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East of the West est une œuvre un peu mystique. C’est très original car cela part d’une uchronie qui va diviser les Etats-Unis en sept états différents dont le processus commencera au cours de la guerre de Sécession. Il est question d’une prophétie de fin de monde. Visiblement, les quatre cavaliers de l’apocalypse ne sont plus que trois car le quatrième s’est fait la malle avec des comptes à régler.
Bref, il y a du western, du fantastique, de la science-fiction post-apocalyptique qui est mélangé. Au début, j’avais des doutes sur une la crédibilité d'une telle potion mais cela le fait au cours de la lecture. Le scénario se révèlera d’une richesse étonnante. On regrettera juste un graphisme assez épuré qui n’est pas tout à fait à la hauteur sans être totalement mauvais. Au final, c’est une série qui est originale et qui est bien évidemment à découvrir.
Un comics original. Le postulat de départ en fait clairement un western mais le côté science-fiction est plutôt exacerbé. C’est une belle synthèse des 2 genres.
L’histoire est assez complexe, même si elle s’étale sur plusieurs tomes. On peut éprouver quelques difficultés à rentrer dans l’histoire mais on y arrive. Les personnages sont très élaborés et l’intrigue assez riche. On trouve quelques références à d’autres œuvres de science-fiction, c’est sympathique.
Le dessin quant à lui est très réussi. Il est d’une grande finesse et agrémenté par de belles couleurs.
Au final, East of West est une œuvre assez complexe à laquelle il faut s’accrocher mais assez riche tant par son scénario que par son dessin. C’est précisément cette complexité qui me déçoit un peu mais ça n’enlève rien à la qualité globale et sans nul doutes East of West ravira le plus grand nombre.
East of West est un ovni scénaristique complètement halluciné, et donc évidemment intéressant.
Tout y est hors norme : chaque page foisonne d'idées, les personnages sont visuellement et psychologiquement dingues, on en prend plein les yeux.
Graphiquement, c'est à l'avenant : les dessins "collent" parfaitement à cette réalité déjantée (il suffit de regarder les 7 couvertures pour se faire une idée). C'est visuellement percutant, et servi par une colorisation flashy qui accentue e débordement visuel.
Après tous ces compliments, pourquoi seulement 2/5 me direz-vous??
Parce que plus ca va, et moins je comprends...
A force de nous perdre dans une intrigue et un univers d'une complexité incroyable, les auteurs m'ont complètement décroché. J'ai perdu le fil, perdu l'intérêt pour les personnages, et me suis enfoncé dans une forme de lassitude.
Peut-etre que je relirai l'intégrale quand tout cela sera fini, mais pour le moment, je décroche.
Donc 2/5, en dépit des nombreuses qualités.
OK avec tous les avis, mais quand même une remarque : ne trouvez vous pas que cette série est qd même assez difficile à "suivre" càd à comprendre ? Perso, j'ai du relire deux à trois fois avant de pouvoir vraiment comprendre les tenants et aboutissants... Serais ce trop intello pour moi ? Pourtant, je me targue quand même d'être quelqu'un de disons, sans vouloir me faire passer plus intelligent que je ne suis, être donc un minimum "intello"...
Je dois aussi avouer que la chronique de BDGest et vos avis mon éclairés sur le scénario. C'est vrai que c'est un puzzle et que mettre chaque pièce à sa place n'est qd même pas commode...
Une certitude : je vais attendre la fin de la série et tout relire les albums l'un après l'autre...
Parce que lire chaque nouvel album sans relire les précédents, dans mon cas, cela relève du défi pour comprendre...
Je me demande si aux USA cette série se vend bien... Connaissant (sans vouloir faire de l'amalgame !!!!!), le niveau cervical des Américains n'est pas très élevé (Cf Trump : "çà" président, brrr...).
Bon, bref, je vais lire d'autres chroniques qui m'aideront, parce que là, j'ai le courage et l'honnêteté d'avouer que cette BD est HORS norme "intéllectuellement", mais que je ne l'abandonnerai pas !! Suis-je vraiment le seul dans ce questionnement de "compréhension" ??? Curieux de voir s'il y aura des "réponses" (je sais il y a le forum... Mais bon...).
Ce second tome continue dans le même style. Le dessin et la couleur s’améliorent sensiblement.
Par contre, le scénario est toujours autant saccadé. L’intrigue générale avance (trop) lentement, des éléments nous sont révélés, mais il reste une impression chaotique, déstructurée. Cela à l’avantage de coller au thème de "fin des temps". Chaque chapitre apporte une touche supplémentaire au récit et c’est au lecteur de faire le lien entre les sept nations. A l’image d’un recueil de nouvelle ou d’une série à épisode, la lecture est plutôt plaisante.
Un second tome assez bon mais un peu chaotique.
La couverture épurée donne le thème de ce comics : le western post-apocalyptique.
Le récit est bien amené avec une courte introduction expliquant l'uchronie. Le point de divergence se situe pendant la guerre de sécession lorsqu'une comète s'écrase, provoquant ainsi la création des sept nations d'Amérique. Puis une ambiance sombre et violente de western s'installe progressivement. On est alors happé par le scénario, centré sur les cavaliers de l'Apocalypse, qui mêle prophétie et action dans un rythme soutenu. Les planches se lisent rapidement, peut-être trop et les transitions sont abruptes. Plus de profondeur aurait été bienvenue. À part Mort, la personnalité des cavaliers est lisse. Ils sont en colère mais il leur manque un réel motif et un relief. Pourquoi sèment-ils la destruction ? Qu'est-ce qui les animent ?
On ressent l'influence forte de la Tour Sombre de Stephen King avec son Pistolero, sans l'étincelle de génie du conteur.
Il existe une identité graphique forte. Dans l'introduction, le dessin est recherché mais il est par moment beaucoup plus simple et perd en qualité. Il en est de même pour la couleur même si les effets spéciaux ou certains décors sont assez bon.
Ce premier tome rythmé annonce une bonne série uchronique et apocalyptique. Une ambiance particulière s'installe avec de bons passages mais certains personnages méritent d'être plus travaillés.
Violent et sans concessions : c'est bien de l'apocalypse dont il s'agit là. Un western méphitique servi par ses quatre célèbres cavaliers, artisans de la fin du genre humain.
Un album au scénario bien fichu et au dessin efficace. Attendons la suite. Impatiemment ^^
Début en fanfare pour cette nouvelle série : fin du monde, 4 chevaliers de l'apocalypse, politique, conte, prophétie ...
Malgré un début rapide, on parvient à se laisser emporter.
La suite, vite...