Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Premier tome de la série Fante Bukowski (mais le deuxième que je lis).
Je suis de plus en plus en convaincu par l'art de Noah Van Sciver : son graphisme assez crade illustre magnifiquement la vie miséreuse de Fante Bukowski.
C'est très marrant, puisque Fante Bukowski tente à peu près tout pour percer en tant qu'auteur, sans grande réussite...
Mais en même temps c'est assez profond, puisque Fante Bukowski est sacrément têtu, arrogant parfois même, et ne se laisse jamais abattre.
Une forme de philosophie de l'abandon, où le chemin compte plus que le but.
Fante Bukowski est un personnage haut en couleur...
Poète assez lose et à la vie misérable, Fante passe par toutes les émotions. Mais il ne se laisse pas abattre pour autant et on finit par faire appel à lui pour écrire la vie d'une starlette américaine...
L'ambiance un peu crade de cette BD, est bien rendue par le trait gras et relâché de Noah Van Sciver.
Ainsi, Fante Bukowski ne laisse pas indifférent. On se marre, on est triste aussi parfois et puis on cogite, sur ce qui lui arrive, sur la bohème.
A la fois une plongée dans l'Amérique profonde, l'insuccès dans l'art et l'absurdité de la vie.
A lire.