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Suite et fin de "La nuit des morts-vivants", "Le retour du Deadpool-vivant" offre un point de départ originale : au lieu que Deadpool soit contaminé par les zombies, ce sont eu qui le sont pas lui. Un rebondissement inattendu mais qui offre ensuite un carnage de Deadpool par Deadpool. Fallait y penser. La fin est parfaite et si cela n'était pas qu'un one-shot délirant, ces deux tomes auraient pu être une fin digne pour Deadpool.
Deadpool est par nature complètement déjanté. Il est donc normal de le retrouver parfois dans des récits complètement barrés ! "La nuit des morts-vivants" fait partie de ces œuvres et c'est une réussite. Voir Deadpool façon "28 jours plus tard" ou "The Walking Dead", c'est très original. Mais il m'est difficile de juger ce volume indépendamment de la suite "Le retour du Deadpool-vivant".
La première mini-série ayant probablement été un succès, voici que Cullen Bunn en scénarise la suite directe... mais avec moins d’idées il faut bien le reconnaitre (Return of the Living Deadpool 2015, #1-4).
Exit les zombies, quoiqu’il en reste encore quelques-uns, le monde est désormais menacé par Deadpool ou plus exactement par d’innombrables Deadpool zombifiés. Autant dire que l’on a abandonné le ton mi-sérieux mi-humoristique de la mini-série précédente, abandonné les références au genre cinématographiques et simplement étiré en longueur le twist final pour faire de cette histoire un bon gros délire à la gloire de Deadpool. Ça reste bien sûr une lecture plaisante et l’humour est toujours au rendez-vous mais on sent qu’il n’y a plus trop de scénario autre que celui consistant à défoncer du Deadpool tout du long des quatre épisodes. Dommage.
Enfin, le dessin de Nik Verella conserve l’esthétique en nuances de gris de la mini-série précédente. Mais, si son trait est précis en ce concerne les personnages – Deadpool et Liz, sa partenaire ramassée en chemin, en tête –, on ne peut pas en dire autant des décors qui sont souvent bâclés.
En résumé, deux mini-séries sympathiques, sans prise de tête, mais qui jamais n’en vaudront l’achat. Surtout à 16 € l’album. Pourquoi donc ne pas les avoir publiées au préalable en kiosque à l’instar de la trilogie "Deadpool massacre..." (Deadpool Killogy en VO) ? Au prix de 5.50 € dans le magazine Marvel Saga, cela avait déjà plus d’intérêt.
La collection Marvel Dark regroupe des mini-séries plus matures et, généralement, cela signifie simplement qu’elles sont plus violentes et non plus intelligentes. Dans celle-ci par exemple, Deadpool affronte des zombies ; autant dire que l’on va pouvoir reposer son cerveau à la lecture du scénario de Cullen Bunn (Night of the Living Deadpool 2014, #1-4).
Si le scénariste est un habitué du personnage, notamment connu pour sa trilogie "Deadpool massacre..." (Deadpool Killogy en VO), ce titre vaut quand même le détour. Car, à la différence des mini-séries estampillées Marvel Zombies et de leur humour noir, celle-ci se veut en effet plutôt sérieuse et ressemble à un survival adapté en comics. Si le scénario reprend quelques poncifs éculés de ce genre cinématographique, cela reste un bon moment de lecture sans prise de tête (il en faut parfois avant de reprendre un titre plus réfléchi). Et s’agissant d’une histoire mettant en scène le mercenaire disert, le personnage multiplie comme à son habitude les réparties bien senties quitte à ce que le lecteur butte, parfois, sur des références insaisissables.
Quant au dessin de Ramon Rosanas, il est propre et précis et sa colorisation en nuances de gris censée rappeler les vieux films de zombies de George A. Romero est d’un bel effet. Toutefois, on a le sentiment qu’il est un peu trop appliqué, qu’il lui manque un je-ne-sais-quoi de personnalité pour franchir un cap.
Enfin, l’album se termine inexplicablement par une courte histoire en dix pages publiée des années auparavant et sans le moindre rapport avec l’histoire de zombies qui précédait. Un nouvel exemple, en sus de l’habituelle absence de chapitrage, de la piètre qualité éditoriale de Panini Comics.
Ah notre bon vieux Deadpool dans une histoire génialement drôle. En effet, ici nous retrouvons pas moins de 100, que dis-je, de la totalité des Deadpool de différents multivers dans ce comics. En effet, un Deadpool en particulier souhaite en découdre contre tous les Deadpool. S'en suit des pages de combats, d'humour et de dessins magnifique sur ce shot. Super lecture, à lire d'une traite !
Après le très sympathique "La nuit des morts-vivants", Cullen Bunn revient pour la suite de son Deadpool apocalyptique.
Si la direction artistique est toujours aussi bonne, l'histoire est quant à elle assez banale et les punchlines ne sont pas aussi percutantes qu'à l'accoutumé.
Un bon album mais un peu décevant.
Au final correct mais sans plus.
Après un très bon Massacre Marvel, et un Massacre les classiques ambitieux mais ne tenant pas ses promesses, la Massacrologie de Cullen Bunn revient avec Deadpool Massacre Deadpool, où notre mercenaire préféré va devoir tuer ses alter ego extra-dimensionnel.
Entre auto-parodie et sacrées punchlines malgré une narration légèrement classique, Massacre Deadpool n'est pas très bon mais est honnête avec ce qu'il présente. Et pour le reste, ce tome de Deadpool est un joyeux bordel, mais autant l'avoué c'est comme ça qu'on l'aime.
Après l'excellent "La nuit des morts-vivants" et un très sympathique "Massacre Marvel", le Deadpool de Cullen Bunn s'offre une nouvelle mission totalement barré : Massacrer les classiques de la littérature.
Autant vous le dire tout de suite, si le speech de base est très alléchant, le résultat est plus que décevant.
Le principal problème est que l'histoire se complexifie dès le début du récit alors que ce n'était absolument pas nécessaire, laissant de côté le côté burlesque de la situation.
Et mis à part quelque punchlines bien senties, le reste est très amoindri, et l'on part presque dans le drame.
Bref, un idée de épart absolument excellente et tout à fait en accord avec le personnage, pour un résultat très décevant, qui manque de fantaisie et se prend beaucoup trop la tête.