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Très bon album.
Pas excellent, mais très bon.
L'histoire est originale et bien écrite, même si à un moment donné, ça traine un peu en longueur avec des situations de redite au sein de l'album. C'est ce qui donne cette sensation qu'à un moment donné, ça patine.
Graphiquement, c'est comme d'habitude une grande réussite.
On lira la suite dans 2 ans !
Une pastille sur la couverture m’a donné envie : "Le plus grand western depuis Blueberry". Malheureusement, c’est usurpé. Certes, le dessin est chouette. Certes, ça bouge bien. Des situations originales (un croque-mort adopte un vautour, un propriétaire terrien avale des pépites avant de se suicider), de l’action, du conflit. Sauf que... Primo, le protagoniste ne vit pas autant de conflit que Blueberry. Il se sort facilement de quelques péripéties. Secundo et en conséquence, il n’a pas besoin d’autant de détermination et d’astuce pour s’en sortir. Tertio, son objectif lui a été donné : apporter un corps à un endroit contre une somme d’argent. Enjeu très faible. Ce n’est que quand l’on découvre que le croque-mort est un ancien soldat recherché qu’il est un peu plus en danger. Je pense que je vais m’arrêter là... Et relire "Blueberry".
On est ici dans du bon gros western. J'ai eu la chance de lire seulement les deux premiers tomes pour le moment. Le premier a été un coup de circuit pour moi. Le personnages principal est attachant et un peu crasse, à l'image de son vautour de compagnie.
Par contre à partir du deuxième, le portrait de ce dernier commence à se clarifier de plus en plus. Si on a un personnage ici qui se veut un anti-héro et qui vascille entre la noirceur et la lumière, à mesure qu'on apprend à le connaître, il tend à se tenir plus dans la lumière que l'ombre. Ce n'est pas un défaut en soit, plus une préférence personnelle. Je n'aime pas me faire vendre un personnage comme étant un enfoiré total pour ensuite le lisser et le rendre attachant voir même héroïque. Peut-être que les prochains albums corrigeront ce coup?
Niveau dessin, j'ai également trouvé que le premier album visait plus juste que le deuxième, comme si le niveau de qualité avait baissé entre les deux (surtout comparé aux premières pages du premier tome). Peut-être que ce sont mes yeux qui me jouent des tours. Dans tous les cas, ce sont d'excellent dessins réalisés d'une main de maître.
J'attend de voir la suite de la série. Je dois avouer que mon ballon s'est dégonflé légèrement suite à ma lecture du deuxième tome, mais je reste aux aguets pour la suite.
CONCERNE LE CARNET DE STORYBOARDS UNIQUEMENT
BIEN QUE J'ADORE CET AUTEUR ET CETTE SERIE, CE PETIT OBJET N'A AUCUN INTERET : TROP CHER (21,50) POUR UN TIRAGE BIEN TROP IMPORTANT (2350 EXEMPLAIRES). A OUBLIER;
Quelle magnifique série ! Un vrai bon western avec des scénarios très originaux et des personnages très atypiques, à commencer bien sûr par notre Undertaker et son ami Jed le vautour. En plus de l'histoire principale en deux albums, nous avons une sorte de fil rouge sur le passé de certains. Captivant.
Le dessin est extraordinaire. De très beaux gros plans sur les personnages, parfois juste sur des yeux à la Sergio Leone. Les chevaux, les individus, les décors sont tellement maitrisés que j'ai l'impression de feuilleter un film. La mise en couleur est superbe.
Bravo aux auteurs.
Une série western qui ne révolutionne pas le genre...
...quoiqu'elle est parmi les meilleurs du moment.
Le trait, de Ralph Meyer, rappelle celui d'autres dessinateurs célèbres : hachures à la Jean Giraud (not. Blue... Undertaker) ou dessins pulpeux de Boucq (Lin ou le manchot des tomes 3-4)...
L'esprit des réalisateurs Sergio Léone et surtout Quentin Tarantino transpire aussi dans le scénario, de Xavier Dorisson : je pense à la caravane de Jonas Crow et son haut de forme à la docteur king Schultz.
On reprend donc des recettes qui marchent, de façon plutôt efficace : personnages badass, scènes d'action époustouflantes, des bandits (pas toujours ceux qu'on croit), des redresseurs de tort (pas forcément si gentils), des femmes, du love et un peu d'humour aussi, et enfin des décors frappants...
Si ce n'est pas hyper novateur, que les dialogues peuvent être un peu simplistes aussi et que j'ai commencé à décrocher à partir du tome 3...
...cela reste une façon plaisante de prolonger l'expérience Blueberry.
Un très joli artbook grand format de plus de 200pages autour de Ralph Meyer et son travail sur la série Undertaker.
C'est très beau, les documents sont de qualités et plutôt variés. On à des illustrations n&b, couleurs, des storyboards, des planches crayonnées puis encrées, des recherches de couvertures, de personnages...
L'ensemble se termine par une longue interview de l'auteur très complète sur ses influences, sa façon de travailler et son approche artistique de la bd.
Un petit bémol toutefois, pour moi c'est plus un catalogue d'exposition qu'un vrai artbook (mais c'était le but du projet visiblement). J'aurais aimé des explications, des anecdotes directement en vis à vis des documents pas juste les noms et la date.
Mais c'est quand même un régal pour les yeux !
Ce quatrième volet, L’ombre d’Hippocrate, vient clore la seconde aventure d’Undertaker.
Cette suite est une vrai chasse à l’homme entre Jeronimus et notre croque mort, chacun veut éliminer l’autre. Cette aventure est palpitante jusqu’au dernier instant.
De plus en plus de détails sont révélés sur la relation entre Jonas et Jeronimus, ainsi que sur leur passé commun et les hésitations de Jonas.
Pendant toute la durée de ce récit, on peut se demander si nous pouvons laisser quelqu'un torturer ou tuer des individus afin d'en sauver d'autres. Quel est le plus répréhensible, Jeronimus ou Jonas? Ce scénario est vraiment bien élaboré.
L'ombre d'Hippocrate est un album remarquablement bien conçu qui nous transporte dans une histoire palpitante et pleine de surprises. Ce tome est sans aucun doute à la hauteur voir supérieur aux précédents.
Les dessins sont toujours aussi sublimes, les plans sont même mieux exécutés, les zooms des vignettes retranscrivent parfaitement la fureur, la folie et les émotions des différents protagonistes. Observez les images des visages de notre Docteur et de Jonas à la fin.
Cette histoire est vraiment géniale et la conclusion de cette BD est plutôt inattendue, je ne m'attendais pas à cela. J'ai hâte de découvrir une nouvelle aventure, mais serons-nous en mesure d'obtenir un album à la hauteur de ce volume.
J'ai adoré le dernier opus et j'attendais le nouveau. Il est très contemporain de notre société ou l'emotion devient la morale à suivre. On y trouve donc un sujet politique et philosophique qu'il faut savoir décortiquer pour eviter les pieges de la morale. Le propos devient presque trop serieux mis en perspective avec la morale de l'Undertaker. La deuxième partie scellera le sort de cet opus.
Après un formidable début en deux albums, nous retrouvons notre séduisant Undertaker dans une toute nouvelle histoire, « L'ogre de Sutter Camp ».
Notre trio se rend à la « Warwick Mansion » afin de célébrer les funérailles de la femme d'un ancien colonel qui reconnaît notre croque-mort.
Une terrible nouvelle est annoncée par ce cher colonel : « L'ogre de Sutter Camp » est bel et bien vivant. Il semble que Jonas soit extrêmement familier avec cette personne, il décide de se lancer dans une chasse effrénée contre ce chirurgien ignoble, à la recherche de sang, de douleur et de souffrance pour mener à bien ces expériences de greffes.
Ce tome nous permettra d'en apprendre davantage sur le passé de Jonas, lorsqu'il était un tireur d'élite dans l'armée.
On observera également dans ce tome, un éveil sentimental croissant envers Rose, ce qui lui fera parfois remettre en question ses valeurs.
Le scénario est captivant, nous ne pouvons pas nous détacher de notre lecture tant l'action et les rebondissements sont intenses.
Les illustrations sont d'une grande beauté, offrant des couleurs parfaitement harmonisées aux situations et aux lieux, créant une impression de réalisme saisissante. Néanmoins, il est dommage de réaliser une simple tête vide (semblable à une énorme tache) lorsque le personnage est éloigné du champ de vision. La qualité du flou aurait pu être améliorée.
Toutefois, je dois reconnaître que c'est une véritable BD captivante, je suis impatient de découvrir la suite...
Après un premier tome extrêmement captivant et d'une grande beauté, cette suite connaît une accélération nette du rythme de l'intrigue. De plus en plus d'informations nous sont révélées sur notre merveilleux trio, Jonas, Rose, et Lin. Tout au long de l'histoire, on constate le changement de caractère de chaque personnage, qui se développe et acquiert plus de caractère.
Le scénario de cette suite est toujours aussi bien élaboré et logique, l'intrigue s'intensifie progressivement, on a hâte de découvrir le dénouement de l'histoire.
Les illustrations sont un régal pour les yeux, les vastes canyons, le désert, l'aridité, la chaleur, tout est exécuté avec une minutie remarquable, nous nous évadons véritablement. Les scènes de nuit sont tout simplement magnifiques, nous avons des étoiles plein les yeux.
Ce tome finalise magnifiquement l'histoire d'une première aventure.
Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de Jonas Crow, un croque-mort hors du commun.
Rapidement, nous comprenons l'intrigue de ce western lorsque ce dernier arrive en ville pour accomplir sa tâche de thanatopracteur.
Au fil de cette merveilleuse histoire, nous nous rendons compte que Jonas nous cache des éléments sur son passé mystérieux.
L'intrigue est vraiment captivante et l'action se déroule à point nommé. Il est difficile de ne pas succomber au charme de Jonas et de ses acolytes.
Le dessin est d'une grande finesse et certaines planches sont vraiment époustouflantes avec des couleurs et des nuances qui nous plongent dans l'immensité de ce superbe paysage de l'Ouest. Aussitôt terminé, aussitôt la suite pour découvrir le dénouement de cette magnifique histoire qui tient en haleine.
On monte d'un cran. Le rythme de lecture est fabuleux, et on sort éreinté et impatient de lire la suite. Ralph Meyer impérial au dessin et Dorison surprend en abordant plusieurs sujets forts en seulement 49 planches, tout en maintenant une intrigue de fond forte.
Toujours aussi bien !
J'ai adoré cet album pour le dessin, le découpage, les thèmes abordés, le scénario.
Je ne mets cependant que 3sur5 car définitivement il me manque la légèreté des premiers albums. Plus aucune pointe d'humour, que du noir, du très noir, même si totalement maitrisé par les auteurs.
Des sujets malheureusement toujours d'actualité sont abordés : rejet de l'homosexualité, droit à l'avortement...
Les dessins sont très bons.
Jonas Crow est l'anti-héros par excellence !
Et surtout "Sister Oz" est un personnage qu'on adore détester qui est totalement barrée !
Parler en même temps d’avortement, d’intégrisme religieux et d’homosexualité dans le même album, il fallait oser. Si le pari est audacieux, il s’avère payant car « Mister Prairie » est particulièrement marquant.
Visuellement, il est dessiné par un très grand Ralph Meyer au summum de sa technique. Quant à Xavier Dorison, il modernise radicalement le western par son propos. Il a concocté un scenario prenant, aux enjeux encore très actuels (malheureusement). Il est en plus agrémenté d’une nouvelle super-méchante qu’on adore détester !
Un très bon tome dont on attend déjà la conclusion avec impatience.
Une conclusion quelque peu convenue, pour un récit assez classique.
Si les graphismes restent solides, le scénario nous surprend trop rarement.
On est malgré tout devant un album réussi, mais avec un petit goût de trop peu scénaristiquement.
Un scénario à rebondissements, qui tient la route dans ce western plutôt classique. Le passé de Jonas le rattrape une fois de plus, mais cette fois-ci c'est une autre partie de sa vie qui est impliquée. Ses principes, c'est tout ce qu'il lui reste et même ça il est sur le point de le perdre. Un bon tome qui graphiquement est toujours à la hauteur de nos attentes.
L'ambiance tendu de ce western est à la hauteur de la profondeur de ses personnages. Si les "héros" sont charismatiques que dire du méchant. Les auteurs arrivent à créer le malaise autour de ce médecin au double visage. Le machiavélisme déroutant de ce personnage est une réelle réussite, rendant cette histoire très originale.
Au niveau des graphismes, c'est toujours de très bonne facture, sans baisse de régime.
J'adore décidément cette série. Et ce scénario est pour moi l'un des meilleurs, au niveau de ceux du premier diptyque. Les fous de Dieu du Texas actuel transposés au 19ème siècle, certains apprécieront le thème, d'autres peut-être pas. Avec l'humour (ou le cynisme ?) toujours présent pour distancier le sujet, prendre un peu de recul. Dessin toujours au niveau. Top !
Undertaker est de retour après une bien longue absence. C'est dire si je l'attendais cette nouvelle aventure. Dommage pour ce scénario un peu faible à mon goût, (hommage?) à Nicholas Ray et son "Johnny Guitar". Les dessinateurs l'ont déjà prouvé : le cinéma est une source riche pour caricaturer des personnages. Dans le cas présent, il s'agit de Mercedes McCambridge. Mais je ne boude pas pour autant mon plaisir de retrouver notre croque mort favori, même si dans de très rares cases, le dessin faiblit. Je tire toutefois mon chapeau pour cette première planche d'introduction au cadrage original et à la scénographie magnifique. Encore une aventure qui se décline en deux albums. Il va falloir encore attendre...
Excellent western, une fois de plus. Comme d'habitude, le dessin est royal et le scénario est particulièrement tendu, notre héros se retrouvant une fois de plus dans un sacré pétrin, confronté cette fois-ci à une intégriste religieuse qui a su fanatiser la populace d'un trou perdu au fin fond du Texas où se trouvait notre UNDERTAKER pour préparer deux enterrements ... et retrouver l'amour de sa vie. Tension, violence, bêtise, misère ... un cocktail des plus explosifs qui ne demande qu'à péter à la gueule de Jonas Crow.
j'adore cette série qui est pour moi certainement l'une des meilleures dans la catégorie western voir la meilleure au dessus même à mon gout de Blueberry .
les dessins de Ralph Meyer sont parfaitement accordés avec le scénario et les couleurs sont parfaitement à l'avenant.
seuls bémols à mon avis qui m'a fait retirer une étoile
le révolver utilisé par sister Oz a semble t'il 7 coups hors les révolvers de l'époque utilisés aux USA avaient 6 coups même si il est vrai que certains ont existés avec plus de 6 coups mais ils étaient rares.
détail me direz vous mais détail important.
autre détail qui pour moi n'en est pas un, cette "allergie" que beaucoup de scénaristes ont avec la forme négative des phrases.
c'est un abrutissement de la langue qui n'en a pas vraiment besoin.
il n'aime pas est plus beau que il aime pas, n'est ce pas?????????
en dehors de cela très bon album, l'attente de la suite sera longue.
une merveille ! Réalisation de grande qualité pour cet ouvrage qui fait le job : nous émerveiller du talent mais aussi du travail de Raph Meyer. Les ambiances, les détails, la précision du trait... tout y est ! A noter, la grande variété des supports et outils utilisés, ainsi que la présence de nombreux travaux de recherche qui nous rappellent que le talent n'est pas grand chose sans un immense travail.
On reprend nos personnages, presque là où on les avait laissé. La gloire et la fortune ne leur sourient toujours pas, mais est ce vraiment ce qu'ils recherchent ?
Au moment où la chance semble enfin leurs sourire, le passé Jonas les rattrape et les voilà lancés dans une sorte de chasse à l'homme.
On se plaît à découvrir des bribes du passé de ce croque-mort haut en couleurs et les auteurs parviennent à mettre de l'intensité avec des éléments de scénario qui dans d'autres bandes dessinées ne seraient que des détails sans importance.
Graphiquement toujours aussi efficace et le pouvoir de suggestion atteint à certains moments la perfection.
Un excellent tome.
Un deuxième tome qui clôture l'intrigue du premier qui nous avait laissé en plein Cliffhanger.
Si les bases du scénario étaient originales et intéressantes, le final l'est nettement moins. Ça n'enlève rien au mérite des auteurs qui ont su conserver le suspens et des surprises tout au long de ce "diptyque".
Les dessins séduisants et les personnages charismatiques nous offrent une série avec énormément de potentiel
Une lecture agréable que ce western original. Ce n'est pas courant d'avoir comme personnage principal un croque-mort.
Les dessins au style caractéristique donnent une ambiance digne des meilleurs westerns spaghettis, en mettant en scène un scénario des plus intéressants.
C'est une agréable découverte, en espérant que la série tienne toute ses promesses.
Incroyable.
Je n'ai pas lu les undertaker en couleur, Je decouvre directement l'édition Niffle en noir et blanc.
C'est tout simplement une de mes BD préférées.
C'est tout d'abord un très beau livre. Sur la bibliothèque elle est du plus bel effet.
La qualité du papier et le rendu mat sont superbes.
Et le tarif...très attractif, comme quoi quand les éditeurs le souhaitent ils ne son pas obligés de nous facturer 2 fois les prix des albums classiques. Ici c'est même moins cher, BRAVO !
Maintenant l'histoire, les dialogues, les dessins, inutile d'en rajouter les auteurs ont touché la perfection.
Un album un peu mitigé, un fin un peu bizarre avec tout cet or qui reste là... Pas totalement convaincu. Très bon dessin, mais au scénario, Charlier est indépassable.
Ce n'est pas mal mais on est loin de Blueberry. Les scénario surtout sont en dessous car niveau dessin on retrouve qqc proche de Giraud. Fin un peu en queue de poisson du tome 2. Celui-ci n'est pas mal mais ce n'est pas du Charlier.
Encore un album qui décoiffe ! Moi qui ne suis pas fan des western à la base, je me régale avec chaque tome de cette série. Encore une fois le dessin très dynamique, en tous points excellent, sert parfaitement un scénario explosif à souhait (c'est le cas de le dire !). De la très bonne BD, vraiment.
Cette édition met en valeur le travail de Ralph Meyer sur ses planches qui sont absolument magnifiques. Pour ma part je redécouvre la série d'un autre œil avec cette version noir et blanc.
Indispensable pour les amateurs de western qui aime les grands classiques du genre comme Blueberry. Un bien bel hommage côté graphique au grand maître Jijé (lire les Jerry Spring version noir et blanc en intégrale). Pour le scénario, les codes sont toujours là, avec un peu plus de piments de la part de Xavier Dorison.
Très bon album, même si j'ai retrouvé dans cet opus la sensation de noirceur du personnage, grande évolution constatée lors tu précédent tome alors que l'une des qualité du scénario et donc le plaisir de lecture était justement la légèreté, même s'il affichait des valeurs, du personnage.
La fin laisse envisager des retrouvailles avec l'une des protagonistes des premiers albums. Peut-on s'attendre à un peu plus de légèreté? Ca serait le bienvenue!!!
J'ai vraiment apprécié ce nouvel opus.
Je trouve les dessins toujours très bons, le scénario peut paraître classique mais c'est toujours du costaud.
Bref, c'est vraiment une excellente série !
histoire sans intérêt, on s'ennuie et peut être le dessinateur également. quelle déception après les 4 premiers albums!
dessin en baisse surement du au scénario pas très palpitant mais tout de même meilleur que celui du tome 5. j'attend la lecture du tome 7 pour voir si le retour de rose va rebooster la série.
Mon principal regret sur cet album est une légère évolution du dessin de Meyer, moins net, utilisant beaucoup plus de brosses « sales » et effets estompés, ce qui atténue la force de son encrage. Cela ne change pas fondamentalement les planches, toujours aussi bien découpées et lisibles. Dans cette histoire on apprécie le refus du manichéisme, chaque personnage étant gris, avec ses propres motivations, et en cela crédibles, à commencer par l’ami de Jonas Crow tout à fait sincère dans ses ambitions comme dans sa fidélité envers notre héros. En cela Dorison évite soigneusement de tomber dans le piège des déjà-vus des mille et un personnages de salauds de western [...].
Lire la suite sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2021/09/12/bd-en-vrac-21-teleportation-inc-2/
J'ai été agréablement surpris par la fin de ce troisième diptyque. Tous les choix scénaristiques dont je n'était pas fan ont ici trouvés tous leur sens. C'est intelligemment scénarisé et mis en scène.
On comprend tous le sens de cette mascarade menée par Sid. J'ai adoré les expressions de visage très puissantes de sa future femme. Elle parait presque démoniaque par moment.
On se demande qui d'elle ou de Sid est le plus dangereux...
Encore une fois, c'est un travail de haute volée qui a été réalisé.
On peut encore savourer de très belles planches tout au long de l'album.
Ce troisième diptyque donne encore plus de profondeur à cette série qui est devenue extrêmement populaire.
J'ai déjà hâte de découvrir la suite, dont on sait déjà autour de qui elle sera tournée....
Un massacre a eu lieu. Mais peut-on parler de massacre lorsqu’il s’agit de se débarrasser de cette vermine apache qui menace et ose s’en prendre aux honnêtes citoyens de Tucson ? D’ailleurs Sid en sait quelque chose puisque ces sauvages lui ont brûlé les mains ! Sid Beauchamp est le très populaire shérif de Tucson qui l’accueille dans la joie lorsqu’il y revient avec ses prisonniers dont la redoutable apache Salvaje (Sauvage, tout un programme). Mais l’ambition de Sid ne s’arrête pas là ! Il veut épouser la femme la plus riche de la ville. Pour ce faire, il a été chargé d’une mission : ramener le corps de Caleb, le fils de Joséphine Barclay, la « charmante » et richissime dame qu’il compte marier. Pour ramener le corps, il a fait appel à son ancien compagnon de jeunesse, Jonas Crow, devenu croque-mort… Tout est bien qui finit bien ?
Critique :
Le graphisme (Ralph Meyer) et les couleurs (Caroline Delabie et Ralph Meyer) ne manquent pas d’attrait : le dessin est vif et confère une très forte impression de mouvement, les poses sont naturelles et les expressions des visages, très fortes. De l’excellent travail en somme puisque l’ambiance est très réussie.
Et le scénario, alors ? Un côté déjà vu et très tendance : les Indiens sont les gentils et les blancs sont les méchants à de rares exceptions près (John Wayne doit se retourner dans sa tombe). Mais bon, ce n’est que justice après toutes les vilainies que les blancs leur ont fait endurer en se faisant passer pour les gentils grâce à Hollywood et aux BD de mon enfance…
Le fait que le héros de ces histoires soit un croque-mort est l’atout de cette série. Et même si la fin a quelque chose de prévisible, je n’ai pas boudé mon plaisir à lire cette histoire.
Je n’entrerai pas dans le débat, Blueberry, c’était mieux. Je trouve que cela n’a pas raison d’être même si, incontestablement, Giraud a marqué l’histoire de la BD avec son lieutenant fort peu conventionnel…
Une petite remarque : je déteste ces macarons que les éditeurs font apposer sur les couvertures et qui parfois s’enlèvent difficilement et laissent de vilaines traces. C’est vendeur ? Il m’arrive parfois de ne pas acheter un livre parce que cette manie publicitaire m’énerve…
Et bien malgré le concert de louanges précédents , je vais mettre mon grain de sel et dire que cet album m'a terriblement déçu!
Il ya ici un gout de déja vu , une fin archi-previsible avec toujours la même histoire : les gentils indiens tuent les méchant- blancs-riches ) . un vrai stéréotype ! Mais deja lu (Bouncer, Wanted ,Catamount) avec l'aide du héros.
Certes le produit final est bien léché, le graphisme et les couleurs impeccables mais je me suis ennuyé!
Et le macaron sur la couverture placant cet album au niveau de Blueberry , alors là NON!
On est très loin de notre Lieutenant à la gueule de Bébel , des scénarios explosifs de Charlier, de son inventivité de sa fluidité!
Désolé mais onne peux comparer , sur cette deuxième phase d'Undertaker , Au tryptique Chihuahua Pearl , avec comme aboutissement l'incomparable "ballade pour un cerceuil"!
Non navré mais , rien à voir!!!
J'avais beaucoup aimé la première phase d'Undertaker , espérons que les scénaristes de western retrouvent des trames différentes , ou au moins pas toujours les même "méchants" ( Riches, chasseurs de scalps, chemin-de-fer-qui-tuent-les-bisons ,cavalerie ,français au Mexique etc etc ) ça nous changeraient ........
Au fil des albums, Ralph Meyer affine et peaufine toujours plus son dessin. Ce 6ème tome regorge de gros plans particulièrement réussis. Et comme la couleur de Caroline Delabie est heureusement plus lumineuse que dans le terne « Indien blanc », « Salvaje » est un régal pour les yeux.
Le scénario est quand même assez improbable, mais sur l’ensemble de ce 3ème diptyque, il reste suffisamment fouillé et abouti pour accrocher même les lecteurs les plus grincheux (et je m’inclus dans le lot !). On n’est clairement plus dans du simple western, mais dans de la grande aventure épique et pleine de souffle.
D’autant que le retour tant attendu de Rose, et peut-être de Lin et Jeronimus Quint ne semble plus très loin…
Bref, un bon cru et un nouveau carton assuré !
comme pour les précédent tomes j'ai adoré le scénario tout comme les dessins qui sont vraiment de très hautes qualités.
je vais certainement en choquer plus d'un mais je préfère Undertaker à Blueberry aussi bien au niveau graphique que scénaristique.
cependant il y a une chose que m'énerve prodigieusement et qui va me faire passer pour un vieux con.
ce sont les problèmes qu'ont de plus en plus de scénaristes avec les formes négatives des phrases.
pour ma part je corrige automatiquement.
je ne sais pas SI cela fait plus "jeune" mais c'est sans aucun doutes plus moche.
le français est une belle langue et il faut éviter de l'abimer.
Jean Michel Charlier, pour reprendre l'exemple de Blueberry ,savait écrire des phrases en bon français.
comme je l'ai déjà dis dans d'autres commentaires il n'est pas question de faire de l'Alexandre Dumas mais seulement des phrases agréable à lires.
Monsieur Dorison , un petit effort, je suis certain que vous savez causer correct la France...
Toujours la plus grande série Western depuis qui vous savez... On a cru à un petit coup de mou sur les albums 3 & 4 mais ce dernier diptyque (5 & 6) est vraiment très riche, bien travaillé. Bien que franc partisan du format "1 album-1 histoire complète", celle-ci supporte bien un développement en deux tomes qui, par ailleurs, complètent et enrichissent la saga globale, à la façon des "Blueberry".
Cette série est décidément un régal. Personnages fouillés, savoureux, consistants, toujours une bonne dose de cynisme avec un poil de romantisme, je suis un peu moins fan de la fin avec son côté bagarres et explosions à tous les étages. Mais les dessins ...!!! Un régal de tomber au fil de la première lecture sur une planche magnifique, un mouvement admirable, une gueule. Particulièrement ces visages, ces regards, souvent si expressifs, là où c'est souvent un peu le point faible d'autres dessinateurs réalistes.
Je ne me lasse pas de cette série. En attendant le retour de Rose Prairie ?
::: CAHIER DE STORYBOARD - Tirage Limité :::
Un collector pour les passionnés de la série. Et il y a de quoi l'être ! Le dessin de Ralph Meyer est exceptionnel et justifie amplement cette parution. Attention cependant... Le format est riquiqui, et vu son prix, certains la jugeront trop chère.
Cette version crayonnée a pour atout sa reliure toilée, le numérotage à la main et le choix du papier.
A contrario, la qualité d'impression peut paraitre moyenne. La trame, notamment, est souvent visible et fait apparaitre une multitude de petits points dans les traits. Cela fait perdre un peu de sa puissance au tracé, rendu presque flou par moment. J'ai vérifié : la plupart des cahiers graphiques que l'on trouve en fin d'albums sur les tirages limités, tous éditeurs confondus, sont en général bien plus nets.
Ceci étant dit, ce carnet a quand même répondu à mes attentes. Si les lecteurs occasionnels n'y verront sans doute que peu d'intérêt, les collectionneurs, eux, y jetteront un œil attentif. Car en plus d'être un bel objet, il est probable qu'il devienne assez recherché d'ici quelques années. Comme tout ce qui touche à Undertaker...
Comment on reconnait une bonne bd ? Au succès du nombre d'exemplaires vendus ? A l'avalanche de louanges de la part des critiques qu'ils soient professionnels ou lecteurs ? Je pense qu'il y a un peu de tout cela.
Undertaker est incontestablement une série au-dessus de la moyenne. Il y a de la virtuosité dans le scénario. Certes, ce premier tome démarre en fanfare. Cependant, c'est surtout les personnages à commencer par Jonas Crow le parfait anti-héros ainsi que la belle Rose. Les personnages secondaires sont également assez bien travaillés comme le shérif ou le vieux Cusco. La fin de ce tome laisse un suspense quasi insoutenable.
Que dire également du dessin qui est une merveille graphique de précision ? On est totalement sous le charme.
Cette série est bourrée d'action mais pas que. Elle fait incontestablement la différence. Certains préféreront de vieux western. Moi, je n'échangerais pour rien au monde. Ne vous y trompez pas: il ne manque rien à cette série.
Vraiment très satisfait de la lecture de cet album aux dessins parfaits (ça donne envie de re-découvrir ce grand Ouest américain!) et au scénario qui tient en haleine.
Je ne mets que 4étoiles car je trouve que, malgré les répliques décalées de Jonas Crow dans son interprétation de la bible, c'est un album noir, parfois sinistre, où je n'ai pas retrouvé les moments de légèreté et de rires des premiers opus.
A noter que, vu de moi, les éclairages apportés sur le passé du héro permettraient presque de lire cet album sans avoir découvert les précédents.
Même si ce serait dommage!!!
Toujours très bon.
Ce 3ème cycle nous apporte des informations sur la jeunesse de Jonas Crow.
Ce que j'apprécie le plus dans cette série, c'est l'ensemble des personnages qui gravitent autour de notre croque-mort. Tous ces seconds rôles sont toujours travaillés et ont une profondeur qui donne toute sa qualité à la série.
Dans la lignée de ses prédécesseurs, on retrouve avec plaisir ce nouvel album tout autant maitrisé.
L'histoire démarre intelligemment, et nous surprend rapidement avec de nombreux rebondissements. On en apprend un peu plus sur le passé sombre de Jonas, même s’il garde tout son mystère.
Néanmoins, malgré tout ça, je trouve le scénario un léger cran en dessous ses 4 prédécesseurs.
Je trouve dommage que tout le concept et le mystère autour de l'Indien blanc (pourtant très réussi graphiquement), s’évanouissent aussi rapidement. Dès les premières pages il est mort, et on connait son identité ainsi que toute sa famille. J'aurai voulu et préféré une grosse part d'ombre sur lui, qu'on en ai peur, qu'on s'interroge. Mais qui est -il ? Qu’a-t-il prévu de faire ? De quoi est -il capable ? Jonas VS l'Indien blanc...
Malheureusement les auteurs ont pris une toute autre direction scénaristique.
Coté dessin, c'est le même constat. Tout est maitrisé, le trait fluide et les détails présents. On profite de plusieurs très belles planches, notamment dans les canyons sombres, froids et enneigés.
Mais là aussi le niveau est un ton en dessous avec certaines cases aux décors et aux couleurs très moyennes (notamment pour certains paysages glacials et enneigés au ciel blanc qui, faute d'une colorisation correcte, donnent un air fade).
Comme beaucoup d'autres lecteurs une grosse incompréhension sur cette fameuse dernière case de la page 31. Une vague sortie de nulle part ou un coup de pied magique ?? C'est difficilement compréhensible et donc peu crédible. C'est dommage.
Malgré tout ça, ce 5ème tome est très bon, divertissant, maitrisé, et nous fait passer un excellent moment de lecture. La suite devrait permettre d'approfondir l'approche et le jugement de ce troisième dyptique.
Ce nouveau cycle semble très prometteur, le dessin de Ralph Mayer atteint une plénitude tout à fait en phase avec un scénario et une narration maîtrisée de bout en bout.
Comme le Blueberry de Sfar et Blain, ce fossoyeur devient un personnage moins héroïque et plus humain, avec toutes les faiblesses et les conflits intérieurs que cela entend.
Le western BD se porte très bien à l'aube de 2020.