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Album sympathique qui regroupe quatre courtes histoires, toutes articulées autour du même thème : Donald, grimé en Fantomiald, doit trouver du travail pour pouvoir payer son loyer à oncle Picsou. On reconnaît bien la patte humoristique de Nicolas Pothier au scénario (avec de nombreux jeux de mots, plus ou moins réussis) et Batem fait du bon boulot au dessin, en respectant bien les canons graphiques Disney tout en y ajoutant sa touche personnelle issue de l'école franco-belge classique.
Pas le meilleur album de cette collection, loin de là, mais bien sympa tout de même.
Certes, le dessin est chatoyant ... mais aussi totalement impersonnel, tant il évoque l'esthétisme des dessins animés Disney des années 40 & 50. Il n'y a donc aucune originalité graphique. Idem pour le scénario, qui reprend la plupart des gags issus de ces fameux dessins animés Disney (Donald et les fourmis, Donald enquiquiné par Tic & Tac ...). Même le coup de l'histoire muette tombe à plat, puisqu'il avait déjà été fait dans le T10 (avec bien plus de réussite qui plus est).
Pour résumer : un bel album, mais sans audace.
L'un des meilleurs de cette collection. Pourquoi ? Tout simplement car il répond parfaitement à ce que j'attends d'un album de cette collection, à savoir proposer une histoire originale qui respecte parfaitement l'univers et l'esprit Disney tout en faisant ressortir la "patte" des auteurs.
Ici le dessin et la colorisation, volontairement vintage, sont très appréciables tout en étant assez décalés des standards Disney (Mickey ou Pat Hibulaire, par exemple, ressemblent assez peu à l'image qu'on a habituellement d'eux). Quant au scénario, on reconnait très bien l'empreinte de Nicolas Pothier, qui construit une histoire aussi drôle que pleine de rebondissements, à base de calembours, jeux de mots et références très amusants (Star Wars, Goldorak, etc.). Bonne idée aussi d'avoir placé l'action dans un univers futuriste et d'y avoir fait apparaître tous les principaux antagonistes de MICKEY (dont le Fantôme Noir, pour qui j'avoue avoir un gros faible).
Le scénario sans surprise et le dessin vieillot n'apportent rien à l'univers de MICKEY. Ce n'est pas déplaisant à lire ni à contempler (même si l'ensemble reste très enfantin), mais il n'y a aucune originalité.
C'est un peu dommage car si j'ai bien compris le principe de départ de cette collection, c'est que chaque dessinateur européen invité s'approprie l'univers de MICKEY et l'adapte à sa sauce, en proposant quelque chose d'original, de neuf, que ce soit d'un point de vue graphique et/ou scénaristique. Loisel, Trondheim, Nesme, Cosey, Kéramidas, De Poortere, Tebo, Camboni & Filippi y sont à mon humble avis arrivés. Pas les auteurs de cet album. Dommage.
Après l’Arabe du futur, voici la souris du futur ! Mais bon, on ne peut pas dire que les deux titres sont similaires. Il s’agit juste de montrer à travers 4 petites histoires le monde de Mickey et Donald dans un futur assez lointain.
C’est un titre de commande à l’occasion du 100ème anniversaire de Disney où divers auteurs revisitent le mythe de Mickey à partir de 4 productions du passé : Lonesome ghosts (1937), Trailer Horn (1950), Mr Mouse takes a trip (1940) et Mickey’s fire brigade (1935).
C’est dans les vieux pots qu’on fait généralement la meilleure confiture. Certes, il y aura quelques changements et adaptations pour moderniser ces petits récits. Je n’ai pas vraiment trouvé mon bonheur sauf peut-être pour le premier titre qui prévoit un petit rebondissement à la fin.
En effet, le graphisme diffère totalement selon les dessinateurs qui se succèdent ne conférant pas du tout à une homogénéité de l’ensemble. Du coup, on est loin du Mickey parade de Don Rosa. Je n’ai pas trop apprécié quelques difformités avec les personnages classiques.
Par ailleurs, au niveau du récit, cela reste extrêmement naïf là où l’on attendait une petite modernisation. Cela ne le fait pas avec cette vision soi-disant futuriste. Je trouve que ce titre a un peu raté son objectif. Cela demeure néanmoins assez sympathique mais sans plus. C’est, en tous les cas, parfaitement adapté à un lectorat plus jeune.
Aujourd'hui, Disney a 100 ans. Il y a eu de la joie, de l'émerveillement, des déceptions, des polémiques, mais à mes yeux la magie des univers Disney est toujours intacte. À l'occasion du centenaire de Disney, nous avons donc droit à un ouvrage avec un collectif d'auteurs revisitant des thèmes de science-fiction déjà-vu, mais qui à la sauce Disney font toujours aussi plaisir. On part toujours d'un postulat simple. Nous sommes à une époque, il y a des changements positifs ou non et nos héros, Mickey, Dingo, Donald et j'en passe, eux n'ont pas réellement changés et sont toujours confrontés aux mêmes brutes, notamment le bien nommé Pat Hibulaire qui lui non plus n'a pas changé. J'ai beaucoup aimé le voyage dans le temps qui nous est proposé. C'est un vrai bonheur de lecture pour les fans d'animation et notamment les nombreux court-métrages mettant en scène nos héros à l'époque du grand Walt, cette manière de revisiter des récits de qualité sous la forme d'une bd est à mon yeux une très bonne idée pour fêter l'anniversaire de la compagnie.Certes, les univers des différents récits, n'ont rien de bien novateur quand on est un habitué de ce type récit, mais ça fonctionne bien et les dessinateurs donnent chacun une vision des différentes époques, du plus travaillé au plus simple, du plus coloré au plus basique, mais toujours avec le même talent et même si ce n'est pas le meilleur album de cette collection, on passe un très bon moment en compagnie de nos héros. Je ne regrette pas mon achat.
Découvrir l'enfance de Picsou au sein des quartiers pauvres de Glasgow en pleine révolution industrielle au XIXème siècle est particulièrement plaisant et ça change d'avoir à faire à un autre héros que Mickey. Le dessin est très chouette, avec un petit côté espiègle qui personnellement me plaît beaucoup et le scénario réserve en prime quelques séquences riches en émotions.
Un tome qui ne sort pas particulièrement du lot au sein de cette collection mais qui s'avère tout de même éminemment sympathique.
Alexis Nesme propose en solo une suite au T8 "Horrifikland" qu'il avait dessiné sur un scénario imaginé par Lewis Trondheim. Il reprend donc le schéma concocté par ce dernier (trois héros apprentis détectives, avec un Mickey rusé et courageux, un Donald froussard et un Dingo gaffeur) et fait voyager nos héros en direction d'une île mystérieuse peuplée d'innombrables dangers, à la recherche d'un aventurier disparu et d'un hypothétique trésor.
Moins drôle que le volume précédent (il manque la touche Trondheim), l'album est néanmoins très divertissant et la lecture est à la fois très fluide et très agréable. Le point fort de l'album reste bien sûr les dessins de Nesme qui sont comme d'habitude à tomber, avec en plus quelques trouvailles graphiques très originales qui amplifient le plaisir de lecture (la double page dans le labyrinthe par exemple).
Horrifikland nous plonge dans un univers où Mickey, Donald et Dingo tiennent une agence de détective en mal de clients. Le jour où une vieille dame vient le solliciter pour retrouver son chat perdu dans un mystérieux parc abandonné, le trio se lance dans une enquête au cœur d’Horrifikland.
Sans être sensationnel, le scénario est agréable et permet de passer un bon moment de lecture. La plus grande force de cette BD réside dans sa partie graphique. Les dessins sont absolument magnifiques. Chaque page est truffée de détails et c’est un régal pour les yeux. L’ambiance du parc est parfaitement retranscrite et la richesse des décors est bluffante. Bravo à Alexis Nesme pour son travail, je suis ravi de savoir qu’il fera un prochain tome sur cette série.
Un album que j’adore relire pour Halloween et que je recommande vivement aux fans de Disney (adultes et enfants).
J'adore Mickey mais je me dois de rester objectif: cette reprise de la petite souris de Disney est plutôt décevante. Les auteurs ne font pas preuve de modernité ou d'inventivité dans la mise en œuvre de ce récit. C'est du vieillot sans aucune saveur, cela reste creux. Je me demande véritablement si cela peut encore plaire en 2022 . Il est à craindre que même le jeune lectorat n’y trouve pas son intérêt. Au secours Mortelle Adèle!
Même les dialogues apparaissent comme d'une niaiserie sans pareille. Si on ajoute un dessin totalement rétro, on frise le pompon. Et dire que je n'avais pas vraiment aimé « Mickey et l'océan perdu » alors que le graphisme était au moins convenable ! Franchement, les personnages sont hautement superficiels. J'ai même eu du mal à suivre cette intrigue sans souci de cohérence et d'une trop grande platitude.
Je ne comprends pas vraiment les éloges faite à ce titre même si j'ai le plus profond respect pour la diversité des avis. J'ai pourtant commencé la lecture des comics quand j'étais jeune avec le fameux Mickey parade. Je sais que je lui dois sans doute un peu mon amour pour la bande dessinée. Mais bon, la nostalgie a quand même ses limites !
Un très bon album
Les auteurs nous proposent un moment agréable de bonne rigolade. Les scènes d’humour sont bien dosées, les rebondissements rendent la lecture agréable, le rythme est excellent. Le scénariste sait compter des histoires et ça se voit ! Le dessin est ce que l’on demande à un album de Mickey se passant à une époque médiévale… il est classique ! Et c’est très bien, avec des effets visuels de toute beauté.
Un beau récit sans paroles, un graphisme absolument superbe ! Les auteurs ont tout compris des dessins animés du Disney de la belle époque (les gags sont comparables à ceux des dessins animés) et l'on retrouve des personnages connus des inconditionnels de Disney comme Tic et Tac (les deux écureuils espiègles), Humphrey, l'ours paresseux, etc. Indispensable pour tout amoureux de Disney.
Je ne suis vraiment pas fan des histoires sans textes et en général je passe mon tour (il faut dire que la peinture m’emmerde au plus haut point…).
Mais bon je trouvais les graphismes tellement chatoyants que je me suis lancé pour cette histoire, surtout que j’apprécie toujours un bon récit avec Donald.
On va dire qu’on passe un bon moment, on rigole 2-3 fois sur les bonnes trouvailles (souvent liées à une quelconque mésaventure du sieur Donald) et on s’extasie sur quelques beaux décors forestiers et fluviaux.
Maintenant ce n’est pas une œuvre dont je me souviendrai : c’est mignon et gentillet, mais cela se lit vite et on oubliera le scénario dans 10 jours…
Dessins : magnifiques.
Mise en couleurs : réussie.
Scénario : enfantin.
Textes : aucun.
Difficile d'apprécier 48 pages muettes. Il faut être Panaccione pour réussir l'exercice avec 'Un océan d'amour'...
Mickey est repris par différents auteurs européens non issus du monde du comics. Ils vont adapter la petite souris à leur sauce. Dieu sait que j’adore Mickey depuis ma plus tendre enfance, mais là, c’est un véritable massacre que je perçois. Il faudrait arrêter cela tout de suite le cas échéant. En même temps, il faut bien laisser la place à une version créative différente. Cependant, on n’est pas obligé d’aimer et de faire des louanges si cela ne plaît pas.
En effet, c’est affligeant dans le scénario qui se veut moderne un peu à la Matrix. Pour le dessin, je serai un peu plus indulgent en reconnaissant certaines qualités graphiques même si on peut dénoncer un excès de colorisation.
En fait, je n’ai plus retrouvé le Mickey, la Minnie, le Dingo ou encore le Pat Hibulaire de mon enfance. C’est en l’occurrence d’autres personnalités qui ne correspondent pas à ces personnages mythiques. C’est un peu comme si ce scénario avait été conçu pour d’autres protagonistes que Mickey et sa bande. Au final, le rendu est plutôt bizarre.
Que dire également du blabla pseudo-scientifique ? C'est du charabia sans nom. Cela manque de cohérence surtout vers la fin quand Mickey se relève de son long coma. Je suis véritablement déçu et je n’ai pas d’autres mots pour le dire.
Il y a des collections très inégales comme celle de Conan le cimmerien, où le talent des auteurs ne suffit pas toujours à sublimer un texte d’origine parfois pauvre. Et puis il y a Mickey dont la collection originale Glénat en est déjà à son douzième tome (plus quatre hors-série) et qui, avec un cahier des charges finalement assez bref laisse libre court à l’imagination des auteurs, aussi diverse que peut l’être l’univers de Mickey. Déjà à l’origine d’un Océan perdu steampunk à la narration ambitieuse et surprenante, Filipi et Camboni remettent le couvert avec ce superbe nouvel album où l’on retrouve les codes déjà installés précédemment: un récit non linéaire qui perturbera cette fois moins les plus jeunes lecteurs, une disparition et surtout la création d’un monde neuf. La première qualité de l’album (outre donc les dessins et surtout les sublimes couleurs!) est donc ce monde aérien, cet archipel de terres éclatées parcourues par des courants qui parfois propulsent avec danger des blocs « dérivants » pouvant percuter d’autres blocs ou des voyageurs à dos d’oiseaux. Le découpage fait la part belle à ces paysages fantastiques à force de doubles pages magiques agrémentées de cases insérées, proposant une aération qui fait ressentir cet espace panoramique.
Si l’intrigue suit le schéma Disney avec un retors Pat Hibulaire, une menace manichéenne comme il faut et des amis à sauver, il faut noter l’importance, une fois n’est pas coutume, de Minnie, dont l’omniprésent courage à aller récolter des indices archéologiques sur les dérivants laisse le héros assez apathique et passif. Un peu comme chez Valérian, ce sont les amis qui dénouent l’intrigue et Mickey fait office d’avatar pour lecteur propulsé dans cette aventure. Le worldbuilding est ainsi parfaitement attendu et réussi et l’on peut se demander comme souvent pourquoi l’on a encore cherché à se caler sur un cadre contraint alors que n’importes quels personnages auraient tout à fait pu animer cette histoire…
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/11/15/mickey-la-terre-des-anciens/
Filippi et Camboni sont de retour avec cette nouvelle aventure de Mickey qui nous plonge au cœur d’un monde fantastique, au milieu des nues, où tout un peuple vit sur des ilots flottant dans le ciel. Seulement voilà, peu à peu ces ilots sont emportées par des bourrasques et précipités vers la mer de nuages en contrebas et il reste de moins en moins de parcelles pour vivre. Pire encore, celles qui restent sont réquisitionnés par le Fantôme, chef tyrannique du royaume qui s’accapare toutes les richesses.
Comme dans chacune de leurs aventures, les auteurs n’ont pas leur pareil pour dépoussiérer les fameux personnages crées par Disney et en faire les héros d’aventures palpitantes : Minnie est une aventurière téméraire, Pat le chef d’une armée rebelle et Mickey un cordelier désabusé par les malheurs de la vie. Visuellement on retrouve la richesse époustouflante que Camboni nous avait déjà offerte dans « L’Océan Perdu » : ce foisonnement végétal, ce sens du détail, ces paysages majestueux. Il faut dire que le décor de cette aventure s’y prête particulièrement : nous sommes quand même au milieu de cieux ! En plus de l’univers Disney, c’est aussi en Terre du milieu que l’illustrateur se plait à nous faire voyager dans cette œuvre et les plus grands se raviront sans doute de découvrir au détour d’une page l’Argonath, la tour d’Orthanc ou encore l’Arbre du Gondor -moi en tout cas, j’étais charmée.
Pourtant malgré des qualités indéniables j’ai eu du mal à me laisser embarquer dans cette aventure, bien plus que dans les précédentes. L’intrigue est bien installée, les personnages également, et le mystère qui entoure la Terre des Anciens est fort prometteur, malheureusement tout s’accélère dans les dernières pages, les réponses aux plus grands mystères sortent de nulle part et sont découvertes par hasard et la fin du récit est tellement bousculée que tous les enjeux tombent à plat…
Je mentirais en disant que je n’ai pas passé un bon moment, mais j’attendais davantage de cette bande-dessinée, même les illustrations m’ont paru un poil trop denses par moment et m’ont un peu égarée.
Il faut dire que les auteurs ont placé la barre très haut avec leur titre précédent, et j’avoue que l’épilogue m’a parue franchement bâclée, dommage. Mais peut-être est-ce mon cerveau d’adulte qui ne supporte plus de laisser des questions sans réponses et que les plus jeunes se raviront de ce voyage dans
C'est une aventure mignonne toute pleine qui ravira les plus jeunes et les vieux nostalgiques. Cosey a sans doute su retrouver la grâce d'une époque aujourd'hui disparue. Certes, la naïveté n'est pas une vertu mais la simplicité peut parfois l'être.
C'est avec plaisir que j'ai lu ce récit où Mickey fait la connaissance de Minnie. Certes, il y a d'abord ce malentendu lié à une affaire de vol dans un train. Ce bon vieux Pat n'est jamais très loin mais on 'aura pas l'occasion de voir véritablement ce personnage. On retrouvera par contre Dingo, Pluto et Horace avec un certain plaisir.
A noter que le style graphique de cette époque est conservé. Par conséquent, il semble que le cahier des charges est rempli. Mission accompli.
Des couleurs et un dessin chatoyants absolument épatants et une histoire toujours à mi-chemin entre l'aventure pure et le fantastique, mais avec davantage de poésie que dans "l'Océan Perdu", premier opus du même duo d'auteurs. Ca fait plaisir également de retrouver le personnage du Fantôme Noir, et non plus seulement Pat Hibulaire, en tant qu'adversaire de Mickey.
Bref, surement l'un des meilleurs de la collection, même si on peut se poser la même question que pour le précédent titre : à quand une autre vision du personnage de MICKEY avec la venue de nouveaux auteurs ?
Des graphismes encore une fois splendides, même si très « informatiques » (cela se voit sur les personnages en arrière-plan des planches et double-planches entières de décors insulaires).
Le scénario est un peu moins bon, plus convenu. Le ton enfantin ne me gêne pas, je sais ce que j’achète avec ce genre de BD. Néanmoins dans l’Océan Perdu, précèdent tome du duo, j’avais trouvé l’histoire un peu mieux contée.
Cela se lit, pour la beauté des décors principalement, surtout pour les adultes.
Une bonne histoire : avec une aventure de Mickey plus mature.
J'ai apprécié également que l'ensemble des personnages soient mis en valeur, notamment Minnie, Dingo et Pat.
Et les dessins sont excellents.
Un album pour retrouver son âme d'enfant, quand nous lisions nos BD sur le tapis, un bichoco à la main. Ambiance neige, montagne, juste ce qu'il faut pour la période de Noël. Douceur, gentillesse, amitié, un poil de gros méchant, un peu d'extraordinaire, pas de mièvrerie..
J'aurais adoré recevoir ce livre au pied du sapin quand j'étais à l'école primaire.
Trèèèèès mauvais ! Mixer l'univers de CORTO MALTESE avec celui de Disney était une très mauvaise idée. Ces univers sont tellement éloignés l'un de l'autre que le résultat final est boiteux. C'est un peu comme vouloir mélanger l'univers de "Bécassine" avec celui de "Sin City", ça ne peut être que foireux.
La lecture est ennuyeuse puisqu'on sait à l'avance ce que le scénario va nous réserver, et le dessin est d'une banalité affligeante (tellement classique qu'on se croirait dans un bête "Mickey Parade"). Sans parler des noms ridicules donnés aux personnages de cette aventure (Patspoutine, Mindora Gruyerenore, etc.).
Un album tellement affligeant que Glénat l'a retiré de la collection officielle pour en faire un Hors-Série. Un album pour moi vraiment "sans intérêt".
Cosey nous refait le coup d'un MICKEY, sauf qu'il s'agit cette fois d'une aventure de Minnie. Comme pour son précédent album dans cette collection, l'histoire est amusante, pleine de bons sentiments, ponctuée de quelques rebondissements inattendus, avec cette fois-ci en prime peut-être encore plus d'humour (on rit beaucoup à la lecture de cette histoire, principalement grâce à Minnie dont le caractère frondeur et le tempérament casse-cou sont très rigolos).
Le dessin simple mais élégant de Cosey est également très agréable, d'autant que quasiment toute l'action se passe dans des décors de montagnes enneigées que l'auteur affectionne tant et sait si bien retranscrire.
Une chouette aventure donc et un album que j'ai eu plaisir à lire, même si je trouve un peu dommage que Glénat fasse toujours appel aux mêmes auteurs pour faire vivre cette collection. J'espère découvrir de nouveaux auteurs et une nouvelle vision de l'univers Disney au cours des prochains albums.
Aaah ... celui-là est vraiment bien ! Pas le meilleur de la série, certes, mais on sent bien l'empreinte de l'auteur. Personnages revisités par un dessin minimaliste plutôt sympathique, scénario amusant, histoire entièrement muette ... assurément l'un des albums les plus originaux de la série !
Sans renier son style, Cosey nous offre une histoire de Mickey que l'on prend plaisir à suivre, pleine de poésie, de douceur, d'humour gentillet, de rebondissements amusants, avec en prime un petit côté mystérieux très agréable. Graphiquement, le trait épuré, s'il est peu impressionnant en soi, rappelle beaucoup les premiers Mickey des années 30 et colle ainsi parfaitement au cadre du récit.
Très chouette album au final donc, que l'on termine avec un petit sourire au coin des lèvres.
Le gros ratage de la série, dont les deux albums précédents sont déjà plutôt faibles.
Mauvaise idée, qui plus est mal réalisée.
Le rythme accéléré de sortie des albums semble bien le signe d'une démarche exclusivement commerciale.
Pauvre Mickey : (
Cinquante auteurs de BD "incontournables" mandatés pour mettre en scène la célèbre souris dans cinquante histoires inédites en une planche, avec pour seul cahier des charges: "Mickey entre par une porte à la première case et sort par une autre porte à la dernière case". L'idée était séduisante sur le papier. Malheureusement le résultat est très décevant.
D'une part, l'ensemble fait très décousu et la lecture est assez fastidieuse, car sans réel fil conducteur. Mais la déception est hélas surtout graphique. Moi qui me réjouissait de voir certains de mes dessinateurs fétiches s'accaparer MICKEY et le mettre en scène à leur sauce, je tombe de haut. Des auteurs que j'apprécie pourtant d'habitude, comme Brüno (TYLER CROSS, INNER CITY BLUES), Fabrice Parme (VENEZIA), Alfred (DONJON, LE DESESPOIR DU SINGE), Clarke (MELUSINE) … sont très en-deça de leur talent habituel. La plupart des autres ne valent guère mieux. Même s'il y a quelques bonnes surprises (Florence Cestac (LE DEMON DE MIDI), Munuera (SPIROU, MERLIN), Lapone (GREENWICH VILLAGE), Bouzard (FOOTBALL FOOTBALL) entre autres ne s'en sortent pas trop mal), elles sont plutôt rares.
En bref, un album qui promettait beaucoup et qui est finalement l'un des plus décevants de cette collection, décidément très hétéroclite.
Une découverte sublime, aussi bien au niveau des graphismes que de l'histoire. Je ne m'attendais pas à autant accrocher à l'intrigue, moi qui pensais ouvrir là un album jeunesse. Mickey a su grandir avec ses lecteurs, en voici la preuve !
Graphiquement, c'est sans nul doute le plus beau de la série (et pourtant, Loisel et surtout Camboni avaient mis la barre très haut). C'est bien évidemment le point fort de l'album, car il faut reconnaître que le scénario est assez enfantin. Heureusement, l'humour subtil de Trondheim rend la lecture amusante (le running-gag de Pat Hibulaire et son acolyte retombant systématiquement dans les pièges m'a par exemple beaucoup fait rire).
Pour résumer, c'est un album à la fois rigolo et incroyable visuellement, qui respecte bien les codes d'un Mickey (la succession à l'infini des images d'Epinal du genre horreur est tout à fait dans l'esprit Disney). A lire de 7 à 77 ans, selon la formule consacrée.
Très joli à regarder, les dessins et la colorisation sont parfaits. En revanche c'est un scénario très basique qu'on lit et c'est dommage.
Depuis 2016 Glénat a commencé la parution (avec l'accord de Disney bien entendu) d'albums Mickey one-shot par différents auteurs souvent réputés. Je n'ai lu jusqu'ici que le volume 2 de Trondheim et Keramidas et avais moyennement accroché au concept de vrai-faux original qui impliquait que l'histoire était discontinue. L'esprit d'aventure qui va avec certains albums de Mickey originaux m'avait cependant bien rattrapé, comme c'est le cas sur cet album. L'ouvrage est grand format, avec tranche toilée, superbe illustration de couverture avec effets irisés sur le cadre steampunk, l'intérieur a un papier épais mat. Très belle édition et bon point pour Glénat.
Mickey et ses amis sont des chasseurs de trésor et notamment le coralite, principale forme d'énergie utilisée pour faire fonctionner la technologie. Ils sont embauchés par le plus grand scientifique de leur temps pour récupérer un mystérieux objet au fond de l'Océan, mission pour laquelle ils disposent du seul équipement capable de résister à la pression...
Le premier élément qui saute aux yeux de ce nouveau Mickey c'est le visuel. Pas que les dessins, très jolis, les couleurs, magnifiques, mais le design général de l'album porté par une ambiance SF steampunk que l'on n'attendait pas, avec rouages et rivets en veux-tu en voilà. C'est à la fois fidèle à l'esprit d'aventure du héros Disney que l'on a déjà vu en semi-Indiana Jones par le passé et étonnamment moderne. Ce n'est finalement pas l'aspect SF qui modernise et surprend le plus mais bien le parti pris double de rendre Mickey relativement passif au travers de l’ellipse que vous découvrirez en lisant l'album et de bouleverser les rôles avec Pat Hibulaire. Dans cette chasse aux trésors écolo les auteurs ont en effet choisi de mettre l'ensemble des éléments de l'univers Mickey dans un Shaker et de les ressortir modifiés. Est-on toujours dans un Mickey? La question se pose, vraiment. Est-ce gênant? Absolument pas car Filipi et Camboni parviennent à utiliser l'aura et la familiarité de ces personnages iconiques pour en faire tout autre chose, avec le respect du contrat: offrir un grand récit d'aventure aux lecteurs de 7 à 77 ans. Sur la pertinence de la rupture de mi-album je suis plus réservé même si elle agit comme un véritable aiguillon d'intérêt dans la lecture, par cette surprise alimentée visuellement par une des magnifiques doubles pages parmi les nombreuses que comporte l'album.Que dire du travail de Silvio Camboni (ou bien de la colorisation d'Yvan Gaspard?) tant les planches explosent toutes à la figure? Certains pourront critiquer le côté numérique, lissé, brillant, mais il est indéniable que cet univers visuel correspond parfaitement à l'esprit Mickey. L'équipe scénariste-dessinateur-coloriste travaille ensemble depuis plusieurs séries maintenant l'on peut dire que l'alchimie fonctionne parfaitement. Je ne suis donc pas loin de penser que l'album doit plus à la mise en couleur vraiment impressionnante qu'aux dessins, si ce n'était le design général et la mise en cases qui sont tout de même marquantes, de part la sensation d'espace, de panoramas et que la thématique de l'Océan aérien permet de magnifier.A vouloir décortiquer les mérites de chaque intervenant on finit par perdre l'essence de l'art et de la BD, à savoir le plaisir, plaisir du récit, de l'imaginaire et plaisir graphique. Mickey et l'océan perdu procure les trois en cinémascope et sincèrement, si l'on ne peut pas parler d'album d'auteur (le peut-on sur un Mickey?), cet album respire le plaisir de la production et du partage d'un imaginaire d'enfant où la noirceur n'existe pas. J'appelle ça un bonbon sucré.
Lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/01/23/mickey-et-locean-perdu
Aucune originalité juste un mixage de Corto avec des personnages de Mickey. Un graphisme certes très professionnel mais qui n'apporte rien.
Loisel nous ramène aux origines de Mickey avec scénario originale. Un dessin toujours aussi superbe que ressuscite le Mickey de notre enfance, un peu rebelle, roublard, humaniste. Le livre est de qualité avec une reliure toilée à l'italienne et bien que ce format soit inhabituel, il reste un indispensable.
très bel album, une histoire pleine de sensibilité comme sait les écrire Cosey. le graphisme colle avec l'histoire sans trahire le style si particulier de Cosey. Rien que les répliques de Dingo valent le détour.
Un album pour les enfants !
Pour ma part j'ai trouvé le scénario très ennuyeux, voire lourding... du très mauvais Mickey (dixit un ancien lecteur du Journal de Mickey).
Je mets deux étoiles car les dessins sont chouettes et l'ouvrage est de bonne facture.
L'histoire est malheureusement très très très banale, sans grande originalité (on se croirait dans un MICKEY PARADE). On ne sent pas effectivement la "patte" des auteurs, comme c'est le cas dans les autres albums de la série. Par exemple, le Tebo était drôlement iconoclaste. Loisel a apporté au personnage de Mickey une dimension sociale et politique qui lui est chère. Trondheim a su développer son sens de l'humour décalé si typique, sans dénaturer l'univers de Disney. Quant à Cosey, il avait réussi à amener une poésie touchante à l'univers de Mickey et à donner au personnage une certaine humanité (deux choses qui caractérisent cet auteur). Ici, rien de tout ça. Je n'ai pas retrouvé de vision personnelle du personnage de la part du scénariste.
C'est d'autant plus dommage car le dessin est très chouette, avec un petit côté cartoon que j'ai trouvé très sympa. Suffisant pour remonter un peu la note, mais pas assez hélas pour faire de cet opus un album indispensable de la série.
Nouvel opus signé Trondheim & Kéramidas. Si la lecture de cet album n'amène pas autant de surprise que le précédent (on retrouve, comme dans le premier album, des histoires en forme de gags sur une planche, avec l'humour absurde typique de Lewis Trondheim et le dessin bien typé de Kéramidas, volontairement vieilli par des pages jaunies et des fausses taches d'impression), inutile non plus de bouder son plaisir. C'est drôle, frais, farfelu, et le dessin est très plaisant. Certaines planches m'ont bien fait rigoler. Bref, encore un chouette album.
Travail technique réussi, mais franchement, aucune créativité. J'ai eu l'impression de lire une histoire classique normale de Mickey... Je croyais que cette collection devait apporter un nouveau regard sur ces personnages, un nouveau souffle. Ce n'est pas le cas pour cet album, le plus classique de tous ! Dommage
Vraiment un très bon album. Le dessin est de qualité, le scénario avance bien et les gags font mouche. Cette collection vaut vraiment le coup !
Cinquième album d'une série consacrée à Mickey et ses compagnons selon le principe de vu par des auteurs différents, le moins que je puisse dire, c'est que les dessins sont tout simplement magiques ! Chaque planche est unique et de toute beauté. De ce côté, absolument rien à redire.
Pour l'histoire, c'est quand même intéressant. On retrouve Mickey, Minnie et Dingo dans un univers steampunk, ce qui contraste habituellement avec ce que l'on connaît d’eux. Ils sont à la recherche de source d'énergie, avec comme compétiteur leur adversaire de toujours, Pat Hibulaire. L'histoire est très bien, originale même, mais il manque l'humour et la touche enfantine qui fait le Mickey que l'on connaît. Dingo est méconnaissable, surtout.
Un album de très grande qualité et peut-être une future BD de collection. Mais à cause d'une trop grande dénaturation des personnages de mon enfance, je lui donne seulement un 7/10. Malgré tout, je le recommande à tous.
Un très bon album, à la fois très respectueux des œuvres originales (graphisme, personnages, colorisation...) et délicieusement remis au goût du jour par Keramidas et Trondheim, qui de toute évidence s'éclatent à chaque fois à adapter les héros de Disney !
UMickey en mode Steampunk, c'est original !
Ce récit nous présente les aventures de Mickey, Minnie et Dingo. Ils sont aventuriers, chercheurs de trésor ou scientifiques voire un peu de tout ça à la fois et vont affronter (entre autres) Pat Hibulaire dans une histoire des plus étonnantes.
Je regrette le rythme de l'histoire assez inégal, la cohérence de certaines scènes et les dialogues parfois compliqués pour les plus jeunes (sans compter les fautes de grammaire et d'orthographe de la première impression).
Le dessin est bien évidemment réussi même si les cases sont archi-denses et là encore c'est pas très simple pour les jeunes lecteurs.
Enfin, un autre regret concernant la qualité du papier. Un papier mat qui, selon moi, n'est pas du meilleur effet pour les couleurs.
Au final, cet album a des défauts, c'est certain, et la promesse d’une belle aventure n’est peut-être pas tenue. Faut-il se dispenser de le lire, peut-être pas...
Le dessin est évidemment incroyable, mais l'ambiance steampunk correspond mal, selon moi, à l'univers de Mickey. Ce scénario de science-fiction est très confus, et il est bizarre de voir Mickey, Dingo & cie parler de "cargo quadrimoteur", "coralite", "variateur oscilloscopique", etc. Un album graphiquement époustouflant, mais qui ne figure pas parmi les meilleurs de cette collection.
Si je ne devais retenir qu'un album sur cette série, ce serait, pour l'instant celui-là.
Très drôle, très frais, le format histoires courtes permet de supprimer les temps morts.
A noter quelques très belles trouvailles de mises en page (doubles pages notamment).
Oui c'est décalé mais sans aller trop loin non-plus. Un très bon album.
Un dessin fin et particulièrement fouillé. Des couleurs superbes. Une histoire originale dans un monde type western futuriste.
Aucune fausse note. Une réussite.
Mon premier achat de cette collection, j'ai bien aimé l'histoire, les illustrations et les couleurs. plutôt satisfaite
Pour moi qui commence la collection et qui est novice, je suis plutôt satisfaite de cet achat. Je trouve les formats de cette collection Glenat très sympa, et j'ai bien aimé l'histoire.
Sensible aux illustrations, j'ai adoré, il est magnifique! le choix des couleurs est irréprochable.
Très satisfaite de cet achat
Mon exemplaire perd son titre sur la tranche. Est-ce normal docteur ?
Album pas mauvais, mais qui ne méritait pas une édition de luxe. Les précédents albums étaient proposés au prix fort car étant des créations originales GLÉNAT.
Là, ça sent l'opportunisme financier à plein nez.