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L'une de mes 20 BD préférées, sur un peu plus de 3000 lues ... Chef d'Oeuvre. Merci Monsieur Gibrat.
"Le Vol du Corbeau" qui est une suite de "Le Sursis" reste dans la même lignée que son prédécesseur. Un humour fin et subtil, un dessin riche et coloré, avec légèrement moins de contour (ligne claire) que "Le Sursis". Jeanne a une personnalité forte, Gibrat a plaisir à la dessiner et lui donner quelque chose de fougueux. Le personnage de François, qu'on pourrait largement comparer à Julien (dans "Le Sursis") avec ses traits présente une personnalité moins intéressante que ce dernier, peut-être parce qu'ici c'est Jeanne la narratrice (il s'agit de Julien dans "Le Sursis"). Dans l'ensemble, j'ai préféré le sarcasme et les personnages dans "Le Sursis", mais cette suite mérite largement lecture, pour sûr.
Que dire de cette pseudo-suite au « sursis » ? Une merveille proche du chef d’œuvre par le dessin d’une beauté irréprochable (les vues sur Paris ainsi que celles avec le canal sont sublimes). Une qualité réellement irréprochable.
Nous suivons ici les destins de jeunes gens dans le Paris de l'Occupation racontés par un Gibrat au sommet de son art. Ses couleurs délicates et sa maîtrise des ambiances en clair-obscur installent un climat troublant. Que dire également de ses personnages féminins qui affichent une sensualité toujours aussi délicieuse?
La fin de l’histoire fait merveilleusement la jonction avec le « sursis » et offre une autre perspective. De plus, on apprend qui est le corbeau et tout se tient. Une histoire simple mais agréable à suivre? Derrière l'apparente légèreté du récit, cette oeuvre incite le lecteur à une réflexion sur l'engagement personnel.
Note Dessin : 5/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4.5/5
Mon avis concerne uniquement le tirage par L. Hennebelle de cet ouvrage maintes fois plébiscité.
Certes cher mais réellement magnifique. Chaque page est une sérigraphie de la planche originale correspondante. Les dessins et les couleurs de J-P Gibrat sont mis en valeur comme jamais. Du grand art ! Et quand on voit le prix d’une simple sérigraphie de l’auteur, ramené au nombre de pages de l’ouvrage en version 2, ce n’est finalement pas si déraisonnable. Sans parler de la qualité des matériaux et de fabrication qui est de haut niveau.
Conseil personnel: à découvrir si l’occasion de présente.
Paris. Juin 1944.
Sur dénonciation pour marché noir, la jolie Jeanne a été arrêtée par la police… Chez elle, point de cochonnailles, de fromages, de caviar ou de poules… Ce que les poulets ont trouvé est bien plus grave pour la jeune fille : une musette de grenades et trois revolvers…
Mais pourquoi les flics ne la livrent-ils pas à la Gestapo ? Probablement que le commissaire se tâte : les temps changent… Lui aussi devrait peut-être songer à changer de camp…
En attendant, Jeanne est en cabane.
Arrive alors un drôle d'olibrius. Fraîchement arrêté, des bijoux plein les poches, trois mille francs en liquide et des valises d'antiquaire, l'homme ne manque pas de bagout et ne tarde pas à engager la conversation avec Jeanne puisque le voilà enfermé dans la même cage au commissariat.
Profitant de ce que les policiers courent aux abris suite à une alerte aérienne, par ruse, notre malandrin, François, parvient à s'échapper, entraînant sur les toits, la délicieuse Jeanne…
Critique :
Gibrat est un auteur contemporain exceptionnel qui assume tout ; scénario, dessin, mise en couleur. Il excelle à tous les niveaux. Son scénario tient parfaitement la route, le dessin et les couleurs donnent lieu à de vrais tableaux de maître.
On retrouve une ambiance hyper réaliste dans un Paris occupé, reproduit aussi fidèlement que possible.
Les personnages sont très attachants et leurs comportements très humains. Cette « petite » histoire imaginaire tirée de la GRANDE HISTOIRE a le mérite de donner un bel aperçu de la vie à Paris en juin 1944, alors que les alliés ont débarqué en Normandie et que leurs bombardements aériens s'intensifient sur tout ce qui est transports.
A savourer, à déguster, ce n'est pas tous les jours qu'un auteur de BD peut se targuer d'être un immense artiste aux talents multiples, tous plus aboutis les-uns que les autres.
J'ai adoré l'histoire,les personnages et le dessin.En plus cette l'époque est très bien .Les dessins sont très beau. J'ai beaucoup aimé
Un très bon album qui se lit avec plaisir : le scénario est parfois un peu lent mais l'ambiance est là. Et surtout la véritable force de ce diptyque tient dans le dessin. Gibrat est un grand, un très grand illustrateur.
Tout aussi réussi que "Le sursis". Il y a un vrai souffle épique à travers ces deux grands diptyques. Même si on peut les lire séparément, il est bon de commencer par "le sursis" car un personnage clé revient ici dans le "Vol du corbeau" et ce pour notre plus grand plaisir. Les personnages sont toujours aussi forts, chaleureux et attachants (surtout la très belle Jeanne)
J'en ai lu pas mal des histoires sous l'occupation allemande mais il y a vraiment ici un petit plus au niveau ambiance...On sent la patte d'un grand auteur.
Merci à la critique de Protais pour le clin d'oeil au film "la traversée de Paris" page 36, j'avais pas vu et effectivement c'est super.
Achat vivement conseillé et à lire bien évidemment.
Quelle belle histoire d'amour pendant l'occupation allemande de Paris ! Comment ne pas être séduit par cette oeuvre à la fois artistique et littéraire ? Je me suis passionné pour l'histoire et j'ai admiré chaque dessin comme une aquarelle unique ! Chef d'oeuvre...
Si j'avais trouvé le premier cycle "le Sursis" bon, "Le vol du corbeau", c'est deux niveau au dessus !
Ambiance, scénario, dessin, tout y est ! Et de très haut niveau de bout en bout !
Aller M. Gibrat, on se fait plaisir avec un troisième cycle ?...
La péniche où se trouve Jeanne et François a été réquisitionné par les Allemands afin d'acheminer du matériel. Il est donc plus difficile pour Jeanne de retrouver sa soeur et de découvrir l'identité du mystérieux corbeau.
Ce deuxième tome est un peu moins savoureux que son pécédent du point de vue des dialogues. Néanmoins, le scénario est très bien ficelé, même si un peu prévisible, et réussit à captiver le lecteur. Les dessins sont, bien sûr, toujours superbes !
La fin laisse espérer une suite ...!?? En tout cas, on espère.
Ce premier opus du Vol du corbeau est un des tous meilleurs scénarios que j'ai eu la chance de lire jusque là !
En juin 1944, Jeanne, une résistante communise dénoncée, et François, un petit cambrioleur, se rencontrent en prison. A partir de ce moment, ces deux personnages, aux caractères si différents, ne vont plus se quitter : ils s'enfuient de prison, traversent Paris, se réfugient sur une péniche ...
Ce scénario, sans être très original, est magnifiquement construit. Il laisse plané le mystère autour de l'identité du délateur et il est surtout mené, tout du long, avec un humour particulièrement fin !
Enfin, cet album est un véritable plaisir pour les yeux avec de somptueux dessins et reconstitutions du Paris occupé.
J'ai bien-sûr enchaîné sur le deuxième volume avec la rencontre savoureuse entre Jeanne et Cécile. L'histoire se déroule inexorablement illuminée par la présence des deux soeurs. Le final plein d'espoir pourrait nous faire augurer d'un troisième diptyque.
Ce volume commence dans une cellule où Jeanne vient d'être enfermée suite à la dénonciation d'un corbeau. Elle y rencontre François, un voleur qui lui permet de prendre la fuite sur les toits de Paris pour attérir sur l'Himalaya la péniche de ses amis Huguette et René. Les dialogues entre les protagonistes sont savoureux et plein d'humour. La vie s'écoule lentement au rythme de planches toujours aussi superbes. Pour comble du bonheur la fin nous révèle que la soeur de Jeanne s'appelle Cécile, de là à rêver une rencontre entre les deux histoires (le Vol du corbeau et le Sursis)...
Le second album s'est fait désirer... et a tenu toutes les promesses du premier. La grande Histoire rejoint la petite. Le scénario ne faiblit à aucune page et le dessin est absolument magnifique. Un très bon moment de lecture que nous offre Gibrat. Merci Monsieur Gibrat.
Suite du même niveau que le T1, le rythme est assez lent, mais dérive aussi agréablement que celui de la péniche sur laquelle ont pris place les protagonistes.
La guerre passe en arrière-plan, mais quelques salauds sont toujours présents, vite remplacés par les résistants de la dernière heure.
Plusieurs rebondissements, pas forcément très crédibles, quelques ficelles un peu grosses, et une fin prévisible, mais ne boudons pas notre plaisir, c'est quand même du très bon Gibrat.
Dessins superbes comme d'habitude, et histoire plutôt sympa même si elle laisse deviner le dénouement sans trop de peine.
Petite fausse note tout de même: la scène sur les toits est bien trop longue...
Une très bonne BD très jolie (mais perso vu le sursis j'en attendais pas moins).
Le seul bémol que je reproche est le trop grand lapse de temps séparant les parutions entre tome 1 et 2 ce qui fait qu'en se penchant un peu sur le tome 1, vu les indices qui 'y trouvent, on devine la suite et le "rebondissement" qui intervient dans le 2nd volume... ce qui est dommage pour un rebondissement !
Sinon mis a part ce petit reproche, une très belle BD à lire et à relire.
graphiquement, je mets 11/10, y'a pas a dire, c'est vraiment superbe et ce style colle merveilleusement bien à l'histoire. Toutefois, je trouve le rythme un peu lent et l'originalité de l'histoire vraiment banale, la fin n'a pas répondu à mes attentes, je ne m'attendais certainement pas a ce qu'il y ait de l'action mais je trouve que le scénario se focalise trop sur l'histoire d'amour et pas assez sur le reste
Oui, chef d'oeuvre ! Quelle maîtrise de la lumière !
Et quel humour !
Avez-vous vu le clin d'oeil du 9è art au 7è art, dans la 1è case à la page 36 du tome 1 ? ... La traversée de Paris, pas seulement par notre héroïne, mais aussi dans le film éponyme, par Bourvil et Gabin avec les valises pleines de marché noir sur le pont au petit matin ...
Quelqu'un aurait-il trouvé d'autres clins d'oeil similaires ?
Une toute petite critique quand même : dans certaines suites de cases, l'ombre portée tourne dans le sens inverse du soleil ... A vous de retrouver ces cases !
(Cet avis vaut pour les 2 tomes)
La série "Le vol du corbeau" nous offre, pour notre plus grand bonheur, une prolongation du plaisir que la lecture de "Le Sursis" avait fait naître. A lire absolument.
Le graphisme est très beau et retrancrit a merveille l'époque et l'ambiance (quelle beauté cette Jeanne). Les persos sont authentiques.
Néanmoins je reste un peu déçu et ne partage pas l'enthousiasme des autres avis sur le scenar. C'est d'un niveau téléfilm consensuel mais pas plus haut. Je trouve le rythme un peu faible.
L'intrigue est menée de main de maître. en effet on est littéralement plongé dans cette histoire notamment avec un rythme accéléré qui ne nous laisse aucune minute de répit. De plus en ce qui concerne les révélations il n'y a pas a dire elles sont vraiment à la hauteur, même si le "truc" de François pour faire ses cambriolages tranquils pouvait être deviné, il n'y avait aucun moyen d'en être sûr et certain. Le suspense et bien ménagé et la lueur d'espoir de la fin laisse présager un dénouement heureux. Bref un excellent moment.
Bingo, j'intercepte le camion qui vient livrer mon libraire, j'y trouve Le vol du Corbeau 2, génial....
Gibrat conclue ce cycle admirablement, le scénario vaut les précédents, il n'est ni meilleur, ni pire, aussi bien...
Comme pour la série Le Sursis à laquelle le Vol de Corbeau fait suite, le titre révèle sa signification dans ce dernier tome.
Le dessin est également conforme à la réputation de Gibrat, les couleurs sont appropriées. En fait, les 2 cycles pourraient être réunis dans un coffret ou en intégrale sans qu'on n'y voie une discontinuité.
Je dois avouer que cet album est un chef d'oeuvre. Le scénario est en béton armé. Il est vraiment mené de main de maître du début à la fin. Le dessin est superbe que ce soit les personnages très expressif que les décord qui sont somptueux. Voici une BD que je recommande vivement à la lecture.