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Un diptyque particulièrement réussi qui tient plus du roman graphique ou du polar noir que de la bande dessinée ou du Comics.
L'histoire très simplette de la vengeance ne révolutionne rien mais en revanche, l'exploit tient sur le dessin et le découpage le tout habillé par une palette de couleur uniquement composée de rouge, blanc et noir. Le rendu est superbe et le format à l'italienne nous offre de superbes planches.
Néanmoins, même si les dessins sont lisibles et très détaillés, parfois et même trop souvent, ils sont un peu brouillons et totalement illisibles. On ne sait pas ce que le dessin représente et le lecteur est obligé de s'arrêter et de réfléchir pour comprendre. Cela casse le rythme et perturbe la lecture.
Victor Santos réussi malgré tout un véritable tour de force qu'il fallait oser et nous livre quelque chose de totalement inédit.
Avec cette série, il est incontestablement à la bande dessiné ce que Mark Miller est au cinéma.