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Arte est enfin arrivée à Florence, accompagnée de son escorte, afin de sauver l'homme qu'elle aime à savoir son maître Léo, le peintre taciturne qu'elle avait quitté pour suivre la princesse catalane. Tout n'est que désolation par cette ville ravagée par la guerre.
Ce tome sera également l'occasion de faire un petit tour en arrière afin de connaître le passé de Léo, artiste sombre et torturé, et de sa relation avec son propre maître nommé Ezio. Il faut dire que les relations entre les deux hommes ont changé après un certain incident qui nous sera dévoilé et qui constitue le point d'orgue de ce récit.
Certes, on pourra reprocher à ce tome que l'intrigue générale n'avance pas au profit d'un événement dans le passé de l'un des principaux protagonistes. Est-ce que cela apporte véritablement quelque chose ?
C'est la question légitime que l'on peut se poser. Nous savons qu'il existe des tomes dit d'attente dans ces grandes séries interminables. Cela fait juste durer le plaisir avant le moment que tout le monde attend.
Le graphisme est toujours aussi soigné ce qui fait dans le dessin de qualité. On pourra admirer les détails dans le décors et surtout au niveau des costumes des personnages dans cette riche période qu'est la Renaissance.
Sur le fond, on verra que l'art n'est pas fait que pour satisfaire l'orgueil et l'ambition des apprentis. Il faut parfois produire des œuvres qui ne reflètent pas la personnalité de son auteur. C'est une logique purement capitaliste dont la moralité ne plaire sans doute pas aux amateur d'art. Il est question d'obéissance et de discipline dans une tradition typiquement japonaise.
C’est l'un des rares mangas que je suis en achetant chacun des tomes lors de sa parution. Evidemment, il me tarde de terminer mais c'est le genre de personnage qu'on aime suivre. De toute façon, la mangaka a prévenu en postface du tome 18 que la fin de la série approchait.
Ce tome se passe au moment de la capitulation de Florence face à l'empereur et au parti du pape qui souhaite mettre cette ville dans leur rang. Une terrible famine s'empare de la ville qui a été assiégée. Elle doit également faire face à des pillages commis par ses propres soldats ce qui est un comble.
Notre héroïne Arte et ses amis sont sur le point de rentrer dans la ville dévastée par la guerre afin qu'elle puisse retrouver Léo. Et c'est là que l'action va faire une pause pour s'intéresser un peu plus près au passé de cet homme qui fut le maître de peinture de la jeune femme avant que celle-ci ne suive la princesse de Castille en Espagne.
C'est un tome entièrement consacré à Léo comme pour lui donner une nouvelle importance avant les retrouvailles alors qu'on l'avait un peu oublié avec toutes ces péripéties. C'est assez habile comme stratagème et cela fonctionne à merveille.
On se rend compte que cet homme n'a pas commencé comme Arte dans une famile noble mais qu'il était orphelin et seul dans la rue avant d'entrer par la tout petite porte dans un atelier composé de fils de notables sans talent.
Il va subir les brimades de ses camarades de classe mais il ne fera rien pour répliquer ce qui lui donne une force extraordinaire d'encaisser. Evidemment, on prend pitié pour lui d'autant que son maître Ezio semble jouer de cette situation malsaine.
Alors, oui j'ai vraiment aimé ce tome qui donne une place d'importance au compagnon professionnel de notre héroïne qui lui doit beaucoup de chose. Reste à savoir si l'amour est réellement réciproque. La suite promet d'être assez poignante avec sans doute quelques surprises.
Nous avons suivi la jeune artiste Arte depuis déjà 17 tomes. Elle avait quitté Florence, berceau de l'art et de la renaissance, pour la Castille en suivant sa protectrice la reine Caterina dans un monde assez misogyne.
Elle a dû batailler ferme pour prouver ses compétences en matière de peinture. Elle a dû surtout abandonner l'homme de sa vie qui lui a appris le métier. Elle n'est plus cette jeune femme déjantée du début. On voit qu'elle a acquis en maturité ce qui la rend plus intéressante encore.
Les mangas que j'achète actuellement sont assez rares. Cette série en fait pourtant partie. On pourrait également penser que cela serait réservé à un lectorat plutôt féminin mais il n'en n'est rien malgré les couvertures. Il faut aller au-delà pour percevoir la grâce et la beauté de l'histoire.
Arte est sur le chemin du retour à Florence afin de retrouver son maître qui lui a tout appris à savoir Léo. Elle est placée sous la protection de Guido. Le voyage a mal tourné pour l'un de ses compagnons et Arte s'en veut au point de vouloir se débarrasser de cette protection afin de ne plus causer du tort.
Cependant, ce sont les risques du métier de garde de corps et elle devra accepter ces règles. Guido va tout faire pour la convaincre et la faire évoluer. Ce personnage devient singulièrement assez intéressant. Reste à savoir la place qu'il va prendre dans la vie d'Arte.
Il faut également savoir que Florence est en guerre et un siège de la ville a eu lieu. Beaucoup ont fui. Arte va retrouver ses amis Dacia et Angelo (désormais en couple) dans une ville voisine. Les autres se sont retranchés derrière les remparts et forteresses avec des vivres qui commencent à manquer cruellement. Retrouver Léo ne va pas s'avérer facile.
Guido prend alors la décision de marquer une pause avant de se jeter dans la gueule du loup. Point de précipitation ainsi que rassembler des informations utiles afin d'arriver en vie.
J'ai beaucoup aimé ce tome où l'on ne s'ennuie pas une seule minute. Cela fait encore monter d'un cran la tension car on attend bien évidemment ces retrouvailles avec l'amour de sa vie.
Ce tome est assez extraordinaire car il y a une sorte d'avancée dans le temps au niveau du récit. En effet, 8 ans ont passé depuis que Arte s'est exilée en Castille. Elle veut retrouver l'homme qu'elle aime à savoir Léo.
A noter qu'il n'y a jamais eu la moindre histoire d'amour puisque personne n'a encore cédé aux joies de l'amour. C'est assez intensif car on a envie de voir s'il va enfin succomber aux charmes de la jeune fille devenue femme. Il est resté à Florence qui va entrer en guerre ce qui n'est guère une position confortable et sereine.
On va avoir surtout droit à une traversée en mer pour le moins assez mouvementée où il faudra assurer la sécurité de notre héroïne Arte face aux dangers qui la guettent. A noter que l'histoire est toujours aussi plaisante avec l'introduction de nouveaux personnages dont Guido qui semble ne pas être indifférent face à cette noble pas comme les autres.
Oui, je ne cache pas que j'aime beaucoup cette série qui est l'une des rares que j'achète. Les graphismes sont toujours d'une grande qualité avec toujours de jolies tenus et de beaux décors. Et puis, il y a la personnalité plutôt attachante de l'héroïne toujours positive face à l'adversité. J'aime bien ce type de tempérament.
Je ne peux que recommander cette série qui plaira certainement aux femmes mais également à des hommes ouverts sur la culture et l'humanité de ce siècle des lumières.
Ce tome d'Arte est sans doute celui qui joue le plus sur l'émotion car elle retrouve sa mère après s'être brouillée et surtout enfuie du domicile pour devenir une artiste dans un monde dominé par les hommes. On va apprendre ce qui est arrivé avec l'argent de la dot et on se rendra compte que les choses étaient plus complexes qu'il n'y paraissait. Etre trop généreux n'a pas que du bon.
J'ai beaucoup aimé cette relation d'Arte avec sa mère qui a été rendu possible grâce à Irène de Castille. On verra également dans une seconde partie le pays de la Castille avec son influence musulmane dans les bâtiments ce qui change de Florence. C'est toujours intéressant de changer de pays et de voir les différentes cultures.
Il y a toujours un magnifique dessin qui donne une dimension spéciale aux décors et aux costumes. C'est toujours un régal pour les yeux.
Arte semble être toujours amoureuse de Léo qu'elle a quitté définitivement en suivant la princesse de Castille loin de l'Italie. On se dirige vers l'inconnu pour de nouvelles aventures. Elle est vouée à devenir peintre officielle de la cour de Castille et commence par rencontrer l'Empereur.
Bref, le récit reste toujours aussi passionnant.
Nous avions quitté la jeune Arte dans une très mauvaise posture. Là voilà obligée de fuir, de tout quitter pour être portraitiste à la cour royale de Castille en accompagnant Dame Irène dans un périlleux voyage.
Jusqu'ici , on suivait le combat d'une femme qui voulait devenir artiste dans la Florence du XVIme siècle ce qui n'était guère une chose aisée en cette époque peu propice aux femmes. On perd un peu de vue cette trame générale pour se lancer dans l'aventure des intrigues de cour.
Ce tome demeure néanmoins un tome de transition vers la nouvelle vie de notre héroïne Arte. Elle aura encore l'occasion de dire au-revoir à son maître Léo sachant que la relation est toujours resté très convenue. Il n'y aura pas d'effusion de sentiments. Léo reste toujours aussi taiseux. Pour autant, une surprise de taille attend notre héroïne dans ce tome où elle sera confrontée à son passé.
On va laisser sa chance à ce titre qui commence un peu à s'éterniser au lieu de conclure en beauté sur une note positive. Les planches demeurent toujours d'une très grande richesse avec une mangaka qui a peaufiné un style extrêmement plaisant pour la lecture.
Pour la première fois, Arte est non seulement menacé mais également assez malmenée par un cardinal Monseigneur Silvio qui souhaite qu'elle espionne la sœur de l'Empereur du Saint-Empire, le plus puissant et le plus grand des royaumes d'Europe. Elle refuse bien entendu de trahir son amie la princesse d'Espagne mais elle va en payer le prix.
On se rend compte que les puissants peuvent vous mettre en prison en décrétant que vous êtes un criminel. Les fausses preuves et autres faux témoignages de complaisance sont malheureusement utilisés sans vergogne.
C'est un tome différent des autres car il va marquer à tout jamais le destin d'Arte qui va devoir quitter l'Italie et ne plus jamais revoir son maître dont elle est tombée amoureuse. On se dit que sa relation avec Dame Irène va prendre un autre tournant. Cela augure des aventures assez intéressantes par la suite. Mais bon, cela reste un tome plus triste que d'habitude.
C'est un tome qui termine un arc narratif avec la pétillante Dame Irène. On apprendra tous ses secrets liés à des manigances politiques entre l’Espagne et Rome. Malheureusement pour elle, Arte va y être mêlée malgré elle.
Pour la première fois, il va planer un réel danger sur sa vie sans que l'on ne comprenne véritablement la raison. On aura droit à « même Dieu ne s’apercevra de rien si une simple apprentie portraitiste venait à disparaître ». Certes, mais on nous explique durant tout ce tome que cette apprentie commence à être fort appréciée par ses pairs car elle a marqué beaucoup de points grâce à son travail qui a donné entièrement satisfaction.
Il est dommage qu'elle ne déclare pas sa flamme auprès de son maître Léo qui se révèle très bienveillant. Je trouve que leur relation est un peu mis à l'arrière plan alors que c'est pourtant tout l'intérêt de la série. Le thème principal de ce tome est réellement la passion de l'amour.
C'est assez intéressant de voir comment cela s'est passé pour les parents de Dame Irène à une époque où la condition féminine était plutôt difficile. Dame Irène est par exemple obligé de se marier avec un homme qu'elle ne connaît pas mais qu'elle promet d'aimer de tout son être. C'est quand même triste si on prends du recul même si elle trouve cela normal.
Pour moi, cela demeure après 12 tomes un manga qui reste très passionnant car il y a une certaine mise en forme assez unique qui fait que l'on ne s'ennuie jamais. C'est souvent assez profond entre échange et compréhension. Moi, j'adore !
Avis portant sur la série:
Ce manga à connotation historique est un réel coup de coeur. Il est plutôt rare d'en rencontrer. Par bien des aspects, cela m'a rappelé l'excellente série Cesare mais sans la rigueur. Cependant, le sujet s'intéresse particulièrement à la fabrication des tableaux dans les fameux ateliers durant la Renaissance à Florence.
Arte n'est pas seulement le nom d'une célèbre chaîne de TV intelligente dans sa programmation culturelle mais également le prénom d'une jeune aristocrate de 16 ans qui renonce à sa condition pour devenir artiste peintre. Cependant, elle devra surtout faire face à la misogynie ambiante. En effet, les hommes détestent qu'une femme vienne empiéter sur leur chasse gardée.
Au début du XVIème siècle, la plupart des filles recevaient une éducation au rabais par rapport aux garçons du même milieu. Tout ce qu'on demandait aux femmes, c'était d'être de bonnes épouses, d'avoir des enfants et de bien les élever. Arte va s'élever contre ce système mais elle paiera très cher le prix de cette liberté. Enfin, une vraie héroïne qui est déterminée et volontaire !
Ce manga va également nous permettre de nous immerger à travers le quotidien de cette ville au milieu du foisonnement de la Renaissance. On va découvrir ainsi les différentes corporations, le rôle de l'Eglise, le marché, le carnaval également et les courtisanes. La narration aidant, on sera vite submergé par ce récit.
L'auteur est un réel inconnu qui frappe fort pour sa première série richement documentée. Le dessin est une vraie merveille sur un support tout à fait adapté et très soigné. On a du mal à y croire ! C'est une vraie success story. On va suivre cette série de très près car elle nous réserve le meilleur tel que c'est parti. Il faut lire Arte si on apprécie particulièrement les mangas de qualité.
Déjà 7 tomes et le récit a pris totalement une autre tournure ce qui apporte un peu de nouveauté et de renouvellement. Arte est devenue préceptrice à Venise pour dompter une petite fille au caractère assez capricieux. Certes, on s'éloigne un peu de l'art et des tableaux. Cependant, on découvre une ville magnifique ainsi que la société des aristocrates vénitiens qui ne manque pas de charme. C'est toujours aussi beau graphiquement parlant.
Les mangas que j'achète actuellement sont assez rares. Cette série en fait pourtant partie. On pourrait également penser que cela serait réservé à un lectorat plutôt féminin mais il n'en n'est rien malgré les couvertures. Il faut aller au-delà pour percevoir la grâce et la beauté de l'histoire.
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4.25/5