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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Leo R Le 21/11/2022 à 13:14:28

    I didn't even think it would be that bad. Without even comparing it to the Metabarons of Gimenez or Kastaka, it's really bad.
    The visuals are very bad: the character designs and locations are very faded and unmemorable--just monstrous for a sci-fi comic. But even regardless of the design, the drawing style itself, the lines, the coloring, and the storyboard are very mediocre. The low detail and blurry backgrounds make it look like a very cheap American comic book that was hastily concocted in a couple of weeks. Sort of like the weekly Marvel or DC issues of Batman or the Avengers. A very low bar.
    The publisher had options for artists who had already established themselves in this universe: Sécher and Ladrönn.
    There are other just terrific artists who could have been brought in: Mukesh Singh, Esad Ribic, Jérémy, Travis Charest.
    Or great artists who have never worked with Jodoverse: Jaime Calderón or Riccardo Federici.
    After all, if they wanted something totally new, why not approach artists from the East? For example, Katsuya Terada or Sakamoto Shinichi - their Metabaron comics would have looked amazing in color.

    What were Les Humanoïdes Associés trying to accomplish? How could they trust their most important franchise to this?
    The sad demise of the series.

    Saigneurdeguerre Le 29/08/2020 à 14:48:15

    Tétanus, l’esclave seul survivant de sa race, au service du techno-amiral Wilhelm-100, est en mission secrète à bord d’un vaisseau troglosocialik. Enfin… En mission secrète, c’est beaucoup dire car, pour l’instant, il est solidement ligoté, les Troglosocialicks ayant décidé qu’ils feraient meilleur usage de la fortune considérable que Tétanus avait avec lui pour assurer sa mission. Pas sûr que le rusé esclave puisse s’en tirer cette fois-ci…

    Critique :

    Le scénario de Jodorowsky et de Jerry Frissence pour ce second tome est bien plus compréhensible que le premier. Une grande importance y est accordée à l’esclave Tétanus que l’on découvre profondément amoureux et animé de sentiments paternels, le rendant très… humain !

    Le techno-amiral Wilhelm-100 reste égal à lui-même, une brute épaisse, sadique, égoïste, gratuitement cruel… Et plus que jamais décidé à se débarrasser du méta-baron…

    Le méta-baron se réveille enfin ! Fini de jouer à « la Belle au Bois-Dormant » !

    On aurait pu croire que la splendide Eris jouerait un rôle de premier plan… On aurait pu le croire, mais…

    Les dessins de Valentin Secher sont de toute beauté et un peu moins obscurs que dans le premier tome.

    C’est que je finirais par avoir envie de lire la suite…

    Saigneurdeguerre Le 26/08/2020 à 10:08:52

    Aucune envie de résumer cette histoire au scénario très méta-limité et méta-confus.

    Décidément, Méta-Jodorowky devrait se faire soigner. Quand ce pauvre homme ne se plonge pas dans des délires méta-homosexuels, il laisse libre cours, comme ici, à une méta-cruauté gratuite et sadique. La stratégie passe à la trappe ou est réduite à une portion congrue. La diplomatie totalement absente. Que reste-t-il ? Des scènes de méta-destructions et de méta-sadisme gratuites. Des personnages auxquels il est impossible de s’identifier… Ou alors, c’est que vous êtes un fameux méta-psychopathe !

    Sur recommandations, j’ai acheté les deux premiers tomes car il paraît qu’ils vont par deux pour former un cycle complet. J’en dirai plus quand j’en aurai fini avec le deuxième.

    Mais une bande dessinée, c’est tout de même aussi le dessin et pas que le scénario. C’est la qualité du dessin de Valentin Secher qui avait fini de me convaincre d’acheter cette BD. Cet homme a un talent fou, mais pourquoi opter pour des images toutes plus sombres les unes que les autres où on devine à peine les personnages et les décors ? Pour bien plonger le lecteur dans le côté sombre de l’histoire ? Pfff ! On s’use les yeux à essayer de découvrir les scènes.

    Album à réserver aux inconditionnels de Jodorowsky.

    Shaddam4 Le 07/12/2018 à 13:32:56

    Du premier cycle de cette nouvelle saga ressortait l'incroyable dessin de Valentin Sécher et une intrigue sympa qui laissait le grand héros galactique un peu de côté. Je craignais beaucoup le changement de dessinateur, l'écart entre Henrichon et Sécher étant assez rude.

    L'univers est en fin de course, les galaxies entrent en collision, montrant à l'humanité son destin. Le nouvel empire Techno-Techno refuse de voir arriver la fin, aveuglé par sa quête de l'Epiphyte, substance primordiale qui daterait d'avant la Création... Alors que le Méta-Baron accepte avec son nihilisme habituel le sort de l'univers, un étrange néo-cardinal est envoyé en mission secrète pour éliminer l’adversaire du Techno-Pape. Mais la rencontre entre les deux personnages ne va pas se dérouler comme prévu...

    Je dois dire qu'encore une fois je suis agréablement surpris par le traitement du scénariste Jerry Frissen qui parvient à développer l'intrigue générale en se raccrochant à la genèse de la Caste des Méta-Barons (jusqu'à reprendre des scènes entières redessinées par Henrichon) pour développer l'intrigue dans un univers connu mais vers un horizon à la fois logique et intéressant. Il est toujours risqué de faire évoluer un personnage aussi iconique et monolithique que le Méta-Baron et je dois dire que Frissen a le grand mérite de ne pas ressentir l'ombre du créateur et d'agir avec une grande liberté en même temps qu'une bonne connaissance de ce monde. Si le scénario se trouve débarrassé des tics de Jodorowsky (cela apporte un soupçon de subtilité), il reste très cohérent avec les personnages de cet univers immonde. Ainsi lorsque le Méta-Baron décide de renoncer à sa semi-immortalité et succombe aux plaisirs de la chaire le fait est accepté simplement par le lecteur comme une thématique crédible. La violence du premier cycle s'estompe pour plus de sensualité, bien que les dessins d'Henrichon ne s'y prêtent guère.

    Le dessinateur canadien (qui avait produit l'excellent Pride of Bagdad) rends une partition très correcte, plutôt réussie pour ce qui concerne les décors, vaisseaux et environnements spatiaux (qui sont une part importante de cet univers visuel), moins pour les personnages. Là où Sécher excellait justement dans ces visages très expressifs où chaque personnage était très caractérisé, son successeur est moins à l'aise et doit "habiller" ces derniers pour les distinguer. Il n'y a pas grand chose à reprocher au dessinateur qui rends deux albums très sérieux... simplement son style est relativement banal et ne permet pas de hisser ce Space-Opera là où il pourrait être.

    Ce que j'ai apprécié dans ce cycle c'est une réelle ouverture par rapport à un premier diptyque qui se contentait de proposer simplement un nouvel adversaire au Méta-guerrier. Le thème de l'amour parcourt tout le cycle de la Caste et nécessitait de revenir habiter l'univers du Méta-Baron. Le thème de l'Epiphyte également est développé, renforçant le lien déjà très fort entre le monde du Méta-Baron et Dune (et son Epice). Si le premier tome est un peu poussif, le second est très réussi en révélant de nouveaux personnages et en rendant intelligemment le héros de nouveau vulnérable, permettant de développer un "drama". Un changement dans la linéarité, un adversaire efficace, un héros vulnérable, une perspective énorme à l'échelle galactique, tout est réuni pour relancer la machine du Méta-Baron. Le format en trois cycles de deux tomes est parfait pour conclure cet univers, en espérant que l'éditeur sache refermer définitivement la saga du personnage en résistant aux sirènes des lecteurs et de l'argent.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/12/07/meta-baron-cycle-2

    Shaddam4 Le 07/12/2018 à 13:32:38

    Du premier cycle de cette nouvelle saga ressortait l'incroyable dessin de Valentin Sécher et une intrigue sympa qui laissait le grand héros galactique un peu de côté. Je craignais beaucoup le changement de dessinateur, l'écart entre Henrichon et Sécher étant assez rude.

    L'univers est en fin de course, les galaxies entrent en collision, montrant à l'humanité son destin. Le nouvel empire Techno-Techno refuse de voir arriver la fin, aveuglé par sa quête de l'Epiphyte, substance primordiale qui daterait d'avant la Création... Alors que le Méta-Baron accepte avec son nihilisme habituel le sort de l'univers, un étrange néo-cardinal est envoyé en mission secrète pour éliminer l’adversaire du Techno-Pape. Mais la rencontre entre les deux personnages ne va pas se dérouler comme prévu...

    Je dois dire qu'encore une fois je suis agréablement surpris par le traitement du scénariste Jerry Frissen qui parvient à développer l'intrigue générale en se raccrochant à la genèse de la Caste des Méta-Barons (jusqu'à reprendre des scènes entières redessinées par Henrichon) pour développer l'intrigue dans un univers connu mais vers un horizon à la fois logique et intéressant. Il est toujours risqué de faire évoluer un personnage aussi iconique et monolithique que le Méta-Baron et je dois dire que Frissen a le grand mérite de ne pas ressentir l'ombre du créateur et d'agir avec une grande liberté en même temps qu'une bonne connaissance de ce monde. Si le scénario se trouve débarrassé des tics de Jodorowsky (cela apporte un soupçon de subtilité), il reste très cohérent avec les personnages de cet univers immonde. Ainsi lorsque le Méta-Baron décide de renoncer à sa semi-immortalité et succombe aux plaisirs de la chaire le fait est accepté simplement par le lecteur comme une thématique crédible. La violence du premier cycle s'estompe pour plus de sensualité, bien que les dessins d'Henrichon ne s'y prêtent guère.

    Le dessinateur canadien (qui avait produit l'excellent Pride of Bagdad) rends une partition très correcte, plutôt réussie pour ce qui concerne les décors, vaisseaux et environnements spatiaux (qui sont une part importante de cet univers visuel), moins pour les personnages. Là où Sécher excellait justement dans ces visages très expressifs où chaque personnage était très caractérisé, son successeur est moins à l'aise et doit "habiller" ces derniers pour les distinguer. Il n'y a pas grand chose à reprocher au dessinateur qui rends deux albums très sérieux... simplement son style est relativement banal et ne permet pas de hisser ce Space-Opera là où il pourrait être.

    Ce que j'ai apprécié dans ce cycle c'est une réelle ouverture par rapport à un premier diptyque qui se contentait de proposer simplement un nouvel adversaire au Méta-guerrier. Le thème de l'amour parcourt tout le cycle de la Caste et nécessitait de revenir habiter l'univers du Méta-Baron. Le thème de l'Epiphyte également est développé, renforçant le lien déjà très fort entre le monde du Méta-Baron et Dune (et son Epice). Si le premier tome est un peu poussif, le second est très réussi en révélant de nouveaux personnages et en rendant intelligemment le héros de nouveau vulnérable, permettant de développer un "drama". Un changement dans la linéarité, un adversaire efficace, un héros vulnérable, une perspective énorme à l'échelle galactique, tout est réuni pour relancer la machine du Méta-Baron. Le format en trois cycles de deux tomes est parfait pour conclure cet univers, en espérant que l'éditeur sache refermer définitivement la saga du personnage en résistant aux sirènes des lecteurs et de l'argent.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/12/07/meta-baron-cycle-2

    Shaddam4 Le 13/11/2018 à 13:57:48

    La série Méta-Baron (titre tout de même très feignant... et qui a du en perdre plus d'un, dont moi) est la suite directe de la Caste des Meta-Barons, série mythique aux superbes dessins de Juan Gimenez et qui a permis à Jodorowskyni plus ni moins de donner vie aux concepts développés pour son projet mort-né d'adaptation de Dune au cinéma (et dont l’excellent documentaire Jodorowsky's Dune donne une vision à faire baver tous les amateurs de SF...). Ce film et son univers hantent l'auteur chilien depuis plusieurs décennies et ce qui a été développé pour la saga du Méta-Baron (personnage apparu dans l'Incal avec Moebius) a ceci de fascinant qu'il est à la fois totalement issu de l'imaginaire de Frank Herbert mais en constitue une réinterprétation qui en projette l'essence dans des dimensions à la fois cosmiques et ésotériques. Une digestion positive en somme.

    A ce titre la saga de la Caste, constituant le socle visuel de cet univers, portait les folies visuelles et parfois WTF typiques de Jodo, au risque de lasser le lecteur. Les planches de Jimenez permettaient de donner une saveur organique à ces planètes, créatures et personnages, qui convenait totalement à l'imaginaire malsain du scénariste, mais l'on finissait par se perdre dans les méandres œdipiens, psychanalytiques, primaux et sadiques de l'auteur de l'Incal. Jodorowsky possède là du matériau pour des dizaines de séries, ce dont il ne se prive pas puisque l'univers a donné naissance à Castaka (avant la Caste), les diverses séries issues de l'Incal, et les Technopères.

    La série Méta-Baron propose au travers de six diptyques (qui devaient originellement être dessinés par un dessinateur différent) les aventures du Méta-Baron, le guerrier ultime, sans adversité possible, chargé par son Totem de sauver l'univers de la destruction. Bon, dit comme ça, ceux qui ont lu la Caste se diront que l'univers est un multivers et qu'il a déjà failli être détruit plein de fois...

    Le Méta-Baron a vaincu l'empire et détruit Planète d'or. Dégoûté par sa destinée et la violence de l'univers, il a décidé qu'il ne tuerait plus. Or bien vite l'empire renaît de ses cendres et les péripéties de ses puissants amènes les attentions à se porter sur Sans-nom, le dernier Méta-Baron dont la disparition devient un objectif...

    Le premier arc se concentre sur ce qui ressemble le plus au mal personnifié: Wilhelm-100 est un généralissime de l'armée impériale Techno-Techno, qui n'a jamais connu la défaite et n'aime rien de plus que faire souffrir et tuer. Pour le malsain à la jodo on part donc sur de bonnes bases. Heureusement les auteurs savent garder le plus violent hors champ et contrairement à nombre de scénarii de Jodorowsky, ne se complaisent pas dans le sadisme (même si la série reste très violente). Le dessin absolument sublime (que ce soit en crayonné, en encrages ou en colorisation) de Valentin Sécher donne une matière à cet univers spatial et réussi le tour de force de dépasser ses pères en faisant de son intervention sur le Méta-Baron (probablement avec celle de Travis Charest)  les plus belles planches réalisées pour la saga. J'avais très fortement hésité à prendre son Khaal, première BD publiée du dessinateur tant les dessins m'avaient impressionné. Ici il confirme qu'il sait tout dessiner, le mouvement, les [removed]le visage de Wilhelm respire une telle folie qu'il n'est pas besoin des textes pour comprendre qui il est), les vaisseaux bien sur. Sécher est en train de travailler sur un tome de la série Conan chez Glénat et j'ai très hâte de voir ce que cela donne dans un univers fantasy!

    Dans ces deux tomes on voit donc très peu le Meta-Baron et le personnage principal est clairement le méchant et sa créature, le nain génial Tétanus. Les auteurs sont su recréer l'univers de Jodorowsky et l'absence du maître est finalement une bonne chance car cela permet de "normaliser" un peu ces histoires qui, sans être devenues grand public, deviennent plus classiques je trouve. Du reste les ambiances space-opera nous placent dans ce qui se fait de mieux avec Star-Wars et l'on prendrait goût à toute une série de one-shot sur des personnages dérivés de cette création. Le format en double album est enfin une très bonne chose (je l'ai déjà dit souvent sur ce blog, c'est a mon sens le format idéal, permettant la construction d'arcs successifs dans une série plus large).

    Je ne m'attendais clairement pas à un album de cette qualité et craignais le réchauffé. Bien sur le dessin de Sécher y est pour beaucoup, mais comme on dit, le dessin fait lire l'album, le scénario donne envie de continuer. Et c'est le cas ici!

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/11/09/meta-baron

    kaizoku Le 27/11/2017 à 22:25:15

    Le pire album de toute la saga.
    Le 1er album présagé d'un potentiel intéressant, mais malheureusement l'essai n'est pas transformé.
    Déçu.

    Buckethead Le 15/11/2017 à 15:32:09

    Clairement le plus faible de la série, d'assez loin. L'histoire n'avance pas, on ne retrouve pas le souffle épique et presque mythologique de "La Caste", que les précédents numéros approchaient honorablement. Les personnages secondaires sont sans goût et sans saveur, le Meta Barron se pose trop de questions et l'action un peu confuse. Sinon c'est beau, mais un peu pour rien, ça ne sert pas l'histoire. Dommage car le tome 4 était très bien. Espérons que ce soit juste un incident de parcours.

    yannzeman Le 02/11/2017 à 23:40:11

    Dans cet album, le méta-baron passe son temps à reluquer les fesses de Rina, qui lui demande d'arrêter de la matter.

    Puis Rina se met toute nue pour nager (oui, car le port du maillot de bain, ça gène pour nager, c'est connu), prévient le méta-baron qu'il ne doit rien espérer du fait qu'elle est nue.
    Elle lui demande dans la foulée de se déshabiller à son tour (mais lui reste sur la berge).

    Puis, elle lui fait un "beau cadeau" (pour ne pas trop en dévoiler), et ils font l'amour.

    l'album est trufé de ce genre de scènes sans queue ni tête, que le dessin n'arrive pas à compenser.

    Pour les amateurs du genre "grand n'importe quoi bavard".

    ALICECOOPER Le 29/10/2017 à 12:38:02

    C'est une bonne suite de la série donc je la continue. Toutefois il n'y a pas grand chose dans ce volume. L'élément remarquable est que le Méta-Baron est redevenu le Méta-Baron. La protection de l'Epyphite me semble beaucoup trop légère, j'espère que le prochain volume sera plus rythmé. Rina passe d'un monde à l'autre en une bulle alors que le Méta-Baron a nécessité quelques pages de l'album précédent pour arriver sur ce nouveau monde. Parfois les choses vont trop vite par parfois trop doucement. Le rythme est irrégulier. C'est assez désagréable.
    Selon sa grande connaissance des choses, le choix final du Méta-Baron est un peu inepte par ce que ça ne change pas grand chose. Parfois la logique de l'auteur laisse franchement à désirer... C'est également le cas dans le tome 2 (voir mon commentaire) Je trouve ça dommage!
    Cette album reste très respectable lorsqu'on a lu les précédents.

    hfauve Le 06/11/2016 à 11:54:48

    Il y a longtemps que je n'avais pris un tel plaisir à lire un album de la série des méta-barons dont je commençai à poursuivre la lecture plus par curiosité que par envie.
    L'intérêt pour le personnage du Méta Baron est relancé tout en restant dans l'esprit de la série en ouvrant de nombreuses nouvelles pistes pour les albums à venir.

    ALICECOOPER Le 18/06/2016 à 20:55:07

    Je trouve dommage qu'Eris soit présentée d'abord avec une grande aura, une grande beauté, telle une exception de son peuple ou de ses semblables, quelqu'un de voué à "de grandes choses" et que si piteusement elle soit anéantie, ça a gâché tout mon plaisir de départ, je m'attendais à un peu d'érotique et du beau. On dirait un virage radical de l'auteur. Au lieu de ça très violent et noir. C'est dommage, je l'ai acheté parce que j'avais le tome 1. Sinon l'anti-Baron, bonne idée, histoire sympa, le Meta-Baron c'est quand même le Boss...

    yannzeman Le 18/06/2016 à 01:22:20

    J'aurais aimé dire du bien de cet album.
    Parce que le scénariste sait raconter une histoire, et le dessinateur rend une copie très impressionnante.

    Mais je suis plus choqué, dépité, désabusé, qu'autre chose.

    Pourquoi tant de cruauté ?
    Qu'est-ce qui passe par la tête de Jodorowsky quand il imagine une histoire ?

    Où sont les héros d'antan ?

    Ai-je lu rapidement, et sans effort de concentration, cet album ?
    La réponse est oui.

    Ai- apprécie les dessins ?
    La réponse est oui.

    Relirai-je plus tard cet album ?
    la réponse est non.

    A chacun de trouver son plaisir où il veut, mais le mien réside dans l'élévation, l'héroïsme, le respect des valeurs morales, l'humilité, l'humour, la gratuité,...

    Je ne trouve rien de tout cela dans cette série.

    yannzeman Le 18/06/2016 à 01:21:02

    J'aurais aimé dire du bien de cet album.
    Parce que le scénariste sait raconter une histoire, et le dessinateur rend une copie très impressionnante.

    Mais je suis plus choqué, dépité, désabusé, qu'autre chose.

    Pourquoi tant de cruauté ?
    Qu'est-ce qui passe par la tête de Jodorowsky quand il imagine une histoire ?

    Où sont les héros d'antan ?

    Ai-je lu rapidement, et sans effort de concentration, cet album ?
    La réponse est oui.

    Ai- apprécie les dessins ?
    La réponse est oui.

    Relirai-je plus tard cet album ?
    la réponse est non.

    A chacun de trouver son plaisir où il veut, mais le mien réside dans l'élévation, l'héroïsme, le respect des valeurs morales, l'humilité, l'humour, la gratuité,...

    Je ne trouve rien de tout cela dans cette série.

    axe-hell Le 31/12/2015 à 10:32:43

    je ne dirais pas mieux qu'aldo 1975 ...
    les dessins m'on vraiment scotché , une belle aventure en perspective

    Anlier Le 25/11/2015 à 18:02:11

    Je suis dégoûté par tant de violence, poussée jusqu'à un cynisme insupportable ! Je ne comprends pas comment on peut prendre cela au second degré. Ce livre doit faire fureur chez Daesh !

    aldo 1975 Le 19/11/2015 à 17:32:48

    Quel plaisir de retrouver plus de dix ans après cette série créé par jodorowski, c'est toujours aussi cruel, déjanté et fascinant.
    Les auteurs impulsent un nouvel élan a cette grande saga de science fiction en incorporant de nouveaux visages et de nouveaux enjeux.
    Les superbes dessins et l'excellent scénario ouvrent de belles perspectives pour la suite.
    Technojouissif !!!