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Série amusante sans plus. Le positionnement mi-comics, mi pin-ups, mi pulps n'est pas déplaisant. Tout ça aurait quand même pu être raccourci , trois ou quatre tomes auraient été suffisants. On sent le scénario construit à vue au fil des tomes et le remplissage. Rien d'inoubliable.
Malheureusement, cette suite de "Vortex" ne permet pas d'assurer la pérénité et la constance de la série pour différentes raisons. Dans un premier temps, le changement de coloriste (Walter) marque un tournant dans le style graphique de ce dernier qui est moins plaisant à l’œil. Au niveau du dessin, Tess Wood a bien changé ce qui fait que physiologiquement et physiquement, je ne la reconnais plus dans les traits, c'est fort dommage pour un personnage principal. Troisièmement, le scénario du dernier cycle est beaucoup trop alambiqué et se permet des raccourcis d'une facilité déconcertante. Également, je trouve que les couvertures du T6 au T9 sont ratées (surtout le T6 et T7). Pourtant avec un bon début de T6, la première moitié est convaincante, puis ensuite, cela devient du grand n'importe quoi : régression des objets et des être vivants à l'état primitif comme un retour en arrière, le temps recule au lieu d'avancer en quelque sorte. Un dernier cycle avec plus d'humour (notamment Campbell) mais qui s'éloigne beaucoup de l'esprit des premiers tomes. Une redite également sur la disposition des tomes avec un T6 et un T8 pour le personnage de Tess Wood et un T7 et T9 pour le personnage de Campbell. Il y a une vrai disparité sur la qualité de cette série au fur et à mesure de son avancement. Pour moi, cette suite est une catastrophe sur de trop nombreux points, qui fait qu'on passe un moment de lecture agréable sur les premiers tomes, puis cela s'étiole au fur et à mesure que le récit avance.
La machine à voyager dans le temps est un thème très rapidement dangereux car bon nombre d'auteurs et de scénaristes s'y sont essayés. "Vortex" mise rapidement sur l'originalité du scénario et des personnages pour proposer quelques choses de différent, notamment dans l'introduction avec les 4 premiers tomes de la série (T1/T2 Campbell et T1/T2 Tess Wood). Le T1 Tess Wood est une redite du T1 Campbell d'un autre point de vue, on apprend d'autres informations sur la trame narrative, les plans et le découpage sont différents bien que le scénario soit identique pour les deux T1 ; c'est sur le T2 Campbell et T2 Tess Wood que la combinaison des deux personnages prend un sens plus important et amène le lecteur à une réflexion plus poussée et intéressante. Campbell comme bon nombre des personnages masculins de la série, renvoi l'image des super héros de comics américains, les personnages féminins sont plus ambivalents, toujours avec une certaines fragilité, et un coté scientifique, intelligent et sexy pour le personnage de Tess Wood. Les dessins de Vince et Stan bien que différent se rejoigne dans le caractère du dessin pour laisser place à 4 premiers tomes solides qui laisse présager le meilleur pour la suite. Puis à partir du T3, l'histoire plus alambiqué et se permet des raccourcis sans vraiment d'explications propres, le rythme est le point fort des T3 et T5, peu de temps morts, cela se lit bien. Nos héros s'en sortent toujours au dernier moment (ce qui a tendance à me rebuter) et à partir du T4 la trame narrative du voyage dans le temps devient vite n'importe quoi ; le T5 n'arrange pas vraiment les choses. "Vortex" tente de réécrire l'histoire mais ça ne fonctionne que partiellement malgré les idées de bases bien construites. Le T5 clôture un 1er cycle de Vortex, non sans mal, avec une impression partagée, malgré les dynamismes et les dessins réussis ainsi que la couleur par Florence Breton.
Le titre et la couverture suffisent pour comprendre de quoi il s'agit. Second degré et caricatural mais pas que et on se laisse prendre au récit. Surtout si en parallèle et avec l'autre œil on lit l'autre tome 1er de la série. On comprend mieux, mais pas tout, bien sur.
Vortex est une série qui aurait pu être vraiment passionnante et qui rate complètement son coche en étant simplement divertissante. Récemment, la série Voyageur qui traite du même sujet se révèle être d’un autre gabarit.
D’un point de vue graphique, c’est un style très proche du comic. On est un peu étonné de le voir sur un tel support classique des Editions Delcourt. C’est tout de même colorié, frais et vivant. J’ai bien aimé également la juxtaposition des 4 premières couvertures.
En ce qui concerne le scénario, on peut pas affirmer que cela soit bien agencé. Je m’explique. J’ai commencé à lire le tome 1 de « Campbell voyageur du temps » avant d’enchaîner sur le tome 2. Je me suis rendu compte qu’il y avait d’énormes trous au niveau de l’histoire. Puis, j’ai enchaîné par le premier tome de « Tess Wood prisonnière du futur » qui redémarre chronologiquement avant l’action du premier de Campbell. Certes, les trous vont se reboucher peu à peu mais cela ne s’est pas passé avec grâce et subtilité. Le concept était sans doute révolutionnaire pour l’époque mais que c’est vraiment maladroit !
Pourtant, je serais réellement indulgent dans la note que j’attribue à cette série suite à ma lecture. C’est naïf, prévisible ô que possible et rempli de clichés. Pourtant, je ne me suis pas ennuyé du tout. Cela s’enchaîne sans déplaisir. Il faut simplement accepter de se laisser emporter dans ce vortex...
La numérotation de cette série est le casse-tête du collectionneur.
Un conseil : si vous êtes à la recherche d'un album, ne vous fiez qu'au visuel puis demandez confirmation auprès du vendeur.
Pour corriger le dernier commentaire d'allerio... Dans un premier temps, j'ai aussi cru que les 11 albums étaient le premier pan d'une trilogie... En fait en relisant bien la phrase en question je me suis rendu compte que les auteurs avaient prévu à la base une série en trois albums (une trilogie, donc) et que finalement elle se sera conclue en 11 albums ! D'où la phrase : La première trilogie en 11 albums... Voilà sinon cette série est excellente...