Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Ce livre peut être acheté et lu sans avoir lu les deux autres.
L'histoire offre un point de vue original de la Commune de Paris, d'une femme du peuple, une sans grade. La société est assez bien décrite dans sa diversité et le récit est enlevé. Bref on passe un bon moment en plus instructif. Le dessin est agréable.
Mon seul regret est que les personnages sont un peu trop manichéens.
J'ai lu les deux premiers volumes tout à fait indépendants de ce triptyque consacré à la lutte des femmes lors de la Commune de Paris. Il est vrai que ce fut un épisode plutôt sanglant de l'histoire des révolutions socialistes. Le bon Monsieur Thiers a massacré plus de 30000 Parisiens de manière tout à fait impitoyable. Quand on songe qu'il y a encore des rues, des avenues ou des places qui portent son nom, on pourrait réellement avoir honte. Mais bon, ce massacreur a paraît-il été réhabilité comme le sauveur de la République et même comme le libérateur du territoire en s'empressant de payer la lourde amende de la défaite à Bismarck. On a eu moins d'égard pour le maréchal Pétain !
Le premier tome met en scène une jeune enfant durant le fameux hiver 1870 où les parisiens résistent courageusement à l'armée prussienne qui l'a assiégée. Victorine qui a seulement 11 ans imagine pouvoir sauver Paris en proie à la famine et au froid en livrant un combat avec des éléphants provenant du zoo. Malheureusement, les choses n'iront pas réellement dans son sens.
Le second tome est encore plus réussi que le premier. Il met en scène une belle et jeune rebelle issue de l'aristocratie russe et qui va devenir la présidente de la première organisation ouvertement féministe d'Europe. On va suivre son combat. On verra également l'erreur fatale commise par la Commune qui a laissé tranquille la Banque de France. En effet, celle-ci n'a pas arrêté de financer les ennemis à savoir les Versaillais. Là encore, l'ignominie de ce bon Monsieur Thiers sera démontrée. Qu'attend-t'on pour débaptiser certaines rues de France ?
Wilfrid Lupano est réellement au sommet de son art en réussissant de raconter une pure fiction avec un vrai contexte historique. Le premier tome a été dessiné par Lucy Mazel. Le second par Anthony Jean. Mention spéciale pour ce dernier car la beauté des planches est manifeste. J'ai beaucoup appris sur le déroulement des faits lors de la Commune. C'est très instructif. J'avoue avoir pris beaucoup de plaisir à cette lecture qui met en scène des femmes qu'elles soient bourgeoises, ouvrières ou prostituées, célèbres ou anonymes. Tous unis pour un même combat: celui de la Liberté !
Très bon album.
Une période (très) violente et (très) mal connue de notre histoire.
Des personnages aux caractères (très) forts et d'autres (très) faibles, aux destins brisés.
Cette histoire prend aux tripes, on en sort forcément désabusé.
Je conseillerai à un ami.
Dessins, ambiances et sujets (la Commune de Paris et les femmes) sont les réussites incontestables de l'album. Marx et Engels sont même présents en tant que guest star !
Il n'empêche, le manque (relatif) de souffle, de liant et d'originalité du scénario fait que l'on reste sur sa faim ... les autres tomes sont ils-meilleurs ? ... j'ai envie de vérifier !
J'ai préféré ce tome au premier. Les dessins ont beaucoup de charme, le scénario est plus original et l'héroïne est plus attachante. Une lecture sympathique.
De très beaux dessins et une histoire plaisante, avec une intrigue située dans une période de l'Histoire propice aux épopées romanesques. Bon album.
Bel album, le plus réussit des 3 au niveau du scénario en ce qui me concerne. Les dessins sont plaisants et les personnages forcent l’empathie. On souffre avec Marie et ses amies. Une page de notre histoire que l'on aimerait (j’espère) oublier.
ce troisieme tome est une vraie reussite ,meme si le debut de l album reste tres classique l intrigue s epaissi au fur et a mesure et embarque le lecteur dans l histoire lupano reussi son pari de parler de la commune et de l humain en meme temps il fait partie des tres bons album de ce debut d annee
Mon prefere des 3.
Le plus abouti au noveau dufinal. Meme si j'ai aime les 3 et que j'ai prefere les dessins d'anthony Jean.
Le personnage de Marie est plein de fougue et de rage. J'adore
Dessins magnifiques, dommage ce format one-shot car on aurait aimé en savoir plus sur l'avant et l'après de cette femme plutôt énigmatique! on ne sait pas vraiment qu'elle est son parcours.
L'histoire est passionnante (surtout pour quelqu'un comme moi qui ne connait que très peu cette période de l'histoire), et la narration est au top. Le dessin est vraiment magnifique, ce qui ne gâche rien.
Ce 2ème tome des Communardes est plus romancé que L'Aristocrate fantôme (l'intrigue générale est basée sur l'anecdote véridique des éléphants). J'ai beaucoup aimé ce que Lupano en a fait. Le féminisme est toujours bien mis en avant. Émouvant et toujours très bien raconté.
Scénario et personnages un peu plus consistants que "L'aristocrate fantôme". Cet autre volet, prélude de la commune de Paris, ne m'a pas déplu. Les dessins, dans un autre registre, sont agréables et donnent un ton enjoués à l'histoire. Victorine, espiègle et pleine de peps est attachante et force l'empathie. Bref c'est pas mal... pas mal du tout même... et sympathique avec ça !
Cet album avait tout pour me séduire : le casting (Lupano au scénario), le dessin, le thème, l'éléphant en couverture qui annonce une touche de bizarrerie... Et je ressors de la lecture un rien déçu par la promesse de départ. J'ai lu une aimable chronique de la vie des femmes parisiennes pendant la Commune, le côté "éléphants" est sous exploité, et le scénario manque de la virtuosité qu'on retrouvait dans "L'Homme qui n'aimait pas les armes à feu", comme si le contexte historique avait un peu étouffé la créativité du scénariste.
Un poil déçu par cet album, si les dessins sont superbes, le scénario me laisse sur ma faim. L'idée de base est excellente (histoire des révolutions socialistes et de ses femmes militantes) mais les évènements se déroulent trop rapidement et pas toujours de manière cohérentes ou compréhensibles à mes yeux. Le format "one-shot" me semble trop court pour développer l'intrigue correctement.
W. Lupano s'écartent un peu du ton et de la jovialité qui a fait son succès sur ses précédents albums. C'est risqué mais pas "suicidaire" non plus, il a manifestement de bonnes idées et les qualités indéniables (qu'on lui connait) pour réussir dans des trucs moins légers. Comme tout le monde, par contre, il a besoin de place pour développer ses histoires, il lui en manquait beaucoup trop pour faire de cet album une histoire aboutit.
Ce sont les dessins, absolument somptueux et d'un charme indéniable (perception très personnelle, on est d'accord) qui donnent du crédit à l'ensemble (une fois n'est pas coutume quand on a Lupano au scénario).