cache réellement derrière ce comportement à la fois craintif et agressif. C'est à la famille adoptive de faire face avec la compréhension qui devrait rester de mise ce qui ne sera pas le cas chez les Guitry, des bobos quadragénaires qui ont eu beaucoup de mal à adopter et qui pensent faire une charitable action.
En effet, on va se rendre compte à la fin qu'il y a du bon dans ce petit garçon totalement désemparé. Il nous reste à découvrir comment tout cela va se terminer dans le second tome.
Un mot sur le dessin d'Arno Monin pour souligner qu'il est réellement magnifique. J'ai adoré les décors ainsi que l'expressivité des différents personnages. J'ai aimé également la mise en couleur qui est sublime. Bref, tout cela concourt à une lecture très agréable.
Je suis tout à fait d'accord avec l'auteur de la chronique. Autant les deux premiers tomes de l'Adoption m'avaient séduit, autant celui-là m'a déçu : comment envisager un accueil d'enfant adopté aussi mal que dans cette famille ? Cet accueil est tellement inadapté et maladroit qu'il passe pour bien trop irréaliste, voire absurde.
Je rejoins l'avis de Jaco948 le grand-père est à nouveau bien mis en avant dans ce tome. Alors certes j'ai un peu moins accroché que pour le précédent (les goûts et les couleurs...) mais nous avons là une très belle BD
Très bel album, l'histoire peut parfois être déroutante mais s'avère extrêmement touchante. J'ai particulièrement apprécié les reflexions sur la vie et le personnage du grand-père qui est a n'en pas douter la star de l'album
Il faut savoir qu'en 2015, sur 5000 ouvrages environ, 25% était de la pure création. Oui, cela veut dire que dans l’engorgement actuel, un quart seulement concerne la nouveauté. Les maisons d’édition préfèrent ne pas prendre de risque et continuer sur des valeurs sûres. Du coup, la créativité est en forte diminution depuis quelques années. L’âge d’or est terminé. Or, nous avons là une bd originale à souhait et inventive. Sortir de l’ordinaire est déjà quelque chose de formidable en soi dans un tel contexte.
L’auteur arrive à bien camper ses personnages ce qui leur confère une forte densité. J’aime les personnages qui ont du caractère mais où on découvre également des hauts et des bas ce qui les rendent terriblement humains. Il faut également dire que cette bd est épaulée par un scénario solide. Je n’en attendais pas moins de Zidrou qui signe là l’une de ses meilleures œuvres.
J’ai été également attiré par une belle couverture qui est en soi une invitation à entrer dans l’album et à découvrir ses mystères. Les dessins sont exceptionnels car ils sont remplis de détails avec une mise en couleur éclatante. Ce graphisme magnifique confère à un certain dynamisme. L'ambiance qui se dégage de cette bd est indescriptible de force et d'émotion.
J’ai eu du mal à trouver un défaut à cet album. On ressort de la lecture franchement époustouflé. Je n’ai pas décroché de cette lecture. Il y a incontestablement une bonne maîtrise de la part de l’auteur. Au final, je dirai que c’est une bd à ne pas manquer comme à un anniversaire d’ailleurs. Moi, je l’ai adopté en tout cas.
Ceux qui sont déçus par le second tome n'ont semble-t-il pas saisi le véritable sujet de cette histoire, qui est en réalité centrée sur le grand père, et non sur la petite fille.
L'ensemble (que j'ai lu d'affilée) m'a au contraire semblé d'une remarquable cohérence, et le second tome n'est pas moins bon que le premier, même s'il est moins rose.
« Quand les tomates sont farcies, y a plus qu’à les mettre au four ». C’est sur cette pensée profonde que Gabriel prend son courage à deux mains avant de franchir la porte de la maison. Celle où vit désormais la petite Qinaya. À ce moment précis, dix-huit mois se sont écoulés depuis que les services sociaux sont venus la chercher pour la ramener auprès de sa mère biologique au Pérou, à Lima.
Avec pour prétexte de ramener son vélo, lequel symbolisait le début de complicité avec sa petite-fille adoptive, Gabriel ne pouvait s’attendre à mieux que de revoir une enfant heureuse et épanouie. En espérant intiment qu’elle reconnaisse son achachi. Qinaya finira par lui apporter la quiétude nécessaire pour qu’il laisse passer le petit nuage. Désormais, telle une Garùa, Gabriel va devoir affronter la brume épaisse qui se trouve face à lui et pour se frayer un chemin, il pourra compter sur un compagnon nommé Marco.
Car ce n’est pas encore le moment pour le patriarche Van Oosterbeeck de rentrer auprès des siens. Le destin et le nombre de vols limités en décident autrement. Le temps pour lui de comprendre ce qui l’a vraiment conduit jusqu’au Pérou. Quelques points communs vont rapprocher naturellement Gabriel et Marco. Ce dernier, avec sa propre quête, va aider notre protagoniste à comprendre que ce qu’il était venu chercher en Amérique du Sud, il le possédait déjà. Le boucher retraité qui clame à qui veut l’entendre « qu’il n’y a pas plus tendre comme viande que le cœur d’un papa », ne s’était pas rendu compte qu’il avait endurci le sien. Jusqu’à ce qu’une petite fille de quatre ans lui ouvre les yeux.
Monin offre avec L’adoption toute l’étendue de son talent. Si l’on devait donner un exemple, ce serait celui où ne l’on voit pas toujours le regard de Gabriel à travers ses verres de lunettes teintés. Le visage de ce dernier étant tellement expressif que cela n’est aucunement gênant. Des couvertures à la profondeur de ses personnages. Des ambiances chaudes et colorées à celles plus troublantes. A. Monin donne cette agréable sensation qu’il s’est complètement approprié cette histoire.
Pour toutes ces raisons évoquées, ce serait avec grand plaisir de pouvoir retrouver ces deux auteurs dans un nouveau projet commun.
Au final, en relisant le diptyque dans son intégralité, on s’aperçoit que cette tranche de vie remplie de sensibilité et d’humanité, est d’une constante fluidité. L’adoption est une comédie dramatique qu’on découvre, qui nous séduit et qu’on adopte sans hésitation.
Pour les amateurs, les espace culturel Leclerc ont publié avec l'éditeur un superbe tiré-à-part de 8 pages de croquis et d'interview des auteurs, sur un beau papier épais. Ne trainez pas, il n'y en aura pas pour tous : tirage limité à 1500 exemplaires. Ce tiré à part est offert pour l'achat du tome 2.
Ce tiré-à-part est fort judicieusement intitulé 'Les secrets de l'adoption'...
Alain et Lynette vont faire entrer Qinaya dans la vie de Gabriel. Peu à peu, la petite fille et le vieux s'apprivoisent. Mon dieu, rien que de reparler du scénario, j'en ai des frissons! C'est un vrai beau scénario qui m'a ému aux larmes. Suivre cette relation est juste magique. La fin est ouverte et m'a laissé pantelante, comme assommée.
Qinaya est très attachante. C'est un petit bout de femme venue de l'autre côté du monde. Gabriel quant à lui est un grand- père un peu bourru mais au grand cœur et qui va s'habituer à la présence de la petite, jusqu'à créer un lien indéfectible. C'est beau de voir que la méfiance fait place à un véritable amour.
La BD est vraiment très forte en émotion.
Ce scénario déjà magnifique, et complété par une esthétique sublime. Les illustrations sont colorées et réalistes. Il y a beaucoup de détails. Les expressions faciales sont saisissantes. Les prises de vue sont belles, émouvantes et attendrissantes. Le dessinateur s'arrête sur des regards échangés, des mains qui se frôlent. Même sans mot, les illustrations parlent d'elles même.
http://aufildesplumesblog.wordpress.com
Grosse déception !
L'histoire en elle-même est bien écrite, le dessin toujours aussi beau mais la magie et l'effervescence, si importants et bien retranscris, du 1er tome ont disparu. À la manière des briques qui s'emboîtent, Zidrou livre un second tome qui fonctionne avec le premier sans garder la même couleur ni le même format... Il nous a habitué à beaucoup plus de cohérence entre les tomes de ses différentes séries.
Malgré un cliffhanger assez brut à la fin du T1, on s'attend à retrouver le devenir immédiat de nos héros et en particulier de Gabriel et Quinaya. Et ce n'est, hélas, pas tout à fait ce que nous présente ce 2nd tome. Quel est le message du scénariste sur cette série : j'ai dû passer à côté car je le cherche encore.
Il est difficile, désormais, de la conseiller tant ces deux livres sont différents et ne forment, selon moi, pas une série mais simplement deux histoires distinctes avec des personnages communs.
Après un premier tome magnifique, j'attendais le second avec impatience.
Et je dois avouer que si cet album est très agréable, je reste un peu sur ma faim.
Sans doute à cause de l'attente généré par le premier album.
Au final, cette série est quand même une grande réussite.
Bravo aux auteurs.
Ce second volume reste un grand moment pour la fluidité des dessins. Pour la narration j'ai eu le sentiment que Zidrou a un peu galèré à terminer cette histoire, en utilisant parfois des sujets qui semblent s'étendre sans raison sur plusieurs pages juste pour remplir des pages... Bref décevant par rapport au volume 1 qui alliait surprise et poésie
Avec ce second volume, Zidrou nous amène sur un terrain assez inattendu. Et ce choix audacieux, s'il casse quelque peu l'atmosphère dégagé dans le premier volume, est heureux.
En recentrant l'histoire sur les pérégrinations de Gabriel, le grand père,(la bande des gégés est quasiment absente de cet album, au détriment de Marco, nouveau compagnon de Gabriel) le ton est plus grave (même si les dialogues sont toujours aussi drôles et savoureux)mais aussi plus tendre.
Zidrou nous livre ici un regard sur la paternité ,mais là où on ne l'attendait pas, celle de Gabriel. J'avoue que c'est assez fort.
Au final, l'album est très émouvant à plus d'un titre.
En plus, pour ne pas gâcher notre plaisir, le dessin et les couleurs d'Arno Monin sont tout à fait remarquables.
Ce second volume faisait partie des albums dont j'attendais la parution avec impatience dans une année marquée, à mon avis, par une qualité éditoriale assez faible pour le moment, et je n'ai pas été du tout déçu.
Une de mes meilleures lectures depuis un moment
Splendide ! Une belle histoire, de jolies dessins. Et surtout, surtout une chute formidable, extraordinaire, qui vous fait piaffé d'impatience pour lire la suite.
Pas mieux que Wonderphil :
" Zidrou a remis ça ! Une histoire sensible et drôle, à la fin inattendue et percutante. De très beaux dessins d'Arno Monin."
Zidrou a remis ça ! Une histoire sensible et drôle, à la fin inattendue et percutante. De très beaux dessins d'Arno Monin.
Tout est réuni dans ce livre pour en faire une jolie pépite. Les dessins sont magnifiques, plein de douceur. Le récit est touchant, drôle et se lit d’une traite.
L’histoire aborde le thème de l’adoption de manière réaliste à travers cette famille française ordinaire.
On ne peut que s’attendrir face cette petite orpheline et ce grand-père qui vont peu à peu tisser des liens. Ils vont s’apprivoiser l’un et l’autre et je me suis prise d’affection pour cette adorable fillette qui va bouleverser la vie de ce grand-père un peu bourru.
J’ai totalement été séduite par le graphisme aussi bien que par le récit.
Le dénouement m’a émue et surprise. En refermant le livre, je suis restée sur ma faim et j’ai hâte de pouvoir le deuxième et dernier tome de cette histoire.
Une bouffée d’émotion et de tendresse pour ce superbe livre qui ne peut pas vous laisser indifférent.
Une belle histoire pleine de tendresse d'un papy, un peu bourru, qui va se prendre d'amour pour une petite péruvienne adoptée par son fils.
Ses vieux potes vont aussi tomber sous le charme de la petite.
Les dialogues sont vraiment sympas et on sourit plus d'une fois.
Quant à la fin... triste et rude. Aussi on espère un happy end au deuxième tome.
Que c'est beau !
Dans ce monde de plus en plus horrible, cette BD est une bouffée d'air frais, un pur moment de bonheur et d'émotion.
Un grand bravo pour le scénario et pour les dessins qui sont splendides !
Une histoire magnifique très riche, pleine de sentiments et d'inattendu comme Zidrou sait le faire (avec Les Beaux Étés ou La Mondaine notamment).
Des dessins magnifiques et très expressifs, proches de trait de Jordi Lafebre (dessinateur des 2 séries citées plus haut). Avec des personnages bien pensés et bien construits.
L'histoire et le dessin évoque tour à tour Les Vieux Fourneaux, la série Dad saupoudré d'un peu de Jim...
Le tout donne une BD magnifique, mon premier coup de cœur de cette année. Une BD avec des personnages à qui tous peuvent s'identifier, à lire et à relire. Vivement la suite, car le twist final met le lecteur en émoi...
formidable vie entre un papy et l'adoption d'une petite fille. Qui m'a dégagé une très grande émotion
Au fil des dernières années Benoit Zidrou s'affirme comme un des scénaristes incontournables de la bd franco-belge. Les histoires familiales comme "les beaux été" ou encore " le beau voyage" voire "le crime qui est le tien" demeurent le terreau de son imagination.
Avec "l'adoption", il franchit une étape supplémentaire dans l'émotion. Certes, à travers le personnage de Gabriel, on ne peut s'empêcher de rapprocher cet album de celui des "Vieux fourneaux", mais qu'importe, les bons sentiments font aussi , contrairement à une idée reçue, de bonnes histoires.
Ce premier volume est drôle, touchant et dégage une émotion qui ne peut vous laisser indifférent. Très concerné par le sujet (j'ai adopté 3 enfants sur les 6 que j'ai élevé , deux en provenance du Portugal et un de Grande Bretagne), j'ai retrouvé certains gestes que mon père a eu envers mes enfants adoptifs, surtout sur la petite que j'ai adopté.
Non seulement cette bd est drôle mais donc aussi très réaliste.
J'ajoute que le dessin de Monin, tout en rondeur,et assez lumineux , colle parfaitement au scénario de Zidrou
Je conseille vivement l'achat de cet album (fortement recommandé par mon libraire) et sa lecture, qui se conclut par un final qui ne peut que vous pousser pour l'achat du second et dernier volume.
Très bel album