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J’ai beaucoup aimé le début puis par la suite, les choses vont se gâter. Les auteurs par souci d’authenticité ont décidé de rester dans l’ambiance de l’époque avec le langage des rues un peu spécial. Il faut décrypter ce qui se dit dans ce Paris canaille. Il n’y a pas de traduction proposée. Bref, le lecteur doit absolument maîtriser les expressions d’époque fin XIXème – début XXème. Cela ne sera pas chose aisée.
Par ailleurs, et je continue dans le rayon des critiques, les auteurs font l’impasse sur des choses qui nous auraient sans doute intéressé (comment est morte la mère de l’héroïne, à quelle date ? etc…) mais développent d’autres qui sont peu entraînantes. Au final, on va plutôt s’ennuyer avec un scénario qui peine véritablement à convaincre. Ce n’est pas la première fois qu’on a une série sur les grandes inondations qui ont touché Paris en 1910 lors de la crue de la Seine.
Je reproche un peu à cette œuvre de nous faire passer cet épisode douloureux pour les Parisiens comme un cliché romantique avec les gondoles vénitiennes. On remarque qu'il n’y a personne dans les rues. Il faut savoir qu’en 1910, il y avait 2,8 millions d’habitants dans Paris intra-muros contre 2,2 millions de nos jours.
A noter qu’il n’y a plus eu de crue majeure de la Seine depuis 105 ans. Paris est-elle réellement à l’abri ?