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Vraiment sympa de se plonger dans cette nouvelle aventure.
Je ne trouve pas forcément Bec très constant ...
Beaucoup d'idées, parfois géniales... parfois ... à titre d'essais d'ira t'on...
J'ai beaucoup aimé ce dessin assez froid ... qui s'apparente à cette planète hostile ... et froide ...
L'idée des habitants des lieus fort aggressifs n'est pas une révolution mais ceux ci sont bien exploités.
Très agreable cette série en 3 tomes ... cela ne m'aurait pas gêné d'en avoir un peu plus de développement sur plus de tomes ...
La réputation de Christophe Bec n'est plus à faire: entre licences interminables (Carthago), récits mêlant science-fiction et civilisation extraterrestre (Prométhée, Olympus Mons) ou encore les séries B de tout genre, Bec peut se targuer d'avoir une bibliographie aussi longue que son bras !
Avec Sibéria 56, on est dans une approche de type série B avec un postulat de science-fiction très classique, mais au combien alléchant pour les amateurs du genre.
Au programme donc:
- des référérences visuelles et cinématographiques à une pléthore d'oeuvres (Alien 1 et 3, The Thing, Planète interdite, Prometheus et même Tremors premier du nom pour la chute des silhurs)
- Un récit mené avec efficacité et tambour battant (malgré un tome 2 très verbeux)
- Les paysages glacés de Sibéria sont bien rendus avec des magnifiques nuances de blanc et gris
- Des clichés et facilités scénaristiques (avec un gros fusil de Tchekov pour le tome 2)
- Des personnages absolument pas caractérisés et non présentés
- La fin aurait été excellente et intattendue si les auteurs n'avaient pas tout révélé au début du tome 3 :(
En ressort un sentiment mitigé: d'un côté tous les éléments sont présents pour passer un bon moment, mais en même temps, les personnages sont creux, pas développés, certaines questions sont répondues à la va-vite. Il aurait sans doute fallu raconter l'histoire sur quatre tomes au lieu de trois, dommage.
Pour résumer: Sibéria 56 est une bonne grosse série B cumulant tous les défauts énoncés plus haut. Cela se laisse lire mais ne restera pas dans les annales.
Il y a pour l'instant une unanimité à reconnaître que Sibéria 56 est pas mal et c'est tant mieux car Christophe Bec a été souvent mésestimé à tort ces derniers temps. C'est une série qui démarre bien sur un scénario pourtant pas très original. On a tous vu des séries, des films ou encore lu des bd sur les explorations de nouvelles planètes pas très accueillantes. L'efficacité sera de mise en utilisant les classiques du genre.
Bonne idée également que celle d'orienter le récit vers un personnage principale qui va disparaître pour laisser progressivement la place à un autre. Il faut dire qu'on ne repère pas bien dans le groupe les différentes personnalités. C'est sans aucun doute également et paradoxalement l'une des faiblesses de cette oeuvre.
Le second tome nous en dit un peu plus sur la créature invisible nommé Morbius en référence par clin d'oeil au vieux film (mais excellent) Planète interdite.
En conclusion, une histoire de science-fiction sur fond d'expédition qui nous tient en haleine. Bref, une expérience à suivre même s'il fait très froid.
Les dessins sont superbes (excepté pour les expressions faciales inexistantes). Le reste présente très peu d'intérêt, je me suis dit qu'il fallait juste qu'ils posent les bases, et ai continué sur le deuxième tome, mais vraiment ça n'a pas valu le coup.
Quand on voit la couverture, on pourrait ce dire dont cette BD va nous faire penser à ALIEN ! Donc une BD de science-fiction incroyable et pleine d'engouement, or ce n'est pas du tout le cas, pour moi seul les dessins sont majestueux et d'une beauté formidable, cette planète blanche et géniale, mais l'histoire est bâclée, les personnages n'ont pas de sentiment ni charismatique, je me suis ennuyé et je n'ai même pas envie de lire les deux, selon moi cette BD qui a beaucoup de potentiel n'est pas exploité du tout ! C'est donc correct sans plus ! 2/5
Quel dommage...
Une planète glaciale, des monstres horribles, des dangers permanents, des monuments gigantesques et mystérieux...
Ce triptyque de SF horrifique, tendance survie, aurait pu délivrer quelque chose d'intéressant, de passionnant même, et le dessin est très bon (sauf pour distinguer qui est qui, parfois).
Mais entre des personnages fades, pratiquement peu de réponses aux questions posées, et une fin annoncée dès le début de l'album, je suis resté sur ma faim avec le sentiment d'avoir été grugé.
Décevant, très décevant.
Et donc, tant mieux si il n'y a pas de suite.
Après un premier tome prometteur, puis un second plus verbeux et confus, l'histoire de finit dans un dernier opus "armageddonesque" guère passionnant, ultra verbeux (pour noyer le poisson derrière un jargon pseudo scientifique) et qui n'apporte que peu de réponses à toutes les questions soulevées dans le premier tome.
Une tendance qui, j'ai l'impression, se généralise sur un peu trop de séries signées Christophe Bec depuis quelques années, et qui commence à me saouler.
Intrigue nulle; scénario convenu vu et revu qui laisse en suspend toutes les questions qu'on pourrait se poser, conclusion nulle, bref sans intérêt.
Seul le dessin nous plonge bien dans l'ambiance du milieu hostile.
Les planètes recouvertes de glaces en science-fiction c'est une véritable passion pour moi: c'est beau, enivrant, silencieux et surtout ça peut potentiellement nous apporter de bon survivals sur fond de drame psychologique.
Et bien Sibéria 56 rate le coche : personnages creux et caricaturaux, faune locale impressionnante mais sans originalité (« coucou Shai hulud des glaces »), univers peu recherché et ultra-classique, histoire prévisible...bref du classique de chez classique sans une seule prise de risque (même le titre, c'est pour dire).
La conclusion du premier tome ne ma pas vraiment donné envie d'en savoir plus.
Reste les dessins que j'ai bien aimé dans l'ensemble, en particulier les somptueux décors et les magnifiques panoramas que nous offre cette planète gelée.
Sympathique sans plus, vite lu, vite oublié. J'espère que le Tome 2 rendra ce diptyque plus accrocheur.
Une planète hostile, des montagnes, des tempêtes...le tout assorti de décors cyclopéens. Christophe Bec dans toute sa prédilection. Encore une fois malheureusement ! Un bon album sans plus, sauf si la fin est exceptionnelle. Mais là encore ce n'est pas le for de l'auteur.
Dessin à la hauteur bien que perfectible, notamment dans l'émotion humaine.