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Bon, j’ai toujours du mal avec les autobiographies.
Je ne savais absolument pas sur quoi j’allais tomber en ouvrant cette BD que j’avais choisie parce que j’aime bien Clarke.
Et j’y ai retrouvé tout ce que j’aime : le dessin au trait vif…Les décors réalistes avec la touche belge… Des décors qui, d’ailleurs, sont plus ou moins appuyés, avec plus ou moins de détails, selon les scènes, disparaissant quand ils n’apportent rien. Un très bon compromis qui met en avant, à chaque fois, la petite histoire présentée en quelques planches…
J’ai aussi retrouvé le ton Clarke, les phrases efficaces, sans mot inutile, vives, précises. Le côté un poil détaché, vaguement cynique.
En revanche, j’ai trouvé d’autres trucs qui m’ont beaucoup moins accroché…
Je ne savais pas que c’était une auto-biographie et ce n’est pas particulièrement le genre que j’aime… A part Boulet qui tourne les choses en dérision le plus souvent, les auteurs racontent habituellement ce qu’ils voient. Et ça ne m’intéresse pas outre mesure depuis Trondheim et ses petits riens.
Là, pareil, que Clarke divorce, que Seron meure, qu’il ait du mal à draguer ou des facilités à emballer, ça ne me fait ni chaud ni froid. Voire, même, il y a des trucs que je préférerais ne pas savoir, c’est sa vie, pas la mienne.
Et le ton souvent tristounet mélancolique ne m’a pas palpité pour un rond, j’ai horreur de ce côté torpeur mièvre (que je ne retrouvais pas dans ses autres ouvrages).
Bref, probablement un bel exercice de se livrer ainsi, de la qualité dans les dessins, les cadrages, mais je n’ai pas marché du tout.