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A l’occasion de la sortie du film "Shazam!", retour sur cette histoire narrant de nouveau les origines du personnage (Justice League 2011, #7-11, 0, 14-16 et 18-21).
Si Geoff Johns avait déjà écrit des aventures incluant Billy Batson aka. Captain Marvel aka. Shazam en 2001 au sein de la Justice Society of America (JSA), il revisite et modernise ici les origines de ce personnage. Nous sommes en 2012 et Shazam fait son grand retour dans les back-ups de la série régulière Justice League. La première moitié de l’histoire est clairement la plus intéressante. Nous découvrons l’enfance difficile de Billy Batson, ses placements en famille d’accueil, son mauvais comportement et son sale caractère. Bref, un gamin mal embarqué mais qui garde malgré tout un bon fond ; et c’est justement ce grand potentiel qui va lui permettre de devenir le nouveau sorcier. Jusqu’à la découverte et l’expérimentation hasardeuse de ses pouvoirs, l’histoire a une tonalité sympathique qui la rapproche d’un conte de Noël.
Par contre, la suite prend une tournure super-héroïque on ne peut plus classique et prévisible lorsqu’arrive l’affrontement avec Black Adam puis avec les Sept pêchés et enfin contre Satan en personne. Il n’est alors plus question que de se battre jusqu’au happy end final.
A l’instar de quelques belles autres collaborations (telles sur la série Action Comics, "Superman: Secret Origin", "Batman: Earth One" et dernièrement "Doomsday Clock"), Johns retrouve au dessin Gary Frank et son trait si reconnaissable ; on pourrait regretter son grand classicisme mais il a le mérite d’être fort appliqué.
L'histoire est tellement bien rythmée que je ne me suis pas ennuyée une seconde et j'ai refermé mon comics sans avoir vu le temps passer.
Le personnage de Billy m'a plu, bien plus que je ne le pensais. Dès les premières pages, sa malice et son franc-parler m'ont donné envie de le suivre dans son quotidien. Pour moi cette histoire est autant celle de Shazam, le puissant sorcier, que celle de Billy, l'orphelin trimballé de foyers en foyers.
Le gros plus de cette lecture : c'est un one-shot (et c'est presque dommage parce que j'en aurais bien repris un tome ou deux) alors pour avoir un premier aperçu de l'univers avant la sortie du film, c'était juste parfait. Je me demandais avant ma lecture si j'allais voir le films au ciné, j'avoue : je n'étais franchement pas convaincue par l'histoire du gamin dans un corps d'adulte ; maintenant j'ai hâte !
Un bon album sans plus. Si Gary Frank signe de bons dessins, le scénario de Johns est sans relief et cousu de fil blanc.
A lire et à revendre immédiatement.
C'est très prenant et très bien illustré.
Geoff Johns pose une histoire plutôt captivante. Les dialogues sont cohérents et adultes. L'album, très fourni (près de 200 pages), est un vrai plaisir à lire.
Shazam !
Shazam est un récit en deux parties bien distincts, si la deuxiéme moitié est très classique avec toute la mythologie du super- héros la première prend le lecteur à contre-pied. En effet le jeune garçon qui deviendra Shazam est un sale gosse, insolent et en manque de repère, cette première partie est plutôt drôle et inattendue, même sa transformation est très bien vue, Shazam n'est qu'un gamin rêvant de gagner quelques dollars pour s'amuser.
Geoff johns livre une histoire parfaitement construite et très cohérente superbement illustrée.