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Un thriller nerveux et violent à mi chemin entre Seven et la trilogie Jason Bourne. Des méchants, des tarés, du glauque... rien ne nous est épargné, mais le scénario est solide et le dessin efficace. Un récit pour lecteur averti cependant.
Je viens de relire les 5 tomes de la série d’un coup. Magnifique !!! Ça, c’est de la BD qui déménage.
Le héros n'est pas très sympathique et c'est le moins qu'on puisse dire mais c'est un flic plutôt efficace. Pour les méthodes, elles seront musclées dans le genre Inspecteur Harry avec Clint Eastwood. La morale devra y repasser. Bon, nous sommes également dans un monde où le Vatican n'hésite pas à dépêcher ses tueurs. Tout est possible même une balle magique !
Les auteurs se servent de l'histoire officielle pour la remodeler à leur sauce. On va suivre le héros dans son enquête qui va le mener à un gigantesque complot. Les auteurs vont faire dans l'efficacité avec un solide travail d'équipe. C'est rondement bien mené avec une trame presque cinématographique. Bien entendu, c'est le genre que j'aime bien. Par ailleurs, le rythme ne faiblit pas dans les tomes suivants avec une enquête qui se complexifie davantage.
Welcome into a wonderball and wonderful world !
Californie. 1983.
Depuis une cabine téléphonique, Frank Black, ancien agent du FBI, surnommé le « Fantôme » par ses ennemis, appelle une de ses connaissances, un biker. Il est convaincu qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre. Non ! Non ! Pas un cancer, ni une quelconque maladie mortelle… Mais le Fantôme est décidé à mettre à terre le « Collegium occulta », une dangereuse organisation catholique qui a des liens avec de hautes autorités un peu partout dans le monde et qui a décidé de créer des super soldats… Mais le contrôle de ces surhommes leur échappe…
Le Fantôme fait maintenant équipe avec l’inspecteur Spaddaccini, plus connu sous le nom de « Wonderball » … Qui est lui-même le fruit de ces manipulations du Collegium occulta comme il l’a découvert peu à peu. Vont-ils réussir à empêcher le Collège de poursuivre leur œuvre avec les alphas, ces tueurs aux talents inégalés ?
Critique :
Certains trouveront que les auteurs ont trop accéléré la fin de l’histoire et auraient aimé la voir trainer encore durant quelques albums. Moi, je me réjouis que l’histoire soit terminée ! Marre de ces histoires, genre XIII, qui ne s’achèvent jamais, où on finit par se perdre tant il y a de rebondissements dans les rebondissements sans qu’il n’y ait une fin digne de ce nom. Ici, en cinq tomes, l’histoire commence sur les chapeaux de roues et se termine de façon cohérente après une belle évolution dans les intrigues. Rien n’empêche les auteurs, s’ils en éprouvent le désir, de reprendre le ou les personnages et de leur faire vivre une autre aventure mais celle-ci est finie, terminée, achevée...
Autre aspect très positif de cette bande dessinée, ce sont les mêmes auteurs, et surtout le même dessinateur du premier jusqu’au cinquième tome ! Cette tendance actuelle de travailler « à l’américaine » avec une multitude de scénaristes et de dessinateurs produit des BD tout à fait inégales en termes de qualité. Maintenant que les cinq tomes sont disponibles en un volume magnifiquement relié, ce serait dommage que vous n’en profitiez pas !
Mon seul bémol porte sur les visages des personnages trop souvent à peine esquissés au point qu’il est difficile de les reconnaître.
Septembre 1983. Los Angeles 1983.
Une grande nouveauté ébranle le monde. IBM vient de sortir le PC, son Personal Computer. Dans les milieux criminels, certains voient là une immense opportunité d’accroître leurs bénéfices en se passant d’intermédiaires, qui, on s’en doute, s’enrichissent bien plus que les auteurs…
Le « Photographe » voit là un moyen de vendre directement aux clients ses « œuvres » sur un nouveau support, la disquette : drogués à qui l’on éclate la cervelle, hommes ou femmes que l’on découpe vivants et lentement devant la caméra où l’objectif de celui qui se prend pour un grand artiste contemporain ne perd pas une miette des souffrances infligées. Ses clients ? Des yuppies incultes qui n’ont pas les moyens de se payer des œuvres de Warhol. (Yuppie est l'acronyme de Young Urban Professional, terme anglophone définissant les jeunes cadres et entrepreneurs de haut niveau, évoluant dans les milieux du commerce international et de la haute finance, et habitant le cœur de grandes métropoles. – Source : Wikipédia)
Wonderball le cherche. Pour ce faire, il est obligé de retourner chez son ex qui lui en veut toujours des années après leur divorce. Il espère qu’elle a conservé son album photos, à lui, où se trouvent ses maigres souvenirs et le moyen de remonter la piste vers le « Collegium occulta » qui a créé les « alphas », des tueurs, des surhommes, en principe contrôlés… En principe seulement…
Critique :
Ce quatrième tome voit l’enquête progresser à fond la caisse comme dans les épisodes précédents. Wonderball et son nouvel ami, le « Fantôme » d’un côté, et la policière Osterberg d’autre part, femme particulièrement intelligente et tenace. Côté récit, on est toujours sur un scénario aussi addictif et superbement bâti démontrant les immenses qualités du duo Fred Duval et Jean-Pierre Pécau. Le dessin serait parfait si Colin Wilson ne se contentait pas d’esquisser à peine les traits de certains visages par-ci, par-là. La mise en couleurs de Jean-Paul Fernandez contribue pleinement à créer les bonnes atmosphères. Une des meilleures BD qu’il m’ait été donné de lire dans la catégorie des thrillers.
Un conseil ? Pensez à acheter le volume relié qui reprend les cinq histoires ! Vous ne manquerez ainsi aucun épisode et vous disposerez d’un magnifique objet !
19 83. Skull Gulch (Nevada).
Le shérif voit passer une jolie femme et la rêve déjà sans bras dégoulinante de sang. Il s’imagine occupé à la tronçonner et à la glisser par petits morceaux dans des frigos abandonnés dans le désert… Rêve ou réalité ? Toujours est-il qu’un couple de randonneurs a effectué une découverte des plus macabres… Des frigos, dans le désert, contenant les restes découpés de jeunes femmes portées disparues…
Spadaccini poursuit sa quête à la recherche des films qui ont permis, grâce à une vingt-cinquième image subliminale, d’endoctriner de jeunes orphelins plus doués que la moyenne pour en faire des assassins au top ! L’inspecteur sait maintenant qu’il a fait partie de ces mômes et que l’organisation secrète cherche à le capturer car il aurait une valeur inestimable, une valeur bien au-dessus de la moyenne. Wonderball, notre inspecteur est appuyé par un ancien agent du FBI, Blake, plus connu sous le nom de « Fantôme », son nouvel et seul « ami » ...
Critique :
Voilà le genre de thriller très addictif que j’adore. L’histoire évolue en suivant le fil rouge que constituent les institutions Sainte-Rose qui, à travers le monde s’occupent d’orphelins… Dans un but charitable ? Tout dépend de ce que vous mettez derrière le mot charitable… Fred Duval et Jean-Pierre Pécau savent y faire pour vous donner envie de vous plonger dans la suite…
J’émets de nouveau un bémol quant à la qualité du dessin des visages, parfois à peine esquissés. Pourtant, Colin Wilson sait y faire côté mise en page, plongées, contre-plongées… Un peu pressé peut-être ?
La mise en couleurs de Jean-Paul Fernandez accompagne parfaitement ce type de récit.
Minuit arrive. Vais-je succomber à la tentation et aborder le quatrième tome ? Ce ne serait vraiment pas raisonnable…
Août 1983. San Francisco (Californie)
L’inspecteur Spadaccini, dit « Wonderball », est dans de sales draps. Faut dire que les dernières personnes qu’il a rencontrées ces temps-ci ont trépassé peu après son passage. Les mauvaises langues, et elles sont nombreuses, pensent que le sale caractère du flic n’y est pas étranger… De plus, les dossiers qui incrimineraient une mystérieuse organisation, genre société secrète, « Collegia Occulta », le Collège invisible, et qu’il avait dénichés dans la voiture de Bob Archer, l’assistant du procureur de San Francisco trop tôt arraché à l’affection des siens, lui ont été dérobés. Il n’a donc que sa bonne foi pour défendre sa position et quand on sait à quel point ses rapports avec la presse, voire avec d’autres flics sont houleux, sa bonne foi a autant de chances d’être reconnue qu’une baleine bleue d’aller valser à Vienne pour le bal du Nouvel An.
Wonderball est dans de sales draps et contraint de prendre un congé… Et de ne plus s’intéresser à l’enquête ! En plus, il doit se présenter sans faute le lendemain à 8 :00 dans les bureaux de la police des polices, le SIS, où son cas sera examiné…
Critique :
Aïe ! Aïe ! Aïe ! Voilà une série qui est vraiment très addictive… Heureusement que j’ai acheté l’intégrale car je serais capable de faire le siège des librairies pour me procurer la suite. Jusqu’ici, les scénaristes Duval et Pécau ont réalisé un sans-faute. Bien sûr, d’aucuns pointeront le « manque d’originalité » parce qu’une méchante société secrète ce n’est pas nouveau, pas plus qu’un flic atypique et solitaire ! Oui, mais bon, il y a la manière. Et les actes de cette société secrète et leurs motivations sont tout de même originaux. Ne vous laissez pas estourbir l’esprit par tous ceux qui, dès qu’on parle de sociétés secrètes, ont l’impression d’avoir déjà tout vu.
Je commence à m’habituer aux dessins de Colin Wilson et à les apprécier.
Au risque de me répéter, si un très bon thriller en BD vous intéresse, pensez « Wonderball » !
Août 1983. San Francisco (Californie).
Serait-il vraiment possible qu’un tireur, fut-il d’élite, puisse tirer 9 balles et descendre 9 personnes en 10 secondes ? Faut-il envisager plusieurs tireurs ?
L’inspecteur « Wonderball » estime très vite le lieu d’où le tireur aurait fait ses « cartons ». Les preuves laissées sur place par le tireur lui donnent raison. Cette affaire rappelle à l’inspecteur une autre… Le meurtre de J.F. Kennedy en 1963 à Dallas ! Pour lui, pas de doute : tous les tirs avaient été l’œuvre de Lee Harvey Oswald. Mais l’entraînement, à lui seul, ne suffit pas à expliquer une telle performance… Les pilules Gamago étaient remises aux tireurs d’élite durant la guerre de Corée pour accroître leur concentration. Se pourrait-il que le tueur qu’il cherche à identifier ait absorbé lesdites pilules pour performer à ce point ?
Critique :
Wonderball, c’est une histoire en cinq épisodes ! Dans le premier, les scénaristes, Fred Duval et Jean-Pierre Pécau, nous font découvrir un inspecteur de police aux qualités de flic exceptionnelles, mais qui a du mal à maitriser ses pulsions tant au niveau du langage qu’au niveau de ses poings. Nous avons là la promesse d’un thriller plein de mystère avec une espèce de société secrète née après la Première Guerre mondiale et qui voulait améliorer l’homme… Par l’éducation, certes, mais pas que !
Le scénario est d’autant plus efficace que nous sommes directement plongés au cœur de l’aventure.
Le dessin de Colin Wilson est assez classique pour un polar. Il est le point faible de cette BD car il n’est pas toujours aisé de distinguer les différents protagonistes, néanmoins, il contribue assez bien à l’atmosphère glauque chère aux thrillers.
Jean-Pol Fernandez a trouvé le ton juste pour la mise en couleur.
Un petit conseil : si l’histoire vous intéresse, penchez pour l’intégrale que Delcourt a eu la lumineuse idée de sortir puisque le cycle est complet à la fin du cinquième tome. La présentation est sobre et le livre magnifiquement relié… Et cela prendra moins de place sur vos étagères.
J’ai beaucoup aimé cette série même si j’ai trouvé la fin un peu facile et vite expédiée. Elle se lit sur 5 tomes, c’est un peu pour ça aussi que le l’ai pris, ça m’énerve un peu ces séries qui ne se terminent jamais ou qui changent de scénariste ou de dessinateur. J’ai expédié le tome 4 et 5 d’une traite.
Un petit reproche peut-être au niveau des visages qui parfois prête à confusion pour certains personnages qui se ressemblent mais une fois le nom ou prénom énoncé, il n’y a plus de doute possible. Les décors et bagnoles sont sublimes.
Je suis vraiment content d'avoir découvert cette série!
Allez, je mets 5 étoiles même si pour ma part tout n’est pas parfait.
Je mets 5 car il est tellement rare de trouver une bonne BD même ne serait ce que moyenne, que je suis ravi quand je lis celle-ci.
Pour moi tout n’est pas parfait dans le sens où je trouve que le héros s’en sort un peu trop facilement mais sinon dans l’ensemble, je ne m’ennuie pas du tout. Très bon polar Thriller.
Vraiment très sympa, de nouveaux personnages font leur apparition, l’intrigue garde encore tous ses mystères. Les paysages sont somptueux avec ces décors Américain et leur belles bagnoles qui donne une ambiance si particulière. J’aime beaucoup pour l’instant, cette BD a un petit coté XIII.
ça fait longtemps que je n’avais pas lu une bonne BD. Le scénario est simple mais efficace. Un très bon polar Thriller qui se situe dans les année 80 avec quelques flashback des années 60. ç’est très bien dessiné et la fin donne envie de lire la suite, j’ai hâte!
Clap de fin pour cette magnifique série !
Le scénario de ce dernier album est très bien traité, à l’image de la série. On peut noter une cohérence entre les cinq albums tant sur la qualité du scénario que sur le rythme de progression de l’histoire. Au final, les personnages sont tous bons et je n’ai trouvé aucune fausse note.
Colin Wilson réussi à installer une ambiance dès le Tome 1 et la conserver jusqu’au Tome 5. Les couleurs apportent aussi beaucoup. Le dessin, clair et élégant, nous plonge immédiatement dans l’histoire à chaque tome. Une réussite !
Bonne lecture à vous et quel que soit votre genre de prédilection dans la BD, ne manquez pas cette série !
Cet album vient clore avec brio cette série qui m'a tenu en haleine sur 5 volumes. Les scénaristes Duval & Pécau ont su maintenir un suspens sur la longueur, sans pour autant avoir de baisse de régime.
Cela devient tellement rare d'avoir un scénario qui tienne la route sur seulement 5 volumes, sans avoir la tentation de rallonger la sauce pour des raisons commerciales, qu'il faut saluer le travail des scénaristes.
Le style très cinématographique de Colin Wilson donnerait presque envie de voir cette histoire adaptée au grand écran: tout y est, fusillades, explosion, poursuite, violence et pointe d'humour, bref je ne me suis pas ennuyé en découvrant la conclusion de cette histoire.
Très bonne série, qui se relit avec plaisir (au fil des sorties des volumes, je relisais l'histoire depuis le début sans que mon intérêt ne faiblisse)
A lire !
Excellente série qui ferait un magnifique film d'action policier.
Les différents protagonistes sont intégrés à l'histoire, de façon claire et précise, chacun trouve sa place dans le déroulé de l'action.
Nous frôlons la perfection : pour preuve j'ai noté chacun des cinq albums par la note de 4 étoiles. First class.
Le dernier tome vient de sortir, je me relance donc dans la lecture de cette série qui m'avait marqué dès sa sortie.
Excellent pollar, ce premier tome démarre à 100 à l'heure pas de round d'observation.
Un scénario assez génial, un dessin en béton armé en fond une série à ne pas râter.
Cet album ne déroge pas à la règle. Il y a toujours autant de rigueur tant dans l'écriture du scénario que dans le dessin.
L'histoire progresse à un bon rythme, régulier. Le dessin et les couleurs sont toujours au top. L'atmosphère n'en est que plus prenante.
La lecture de cette série et de cet album est des plus agréables.
Cette serie présente des épisodes de qualite qui présentent tous des qualités particulières tout en restant hyper cohérent dans l ensemble. Ce tome 4 ne déroge pas à la règle. De très bon travail. À lire absolument !
Très bonne série, surtout par son scénario, qui présente une autre version de l'histoire des USA (JFK, CIA, etc.).
Le fait de se passer dans les années 80 nous évite les portables, ordinateurs et autres technologies qui régentent aujourd'hui nos histoires contemporaines.
Excellent polar au début des années 80.
Les "sur-hommes" créés par Sainte Croix sont le plus souvent devenus des pervers : Le Photographe en est un bel exemple...
Le héros Spadaccini approche de plus en plus de la vérité...
Suite et fin dans le prochain tome.
Cette bande dessinée est vraiment une super lecture. Ce tome 3 est à la hauteur des deux précédents. À lire absolument pour la qualité du scénario et sa mise en forme. Bravo.
Alors là, il paraît de sources certaines que cette série va être écourtée faute de bonnes ventes.... En grande surface !!! Si Carrefour, Leclercq et autres deviennent des "indicateurs" de ventes et d'éditions de telle ou telle BD, on est pas sorti de la médiocrité !!!
Dites, chez Delcourt, vous vendez, excusez, des merdes aussi qui cartonnent, alors, pq ne pas "sauvegarder" de TB BD pour les VRAIS amateurs du genre ???
Pourtant ce ne sont pas les TB avis qui manquent... société de merde où il n'y a plus que l'actionnariat qui compte et les $$$, même si on est en bénéfice, non, il en faut encore plus...
Que cette société pète une bonne fois pour toute !! De toute façon, 80% de nos enfants seront dans la merde, parce que leurs parents n'ont pas le pognon pour leur assurer un avenir...
PEssimiste ? NON ! Réaliste i! Dire que ce connard de Juncker donne des leçons à cette gonzesse qui avait 1 société au Panamas. Et lui ? Luksleaks, il oublie qu'il en est le promoteur ???
Bon, ce n'est pas ici qu'il faut parler de "çà".
BREF ! EXCELLENTE BD : Colin Wilson dans sa grandeur ! Et merde à Delcourt s'ils raccourcissent l'histoire !!
Excellente série. L'enquête, des plus intéressantes, progresse à un rythme raisonnable mais le dessin et l'ambiance sont comme dans le tome précédent, parfaits pour ce genre d'enquête.
Très bon boulot de découpage, de dessin et de scénario.
J'adore !
Ce deuxième volume tient toutes ses promesses.
Après un premier volume très tendance Inspecteur Harry", ce nouvel opus lorgne plutôt vers une ambiance style" le fugitif".
Ici, l'inspecteur Spadaccini se retrouve seul, pris dans une machination digne d'un bon thriller.. L'intrigue avance bien et on ne s'ennuie pas une seconde à la lecture de cet opus.
J'ai hâte de lire le tome 3, qui vient de paraître.
Cela faisait quelques années que je ne m'étais pas plongé dans un album signé Pécau ou Duval. Sans doute que les séries dites "concept" ou à rallonge type "l'homme de l'année" ou encore " Jour J" ont finies par me lasser.
Mais là, sur les conseils de mon libraire, j'ai emprunté ce premier volume de "Wonderball" à la médiathèque. Et quelle bonne surprise! Le lecteur rentre tout de suite dans une intrigue complexe et bien ficelée dans une ambiance qui m'a fait songer aux films de "l'inspecteur Harry" (sans doute en raison du caractère assez tranché du héros, l'inspecteur Spadaccini )
Je ne me suis pas ennuyé une seconde à la lecture du scénario qui oscille entre la théorie du complot et un polar des années 80.
Quant au dessin de Wilson, il colle parfaitement à l'histoire et il nous offre des trognes de flics ou de truands très marquées.
Un très bon premier volume.
Cela faisait longtemps que je ne n'avais pas autant accroché à un thriller.(la dernière série qui m'avait marquée dans ce registre est "Black OP" -le premier cycle)
Je vais donc me ruer à la recherche des 2 prochains volumes à la médiathèque.
Toujours aussi bon, l'enquête avance pour l'inspecteur Spadaccini qui a certainement trouvé une alliée en la personne de Maggie Obsterberg, commissaire au FBI.
Mais les nettoyeurs de Sainte-Rose veillent, comme ce cher Shériff qui est en couverture de l'album.
La série prend son vrai départ avec ce tome 2. Les dessins sont toujours aussi sympa et le scénario est bien rythmé. A lire d'urgence.
Très bon bouquin ! Même si cette BD ne sera jamais primée pour son originalité, elle reste cependant très agréable à lire ! L'intrigue est cohérente, l'histoire progresse a un bon rythme (assez pour vous donner envie de lire le Tome 2) et on s'attache au personnage principal. Le dessin des personnages quant à lui, manque un peu de précision, les traits des personnages sont un peu diffus.
Quoi qu'il en soit, cette BD est une réussite.
La suite est toujours aussi riche.
Une enquête qui se complexifie, de bonnes scènes d'actions...
En attente du tome 3.
Ce deuxième tome reste très agréable à lire et le scénario, qui me fait penser à un polar de F. Thilliez, est extrêmement plaisant. Vraiment à conseiller aux amateurs du genre.
Un bon album, à lire absolument si vous aimez ce genre de bande dessinée.
Amateurs de thriller, cette bande dessinée est faite pour vous. Effectivement, tout est classique dans cette bd: dessins, scénario (jfk, un brin de xiii,...). Il est donc certain que les auteurs ne réinventent pas la poudre. En revanche, tout est plutôt bien fait, efficace et on peut lire cette bd d'une traite avec plaisir. Enfin, le personnage principal est attachant et bien construit.
Assurément une bonne bd, et je suis impatient de lire la suite pour savoir si le niveau se maintient.
Enfin une BD géniale ces derniers temps et qui n'est pas un Comic's. Le scénario est digne d'être adapté au ciné. Ce tome 2 est très bon, comme le 1. Pourvu que ça dure :)
Un excellent scénario qui réussit à installer la série pour les futurs albums en offrant la qualité d'un one shot. L'intrique est au rdv et les personnages ont du fond. Les dessins de Wilson sont un régal.
Vraiment un album qui se distingue dans le flot des sorties actuelles.
Une série qui commence fort !!!
On rentre très vite dans l'enquête, on accroche très vite aux personnages.
Attendons la suite...