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Fantastique
Série finie
Europe
6 albums
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Tout ce dénoue, le scénario et les explications pour mieux comprendre le lien entre les différents personnage est enfin la. On ne connais toujours pas le nom du héro.
La fin est spécial.
Cette série a eu pour but de tenter de nous montrer un lien entre la vie et la mort avec peut être un endroit entre les deux (enfin c'est ce que je pense), durant les albums précédent, l'âme ou la conscience représenté par le héro ont erré entre ces 3 endroit, pour finir à la fin dans le monde des vivants.
Série compliquée dans les tomes du milieu, intéressante sur le fond malgré des dessins parfois confu avec un scénario flottant, peut être voulu par les auteurs pour garder un mystère entre la vie et la mort.
Le scénario avance, confu au début avec l'apparition d'un nouveau personnage (l'acteur qui possède des tableaux de l'ile de la mort).
Sinon, les curés reviennent et le scénario et beaucoup mieux ficeler, enfin bref on comprend mieux l'idée, toujours pas de nom pour le héro et j'opte de plus en plus pour une représentation de l'âme humaine via ce perso et une tentative d'établir un lien entre le vivant et la mort via l'histoire d'un tableau avec des pouvoirs !
Scénario encore un peu plus confu, on se retrouve 15 ans plus tard avec le fils de Gunter qui a sauté Marge l'ancienne copine du héro, on sais pas bien pourquoi.
Ce fils, dont sa tante une certaine Katrina apparu au tome precedent, a attrapé le 'mal' d'un de ses ancetres, la trame avance mais pas facile a suivre.
On ne connais toujours pas le nom du héro qu'on voit peu ici, plutot le personnage Gunter et son fils.
Après ce tome, j'ai du relire du début en repartant du tome 1 puis le 2 puis le 3 afin de mieux me remettre les idées en place.
Et c'est après ou je commence à me dire que le héro (sans nom) peux représenter en fait l'âme ou la conscience qui ére entre les 2 mondes ! enfin bref pas facile
Bon dans le tome 2, ça se cpmplique un peu avec l'apparition de certain personnage et Gunter, le peintre du tableau de L'ile des morts, on ne connais toujours pas le nom du héro !!
Le scénario lance donc des idées sur la conscience, l'ame et le passage entre la vie et la mort, mais de manière assez confu (du aussi peut etre au dessin).
Mais les dessins sont dans le meme type d'ambiance sombre, ca passe bien.
Le premier tome lance l'intrigue, les dessins sont spéciales (style de la série Gorn), mais le ton sombre, donne une bonne ambiance.
Le scénario se compren bien dans ce premier tome, ca va se compliquer après !! On ne connais pas le nom du héro dans ce tome (on parle de '' il '').
Noir et dérangeant. Voilà les mots qui me semblent caractériser ce cycle fantastique en 5 tomes. Le dessin (on a envie de dire la peinture), la mise en page, les couleurs volontairement ternes et à la palette réduite, tout cela forme un ensemble cohérent et original qui plonge le lecteur dans un univers oppressant... où il ne tarde pas à s’égarer ! Car le scénario est d’une complexité qui s’apparente à un puzzle dans lequel viennent s’imbriquer des références à Lovecraft (le mythe de Cthulhu) et à la légende du Hollandais Volant (le Vaisseau fantôme). Alors, on aime ou pas, on se laisse prendre ou non. Pour ma part, à partir du tome 3, j’ai commencé à décrocher pour finir par ne plus rien comprendre à l’histoire que j’étais en train de lire, confondant même certains personnages. Le style nerveux de Sorel contribue à cette confusion tout comme le télescopage des lieux et des époques. On ne sait plus très bien où l’on est (Venise, Ostende, la Mer du Nord, l’Ile des Morts...), ni quand. Et l’histoire se « termine » de la façon la plus nébuleuse qui soit, avec des phylactères flottants qui ne se relient plus aux personnages, laissant au lecteur le soin d’imaginer ce qu’il veut. En conclusion, l’Ile des Morts est une œuvre atypique et forte. Mais il me semble que ses auteurs n’ont pas réussi à la maîtriser suffisamment. Peut-être, après tout, est-ce cela qui plaira à certains ?
Le style de Sorel est fascinant. L'ïle des morts est un voyange dans les ténèbres de l'esprit, l'ambiance est lugubre mais hypnotique, l'histoire maintient une tension continue, même si les derniers tômes font dans l'abstraction intensive. Comment se rendre physiquement sur "l'ïle des morts" telle que peinte par Arnold Böcklin...
Cette série m'a ouvert au monde de la peinture, et je ne m'en remettrai jamais.