Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Après deux albums ratés, Bessière et Alloing semblent avoir trouvé un mode de coopération permettant de produire un album sans prétention mais un tantinet satisfaisant. Sans jeu de mots, le dessin d'Alloing est loin de la qualité atteinte dans les tomes 22, 23 ou 24. Mais l'ensemble se lit dans déplaisir et l'histoire est adaptée au lectorat d'Astrapi (7-11 ans).
Scénario laborieux et peu palpitant de Ben Bessière et dessin très grossier pour ce tome 27. Qu'est-ce qui se passe chez Marion Duval pour qu'on nous inflige une telle chute de qualité pour le deuxième tome consécutif ? Bessière et Allloing n'arrivent-ils pas à coopérer ?
Après une série de trois ou quatre très bons albums, la qualité des Marion Duval chute brusquement dans cet albums au dessin passable, aux couleurs criardes, et au scénario approximatif. Bessière n'est pas Bouchié.
En dix ans, le dessin de Louis Alloing a beaucoup gagné en dynamisme, la ligne claire est parfaitement maîtrisée désormais, et il sert ici un excellent scénario très tintinesque de Pascale Bouchié et Frédéric Rosset (qui fait son apparition dans la série), prolongement du tomes 23 (Balactica).
Bouchié avec Allloing nous produisent de nouveau un très bon album d'aventure pour la jeunesse, avec juste ce qu'il faut de dialogue, ce qui est plutôt rare et bienvenu dans cette série assez verbeuse.
pascale Bouchié nous livre ici un album très satisfaisant, qui reprend, avec l'appui de Louis Allloing dans un dessin très maîtrisé, les codes des Blake et Mortimer. Un des meilleurs albums de la série.
Pascale Bouchié prend les manettes au scénario, ce qui produit un album bien plus satisfaisant que le précédent. Alloing reste au dessin. Cette histoire de maquisards est tout à fait adaptée au jeune public auquel se destine cette série.
Après avoir laissé Philippe Poirier au scénario nous concocter deux très bons albums, Yves Pommaux reprend la main sur la série pour un album en retrait. Je persiste à penser qu'Yves Pommaux est un scénariste peu talentueux.
Philippe Poirier et louis Alloing nous concoctent ici ce qui est probablement le plus tintinesque et l'un des meilleurs album de la série (avec le tome 22), fidèle à ce qui en fait la substance. La collaboration du scénariste et du dessinateur est sans faille sur ce tome.
Philippe poirier remplace Pommaux au scénario, et la qualité de cet histoire s'en ressent sensiblement. Même si on reste sur un registre assez intimiste, on retrouve enfin une qualité et une unité de style entre le dessin et le scenario que l'on n'avait pas revu depuis le tome 8.
Louis Alloing remplace Philippe Masson au dessin. On hésite entre s'en réjouir et le déplorer. On gagne en finesse, mais on perd en fluidité. les personnages sont quasi statiques, et comme le scénario est très passable, il en résulte un album très dispensable.
Chute brutale de qualité scénaristique dans cet album très verbeux sur un thème mêlant art moderne et quête des origines pour Marion. Je doute que cet album intéresse la cible habituelle du périodique Astrapi (7-11 ans).
Un album avec beaucoup de textes écolos un peu indigestes, qui viennent gâcher un scénario sans originalité mais amusant. Le dessin de Philippe Masson est très approximatif.
Une demi-douzaine d'histoires courtes dans cet album d'un ntérêt très limité, sauf pour les collectionneurs.
Depuis la reprise du dessin par Philippe Masson, la ligne "claire" s'est défavorablement épaissie et noircie. Que le scénario est passable, comme c'est le cas ici, il en résulte un album très dispensable.
Yvan Pommaux nous emmène en Afrique sur la piste de trafiquants d'ivoire. L'histoire est adaptée à un jeune public ; le dessin de Philippe Masson n'est pas des plus jolis mais plus en harmonie avec le ton général de l'album que précédemment.
Après trois bons albums, Pommaux confie le dessin à Philippe Masson, et le résultat est très médiocre : la "ligne claire" redevient empâtée et sombre comme dans les premiers albums de la série. Quant au scénario, il est est très oubliable.
Il faut attendre ce sixième tome pour que la série atteigne enfin un niveau de qualité acceptable (le style est moins empâté, le trait plus affirmé) et un scénario quelque peu plaisant.
Remarque préalable :
La série Marion Duval est une série TRÈS INÉGALE.
Les premiers tomes sont loin d'être les meilleurs et le lecteur sera avisé de ne pas se fier aux premiers albums, susceptibles de le décourager.
La série stagne très longtemps, en dents de scie, et s'améliore très brusquement, vers ses sommets avec le tome 18, et surtout 22 et suivants, avant de s'effondrer de nouveau avec le tome 26.
Une dizaine d'albums sur les 29 parus à ce jour sont tout simplement d'une qualité graphique ou scénaristique (souvent les deux) à fuir, et une dizaine d'autres très passables.
En ce qui concerne ce premier tome :
Une aventure tintinesque en ligne clair (quoique parfois ombrée à coup de hachures), mais on est loin du compte, tant sur le dessin (très grossier) que sur le découpage (lent et inefficace) et les dialogues (plutôt soporifiques et souvent inutile - "Bon, plan d'encerclement 17 bis" sérieusement ??).
J' n'ai jamais pu accrocher à cette série amis dans ce 29e tome, qui apparemment clôt la série (c'est du moins ce que laisse entendre son auteur), on tombe dans des abîmes de verbiage sur l'art moderne et les origines de Marion, en réponse à des questions laissées en suspens au tome 14 ...
Impossible de tout lire, j'ai dû capituler.
Une vraie réussite que cette série, qui s'apprécie que l'on soit jeune ou moins jeune.
L'histoire, bien que classique est sympathique. Elle est un gros clin d'œil à Tintin depuis le départ de l'expédition jusqu'à la découverte de la caverne avec tous les trésors.
Le dessin "ligne claire" illustre parfaitement cette histoire.
Une lecture fort sympathique.
Un BD très sympathique... pour les jeunes et les autres aussi.
Un scénario à la Hergé ou à la Dodier, plutôt actuel, avec une intrigue assez simple mais un bon rythme.
Un dessin très "ligne claire" pas dénué d'intérêt, qui me rappelle les BD que je lisais plus jeune.
Bref, il ne m'en faut pas plus pour apprécier ce genre de série. Sans nul doute, les plus jeunes apprécieront aussi.
Une bonne petite intrigue pas trop compliquée qui intéressera les pré-ados et charmera leur papa. Un dessin lisible, une coloration efficace et suffisamment d'éléments humains pour démarquer cette série des dragons, caca-pipi et autres manganiaiseries qui seraient supposer rassasier nos jeunes.
Marion Duval reste une série de référence de la ligne claire.
Noté 4/5 pour les jeunes, 3/5 pour les adultes.
se livre et magnifique je veux avoire toute la colection de Marion duval j'ais déjà lue 2 BD elle sont trop cool dommage je les lie a la bibliothèque alors je veux m'en acheter a absolument lire trop cool bon a+ et a avoirs les Marion duvale trop classe
Scénaristes et dessinateurs ce succèdent aux commandes de cette série, qui réussit cependant à garder son style au fil des ans. L'encrage de Louis Alloing est beaucoup plus fouillé que celui du créateur Yvan Pommeau, ce qui enlève un peu de la fraîcheur qui caractérisait les premières aventures il y a presque... trente ans !! Chapeau à l'équipe d'avoir su conserver l'esprit de Marion intact.
Certes, on peut arguer que le comportement de certains acteurs n'est pas crédible, postuler que même les héros ne sont pas vraiment sympathiques, remarquer que les aventures sont souvent aigres-douces, tergiverser sur des dénouements qui tombent à plat sur plusieurs pages, il n'en demeure pas moins que l'ensemble est remarquablement cohérent, et est un digne successeur des séries classiques d'aventure pour jeunes de 8 à 15 ans parues dans Spirou et Tintin durant leurs années de gloire.
Ce tome reprend plusieurs personnages et fils conducteurs de tomes précédents dans une légère intrigue d'espionnage, qui est en fait prétexte au jeu des comportements humains des protagonistes.