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Je viens de finir l'intégrale, et c'est la première fois que je lisais le décalogue.
Bon, le reproche à faire sur le livre en tant qu'objet, c'est que dans une bibliothèque, ça assure vraiment... la tranche est super belle, la couverture aussi (l'intégrale de 2021), le format est assez grand... le livre a donc très fière allure. Mais pour le lire, à un moment donné, 570 et quelques pages de papier, ca fini par peser lourd, et par conséquent, la lecture devient quelque peu moins agréable à partir du dernier quart.
Mais bon, rien d'insurmontable bien sûr !!
Et bien évidemment, l'histoire dans son ensemble est vraiment originale. Je me suis vite passionné par l'histoire du manuscrit, du livre et de la relique. C'est très intéressant aussi cette histoire a rebours, la chronologie inversée... Bref, une lecture à faire absolument.
Aussi, le fait que les dessinateurs changent d'un chapitre à l'autre, contribue à la fluidité de la lecture. On arrive à passer plus facilement d'une période à l'autre, à séparer les époques tout en conservant la cohésion de l'ensemble.
Si nous en savions déjà beaucoup sur Nahik, notamment grâce aux derniers tomes, il nous restait encore un secret à découvrir : les origines mêmes du texte. Giroud remonte ici beaucoup plus loin dans le temps, en l'an 652, à Médine. J'éviterai de trop en dire, mais sachez que cet ultime tome tient toutes ses promesses, avec un scénario une fois de plus passionnant de bout en bout. De plus, ce dixième tome est l'un des plus beaux graphiquement de la série, ce qui n'est pas pour déplaire ! Au final, "Le Décalogue" est une grande série qu'il est toutefois difficile d'appréhender au début. Les premiers tomes, s'ils restent dans l'ensemble très réussis, donnent peu d'indications sur les intentions réelles de Giroud. C'est vraiment à partir du tome 7 que la série se met à enchaîner les révélations et où le récit prend une nouvelle dimension. Une fois le dixième tome terminé, on peut s'amuser à relire les tomes dans l'ordre décroissant, et là tout le génie de Giroud apparaît dans toute sa splendeur. Tout s'enchaîne remarquablement, pleins d'éléments qui paraissaient nébuleux à la première lecture, prennent alors tout leur sens, c'est tout simplement vertigineux. Les thématiques de la série (les rapports qui ont toujours liés le sacré aux êtres humains, à quel point le divin a toujours déchaîné les passions humaines, pour le meilleur et pour le pire, et les dangers immenses encourus par l'Humanité lorsqu'il lui prend l'envie de manipuler ces croyances afin de servir ses propres intérêts, qu'ils soient politiques ou idéologiques) n'en prennent que plus de force encore. Si les scénarios de la série sont incroyables, il est malheureusement impossible d'en dire autant sur son aspect visuel. La multiplicité des dessinateurs ne sert pas vraiment la série, le nombre de tomes bien dessinés se révélant être une minorité. Heureusement, la série se finit sur deux tomes vraiment très jolis, achevant "Le Décalogue" sur une bonne note, et rendant justice à la richesse hors normes d'une oeuvre à découvrir pour tous les amateurs de bandes dessinées.
Après nous avoir dévoilé les circonstances de la création de la version reliée de Nahik dans le tome 7, et après nous avoir tout dit sur l'auteur du manuscrit dans le tome 8, Giroud continue de remonter le temps pour nous raconter le périple égyptien d'Eugène. Ce voyage, qui a fait perdre la raison à l'ancien soldat, est en effet capital afin d'en apprendre plus sur les origines mêmes du fameux texte. Ce neuvième tome s'avère tout aussi passionnant, le fameux Desnouettes, le peintre des aquarelles de Nahik, faisant enfin son apparition dans la série. Tout est réussi : une intrigue dépaysante qui ne manque pas de suspense, des révélations, un dessin très joli (les paysages égyptiens de Faure sont splendides). Un vrai régal qui ne laisse augurer que du bon pour le dixième et dernier tome à venir.
Après nous avoir dévoilé les circonstances de la création de la version reliée de Nahik dans le tome précédent, Giroud va plus loin ici car il nous dévoile maintenant les origines même du fameux manuscrit. Pour ce faire, il réutilise pour la première des personnages déjà connus, en l'occurrence ceux du tome 7. L'intrigue se déroule quelques années avant les évènements du septième tome. Ninon, la soeur d'Hortense, emménage, avec son mari Alexandre et son fils Benjamin, chez son frère Hector, un romancier de renom. Dans l'immense demeure de l'écrivain vit aussi leur frère Eugène, enfermé à double tour dans l'une des pièces de la maison, car il a complètement sombré dans la folie. En voulant tout faire pour guérir son frère, Ninon va découvrir l'inimaginable... Un tome tout simplement incontournable dans la série, de par toutes les réponses qu'il apporte sur le livre maudit. Les révélations sont très bien trouvées et témoignent de l'immense talent de Giroud, qui maîtrise son récit d'une main de maître. Par contre le dessin est une grande déception et pourtant il n'y a pas vraiment d'action dans ce tome, mais graphiquement c'est vraiment triste. Il n'en reste pas moins que nous avons affaire à un excellent tome, grâce à son superbe scénario.
1822, dans une France déchirée par des émeutes, Hortense Fleury va se retrouver impliquée dans la Charbonnerie, une société secrète visant à renverser la monarchie. Entre secrets et autres complots, ce tome est capital dans la série, puisqu'on y assiste à la création de "Nahik", le fameux ouvrage maudit, l'objet de toutes les convoitises. Encore une fois, Giroud livre un excellent scénario même si ici il surprend moins, notamment dans son dénouement qu'on devine assez longtemps à l'avance. Le dessin encore est classique mais plutôt joli, par contre niveau mise en scène c'est le calme plat. Un peu d'audace à ce niveau ferait le plus grand bien à la série pour les tomes suivants. Bon tome néanmoins.
Ce nouveau tome du "Décalogue" se déroule en 1902, à New York. La protagoniste de cette nouvelle histoire, Alice Fleury, va voir sa route croiser celle du manuscrit maudit, et va l'amener à découvrir un secret de famille particulièrement sinistre. Giroud maintient toujours un haut niveau de qualité dans ce nouveau récit remarquable et riche en surprises. Dommage que le dessin, très classique, ne se montre pas à la hauteur d'un tel scénario.
Ce cinquième tome se déroule en 1922, à Berlin. Missak est un jeune arménien ayant perdu toute sa famille lors du génocide dont son peuple a été victime pendant la Première Guerre Mondiale. Un mystérieux groupe lui propose de faire partie des "vengeurs", dont l'unique but est de traquer et éliminer les responsables turcs du génocide ayant échappé à la justice. Entre choix moraux difficiles et un nouvel amour, quel sera son choix ? Et ce n'est pas la présence de Nahik, le livre maudit, qui va faciliter les choses... Un bon tome, servi par une intrigue solide baignant à nouveau dans ces drames et ces haines historiques nés des plus affreux conflits. Seul le dessin, très classique et manquant singulièrement de maîtrise lors des séquences d'action, ne se montre pas à la hauteur. Un bon tome néanmoins.
C'est en 1946 que se déroule ce quatrième tome du "Décalogue". Le destin de quatre amis bosniaques va se retrouver bouleversé par la guerre et ses horreurs, dans une intrigue remarquablement écrite. Il y a du suspense, des rebondissements et un final aussi réussi qu'implacable. Et le livre "Nahik" qui survole tous ces évènements de sa présence maudite... Tout est vraiment remarquable, et seul un dessin pas toujours maîtrisé empêche ce tome d'être parfait. Le meilleur tome jusqu'à présent.
Nous voici cette fois-ci en 1958, en Grèce. Shelley McGuire est une chercheuse voyageant avec six autres hommes, dont elle ne sait rien, en direction d'un vieux monastère se trouvant perché au fin fond des Météores. La récompense n'est autre que Nahik, le livre mythique, mais un tueur fou pourrait bien s'être glissé au sein du groupe... Ce nouveau tome du "Décalogue" s'avère sympathique mais il peine à passionner. Entre des personnages à peine esquissés, une intrigue se résumant à un petit "Cluedo" peu mémorable en pleine montagne, et un dessin correct mais très classique, ce troisième tome s'avère le tome plus faible de la série jusqu'à présent. Reste une histoire solide et plaisante néanmoins, mais rien de plus.
"Le Décalogue" continue sur sa lancée et livre un tome à nouveau très réussi. Béhé laisse sa place à Giulio De Vita au dessin et Patricia Faucon à la couleur, qui livrent ici un travail remarquable au service d'un scénario très bien écrit. Le suspense est savamment dosé et ne retombe jamais jusqu'à la fin du tome, mention spéciale à toute la partie se déroulant à bord du train, superbe. Une série qui s'avère solide.
Le principe du "Décalogue" est simple, quoique originale dans le monde de la bande dessinée : dix tomes, dix histoires autonomes, se déroulant à plusieurs époques mais néanmoins liées, dix scénarios signés Frank Giroud, mais chaque tome est mis en images par un dessinateur différent. Le point commun entre toutes ces histoires ? "Nahik", un manuscrit très ancien et aux multiples secrets... La première histoire se déroule de nos jours, à Glasgow. Le manuscrit finit entre les mains de Simon, un directeur éditorial qui rêve de devenir écrivain. Le mystérieux ouvrage pourrait bien bouleverser sa vie, mais le manuscrit semble exercer un bien étrange pouvoir sur quiconque s'en approche... Un premier tome très réussi, l'histoire est vite prenante, très bien rythmée, l'ambiance de plus en plus pesante est remarquablement mise en scène grâce aux très jolis dessins de Béhé. Une excellente entrée en matière qui donne envie de découvrir la suite.
Je viens de relire avec délectation l'intégrale du décalogue. Frank Giroud, récemment décédé, était un scénariste hors pair. L'histoire reste diablement d'actualité et il est absolument passionnant de détricoter la pelote au fil des albums. On s'aperçoit que Eugène Nadal n'est pas le si glorieux Capitaine qu'on aurait pu imaginer. Le véritable héros de la série, c'est l'énigmatique et talentueux Desnouettes. Un petit bémol pour la qualité inégale du dessin. Mais en choisissant à chaque fois, un nouveau dessinateur, on ne pouvait pas être dans la continuité sur ce point ...
Un chef d'oeuvre qui mériterait son adaptation en mini série....reste à trouver le ou les réalisateurs.
En tout cas quelle imagination ce Mr Giroud.....
Ce huitième tome est censé être le point de départ de l'élaboration scénaristique du Décalogue. On peut donc lui reconnaitre que le fait d'être l'album pivot de la série lui donne d'emblé un intérêt particulier. C'est malheureusement aussi le principal, pour ne pas dire le seul. Le scénario n'est ici pas en cause, même s'il est assez sage (on a étrangement par moment l'impression d'être égaré dans un épisode de Scoubidou...). Non, là où le bât blesse comme souvent dans cette série, c'est au niveau du dessin qui assure un service minimum. Le trait de Rolin, sa mise en page ne sont pas désagréables. Tout cela n'est pas mauvais. Mais ce n'est pas vraiment bon non plus. Sans doute qu'une mise en couleur inspirée l'aurait agréablement réhaussé mais là aussi, comme pratiquement à chaque fois, on est plus proche du repas de cantine que du restaurant étoilé.
C'est finalement le grand défaut du Décalogue à mon sens. Car on voit bien, lorsqu'un scénario de Franck Giroud est servi par un grand dessinateur comme Homs pour l'Angélus (dans la série Secrets), on atteint le sublime, on touche au chef d'œuvre.
Bref, album après album, le Décalogue apparait un peu comme un gâchis pour n'avoir pas su trouver, ou presque, un dessin à la mesure de l'ambition scénaristique.
Note: 2,5/5
Ce septième tome fait partie des moins bons de la série. Il a au final peu de choses pour lui en dépit des noms prestigieux des auteurs. Car ici Gillon fait du mauvais Gillon. Tout parait terriblement figé, les mouvements manquent de dynamisme comme si les personnages étaient pris dans du plâtre. Il s'arrange en permanence pour n'avoir à dessiner qu'un minimum d'éléments de décors et pour cela met en évidence les visages des personnages. L'effet pervers de ce procédé est que l'on remarque l'étrange ressemblance entre quasiment tous les visages. Des visages bien trop peu expressifs au final, toujours dessinés sur une même base et avec les mêmes "trucs" de dessinateur. On sent sans cesse ici les mauvais tics de ce grand nom de la bande dessinée qui se parodie davantage qu'il ne se réinvente.
De son côté, Giroud déroule une histoire à laquelle on souscrit à grand-peine et que l'on suit distraitement, sans passion, ce qui est positivement fatal pour une histoire de passions amoureuses, politiques et familiales.
Cet album est à coup sûr la grande déception du Décalogue pour moi. Un ratage. Ce qui, dans une série déjà moyenne, nous amène mécaniquement assez bas.
En gardant à l'esprit que chaque tome du Décalogue peut se lire indépendamment des autres, celui ci semble particulièrement s'affranchir de sa dépendance à la série. S'il est bien question de Nahik, le livre tant convoité, le reste de l'histoire appartient tout entier au genre du roman policier des années trente à la Agatha Christie, un Whodonit où l'entièreté de l'intérêt réside dans l'identité de l'assassin qui élimine les uns après les autres les membres de l'expédition.
Le charme et les limites du dessin de Jean François Charles donnent la mesure de ce troisième tome du Décalogue. On lui trouve mille défauts mais il a pour lui sa singularité, laquelle produit une sorte fascination qui fait défaut à une bonne partie des autres albums de la série. Ses dessins sont noirs et tourmentés par les ombres qui menacent de dévorer chaque personnage et chaque chose, rendant efficacement l'ambiance de mystère et d'inquiétude de ce récit. La mise en couleur n'appelle aucun blâme ni éloge, on évolue dans l'utilitaire sobre. C'est déjà ça de pris.
S'il est agréable à lire, "Le météore" ne dépasse toutefois pas le cadre de son genre. Il demeure malgré tout une des réussites de cette série, même s'il est loin d'en être la pierre angulaire. Il peut parfaitement se lire sans avoir lu les autres titres.
20 ans après, j'entame une relecture du décalogue. Ce second épisode, à l'instar des neuf autres, me laisse la même impression à deux décennies de distance. La curiosité du départ face à une intrigue déroulée sur dix épisodes cède peu à peu la place à chaque fois à un intérêt plus restreint pour une histoire certes bien pensée et bien écrite mais malgré tout assez convenue. C'est bien, oui, et cependant le grand souffle attendu face à l'ambition scénaristique annoncée au lancement de ce Décalogue sonne aux abonnés absents. Car Nahik, le livre maudit et convoité tout au long de cette série se révèle être davantage un fil rouge pour unir des récits disparates que le cœur battant de l'intrigue.
Ce second épisode est agréablement dessiné par De Vita qui, il faut le reconnaitre, sait joliment gratter le papier; cela fait de "La Fatwa" un des albums les plus réussis de la série sur le plan graphique sans toutefois être plus brillant que cela. Pour le reste, il manque une étincelle pour rendre réellement prenante cette histoire de fuite en avant aux implications humaines, politiques et philosophiques pourtant exigeantes.
Du bon travail auquel il manque peut-être l'essentiel, la magie qui rode autour des grandes œuvres.
note: 2,5 / 5
Un volume qui semble davantage un trait d'union entre les premiers et les derniers albums de la série. On a l'impression que Nahik passe au second plan dans cette intrigue.à l'intérêt limité. Dommage car elle promettait beaucoup plus.
Le Décalogue : Nom donné aux dix commandements transmis, d’après la Bible, par Dieu à Moïse sur le mont Sinaï. D'ordinaire, ce terme a valeur de nom propre car il n'existe qu'un Décalogue... du moins officiellement.
Franck Giroud est le chef d'orchestre de ce Décalogue Musulman. Dix commandements contenant les dernières volontés du prophète Mahomet, regroupées dans un même ouvrage, Nahik, et qui seraient susceptibles de bouleverser entièrement les fondements de notre civilisation. Les lectures de chacun des tomes du Décalogue s'avèrent multiples.
Dix tomes étalés sur une période remontant jusqu’à l’Antiquité et qui bouleverse les préceptes de la religion du Coran. Explosif…mais jouissif! J’ai réellement adhéré, même si une lecture anté chronologique me faisait quelquefois perdre les repères.
Le scénario de Giroud relève du virtuose tant le tout est rondement bien pensé et cohérent. J’admire également la qualité graphique des couvertures de chacun des 11 tomes. Le Décalogue va certainement marquer la BD par son concept tout à fait original.
Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.25/5
Cet excellent album de la série du Décalogue trouvera une suite dans le spin off le légataire qui en révèlera la suite en particulier dans le tome 4.
Excellente série que je viens de relire dans son intégralité.
Je ne mets pas 5 étoiles, car les derniers tomes (VIII, IX et X) sont moins bons que le début de la série qui est monstrueuse.
Génial !
Mon avis vaut pour toute la série car je n'ai pas envie de découper l'histoire qui se veut globale même si chaque album contient une histoire indépendante. Quelle œuvre, quelle histoire. Je viens de relire la série après 10 ans et je me dis tout simplement que c'est un chef d'œuvre, une série que tout amateur se doit de posséder. Naturellement, tous les albums ne se valent pas question dessin, mais qu'importe… Une des meilleures BD de ces 20 dernières années, une œuvre absolument magistrale !
En refermant ce dernier tome de cette saga, on ne peut que féliciter l'auteur pour son talent de conteur. Et c'est vrai que ça fait beaucoup de sens la suggestion de certains lecteurs pour refaire une relecture en commençant par le dernier tome pour remonter le fil du temps en suivant la chronologie des événements.
Le Decalogue est une œuvre qui mérite absolument d'être lue et peut-être bien à posséder...
On remonte les origines du Decalogue au fil des tomes et ici, c'est la rencontre entre Eugène Nadal et Fernand Desnouettes, le fameux auteur de Nahik. Ici c'est la genèse de l'histoire et c'est un excellent album et on est un peu triste pour Eugène à la fin..
Bref du tout bon et j'ai hâte au dernier tome de cette fabuleuse Saga :)
Excellent tome et supposé être le tout premier tome du Decalogue et on comprend mieux pourquoi à la fin de la lecture. Cet album conte tout simplement la genèse de Nahik et on connaît enfin l'identité du fameux Alan.D
Bref, Giroud reprend du poil de la bête et on en espère autant des volumes suivants
Très bon album dans la saga Decalogue, nettement mieux que son prédécesseur mais moins bon que les autres. Une belle histoire qui font de façon tragique, ce qui est fort dommage et la raison derrière l'est tout autant.. On en sait un peu plus sur les origines de Nahik tout de même ...
Je rejoins l'avis de Voltaire, Giroud nous avait habitué à mieux dans les précédents mais ça reste un bon album malgré tout et qui se laisse bien lire
Une excellente saga qui se confirme album après album :) Jusqu'à présent, Giroud tient les rênes du scénario d'une main de maitre et ce cinquième opus est un bijou de lecture sur fond de genocide arménien et la revanche des survivants et au centre de tout ceci, Nahik...
À posséder !!
Excellent tome et toujours un agréable moment de lecture, je rejoins les avis précédents :) mon seul regret reste la tournure des événements et la fin, car j'ai prit de vive sympathie le personnage du prêtre et comme l'a dit Voltaire, ce n'est pas la vérité qui sort triomphante mais bien une perception personnelle et déformée de ladite vérité...
À lire tout de même :)
Excellent one-shot ( suite) du Decalogue dans ce troisième opus. Une invitation pour découvrir et authentifier Nahik, ce mystérieux manuscrit contenant la dernière sourate, pour 5 hommes et une femme mais qui ne se déroule pas comme prévu..
Excellent scénario de Giroud, par contre, le dessin laisse un peu à désirer mais on s'y fait assez rapidement.
À lire donc et à suivre !!
Excellent scénario et très bon album contrairement à son prédécesseur ! L'intrigue est très bien menée et les protagonistes crédibles dans cette histoire.
Un jeune intégriste, amoureux d'une occidentale est confronté à exécuter une Fatwa sur la personne d'un théologien musulman dont ce dernier risque de le confronter à ces croyances à travers Nahik. Excellent sujet et traité brillamment dans cet opus ( one-shot)
J'ai hâte au chapitre suivant :)
J'avoue que j'étais perplexe à la fin de la lecture de cet album, je ne sais quel commentaire ou réflexion qui pourrait être juste... Je ne comprend vraiment pas pourquoi le principal protagoniste s'est suicidé à la fin.. Et ce manuscrit "Nahik" dont on ne sait pas grand chose finalement et qui ne sert que de base ou motif pour cette histoire décousue... À suivre dans les autres albums
Une très bonne série
Une toute fin de série un tout petit peu moins bonne que les quelques avant derniers tomes. Je ne connaissais pas le décalogue et je conseille grandement cette série originale, qui remonte le temps au fil des tomes.
Quelle série ! Ce scénario est tout ce que j'aime du mystique, une mise en abîme de la série dans la série, bref que du bon, tout est suspens. On peut la lire dans deux sens ce qui est remarquable du point de vue de l'écriture. Le sujet est passionnant, la collaboration avec plusieurs dessinateurs apporte quelque chose d'unique à cette série unique. J'adore !
Toujours aussi intéressant pour cette suite. Les différents protagonistes des épisodes n'ont rien à voir entre eux, d'ailleurs les dates changent, mais le point central de toutes ces histoires c'est NAHIK. Qui ou quoi est Nahik, eh bien je vais vous laisser le plaisir de le découvrir (en commençant par le tome 1), tout au long de ces 10 tomes qui racontent les passions, les haines, la guerre, les croyances des hommes à travers ce point commun. Bonne lecture
Nouvel opus qui se lit indépendamment du tome 1. Un scénario qui m'a beaucoup plu malgré le thème Ô combien épineux et dangereux (même en BD) du fanatisme islamique. Là encore, la fin n'est peut-être pas celle qu'on pense. Cela nous présage des rebondissements dans les tomes à venir.
morale de l'histoire : "La science sans la religion est boiteuse la religion sans la science est aveugle" albert einstein
Une bonne surprise que ce début de série ; en effet à la vue de la couverture je ne m'attendais pas à atterrir dans notre monde contemporain ; un scénario prenant, une logique morale dans les évènements, et une fin qui n'est peut-être pas celle qu'on pense. Pour le graphisme, inversement, la couverture splendide laissait présager des dessins plus parfaits ; on dirait que le dessinateur s'est arrêté au premier jet de son crayon, déjà de très bonne qualité pour un brouillon. Dommage, mais ça se laisse regarder avec plaisir quand même.
La moral de l'histoire pourrait se résumer ainsi : Arrive ce qui devait arriver quand on met le doigt dans l'engrenage.
Un complément très intéressant au Décalogue qui indique le destin de certains protagonistes et donne des éclairages historiques.
Et c'est aussi de la BD avec des chapitres dessinés en complément des textes.
A lire.
Série très impressionnante tant par la qualité des scenarii (car il y a bien DES scenarii, satellites d'une trame de fond elle aussi excellente !) que par la finesse déployée sur un sujet aussi délicat que l'Islam (car oui, c'est bien le fond du sujet)
L'histoire est très prenante, on ne sait pas où on va et effectivement au bout d'un moment ça semble partir en vrille ... MAIS, il faut aller jusqu'au bout !
Et.... je ne suis pas tout à fait d'accord pour dire qu'il peut se lire dans un sens ou dans l'autre : gardez le mystère, lisez-le d'abord dans l'ordre des tomes ;-)
Et ensuite, effectivement le lire dans l'autre sens permet une approche totalement différente du problème et nous ouvre de nombreuses autres voix de réflexion !
Très belle expérience en ce qui me concerne, je conseille sans limite !
La version coffret anniversaire est effectivement particulièrement réussi, même si trouver un exemplaire VRAIMENT numéroté reste difficile ! (perso j'ai bien une 'édition limitée numérotée, sauf qu'il n'y a rien d'imprimé en face du "N° " ....
GENIAL, EXCELLENTISSIME !!!
Magnifique intégrale.
A posséder ! Les 600 pages sont magnifiques, l'intégrale est numérotée et est imprimée sur un papier écologique très agréable au touché.
Le 11ème commandement, qui se trouve en fin de ce magnifique objet et de tout aussi bonne facture que la série. Il ne fait pas qu'apporter des éléments nouveaux, il peut être considéré comme un tome a part entière qui apporte des réponses à quelques questions. La mise en forme est terrible.
Je n'ai pas été dérangé outre mesure par le changement de dessinateur d'un album à l'autre. Ok, ils sont tous différents mais il y a tout de même un style commun.
L'histoire peut parfois paraître niaise, ou on a parfois le sentiment que ca va se terminer en queue de poisson, mais NON.
Chaque tome peut se lire seul et dans le désordre, MAIS je pense qu'il y a 2 façons de lire le DECALOGUE.
1) Du tome 1 au 10
2) Du tome 10 au 1
N'ayez crainte la fin dans un sens ou dans l'autre est tout aussi agréable.
Je suis même persuadé que lire du Tome 10 au Tome 1, pourrait ajouter un sentiment de malaise au lecteur. (j'en dis pas plus)
Le décalogue parle de l'épopée d'un livre et d'une famille, très bien ficelé.
Pour moi, chef d'oeuvre, pas que pour le tome 11 évidemment, mais pour toute la série qui est non seulement quelque part une leçon d'histoire certes détournée ou romancée, mais aussi une réflexion sur l'homme, ses ambitions, ses rêves, sa folie. De plus, la totalité de l'oeuvre est sans doute un cas unique dans la bande dessinée mondiale. On peut le lire du 1 au 10, comme du 10 au 1 (chronologie historique), ainsi que lire les tome indépendamment dans le désordre. Mais toute la force de l'oeuvre réside dans sa complétude. Vraiment un must. La diversité des dessinateurs ne m'a nullement gèné. Le tome 11 est tout aussi intéressant, et complète à merveille l'ensemble, une leçon d'Histoire en prime. La fin est ambigue car Giroud laisse sous entendre que tout le décalogue est basé sur la saga d'une famille bien réelle, ou les trous de l'histoire ont été comblé par son imagination, Nahik en étant le fil conducteur.
Bon ben que dire de cet album, en fait pas grand choses, si se n'est le fait que je l'est trouvé très mauvais sur tous les plans.
D'une part le dessin est très laid se qui empéche de pouvoir correctement lire l'histoire, mais le pire , pour moi c'est le scénario dont j'ais trouvé initerrressant.
De plus je ne comprend pas pourquoi ont ils fait chaques album avec un dessinateur différent.
Depuis le 13ème tome de la série XIII, il est de bon ton d'avoir ainsi des albums hors-série qui permettent de remettre à plat et dans l'ordre des aventures un peu complexes. Et puis c'est toujours l'occasion de vendre un album de plus.
Cela a été ainsi le cas des "Maîtres de l'Orge", de "Alpha" ou du "Scorpion", alors pourquoi pas ici ?
D'autant que cet album est plutôt bien fait et développe certains aspects passés sous silence dans la série. Bien évidemment pour l'apprécier, il est préférable d'avoir lu les 10 albums, sinon tout ceci risque de rester un peu abscons.
Pris isolément, cet album est une jolie histoire d'aventures exotiques. Ça bouge, ça remue, ça trahit... Bref, rien que du classique !
Il y a bien sûr cette fameuse omoplate de dromadaire qui est à l'origine des bouleversements des personnages de cette saga.
La morale de ce volume et donc de la série est évidemment très ironique. Du coup, elle en devient cruelle.
Nous voici revenus aux débuts de la campagne d'Egypte; l'occasion pour nous de faire connaissance avec le fameux Desnouettes et son triste destin. L'occasion aussi de voir Eugène Nadal dans sa gloire, puis dans sa déchéance, lui qu'on avait connu dans le volume précédent dans son hébétude et son isolement.
Sinon l'album propose un schéma classique du récit d'aventures que les dessins de Michel Faure et les couleurs de Jean-Jacques Chagnaud savent fort heureusement réhausser de leurs éclats.
Comme l'indique Giroud en page de garde, cet album est celui qui débute véritablement la série. C'est aussi lui qui servira de base à la série connexe des "Fleury-Nadal".
Sans les explications finales, d'ailleurs un peu tarabiscotées, cet opus serait assez moyen. Mais il ya justment ces révélations, assez sordides, qui illustrent bien le côté noir de l'âme humaine. Du coup, ce livre semble meilleur même si nous sommes encore loin du souffle des premiers albums.
On reprend l'histoire quasiment à sa source avec l'impression du fameux livre, le Nahik. A ce titre l'album est nécessaire car il permet de reconstituer toute une partie de la saga.
Mais l'intrigue de cet opus est plutôt faiblarde, sauf bien sûr la révélation finale qui est un sommet de cruauté.
Quant au dessin de Paul Gillon, j'avoue avoir été assez déçu. Il ne donne jamais l'impression de "fonctionner" dans ces décors et costumes d'époque alors que dans de nombreux albums "modernes", il est d'une totale puissance.
Le titre indique précisément le ressort de l'intrigue, laquelle a le mérite de ne pas être complètement linéaire mais aussi -et surtout l'inconvénient- de ne pas être très palpitante.
C'est en fait même l'album le plus faible de la série (...avec le suivant).
Ça se lit certes mais franchement Giroud nous a dans le passé -et particulièrement dans cette série- habitué à mieux.
Un jeune Arménien, rescapé des massacres, est recruté par des groupes de "vengeurs". Son rôle : séduire la fille d'un criminel de guerre pour mieux attirer son père dans un piège. Le Nahik sera un excellent prétexte pour cela. Tout se passerait dans le meilleur des mondes si l'amour ne venait pas perturber ce joli plan.
L'amour peut-il être plus fort que la haine ? L'album ne répond pas véritablement à la question mais tente de le faire. Correctement; sans plus.
Superbe, magnifique, subtil ! Les qualitficatifs manquent pour exprimer la qualité de cet album.
Cet histoire d'amitié et de haine prend racine dans la Yougoslavie d'avant-guerre et se poursuit dans la Rome de l'après-guerre avec les fameux réseaux d'exfiltration des criminels de guerre.
L'histoire qui nous est racontée ici est celle d'anciens amis devenus ennemis mais aussi parfois liés par des liens familliaux. Le prêtre qui est la figure centrale de l'album est plein de fragilités et de contradictions. La manière dont vont tourner les évènements vont faire que ce n'est pas la vérité qui va sortir triomphante mais une certaine perception de la réalité. Avec en attendant son cortège d'erreurs et de drames humains. Mais après une guerre qui a coûté 60 millions d'âmes, est-il simplement possible de sortir indemne d'un pareil conflit ?