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Assez d'accord avec les autres avis. Plutôt moyen comme histoire. Et franchement le commentaire de Valérie Mangin sur le soi-disant propos procolonialisme du roman me semble tiré par les cheveux... Bref, je n'ai pas lu le roman, mais l'histoire ne m'a pas vraiment emballé. Pourtant, tous les ingrédients étaient là pour en tirer une bonne histoire. Impossible par contre de savoir si c'est la faute de Wul ou de Mangin sans avoir lu le roman aussi.
C'est bien la première fois que je suis réellement déçu par un titre de cette collection imaginée à l'origine par le romancier Stefan Wul. L'adaptation a été pourtant réalisée par une auteur que j'apprécie à savoir Valérie Mangin. Cela n'a malheureusement pas suffi.
La thématique était plutôt riche entre colonisation et robotique, cependant le traitement n'a guère été convaincant. Il est vrai que je n'aime pas trop le graphisme d'Emmanuel Civiello. L'aspect est toujours aussi fouillis. L'ensemble fait un peu vintage pour ne pas dire ringard ce qui ne colle pas trop à la science-fiction.
Il est intéressant de voir que les critiques hors site dans l'ensemble sont dithyrambiques ce qui contraste avec le ressenti général des lecteurs d'où l'utilité d'un tel site indépendant...
En conclusion, un loupé de la collection ce qui n'empêche pas de la découvrir.
Il y a des BD ou c’est la relecture qui donne tout le sel et les saveurs du bel ouvrage. « Rayons pour Sidar » est de ces œuvres-là.
Comment faire ? Lire une première fois. Prendre en compte les heurts d’un dessin trop fouillé et certaines entre-scènes trop « cut » qui donne peine à la bonne lecture…puis laisser reposer une semaine, un mois et lire à nouveau. C’est alors que l’œuvre prend tout son essor.
De la volupté d’illustrations magiques (il n’y a que Civiello qui sache dessiner des poulets-serials killers) à la narration qui privilégie l’émotion. Sans cette relecture, vous risquez de passer à côté.
On regrette alors, que Valérie Mangin n’est pas approfondie la thématique du duo robotique. Il manque de l’Asimov dans cette adaptation-ci. Wul avait laissé dans le vague cette notion. Il y avait donc tout un champ libre à explorer pour un scénariste. On regrette aussi l'aspect ridicule et trop figé des méchantes chauve souris à cube poitrinaire.
Mais, on apprécie le final (presque) commun entre la BD et le roman. Car Valérie Mangin donne à Lionel un libre arbitre anti colonial salutaire en notre 21ème siècle.
Il est vrai qu’une BD peut se lire, se relire et se relire encore si elle se trouve dans votre bibliothèque. Celle-ci est de celle qui prenne toute sa densité dans ce cadre précis. Les dessins-illustrations de Civiello y sont pour beaucoup et Valérie Mangin a bien eu raison de privilégier, dans son découpage, les peintures de cette artiste.
Si bien sur, on relit l'œuvre. Car sans cela, les lecteurs qui considèrent que cette adaptation est ratée auraient raison...
Stefan Wul n’était ni pro, ni anticolonial. Homme de son temps, il n’avait d’opinion que celle de la majorité des français en une époque ou encore la France était coloniale. Et vous ne lirez aucun parti pris sur ce thème dans les romans. D’ailleurs, « rayons pour Sidar » n’est qu’un préambule à « Piège sur Zarkass ». La différence étant que pour l’un, seul deux personnages sauvent toute une civilisation alors que pour l’autre, c’est bien tout le peuple indigène qui se sauve de la main mise d’un futur colon destructeur. Car la civilisation terrienne, dans les deux cas, est bonne pour l’émancipation de ces peuples respectifs. A méditer, lorsque l’on croit que Wul est un dénonciateur. Hélas, bien au contraire.
En préambule, Valérie Mangin explique clairement la position de Wul et, dans ce premier tome y demeure fidèle. Les peuples rencontrés par les héros sont plus sauvages les uns que les autres, et on comprend les colères multiples de Lorrain, alors qu’il tente de les sauver, face à ces peuples agressifs.
Si l’adaptation est de bonne facture, fidèle au roman et plutôt réjouissant dans la description de Sidar, les découpages entre scène peuvent parfois heurter le bon déroulement de lecture. Et si le dessin de Civiello est superbe avec des couleurs extraordinaires, là encore, la profusion des détails et l’absence d’ancrage précis heurtent aussi la lisibilité de l’histoire. Ce défaut récurrent, à la fois au dessin et au scénario, nous empêche l’immersion dans cet univers unique. Dommage…
Valérie Mangin joue la carte de la fidélité au roman jusqu’au boutiste et, comme le roman, n’approfondie pas le thème du duo robotique, tout en laissant la part belle aux dessins.
En sortant de ce premier tome, il y a toujours cette question qui point à l’horizon. Un dessinateur de bande dessiné peut-il être illustrateur ? Car les illustrations magiques et magnifiques de Civiello dessert la lecture par sa force agressive de trait et l’atypisme de la gouache. Tel Carlos Nine ou Mattoti, Civiello nous prouve le génie de son travail dans cette adaptation. Mais il me semble qu’un dessin dans une BD doit servir avant tout l’histoire. Alors que dans cette BD, l’histoire semble être un simple réceptacle à un vrai savoir-faire pictural, au détriment du lecteur et de sa lecture.
Une adaptation passable.
Malgré un dessin de qualité, bien qu'un peu trop fouillie parfois, on retrouve dans cette adaptation le défaut principal sur je fais à l'auteure Valérie Mangin : la narration est confuse, bien trop éliptique par moment, et surtout jamais vraiment prenante. La différence est flagrante avec les autres adaptations parues dans la même série : on sent que l'histoire originale est plutôt fouillée et riche, mais l'adaptation gâche au final un peu tout. Quel dommage.
j'ai lu la plupart des romans de stefan Wul hormis celui la donc je ne peu dire si l'adaptation par valerie Mangin est fidèle ou pas.
Par contre à la lecture j'ai trouvé la bd très confuse et peu passionnante. On ne comprend pas grand chose et les personnages sont antipathiques.
j'ai hésité à mettre 1/5 car le dessin de Civiello reste d'une grande qualité...mais ça ne suffit pas à sauver l'ensemble.