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Dans cette bande dessinée, nous sommes immergés dans un monde chaotique complètement modifié à la suite d'une guerre nucléaire. Celle-ci a causé des mutations chez les animaux. À présent, ils ont la capacité de parler et de penser de la même manière que les humains.
Dans ce nouveau monde, la violence est omniprésente et il est essentiel de tuer pour survivre. Dès les premières pages, on est immédiatement dans l'ambiance. Malheureusement, je suis déçu par le fait que l'histoire se concentre trop sur les combats. Pour moi, il y en a vraiment trop dans ce tome.
Du point de vue du graphisme, c'est un style cartoon. Les personnages ont un charisme démesuré. Cela correspond parfaitement à l'ambiance.
Je me demande si l'histoire sera plus approfondie dans le second tome.
Voici l'ultime volet du deuxième cycle de ce madmax à la sauce anthropomorphe.
On sentait la tension à son paroxysme à la fin du tome précédent, et cela promettait une suite explosive. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'auteur reste cohérent.
Soutenu par un talent graphique spectaculaire, et par des cases affolantes par ses détails, cet épisode se veut philosophiques. Une fois la partie violente, riche en membres sectionnés et en hémoglobines déversées, achevée l'auteur nous commente l'importance de la mémoire et des écris pour sauvez l'Humanité ou pour du moins la reconstruire.
Une œuvre qui mérite pour plus d'une raison que l'on s'y attarde.
Le précédent tome avait marqué un véritable renouvellement de la série mais avec toujours l'ombre de Solo qui plane. Nous avions en effet l'introduction d'un nouveau groupe aux origines bien mystérieuses ce qui agrandit singulièrement cet univers.
Le message principal reste toujours dans l'actualité des thèmes écologistes avec ce que pourrait devenir notre monde si on n'y prend pas garde. Il sera surtout question de grandes batailles pour préserver la survie des espèces menacés de disparition par des humains prêt à toutes les alliances morbides.
Il y a en effet une phrase qui résonne encore en moi au vu de l'actualité mondiale du moment : « quel accord peux-tu conclure avec quelqu'un qui veut te tuer ? ». On peut alors comprendre que le combat demeure nécessaire pour les anéantir une fois pour toute. Pour autant, notre héros Légatus voulait trouver un moyen plus pacifique de résoudre le conflit sans bain de sang.
Le dessin reste toujours aussi efficace dans un décor à la Mad Max entre dévastation post-apocalyptique et désert à perte de vue. J'adore véritablement les personnages anthropomorphiques qui sont saisissants de réalisme. La précision du trait complète la magnificience de ce tableau presque parfait graphiquement.
Et puis, il faut dire que la colorisation dans des tons ocres parvient à nous mettre parfaitement dans l'ambiance de cet univers post-apocalyptique où chaque espèce tentent de survivre tant bien que mal.
Plus on avance dans le récit, plus on découvre que cet univers n'est pas seulement que désertique mais qu'il y a des poches de civilisation florissante. La fin est assez remarquable et fait directement le lien avec la série parallèle « Chemins tracés » où nous suivons les aventures d'un félin nommé Fortuna. Ainsi, les pièces du puzzle de cet univers se mettent progressivement en place.
Bref, un cycle s'achève. J'ai passé un excellent moment de lecture pour une des meilleures séries de ces dernières années dont les thèmes demeurent d'actualité malheureusement.
L'auteur va un peu plus loin dans sa vision de l'écosystème de son monde, et par extension le nôtre.
L'étape qui suit le bien-être animal dans sa globalité est le végétarisme, voir le véganisme. Et la, je trouve que cela coince un peu.
Si on peut envisager ce mode de vie pour les humains, je trouve que ça tiens moins la route pour d'autres espèces animales, aussi anthropomorphe soient elles.
Si on fait abstraction de la partie engagée, cela se lit sans déplaisir et le tome suivant s'annonce assez explosif.
Suite à une fin tonitruante du cycle précédent, l'intrigue se concentre sur le fils adoptif, l'héritier de Solo, Legatus.
La vision de l'auteur prend une tournure christique. On comprend vite la place du bien-être animal dans cette œuvre.
Bien-être animal opposé à l'ignominie humaine, caricaturée par une image crypto-nazie.
On change de direction par rapport au premier cycle, mais cela reste plaisant!
Décidément le sort s'acharne sur notre héros.
Il n'est jamais à l'abri du pire dans ce monde hostile, sec, poussiéreux et aride en été, froid, enneigé et au déplacement pénible en hiver. Même si cette machine à tuer, semble invulnérable et déterminée dans ses objectifs le chemin reste difficile et incertain.
Au travers de ses aventures, Solo, que l'on a beaucoup décrit comme un cœur dur et implacable, va nous montrer sa part "d'humanité" et de bienveillance. L'auteur continue de nous décrire un monde chaotique et n'hésite pas à mettre en lumière les travers de notre propre société. Toute la violence que l'on découvre au fil des pages, fait écho à la violence de notre monde. Même si cette dernière est moins physique que mentale par rapport au monde de Solo.
Encore une belle réussite graphique et symbolique. Le scénario sans être étourdissant reste emballant.
Un graphisme relevé, nerveux qui tranche avec l'approche scénaristique plus philosophique, plus introspectif. Le narrateur arrive à nous faire vivre une aventure épique, riche en questionnements et en émotions avec, finalement, très peu de dialogues.
Un vrai tour de force.
Une série à découvrir de toute urgence.
Une bd où s'alterne combat violent et introspection. Ce récit anthropomorphe, avec quelques touches d'humour, est servi par un graphisme très emballant.
Oscar Martin nous dévoile une partie de cet univers post apocalyptique (à la mad max). Un univers riche en races animales avec leurs caractéristiques propres.
Malgré un scénario assez simple, ce premier opus très réussi est de bon augure pour la suite.
Marcher sans soulever de poussière est sans doute le tome le plus ambitieux de cette série. Il faut dire que le récit va prendre une autre dimension avec l'introduction d'un nouveau groupe aux origines bien mystérieuses. Les végans sont de retour !
On aura la joie de retrouver une vieille connaissance alors que c'était plutôt inattendu. Plus que jamais, l'ombre de Solo plane dans son idéologie de dépasser le problème des races pour un monde meilleur. Il y a tout un message écologique assez intéressant à entendre et qui raisonne en nous comme un écho.
Pour le reste, nous avons une nouvelle orientation du scénario qui entraîne un renouvellement salutaire de la série. On en redemande car on aime cela !
L'ombre de Solo continue de planer sur ce tome. Ce personnage était si charismatique. On le regrette mais bon, c'est le syndrome « Game of Thrones » que de faire mourir son héros en première saison. Pour autant, son fils spirituel Légatus ne s'en tire pas trop mal.
Il est question d'unir toutes les espèces dans un seul clan contre l'injustice des êtres humains qui exploitent les rats dans des fermes alimentaires. On retrouvera l'infâme ex-gouverneur qui n'hésite pas à tuer pour asseoir son pouvoir et récupérer ses privilèges dans une société post-apocalyptique profondément inégalitaire.
Il y a presque comme une parabole du Christ mais Légatus ne tombera pas dans ce piège même s'il semble accomplir des miracles grâce à une poudre vertueuse. Il y aura également un Juda mais dont les idées et la psychologie ont vraiment des répercussions. Tout cela va très mal se terminer.
Ce nouveau cycle semble un peu déroutant notamment vers la fin encore une fois inattendue. On se demande qui on va suivre dans le prochain tome car on se sent un peu orphelin.
On atteint le summum de cette série qui décidément garde son excellence sur la durée. Il va se passer un événement tragique à la fin de ce tome qui donne une dimension particulière à celui-ci. C'est tout simplement grandiose.
J'avoue que je suis triste au ressortir de cette lecture. On savait que ce monde sauvage est sans pitié et que le danger peut survenir de partout. Cependant, on ne s'y attendait pas ou on ne voulait pas trop y croire. On sait que désormais, rien ne sera plus jamais comme avant.
J'adore cette série qui est véritablement adulte et mâture ce qui change un peu du registre habituel. Certes, c'est assez sombre mais le dessin toujours aussi superbe concourt à accepter les codes de cet univers si difficile à vivre. Il y a de la douceur dans le graphisme et les chaudes couleurs font des merveilles.
Le seul bémol est la couverture un peu moins belle qu'à l’accoutumée et qui semble être en décalage. Pour le reste, je ne peux que louer le grand talent de cet auteur Oscar Martin qui s'est révélé. Il nous a offert le meilleur.
Le monde dans lequel évolue Solo est très dur. Il faut survivre dans un paysage ravagé et désertique marqué par l'absence de nourriture car il y a peu de végétaux. Nos végans et autres végétariens seraient les premiers à mourir dans cet univers car il n'y a que de la viande au menu. C'est mangé ou être mangé.
Ceci dit, j'apprécie toujours autant cette lecture. J'avais une appréhension car certains avis de lecteurs indiquaient un essoufflement de la série. Or, ce n'est pas vraiment le cas en ce qui me concerne.
Solo a en effet une amoureuse et il peut se montrer extrêmement jaloux. Il y aura également de belles retrouvailles en perspective. Cependant, on notera surtout une certaine désespérance. Notre héros un peu fatigué par toutes ces péripéties trouvera un salut dans un nouveau personnage dont on se doute qu'il prendra la relève.
Bref, il y a une véritable dynamique qui nous plonge dans un niveau plus loin. A noter également une réflexion philosophique et presque poétique assez intéressante.
Par ailleurs, certaines planches sont de toute beauté à commencer par la couverture qui est une pure merveille. J'adore ce dessin qui fait mouche au niveau des expressions des différents personnages assez reconnaissables. Il y a tout un bestiaire assez innovant.
Pour moi, cela demeure du grand art et on en redemande encore. On sent cependant venir la fin d'un cycle.
Quelque fois, il faut passer par des échecs pour mieux renaître. C'est ce qui est arrivé à notre auteur qui avait réalisé la Guilde dans les années 2006-2008 qui avait été abandonnée par l'éditeur faute de succès. En 2014, voici Solo dont le titre est déjà occupé par moins de 4 séries dont le fameux Solo (Dargaud). Là encore, il aurait fallu sans doute trouver un autre titre pour ne pas appeler à la confusion chez les lecteurs. On me répondra que c'est un pur hasard et qu'on ne savait pas pour les séries déjà existantes. Cela n'empêche pas de faire des recherches auparavant afin d'éviter des erreurs de marketing. Mais bon, on ne va pas leur apprendre leur métier !
Je lis toujours dans la préface les remerciements que font généralement les auteurs à des gens qui comptent pour eux. On n'oublie pas de remercier ceux qui ont collaboré à la réalisation de la bd, au patron de la maison d'édition si on est un bon fayot et aux lecteurs acheteurs. C'est la première fois que je vois une bd réalisée pour un animal de compagnie à savoir une chienne dont on verra la photo. Ce qui m'a ému, c'est le fait qu'elle soit disparue depuis plusieurs années et que le souvenir demeure. Je vis actuellement pour la première fois de ma vie une véritable passion pour un chien que j'ai acquis il y a un an et que j'aime profondément. Je suis arrivé à comprendre parfaitement l'auteur. Il y a des animaux qu'on préfère nettement aux êtres humains. Oui, j'ai approuvé ce genre de démarche et cela m'a même touché.
Après, il est question d'animaux mutants dans un monde qui a été ravagé par les armes nucléaires et chimiques. Il est dommage que le héros soit un rat. Mais bon, je m'en contenterai. Après tout, Ratatouille est mon dessin animé préféré. On va vite s'attacher à ce personnage qui est obligé de quitter sa famille pour survivre. Là encore, je trouve que le choix de partir n'est pas judicieux. Dans un tel monde, il faut se regrouper pour pouvoir lutter contre les hordes sauvages. C'est la division qui peut entraîner la mort.
Le dessin est plutôt agréable car il fourmille de détails et installe un véritable univers. Il y a également une dynamique de cases assez impressionnante au départ avec ce combat acharné. J'avais peur d'une narration pesante mais il n'en n'est rien. Les mots pour une fois ne sont pas dénués de sens. On sent une véritable montée en puissance avec une histoire assez prenante. C'est une série zoomorphique qui a beaucoup de potentiel. On espère qu'il y aura une suite de même acabit. Bref, comme je le disais au départ, c'est un auteur à découvrir.
Je ne suis pas de ceux qui vont laisser un 4,5 étoiles et qui ne poursuivront pas la lecture pour voir si la note tient toujours. Quand une œuvre mérite mon attention, j'y retourne volontiers. Quand j'aime, cela me déçoit assez rarement par la suite. Certes, cela peut arriver mais c'est plutôt rare. J'ai rarement vu une narration aussi maîtrisée et un dessin à tomber par terre. Ce rat éprouve des sentiments d'amour qu'on peut humainement comprendre. Et puis, pour une fois, on a réellement peur pour notre héros des menaces qui rodent dans ce monde hostile. Il y a de réelles questions de société qui sont posées comme l'extermination d'une race pour en sauver une autre.
Oui, la qualité est toujours là et l'excellent niveau est bien au rendez-vous. Solo est un rat à la Mad Max qu'on n'oubliera pas aussitôt !
Je trouve que Solo (La série pas Solo lui même) est paradoxale et inégale. Il y a trop de dessin pour ce qui se passe narrativement d'où un sensation de lenteur ou planéité et pourtant il y a des ellipses relativement importante qui dynamise ce récit.
C'est bizarre comme œuvre, c'est un post-apo exploitant au mieux les codes du genre, mais elle laisse une sensation de déjà vu (#Gladiator pour le premier tome), le dessin dynamise absolument tout les évènements et arrive à nous faire ressentir les différentes situations (T1 : le départ de solo est assez bien construit).
Enfin dans les derniers tomes lu, je trouve qu'il y a trop d'explications textuelles des comportements alors qu'ils sont facilement perceptible sans ce détail. (Alpha est incompris, peut-être qu'il aurait fallu laisser ce doute chez le lecteur aussi...). Trop d'explication de son univers alors qu'il arrive parfaitement à nous le faire toucher du doigt (des yeux en réalité) sans ça.
Bref j'ai aimé ces tomes, mais j'ai le sentiment que Martin a un univers très(trop) riche, une palette de protagoniste très (trop) importante, mais un scénario qui ne remplirait pas 1 tome. Toutefois j'attends avec impatience d'en connaître plus sur la colonie ou se monde pas si apocalyptique que ça... J'espère que l'on n'aura pas toutes ces réponses trop rapidement car ce rythme, cette construction de la quête me plait vraiment.
Voilà, je ne sais pas vraiment si ça ouvre le débat, ou l'envi de lire cette série, mais en tout cas je vous fais part de mon point de vu.
Un peu déçu par apport au premier cycle, car moins déjanté et plus moraliste, mais bon le dessin est top, cela se lit très bien, et on attend la suite un peu plus dans le style premier cycle.
On ne peut que se réjouir de ce deuxième cycle. C’est toujours aussi bon. Beaucoup de choses à prendre dans cette histoire qui est, en bien des points, pathétique dans le sens premier et dans le sens péjoratif. Légatus essaye d’unir toutes les espèces en cherchant ce qu’il y a de meilleur dans chaque être. Dans ce style de rouage, il y a toujours une pièce ou un judas pour tout détruire. Une utopie avec un grand U. Magnifique histoire et superbes dessins. Vite la suite !
Franchement, je suis déçu. Alors qu'avec le tome 2 on pouvait s'attendre à une réelle intrigue, avec des conflits de groupe ou ce genre de chose, hé bien non...c'est une suite de bagarres qui ne mène à rien. Vraiment dommage. Du coup, cela gâche même la lecture du tome 2, puisque l'histoire qui y était amorcée ne va nulle part.
Brutal et grandiose. Cet ultime tome de Solo clôture avec brio (selon, moi) cette épopée post-apocalyptique. Un dessin toujours à la hauteur d'une histoire dure dans un monde sans pitié.
La vie est une épreuve, Solo l'a traversée. Voici venue la fin.
Très déçu...
En dessous des ouvrages précédents.
Surpris par les notes des autres avis... 5 ETOILES !!! c'est une blague...
J'ai trouvé le scénario de ce 3ème tome très linéaire, sans grand intérêt... Une succession de combats : "Je vais te manger" Ah non c'est moi qui vais te manger... J'exagère mais c'est à peu près ça...
Bref, très déçu...
Le Mad Max des rongeurs, c’est Solo. Prêt à tout pour venger l’enlèvement de sa femme et de ses enfants ainsi que leur mort. Martin Oscar nous livre une superbe histoire en trois tomes avec un dessin magnifique. Les pages défilent très vite tant les aventures de Solo sont trépidantes et poignantes. Dommages que celles-ci s’arrêtent avec ce troisième volume mais voici un auteur, que je ne connaissais pas, dont je vais suivre avec attention les prochains albums.
Toujours très plaisant, un road moavie dur et violent dans un monde apocalyptique où la survit prime sur tout le reste. Des dessins toujours aussi somptueux quand il s'agit de croquer des personnages expressifs et charismatiques. les décors sont un peu en restes mais c'est ce monde désertique qui veut sans doute ça !
Une remarque en préambule : Pourquoi mettre en couverture des personnages qui n'apparaissent pas dans ce tome ?
Reste que ce tome 3 prouve qu'Oscar Martin a un grand talent.
Avertissement pour ceux qui ne connaissent pas la série : Ça cogne ! Ça cogne dur !
J'ai beaucoup aimé la série précédente : LA GUILDE et j'ai toujours regretté qu'elle ait été arrêtée au tome 2 sans savoir ce qu'il advenait d'ASTRABAN. La lecture du MONDE CANNIBAL me fait imaginer une fin à LA GUILDE à laquelle je n'aurais jamais pensé avant.
Un seul bémol à ce dernier tome de SOLO. On comprend à un moment que la quête de notre héros est sans espoir et on voit poindre (ai-je raison ou tort) une nouvelle série ! Les dernières pages sont inutiles puisque la messe est dite à un instant précis.
PS : Dans le débat "papier" ou "numérique", Oscar Martin fait partie de ceux (ils sont de moins en moins nombreux) que j'estime encore devoir posséder en version papier. Le livre est beau, le touché est agréable, l'odeur particulière.
Pour un livre de cette qualité, le prix,aussi, est justifié.
Le tome 2 m'avait laissé sur ma faim mais celui-ci donne à ce triptyque une tout autre dimension.
Je ne vais pas vous spolier la fin, je dirais simplement : il a osé !
Óscar MARTIN est un dessinateur virtuose et son souffle narratif ne faiblit pas. Une des meilleures découvertes récentes.
Série apocalyptique originale dans ce monde cannibale.
J'ai beaucoup apprécié les annexes à la fin de chaque tome qui définissent le monde à travers les différentes races qui le peuplent.
De l'action, de bons dessins... série à suivre...
Dans la même lignée que son prédécesseur mais avec un soupçon d'action en moins. Les dessins sont une nouvelle fois superbes mais le scénario un poil en retrait par rapport au tome 1 laisse entrevoir de belles choses malgré tout. Une bien belle série, à découvrir !
Un Mad Max animalier où le chaos est de mise sur une terre dévastée. Les dessins extrêmement dynamiques retranscrivent les scènes de combats comme rarement. Les personnages charismatiques servent à merveille ce scénario apocalyptique où l'action est omniprésente. Un bon album que j'ai pris plaisir à relire avant d'attaquer le tome 2.
excellent ! je ne connaissais pas cet auteur, mais on retrouve le dessin de "la guilde" que je vais sous peu tenter de trouver. "Solo" est une très bonne histoire pas si classique que ça, et le travail de préparation que l'on retrouve en fin d'ouvrage laisse planer l'idée d'une série qui n'a pas encore dévoilé tout son potentiel. le dessin assez jeunesse permet de baisser l'âge du public pour cette bd qui se laisse parfois aller au franchement trash, et tant mieux. pour l'adaptation ciné, je verrai bien Russel Crowe ! :)
Comme l'on dit les commentaires précédents, les dessins sont beaux. L'image est dynamique, les couleurs agréables mais le vrai plus de cet ouvrage, c'est l'immersion dans la tête du personnage. On croirait un peu suivre rorschach dans watchmen. Il nous livre ses pensées et c'est très bien écrit, les phrases sont belles, les mots se laissent avaler par le lecteur. ON souffle peu dans cette BD. On entre dans la peau de Solo, on devient solo. C'est palpitant de vie et d’énergie.
Un album à déguster
Rien que pour les dessins ça vaut le détour. La couverture est très réussie.
L'histoire quand à elle est surprenante je m'attendais pas à cela. Bonne morale dans un monde impitoyable. Je conseille cette BD pour ceux qui comme moi ont aimé par exemple Blacksad pour l'esprit des personnages animaux.
Excellente surprise, dessins top, bon scénario, un véritable univers à découvrir; Hautement recommandable
D'abord accroché par cette très belle couverture, j'étais curieux d'en voir plus bien évidemment...Une histoire plutôt basique en mode apocalyptique où tout le monde essaie de faire son trou pour survivre, bête, homme...mais très bien racontée, j'ai bien accroché la route, le passé du héros.
Tout ça est dynamiser par 2 choses, l'excellent dessin et le rythme insufflé, primordial dans une BD, typée "action" tout de même.
J'espère qu'un Tome 2 est en préparation, pour étoffer davantage tout çà!
Vraiment une belle surprise.