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Parfois et même souvent, un dessinateur se confronte à ses propres fantasmes. Druuna est donc un sujet de pur fantasme de son dessinateur Serpieri, un plaisir partagé tellement ses dessins sont d'une grande qualité, clairement un trait de maitre, tout d'abord pour la représentation de Druuna qu'on se délecte de voir dans des situations subites et cocasses, mais aussi ce monde mi-machine, mi-organique dans lequel elle évolue qui met vite mal à l'aise et nous plonge dans une quête étrange et organique. D'ailleurs on peut regretter les incessants aller-retours entre réalité et fiction au cours des tomes qui fait qu'on ne sait plus ce qui est réel et fictif. Un souhait de Serpieri pour perdre le lecteur, qui a l'effet sur moi d'un certains dégout pour le scénario de Drunna, qui ne cesse d'être trop complexe et élaboré. Les T1 et T2 restent pour moi les plus convaincants, mais aussi le T7, qui rattrapent l'ensemble de la série. Également plusieurs Hors-série avec des croquis de Serpieri qu'on prend plaisir à regarder et analyser. Le problème majeur de Druuna, c'est qu'elle semble n'avoir aucun pouvoir sur sa vie/son destin, elle est emprise de la pulsion de son narrateur (Serpieri) de lui faire vivre des choses étranges. On retrouve rapidement la femme-objet que les fantasmes alimentent. Et le T9 "Celle qui Vient du Vent" s’appuie exactement sur les mêmes travers. Les dessins sont excellents et beaux, Druuna est un objet de fantasme, mais après la lecture de la série, il ne ressort plus grand chose de sa personnalité, si ce n'est la beauté d'une déesse, d'un idéal esthétique.
Druuna, créature de fantasme, beauté pulpeuse et parfaite dans ses formes et ses proportions, qui invite à l'amour à chacun de ses dessins, ses manifestations de plaisirs et ses orgasmes, comme tout homme en rêverait, au moins sexuellement. Elle est canon. A la lecture, le dessin, bien que moins érotique par rapport aux albums précédents m'a fait bander au premier sens commun du terme. (je sais, c'est cru, mais comment le dire autrement ?) Serpieri est un Boss, l'un de mes dessinateurs préférés.
C'est un album dont le scénario est beaucoup moins linéaire que les tomes 1 et 2 et très bien construit. Il y a des choses à dire sur ce troisième tome et je souhaite en faire part aux lecteurs. Il peut se lire indépendamment des deux prédécesseurs, c'est une aventure complète. le Top.
Je crois qu'un psychanalyste devrait dans tous les cas se mettre à la BD parce que Serpieri, outre d'autres dessinateurs, est selon moi un candidat idéal, profondément troublé, peut-être même frustré par la recherche d'un amour idéal qu'en toute conscience il sait qu'il ne trouvera jamais, sans aucune considération de réalité, mais il est avant tout un homme qui a, et je le précise, toujours selon mon opinion, déifié la femme dans cette merveilleuse Druuna (dommage que je ne l'ai pas croisée et bravo à Serpieri pour lui avoir donné naissance) mais étrangement il la maltraite également, il en fait souvent un objet de plaisir ou une simple matrice dans certains cas. Toutefois, il dépeint allégoriquement l'homme, le mâle, la luxure, l’hypocrisie par le beau corps de Lewis en début d'album et qui n'est en réalité qu'un montre ou un mutant et ce dans le fantasme de Druuna, et même la "traite des femmes" (dans la vaine et presque simulée résistance de cette dernière à consentir des rapports sexuels obligés mais finalement acceptés pour son propre plaisir) par ces immondes corps déformés, décomposés et recomposés de cette écœurante matière organique. Ils sont là pour la souiller ou tout simplement satisfaire leur besoin primaire et animal, ils ont besoin de "baiser".
Un corps humain est également de la matière organique donc à bien des égards on se demande si Druuna, n'est pas à la fois cette entité organique à la dérive dans l'univers où si elle est son propre "moi". Elle serait à la fois Shashtar, Lewis, Druuna, Serpieri lui-même et sous certaines facettes le lecteur : un rapport symbiotique. C'est de la matière organique désorganisée qui créera Druuna par une extension en matière organique organisée. L'apparition de la petite fille confirmera que Druuna n'est qu'un rêve.
Serpieri sera, pour ma part, et avec cet album, le meilleur représentant et peut-être le seul de la télépathie, où les rêves des uns rencontrent les rêves des autres, où personne n'a une volonté plus forte ou plus faible mais dans un chaos étrange, corrélatif et synchrone qui donne une vie à cet album et qui en fait un volet réussi et grandiose, riche en lecture : un album indispensable de science fiction érotique. Ce tome 3 est pour l'instant mon préféré dans cette univers glauque. Le plus remarquable c'est qu'après vérification du visage du docteur à bord du vaisseau, tel Guido Buzzelli, Serpieri a fait son autoportrait. Il est le doc à bord, mais il est surtout ici, un psy. Son héros est un homme de couleur complimenté par Druuna dès qu'elle voit son entre-jambe nu, Serpieri s'est peut-être également créé son propre idéal au travers de notre héros. Comme beaucoup de gens, il souffre de complexes, toujours selon mon opinion.
La matière organique s'est développée depuis. "Elle" (ou Druuna) arrive a entrer en contact avec deux des personnages de l'équipage et ce dans des fantasmes de plaisirs sexuels consentis, après lesquels il n'y plus aucun échappatoire possible, Il faut aller "explorer" cet astéroïde et surtout, surtout, revoir cette magnifique Druuna. Elle est la femme. Elle est le rêve. Elle est la muse. Elle est la drogue. Elle est le fantasme. Elle est "LA" raison de vivre. Elle est le tout, elle est Dieu. La présence de l’œil géant n'est certainement pas anodine. Elle est un piège ? Elle est ce à quoi personne ne peut résister, même pas une femme. Serpieri aura dépeint une femme sexuellement parfaite, un fantasme plus fort qu'un fantasme, c'est indescriptible. A lire sans l'ombre d'une hésitation.
Une oeuvre avec quelques éléments maçonniques dans le cadre de la présence de l’œil-dieu et d'autre part parce qu'il s'agit du troisième volet de la série bien plus réussi, plus riche et surtout plus parfait... Lisez la seconde partie de la biographie de Serpieri en cliquant sur son nom, elle illustre plus parfaitement ce que j'ai essayé d'exprimer dans quelques unes de mes lignes.
Graphiquement c'est splendide et très fin, par contre le scénario ne m'a pas transcendé... Beaucoup de textes inutiles "Oh mais dois-je suivre cet homme ? Oui je le suis, c'est étrange je ne comprends pas pourquoi je le suis..." Un sens de lecture des bulles pas toujours évident. Bref, c'est usant. J'ai toujours trouvé l'histoire de Druuna assez moyenne. Ici, rien de nouveau (et pas de sexe pour les amateurs ! Désolé ) mis à part de beaux dessins et un joli cahier graphique en fin d'album.
On ne peut que tomber sous le charme de cette héroïne franchement un peu dévêtue au doux nom de Druuna. C’est justement là où le bas blesse : trop, c’est trop diront la majorité ! Il y a certes une parfaite gratuité dans les scènes érotiques. Or, je ne cautionne guère ce genre de surenchères. Quoique...
Pourtant, le graphisme est somptueux. On voit que le dessinateur a du génie dans la création de ce monde futuriste. Que dire également des formes ? Je suis époustouflé par tant de grâce dans le dessin.
Le scénario est inutilement alambiqué. On arrive à suivre mais difficilement dans tous ces méandres. Personnellement, j’ai beaucoup aimé le tome sur la « planète oubliée ». J'avais lu cette bd qu'on m'avait prêté il y a quelques années. Je l'avais alors totalement rejeté. J'ai changé d'avis avec le temps. Il m'a fallu quand même plus de 10 ans pour y revenir et curieusement pour l'apprécier.
Je sais très bien que je devrais me joindre en choeur avec les partisans jouant aux vierges effarouchées mais je ne peux pas ! Au fond de moi, j'aime l'audace de ce cocktail entre sexe et science-fiction car c'est d'un genre totalement inédit. Une oeuvre brûlot assez exquise !
Avec ce dernier opus, que l'on attendait plus, Serpiri nous surprend à plus d'un titre. D'une part, le dessinateur renoue avec le style de ses bd sur les western avec l'apparition d'indiens et de chevaux dans l'univers de Druuna (Seul le personnage du gnome nous rappelle l'univers futuriste où Druuna évolue habituellement) et ensuite, en ne présentant aucune scène de sexe. Que les voyeurs passent donc leur chemin ! Il leur faudra attendre le cahier graphique, présent en fin d'ouvrage, pour découvrir des esquisses plus osées de cette célèbre créature.
Il réalise également ici un grand écart en reprenant le personnage d'Anima, véritable clone de Druuna et premier opus de la série (mais l'avant dernier paru).
Serpieri fait l'effort d'avoir commis un scénario, certes complexe, mais qui pour une fois, se tient
Un très bel album où Serpieri nous prouve que malgré ses 75 ans, sait toujours aussi bien dessiner le corps des femmes.
Cet album s'achevant assez brutalement, mérite évidemment d'avoir une suite que j'ai hâte de connaître.
J’ai découvert cette série assez tardivement et j’avais déjà l’ensemble des albums dans l’édition « «Bagheera ». Mais avec la réédition, en intégrale, chez Glénat, j’ai de nouveau craqué.
Il faut souligner la qualité de cette nouvelle intégrale, qui en plus du récit, propose « des archives » quasi inédites : des planches en noir et blanc, des illustrations, des couvertures, des croquis, bref que du bon.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore « Druuna », il faut rappeler que cette belle femme, véritable Vénus callipyge, (Serpieri lui avait donné, au début, les traits de Valérie Kaprinsky , en créant son héroïne) vit des aventures incroyables dans un monde post apocalyptique, où se mêlent mutants, prêtres, des robots, scientifiques déjantés et monstres de tout genre.
Dans ce premier cycle « Morbus Gravis/Delta », Druuna essaie d’aider Shastar, mutant, à se procurer du sérum pour échapper à une transformation inéducable. Elle devra évidemment jouer de son corps pour arriver à ses fins et va se retrouver plonger dans un combat entre un ordinateur central et un certain Lewis, qui va l’aider par télépathie.
Ces deux premiers volumes sont assez violents et surtout le sexe y est très présent. D’ailleurs cette intégrale est à réserver à un public très averti.
Serpieri est un maître pour dessiner les courbes de Druuna, ce qui fait de cette série un must dans le genre de la bande dessinée dite « pour adulte ».
Contrairement aux prochains albums de Drunna, qui s’enfonceront, au fur et à mesure, dans un scénario presque incompréhensible, « Morbus Gravis » et « Delta » reposent sur un scénario linéaire et abordable.
Bref, un dessin magnifique au service d’une histoire de science- fiction qu’il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie.
J'adore le dessin de Serpieri et j'adore l'univers glauque et érotique créé dans la saga Druuna.
Mais je dois rester lucide : ces tomes 7&8 gâchent la conclusion des aventures de la pulpeuse Druuna. Lorsqu'on ferme le livre, on a le sentiment d'une œuvre inachevée voire même baclée. Le scénario donne le mal de tête, cela part dans tous les sens, il n'y a pas de fil conducteur.
Mais y a-t-il vraiment quelque chose à comprendre dans cette histoire? Sans doute que non...
Deux Tomes au scénario indigent et érotiquement pauvres. On ne parvient pas à retrouver la sensualité des premières heures et les monologues de Druuna y sont insupportables. A n'acheter qu'en cas de collectionnite aiguë.
Cette bd, je l'avais clairement acheté pour son caractère érotique. Malgré son grand âge, 30 ans, parcourir cette œuvre est un vrai plaisir visuel. Druuna est somptueuse, mais les autres personnages le sont tout autant. Serpieri sait dessiner les femmes, mais il sait créer égalemet des hommes sadiques et des monstres répugnants.
Concernant le scénario, et bien, il est clairement à la hauteur du dessin: un univers glauque, des personnages sans pitié et un suspense bien présent. On dévore cet album de plus 100 pages avec beaucoup de passion et on attend la suite avec impatience!
Ou la la ! Quelle arnaque !!
N'achetez pas cet album, il n'y a rien dedans.
Un coup Marketing pourri de chez Glénat.
La série des "Druuna", que j'ai découvert assez tardivement, reste pour moi un des sommets de la bande dessinée dite pour adulte. Je possède pourtant déjà l'ensemble de la série éditée chez "Bagheera" mais je n'ai pu m'empêcher d'acquérir cette nouvelle édition sous un format plus petit certes, mais complétée par un cahier graphique inédit.
Druuna, c'est tout d'abord une femme, une véritable Vénus callipyge, dotée d'une belle paire de seins, bref une femme aux formes plus que généreuses qui se débat pour survivre dans un futur apocalyptique.
Mais dans cet album inédit, Serpieri s'offre une pause bucolique dans la vie de Druuna, mais qui n'est pas sans danger. En rendant hommage à Moëbus dans les premières pages de cette aventure, Serpieri nous offre des planches magnifiques. Ce récit, certes muet, sur près de 70 pages peut décontenancer certains lecteurs mais, pour ma part, je suis resté sous le charme, avec le dessin de Sepieri, qui se met lui même en scène , comme il le fera dans les albums suivants.
Ce préquel est d'une qualité graphique indéniable, et il est suivi d'une histoire inédite de 7 pages qui porte les prémisses des aventures de Druuna.
Un très bel album, qui bénéficie d'une très belle édition chez Glénat, qu'il faut vraiment souligner.
je suis d'accord avec "edounig", cet album est une arnaque.
je n'ai de oute façon jamais vraiment été intéressé par les scénarios des "druuna", mais j'ai tout de même acheté, il y a 10 ans, les 2 coffrets de l'intégrale car le graphisme de Serpieri est remarquable.
mais les scénarii...
ça n'a jamais volé bien haut.
et bien, c'est encore pire cette fois.
aucun intérêt pour cet album sans queue ni tête, qu'on feuillette en 3 mn, et qu'on regrette aussitôt d'avoir acheté.
A fuir.
Grand fan de Druuna je déplore ce T0 qui tient plus du Hold-up que de la BD.
Certes les T0 sont souvent moyens mais là on se demande si l'Album n'est pas juste là pour justifier une vente de planches en couleur directe.
Déçu je suis
Les dessins de Serpieri sont toujours au top. Il s'agit d'une histoire sans paroles mais c'est une belle introduction aux aventures de Druuna. Rien que pour les yeux !
Alors que les premiers tomes étaient dignes d'intérêt ce tome 8 est bien vide et uniquement rempli par la plastique de Druuna.
L'histoire est inexistante, je n'ai même pas trouvé le lien avec le tome 7.
Seuls les dessins sont superbes mais valent-ils à eux-seuls de lire cet album?
Pas sur.
A éviter sauf amateurs.
5/10.
Album totalement inutile : pas de scénario, pas de nouveaux personnages ni même d'histoire.
L'ambiance post-apocalyptique chère à Serpieri devient lassante, elle n'évolue plus.
Franchement voir une femme nue si belle soit elle déambuler seule dans des couloirs et des décors de post-guerre ne constitue pas en soit matière à une histoire; même la fin est incompréhensible!!!!
On est très loin des premiers tomes.
Album à oublier 4/10
Bon ben cette bd est assez spéciale, le dessin de Serpieri est superbe ça c'est sur, en revenche se qui me chipotte un peu beaucoup meme s'est le contexte dans lequel progresse Druuna.
Certains aileront certainement le style, en revanche pour moi je n'arrive pas à tenir longtemps devant toutes ses "choses".
Dans la série Drunna, tout dépend de quel point de vue on se place, soit du scénario, soit du dessin et de la "sensualité" de la belle Druuna.
Du point de vue scénario, le mieux abouti reste le premier, de l'autre point de vue, chaque album trouvera ses amateurs
Sauf dans ce dernier album, où on reste quand même sur sa faim, le scénario est assez moyen : Druuna cherche toujours à comprendre ce qu'elle fait là et une espèce d'entité essaie de recréer des humains sans émotions
Du point de vue "sensualité", quelques scènes chaudes mais Serpieri s'éloigne du côté "bête de sexe" malgré elle de Druuna et l'ambiguité qu'il avait essayer de développer jusque là retombe comme un soufflet
Il est temps qu'il s'arrête ...
Au dela du graphisme et de l'érotisme ambian qui présentent un intéret certain, l'histoire et l'univers sont incompréhensible. Mais bon, qui lit Druuna pour l'histoire . . .
Je me suis offert les 7 premiers albums pour mes 25 ans... tellement j'ai aimé lire cette série.
Attention, pas pour les enfants, pas pour les âmes sensibles, pas pour les moralistes. Du sexe, du gore, de la violence, de la dépravation, bref toutes les pires dégénérescences morales de l'humanité y sont autopsiées de façon magistrale tant par leur mise en scène graphique que scénarique.
Cette BD est une oeuvre d'art. Ce qui m'a le plus impressionné, c'est la qualité du scénario qu'on ne peut comprendre qu'en ayant lu les 6 premiers album qui forment une seule histoire.
La meilleure BD que je n'ai jamais lu.
J'ai lu le tome 1 à 8 (ames sensibles s'abstenir - porno gore...)
histoire assez confuse (de plus les rêves se confondent avec la réalité) bien que tres prenante, peut etre du à la force de persuasion de druuna :)
Non franchement j'aime beaucoup l'ambiance post apocalypse.on comprend ce qui se passe au fur & a mesure que l'on avance dans le scénario mais certaines questions restent sans réponses...meme au tournants de l'histoire à moins que cela soit encore un réve.
ps : les albums sont bien conçus, ils racontent chacun une histoire différente avec les réponses & leurs questions, tout en restant dans la continuité...
ceci est un avis un peu maladroit : peut etre qu'en relisant la bd je serait plus à meme de l'exprimer
De prime abord, la sexualité excessive et les formes du personnage principal me rebutaient, mais après lecture je considère cette bd comme l'une des meilleures que j'ai lues. Ça paraît que l'auteur écrit d'abord ses scénari sous forme de nouvelles, ils sont riches et complexes. J'ai été très impressionné par la qualité de l'histoire et agréablement surpris de l'explication que donne Serpieri quant aux formes charnues de Druuna. Explication dont il donne indice tout au long des bd par les couleurs (Druuna est toujours de couleur plus charnelle, plus vivante...). Seul point négatif : il devrait travailler avec quelqu'un, ou du moins trouver un/une critique éveillé à ses histoires, je comprends que Druuna c'est son bébé, mais à force de créer à huis clos il tourne en rond.