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"L’Intégrale X-Men- 1985 (2) "(Panini comics- 2014) , des très grands scénariste Chris Claremont, du dessinateur John Romita Jr et de l’encreur Dan Green, nous offre le climax de l’année 1985 pour la série "X-Men", l épisode double # 200 :" Le procès de Magneto" ou le devoir de mémoire : Magneto, ancien leader de la Confrérie des Mauvais Mutants et ennemi juré des X-Men, est jugé comme terroriste, à Paris, par le Tribunal International.
Mais, Xavier, le fondateur des X-Men et Magneto se sont connus jeunes alors que Magneto, survivant des Camps de la Mort nazis, tous les deux mutants, ont choisi chacun deux chemins différents. Pour la cause mutante. Xavier, l’idéaliste à la Martin Luther King et Magneto par la force, tel Malcom X.
Dans cet épisode, Claremont fait reposer son récit sur la haine de l’autre, du différent comme ont été victimes les Juifs et les mutants. Cela a conduit à la Solution Finale et peut recommencer. Trois victimes sont présentes : l’avocate Juive, victime dans le passé, Rachel Summers, dans le futur possible, qui aura été dressée à chasser les Mutants pour les tuer et la Juge, dans le présent. L’Histoire se passe à Paris, la foule gronde et des terroristes en profitent pour vouloir tuer Magneto mais celui-ci a changé, accepte d’être jugé et de s’occuper des X-Men et leur relève (les Nouveaux Mutants) face à un Xavier mourant.
Quant aux dessins, le jeune Romita Jr est au sommet de son Art et fait de Magneto un être puissant et noble qui a sauvé des vies dans les Camps de la Mort et qui a perdu sa femme à cause de son origine.
À lire. Récit visionnaire en ces temps actuels où tout a failli basculer.
"L’intégrale X-Men -1985 (1)" (Panini comics-2013) , du scénariste Chris Claremont, du dessinateur John Romita Jr et de l’encreur Dan Green, nous présente la suite des aventures des "Uncanny X-Men "(Logan, Colossus, Rachel Summers …) face à la montée du sentiment de haine contre les mutants et le fait que, bien qu’ils sauvent l’humanité à chaque aventure, ils sont rejetés par l’humanité.
Chris Claremont est un humaniste. Interrogé par votre serviteur lors d’un "Paris Comics Con" sur le sentiment de haine pour les mutants dans ses scenarii, il nous prouve que les êtres rejetés par les humains, ici les mutants dotés de super-pouvoirs, sont plus droits, plus justes dans ce camp, dans ces épisodes.
Le Maître John Romita Jr fait de superbes dessins de New-York dans son œuvre et crée de nouveaux personnages : le robot Nimrod, chasseur de mutants (ce qui accentue le climat de haine contre les X-Men) ou le petit frère natif du défunt Thunderbird, mort dès la première aventure des Uncanny X-Men.
L’important dans ses dessins sont les Portraits, les personnages, l’humain. Car, malgré les costumes, les super-héros sont des humains, une famille qui pourrait être la vôtre.
À lire.
« X-men, l’intégrale 1989, tome 2 » est une copieuse intégrale pouvant se lire à plusieurs niveaux.
Difficile de prendre au sérieux la Société du serpent, équipe de troisième couteaux, sympathiques pour affronter Captain america ou Daredevil (encore que ?), mais incapables de rivaliser avec des X-men comme Tornade, Malicia, Colossus, Havok ou Psylocke.
Le style particulièrement pauvre de Vosburg n’arrange il est vrai pas les affaires d’Austin et il faut attendre Chris Claremont pour monter le niveau, avec une excitante histoire de robots sentinelle auto adaptatif du futur sur fond de drame personnel d’un sénateur américain.
Bien que je ne sois pas fan de Silvestri, son style demeure correct même si la finesse et la beauté de Jim Lee, lui ait pour moi largement supérieure, notamment par le superbe graphisme de la nouvelle Psylocke aux traits asiatiques, véritable bombe sexuelle devenue l’esclave du puissant Mandarin de Hong Kong.
Dans le registre des valeurs sures, l’aventure en Terre sauvage face à une nouvelle super méchante Zaladane, tient la route par son ampleur et son dépaysement, tandis que la large part laissée aux Reavers m’a parfois agacé notamment avec le style affreux de Leonardi, indigne pour moi de dessiner les X-men.
Le lecteur est en effet écœuré de l’acharnement de Pierce sur le corps martyrisé de Wolverine et de la brutalité de ses stupides tueurs aveugles s’en prenant à des X-men affaiblis, inexpérimentés, de second ordre ou lorsqu’ils sont de premier ordre comme le Hurleur, Polaris ou le Colosse, mystérieusement vaincus par les pouvoirs de l’étrange Légion.
Malgré ces choix discutables, une intégrale riche, dense, laissant entrevoir de captivantes histoires personnelles autour de Tornade poursuivie par son passé, Polaris asservie au Mandarin, Havok au tempérament difficilement contrôlable, ou la petite nouvelle Jubilé aide précieuse pour soutenir un Wolverine à bout de souffle.
Reste qu’avec des dessinateurs de plus haut niveau, le plaisir aurait sans doute été décuplé !
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https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/06/x-men-lintegrale-1989-tome-2-chris.html
« X-men, intégrale, 1993, tome 3 » relève le niveau par rapport au tome précédent.
Si je ne goute pas le personnage de Fritzroy, sorte de faire-valoir de Bishop et super vilain parfaitement oubliable, l'aventure arctique avec la nouvelle mutante Siena Blaze dotée de pouvoirs exceptionnels constitue un « must » des X-men et met particulièrement en valeur l'exceptionnelle charisme de Tornade.
Et même l'éphémère Bourreau, personnage assemblé de bric et de broc tient honorablement son rôle...
Ce tome 3 est également marqué par des drames, la mort du Cerveau qui s'offre un ultime baroud d'honneur télépathique en forme de repentance, et surtout celle d'Illyana Raspoutine, après une longue maladie.
L'aspect idéologique n'est pas oublié avec le retour de Magneto voulant emmener avec lui les mutants dans un monde meilleur pour s'affranchir de la cohabitation avec des humains par essence fourbes, manipulateurs et intolérants.
Beaucoup de personnages certes, les Acolytes ne marqueront pas je le pense l'Histoire des X-men, les X-Forces font un peu office d'équipe B (ou C?) des X-men, Cable, Bishop...mais le tout est emballé avec suffisamment de maitrise pour former un ensemble cohérent.
Enfin au niveau graphisme, les styles sont aussi divers que les artistes mais Capullo et Romita Jr obtiennent définitivement la pole position pour l'aventure la plus ambitieuse avec Magneto !
Une intégrale émouvante et riche en rebondissements donc !
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https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2023/08/x-men-integrale-1993-tome-3-fabian.html
j'ai été très sévère avec les X-men des années 90 post Chris Claremont trouvant les multiplication d'équipes (X-men, X-Force, X-Facteur...) et les « nouveaux » comme Bishop et Cable assez similaires et sans réelle épaisseur comparés aux personnages historiques.
Cependant ce « X-men, intégrale, 1993, tome 1 » bien que contenant tous les critères pré-cités, échappe partiellement au feu nourri de mes critiques.
En effet, le scénario bâti relève d'une dimension majeure en introduisant des personnages aussi puissants que charismatiques comme l'ambivalent Apocalypse, bien plus intéressant pour moi que Mr Sinistre ou même Stryfe, le double de Cable qui tire vers lui toute la couverture de cette intégrale.
Les combats sont intenses, violents (la tête coupée de Kamikaze par Archangel! ), parfois épiques comme le choc final sur la lune entre Cable et Stryfe..
Bref, le lecteur en a pour son argent au niveau du dynamisme de l'intrigue et lorsqu'avec des « pointures » comme Capullo et Lee, le graphisme est au niveau de l'évènement on ne peut que tirer son chapeau sur le résultat final !
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Après le départ d'un Claremont déjà en perte de vitesse, « X-men, l'intégrale 1992, tome 2 » constitue une constante valse entre les scénaristes et les dessinateurs, ce qui n'est pas nécessairement le signe ni d'une grande stabilité ni d'une grande maturité.
Le résultat est donc bien inégale. On tente d'introduire Bishop (non pas Omar Sy) pour en faire un personnage fort, viril et charismatique, avec des pouvoirs en revanche somme toute basiques : il absorbe de l'energie pour lancer des rafales, bof !
Donc Bishop est la star venue du futur, à l'instar d'un Cable avec lequel il présente de fortes similarités, notamment le peu d'épaisseur...
Au niveau de l'intrigue, la famille Raspoutine s'étoffe avec un frère, instable et dotés de pouvoirs immenses... et la relation avec Peter donne lieu à de grandes prises de tête familiales assez peu intéressantes...
Et lorsqu'on a plus d'idées on ressort les bons vieux Morlocks, sorte d'éternels faire-valoir sous-terrains des X-men.
Scénaristiquement si la recette ne prend pas, graphiquement le résultat est des plus inégal : Portacio et Raney ont un bon niveau, ce qui n'est ni le cas de Kubert et Texiera, aux styles véritablement affreux.
Au total, rien de bien réjouissant donc !
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« X-men, l'intégrale, 1988, tome 2 » recèle une volonté louable de renouveler les X-men.
Faire appel à l'univers magique autour d'Illyana Raspoutine est une idée intéressante pour développer le personnage de Colossus, plus riche que celui d'un « simple » colosse de métal russe mais cette partie de l'histoire demeure quelque peu sous-employée ici.
Les Broods, recyclage à peine déguisé de l'Alien de Ridley Scott permettent de bâtir une honnête histoire d'invasion/infiltration mais la « grande » œuvre de Claremont reste ici l'aventure Genosha, société fictive totalitaire dans laquelle les humains éliminent ou réduisent à l'esclavage les mutants.
L'aventure Génosha traine pour moi en longueur et les démêlées autour de Madelyne Pryor, pale tentative pour faire renaitre Jean Grey paraissent trop artificielles.
Seul le choc avec Terminus sur la Terre Sauvage est pour moi réellement emballant.
Autre limitations majeures, les styles graphiques de Leonardi et Silvestri sont plusieurs classes en dessous de Byrne ce qui nuit au plaisir de lecture.
Des X-men déjà en perte de vitesse à la fin des années 80 pour moi donc !
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« X-men, l’intégrale 1990, tome 1 » est une intégrale assez inégale.
Les scénario de Chris Claremont connaissent quelques faiblesses, notamment dans les médiocres histoires dans les égouts avec Masque, dans le recrutement d’anciens quatrième couteaux du S.H.I.E.L.D ou dans l’interminable traque d’une Tornade enfant avec en prime le robot débile Nanny pour couronner le tout !
En que dire encore des manigances de Génosha envoyant ses mercenaires au rabais dans des histoires d’une grande pauvreté ? Pas grand-chose de positif lorsqu’en plus les dessinateurs comme Collins, Portaccio ne sont pas au niveau.
Bien sur on apprécie le coté star de la musique et du cinéma d’une Dazzler très californienne, mais cela ne suffit pas à relever le niveau.
Restent au final, les incursions asiatiques de Jim Lee, seul dessinateur à prétendre faire le poids face au génie d’un John Byrne, avec son trait si fin, puissant et beau.
Lee a de plus le privilège de mettre à son compte Wolverine, le Mandarin, Captain america avec comme l’un de ses plus grands succès, la transformation spectaculaire de Psylocke, beauté sexy et athlétique !
Intéressant donc mais clairement en dessous des meilleurs production des années 80 !
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malgré sa pléiade d’artistes top niveau, l‘intérêt « X-men, l’intégrale, 1992, tome 1» reste inégal.
Comme souvent, Magnéto est un ennemi sublime et pathétique dans sa fausse mort grandiose et même si Omega red se montre un adversaire aussi effrayant que redoutable, cette histoire trop complexe, chargée et emberlificotée peine à séduire.
Pour le reste on s’ennuie ferme avec Ghost rider dans une aventure au scénario faiblard peu mis en valeur avec le style graphique assez faible de Wagner, l’excentrique Mojo restant assez anecdotique.
Mais heureusement pour sauver le tout, surnage le style graphique génial de Jim Lee, figurant pour moi dans sur le podium de mes dessinateurs Marvel préférés juste derrière John Byrne et rien que pour cela, ces X-men athlétiques, sexy et pétant de forme valent pour moi le coup d’œil !
Ah cette délicieuse Psylocke…
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Une superbe année pour les X-men, Claremont va toujours plus loin dans la psychologie de ses personnages, c'est passionnant.
(Infos complémentaires) Ce tome 03 contient : Uncanny X-Men #117-128 mais aussi Uncanny X-Men Annual 3
(Info complémentaires) Contient : Uncanny X-Men #129-140, Uncanny X-Men Annual 4 avec La Saga du Phénix Noir
(Info complémentaire) : Il est mentionné X-men (I) 141 dans l'info d'édition mais c'est bien Uncanny X-men #141
(Infos manquantes) Contient : Uncanny X-men 220 à 224; The X-men Vs Avengers (I) 01 à 04; Special Edition X-Men 1; The Best of Marvel Comics 1
Infos manquantes : Contient X-Men (I) 40-51 / Avengers (Vol. 1) 53 / Ka-Zar (Vol. 1) 2-3 / Marvel Tales 30
malgré ses hautes ambitions et la présence de Claremont et Byrne « X-men, l’intégrale 1991, tome 2 » ne parvient pas à ressusciter la magie des années 80.
En cause ? Des histoires emberlificotées, une profusion d’équipes entrelacées X-men, Facteur-X, X-Force, Hellions et même New Warriors se marchent sur les pieds dans des histoires confuses ou aucune personnalité forte n‘émerge…
Il y a certes le Roi d’ombre ou Proteus des ennemis de tout premier plan mais ses personnages ne sont pas non plus exploités à leur plein potentiel…
Lorsqu’en plus le style des dessinateurs changeant continuellement se montre moyen voir médiocre (Tom Raney, Terry Shoemaker), on peut alors parler de déclin pour ses X-men des années 90.
Et si le temps n’était pas venu de faire le ménage dans toutes ses équipes de mutants de seconde zone ?
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Malgré sa pléiade de « pointures » du comics, « X-men, l'intégrale 1990, tome 2 » est affreusement mauvais.
Le scénario initié par Claremont puis continué par Simonson est d'une grande faiblesse avec ses épuisantes répétitions de super héros se faisant tailler en pièces par un super méchant, Cameron Hodge en apparence invincible.
La multiplicité des personnages conduit inévitablement à une intrigue brouillonne et à la sous exploitation de certains d'entre eux comme la quasi totalité de Facteur X et Wolverine présent parce que populaire.
Au niveau graphisme c'est encore pire, seul Lee surnageant au dessus de la mêlée. Liefield déçoit, Bogdanove et Shoemaker n'ayant quant à eux clairement pas le niveau.
Une année 90 qui contribuera certainement à continuer à enterrer les X-men, avec le reboot raté de Facteur X et ces Nouveaux mutants incapables de décoller malgré l'arrivée quasi constante de nouveaux personnages.
Vous pouvez clairement passer votre chemin !
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2022/08/x-men-lintegrale-1990-tome-2-chris.html
Un tome aussi sympathique que les précédents.
Stan Lee regorge d’imagination pour nous montrer des méchants différente à chaque fois ou presque, mais surtout, à garder une linéarité en fond qui fait que l’histoire des X-Men évolue.
Dessinateur toujours aussi efficace pour l’époque…
Très sympa historiquement, avec du meilleur et du moins bon, mais globalement toujours de la qualité.
1. Sacrifice suprême ! – 3/5
Ça se suit mais il n’y a rien de particulièrement original dans cette histoire où tout se résout grâce au créateur de la sentinelle et le professeur avec une découverte improbable.
2. Si nul ne doit survivre… – 3,5/5
Un joli suspense, gentiment mené, pour aboutir à un ennemi… Ma foi, légèrement décevant.
3. Iceberg l’emportera-t-il ? – 3,5 /5
Histoire sympa où on comprend le retour de Magnéto, celui des X-Men. Dommage que la façon de se débarrasser de l’ennemi soit si « facile ».
4. Alors apparut… Mimic ! – 5/5
Un ennemi particulièrement original qu’il est, par son mimétisme, difficile de vaincre. L’histoire rebondit sans cesse pour un excellent final.
5. Moi, Lucifer… – 4/5
Un début intéressant avec les faux X-Men qui tombent
6. D’où vient donc… Dominus ? – 3/5
Histoire sympathique, sans plus, où encore une fois, ils doivent être six pour réussir… Peu de surprise.
7. Divisés…nous croulons ! – 3/5
Bon, l’entraînement fonctionne sans être palpitant. La suite avance rapidement puisqu’on a 5 attaques, ce qui va donc vite. Mais ça reste trop facile, ces X-Men qui se font kidnapper par des méchants qui n’ont pas l’air si costauds… Et pourquoi le comte voudrait tant les X-Men puisqu’il a 5 gugusses plus forts ? Pas logique…
8. Cité en détresse – 3/5
Mouais, bon, ça cavale un peu dans tous les sens, tout le monde est contre personne et finalement, le professeur arrive pour tout résoudre d’un coup… Moyen.
9. Huitième plaie… la Locuste ! – 3,5/5
Ça se suit agréablement, avec un « méchant » assez original qui ne paraît pas si fort que ça et que les X-Men peinent pourtant à battre… Sympa.
10. Le pendentif du pouvoir – 3/5
Mouais, c’est un peu mou en combat, en recherche, en surprises ou péripéties… Un épisode transitoire qui prépare la suite.
11. Holocauste ! – 3,5
C’est pas mal, on a de l’aventure, du dépaysement… Ça tourne un peu en rond puisque les X-Men essaye jusqu’à arriver, échouant plusieurs fois ; la relation de jalousie est un peu lourde… Mais dans l’ensemble, ça reste sympa.
12. Mimic refait surface ! – 4 /5
Intéressant dans la base (avec le Maître des Maléfices qui utilise Mimic). L’ensemble se lit bien mais reste un peu confus, avec flash forward, explications, diverses scènes qui se passent en même temps et ne durent parfois pas plus de deux cases… Intéressant mais manque de fluidité.
Cette « X-men, l’intégrale 1987, tome 1 » se montre malgré un coté assez hétérogène et désorganisé d’un très bon niveau.
J’ai assez peu accroché aux aventures avec les Maraudeurs, que je trouve peu intéressants, en revanche l’exploration des doutes et des fêlures internes de héros meurtris mentalement et physiquement a été des plus passionnantes entre une Tornade dépouillée des ses pouvoirs plus vulnérable que jamais, des jeunes recrues comme Psylocke et surtout Dazzler en mal de reconnaissance, une Malicia toujours aussi mal dans sa peau et même un Wolverine doutant des fabuleux instincts.
Pour l’affrontement, rien ne remplacera jamais sans doute une force de la nature comme le Fléau mais on peut surtout penser que cette première partie d’intégrale est plus psychologique que physiquement spectaculaire.
La dernière partie est terriblement touchante avec cette adolescente d’à peine quinze ans qui envisage sereinement la fin de sa courte vie.
Même si malgré leur indéniable talent, aucun des multiples dessinateurs ne parvient à rivaliser avec le style de John Byrne, « X-men, l’intégrale 1987, tome 1 » confère un aspect encore plus profondément humains à des personnages plus fragiles et vulnérables que jamais.
Chapeau bas, messieurs !
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Ce « X-men, l’intégrale 1977-1978 » est une nouvelle fois de haute qualité.
Même si on peut dire que Dave Cockrum fait de l’honnête travail, il faut reconnaître que seul John Byrne parvient par ses dessins fins et puissants, à sublimer le talent de scénariste de Claremont et que les aventures réalisés par l’ancien dessinateur (le Fléau en Irlande, les débuts de l’aventure Shi’ar) sont loin de pouvoir rivaliser avec celle du nouveau maître.
L’épopée spatiale du Phénix entrant en phase avec une sphère du cosmos puis la terrible revanche de Magneto conduisant en Antarctique puis dans le pays imaginaire de la Terre Sauvage, constituent des merveilles qui font véritablement rêver le lecteur transporté dans un ailleurs incroyablement riche.
Des années incroyablement prolifiques !
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« X-men, l’intégrale, 1985, (1) » peine grandement à retrouver de l’allant.
Le gigantesque crossover avec Kulan Gath tourne à vide avec des dessins médiocres de la part de Romita Jr, l’affaire avec les ridicules Hellions tombe vite à plat et les autres épisodes ne méritent même pas d’être signalés.
L’apparition du mystérieux Nemrod futur ennemi récurrent un peu à la manière d’un Ultron pour les Vengeurs relève un peu l’intérêt du récit mais la pauvreté du style de Romita Jr ternit quelque peu le plaisir qu’on pourrait goûter à ce nouveau rebondissement.
Reste évidemment et encore une fois Windsor Smith qui se surpasse avec Tornade comme si la belle mutante africaine l’inspirait de manière surnaturelle !
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« X-men, l’intégrale, 1984 », correspond à une année bien calme pour les X-men.
Les épisodes sont d’un niveau assez faible, le principal attrait étant la nouvelle vie d’une Tornade rendue plus vulnérable et femme que jamais.
A titre esthétique, on saluera la performance de Barry Windsor Smith dont les planches concernant la rencontre Ororo-Forge sont d’une magnifique sensualité.
Quant aux épisodes sur les Spectres Noirs, ils seront aussi vite oubliés que les aventures de leur ennemi attitré un robot extra terrestre nommé Rom.
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« X-men, l’intégrale, 1983 » est un grand cru, une heureuse surprise.
L’implantation d’embryons Broods dans le corps des X-men les oblige chacun à une longue introspection, chacun réagissant à sa manière.
L’histoire des Acantis est une très belle variante poétique digne des meilleurs romans de Science Fiction.
Mais l’une des conséquences les plus importantes de l’aboutissement de la Saga des Broods est la métamorphose de Tornade avec une personnalité et un look plus agressif (symbolisé par une crête iroquoise et des vêtements heavy metal) bien loin de l’image de sublime déesse, mère nourricière protectrice, maternelle, pure et respectueuse de la vie qu’elle projetait jusqu’alors.
J’ai également beaucoup aimé l’exotisme des aventures de Wolverine au Japon et ai été sensible à sa détresse lors de l’échec de son mariage avec Mariko alors que Cyclope lui l’éternel torturé parvenait à trouver un semblant de stabilité et de bonheur avec Madelyne.
Au fil du temps les personnages des X-men évoluent et ce sont ces évolutions qui les rendent incroyablement attachants pour le lecteur, chacun présentant des failles intérieures le rendant finalement si humain et proche de nous, entre la solitude farouche d’un Wolverine, les tourments intérieurs d’un Cyclope, les phobies d’une Tornade partagée entre son humanité et ses pouvoirs de déesse, les complexes physiques d’un Diablo, le désir d’émancipation de la jeune Kitty amoureuse de Colossus ou l’incroyable complexité mentale d’un Charles Xavier.
« X-men, l’intégrale, 1983 » peut donc être considéré comme un quasi sans faute maîtrisé de bout en bout.
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Sentiments assez mitigés sur cette « X-men, l’intégrale, 1982 ».
On sent une très nette volonté des auteurs de créer une aventure de grande amplitude, un space opera cosmique impliquant des voyages spatiaux et des races extra terrestres.
Malheureusement cela ne prend pas, Deathbird, sorte de femmes oiseau est assez ridicule quand aux personnages des Broods, il sont pour moi trop copiés sur le « Alien » de Ridley Scott sorti exactement la même année.
On est donc pratiquement dans le plagiat pour moi…
La psychologie des personnages est assez peu fouillée et le récit n’est qu’une suite de folles cavalcades spatiales contre des ennemis aussi hideux que peu originaux.
J’ai en revanche trouvé originale l’idée de Sienkiewiscz de propulser les X-men dans des univers plus ténébreux et mystiques que d’habitude.
Son style plus sombre m’a également plus séduit que celui de Cockrum.
Je serai donc assez sévère avec cette « Saga des Broods » de 1982 qui pour moi manque cruellement de souffle et d'impact !
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« X-men, l’intégrale 1981 » vaut surtout le détour par les derniers épisodes issus du tandem Claremont-Byrne, même si le spin off avec Cyclope et l’Homme Chose ne manque pas de saveur.
Comme conscient de ses propres insuffisances, Cockrum s’associe avec d’ autres dessinateurs comme Josef Rubinstein et Bob Wlace avant même de laisser la place à Jim Sherman, Bob Mc Leod, Rubinstein et Brent Anderson dans la dernière partie de l’intégrale mais cela ne suffit pas à recréer la magie de l’association Claremont-Byrne.
Néanmoins, Fatalis et Magneto constituent des « valeurs sures » de l’univers Marvel et on ne peut pas dire que ces épisodes soient ratés, ils manquent simplement d’imagination et de style !
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J’ai moyennement apprécié cette intégrale.
J’ai trouvé les dessins de Kirby assez grossiers et très datés ce qui a grandement nui à l’appréciation visuelle de cette bande dessinée.
Les épisodes avec le Confrérie des Mauvais Mutants sont pour moi les plus captivants car ces derniers présentent également des failles psychologiques intéressantes, telles le double jeu permanent et les velléités de commandement du Cerveau ou les doutes et l’instinct de protection de Vif Argent pour sa sœur.
J’ai également toujours eu de la sympathie pour le personnage de monstre incompris du Colosse et les problèmes que son invulnérabilité pouvait poser à ses adversaires.
Malgré son coté expérimental et inabouti, « X-Men, l'intégrale 1963-1964 » peut néanmoins être vu avec le charme de la nostalgie et celui de l’aspect historique de cette série de plus de 50 ans à présent.
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Sans être un chef d’œuvre absolu, « X-men, l’intégrale, 1975-1976 » contient déjà pour moi les germes du renouveau et des futurs chefs d’œuvres à venir.
Même si ils n’atteignent pas encore des sommets artistiques, les dessins de Cockrum sont pour moi considérablement plus fins et travaillés que ceux de Kirby, ce qui confère un coté plus réaliste et dynamique à la série.
A partir d’un effectif de personnage sans doute jugé ingérable par Claremont, un écrémage subtile a lieu, allant de pair avec une éviction progressive des anciens X-men comme Angel ou Iceberg que j’ai toujours trouvé beaucoup moins intéressants que les autres.
Les scénario sont habiles menant souvent à des affrontements fratricides (personnages possédés mentalement ou répliqués technologiquement) et mènent continuellement aux incessants changements géographiques aux quatre coins du globe qui font toujours fantasmer le lecteur rêveur que je suis.
Coté adversaire, les Sentinelles ou le Fléau font partie de valeurs sures de l’histoire des X-men et on retiendra l’événement sans doute le plus marquant de la saga : la première transformation de la douce en Jean Grey en inquiétant Phénix.
Ici Wein et Claremont créent progressivement leur univers et jettent donc les premières bases de l’une des plus prodigieuse saga du monde de la bande dessinée.
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« X-men, l’intégrale 1980 » est pour moi un des sommets de la bande dessinée.
Le personnage central de cette tragédie est Jean Grey qui lutte contre un pouvoir sans limite capable de menacer l’univers.
Jean Grey est donc l’enjeu de la bataille avec le Club des Damnés, Jean Grey est également la raison pour laquelle les X-men acceptent, seuls et contre tous de lutter sur un monde extra terrestre pour la sauver.
Amitié, amour, sacrifice, mort, deuil, noblesse des sentiments et grandeur des personnages font vibrer le lecteur au rythme d’une saga au souffle purement héroïque.
Quand on ressort de cette saga on l’impression que les X-men sont des proches et on partage même la douleur cinglante de Cyclope devant la tombe de Jean.
Bien entendu la splendeur tragique et grandiose des dessins de Byrne sont pour beaucoup pour rendre poignants les scenario géniaux de Claremont.
Cerise sur le gâteau, l’épisode avec Wendigo, terrifiant de réalisme ne gâche rien à notre plaisir.
Si vous ne devez en lire qu’un album des « X-men »…il faut que ce soit celui ci.
Magique, inoubliable, insurpassable !
Plus d'informations ici : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/05/x-men-lintegrale-1980-chris-claremont.html
« X-men, l’intégrale, 1979 » est un très grand cru.
Graphiquement parlant, on peut avancer sans crainte que si Kirby correspondait à la période de la préhistoire, Cockrum à celle du Moyen-Age, Byrne correspond assurément à celle de la Renaissance avec des dessins d’une beauté, d’une classe et d’une finesse exceptionnelles.
Les scénario sont déjà fantastiques, car si l’affaire Moise Magnum n’a rien d’hors du commun (un brillant ingénieur rendu fou par le pouvoir qui prend en otage une nation), elle a pour conséquence le sacrifice du pouvoir du Hurleur qui traîne ensuite un terrible sentiment d’impuissance et d’inutilité pendant tout le reste de la série.
La Division Alpha est une équipe presque aussi sympathique et attachante que les X-men, Arcade tueur psychopathe et inventif à la Joker est un charismatique adversaire quand au face à face avec Proteus il est d’un niveau proprement exceptionnel, plongeant chacun des X-men dans de grands troubles psychologiques.
Outre ces merveilles on notera les premières passionnantes approches de séduction du Cerveau à l’encontre de Jean Grey, qui prenant l’apparence d’un magnifique gentilhomme, Jason Wyngarde, projette Jean dans un puissant monde d’illusions autour de l’époque du XVIII iéme siècle.
Approches d’autant plus cruelles que dans le même temps Cyclope se détache de Jean en sortant avec Coleen Wing.
En résumé « X-men, l’intégrale, 1979 » annonce déjà tout du chef d’œuvre à venir !
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/05/x-men-lintegrale-1979-chris-claremont.html
Fatal Attractions !!!!!! Il n'y a rien d'autre à dire.
Un Must-Have pour tout fan de cette équipe qui n'a pas encore eu l'occasion de lire ce crossover d'anthologie ...
Sans oublier des grands noms comme Ian Churchill, Adam & Andy Kubert et John Romita Jr aux dessins !!!
Les scénarios sont bien fait, passionants, pleins de rebondissements et avec des personnages en constante évolution. Quand on voit tout le chemin parcourus depuis la première intégrale on s'apperçois qu'il y a eu beaucup de changements et que tout c'est passé progressivement et tout naturellement. Bref encore une excellente année que cette année 1985. Vivement la suite.
1984 est une année importante pour nos mutants préférés, riche en changements et en coup dur on a la de très bonnes histoires riches, rythmées et passionnantes. Ce pendant on pourrant tout de même regretter l'abasence des "guerres secrètes" et de l'aventures de Kitty pride à l'académie du Massachusetts (sous contrôle du club des damné et d'Emma frost la reine blache) quèi me semblent intéressant. celà crée un trou dans l'histoire et est à l'origine de certains boulversements de la vie de certains membres des X-men mais l'absence de ces aventures ne gène pas la compréhensiobn car il est facile d'accepter les évènements en questions et leurs conséquences sans les avoirs suivis.
Très bonne année que voilà avec la fin du combat contre les Broods, la rencontre entre les X men et les Moorlock, l'arrivée de Malicia chez les X men et le mariage de Cyclope. de grands moments avec des scénario toujours aussi palpitant bref que du bon.
1982, une année très spatiale pour les X men qui vont se retrouver dans des situations toujours très périlleuses face aux soldat de L'empire Shi'ars et aux terrible Broods.
Une intégrale toujours aussi passionnante que les précédentes avec des intrigues passionnantes et solidement menée. Bref de la qualité qu'il est bon de retrouver face à certaines productions récentes un peu trop moyennes.
Ce sont les premières aventures des X-men que j'ai lu, et je peux dire que c'est merveilleux! L'intrigue se développe lentement, au fur-et-à-mesure des épisodes, jusqu'à ce qu'elle atteigne un point de tension extrême où toute l'histoire bascule. C'est donc un album plein d'émotions à ne pas rater...
De plus, la présentation du recueil est sympathique (commentaires, couvertures des différents numéros). Je vous le recommande.
Cette époque semble constituer une période charnière pour les X men. En effet l'équipe connait pas mal de boulversement avec quelques va et viens pour au final aboutir à une équipe recomposé sans qu'il y ait beaucoup de changement. Les aventures sont toujours aussi passionantes et on a vraiment plaisir à les suivres.
Les histoires présentes dans cette intégrale (comme dans les deux autres jusqu'à présent) sont passionnante. Certe il y a certaines références qui poussent à la curiosité et donnent envi d'en savoir davantage mais ne pas avoir lu les aventures concernées ne gène pas la compréhention de l'histoire.
Ce sont vraiment des histoires de qualitées qui sont regroupé dans cette intégrale. Si on arrive a passer le côté un peu "vieilot" des dessin et des dialogues on est littéralement plongé dans les différentes aventures des X men. les personnages sont intéressants et on a vraiment beaucoup de plaisir à les découvrir au fur et à mesure de leurs aventures.
J'ai beaucoup apprécié cette intégrale car elle présente bien l'univers des nouveaux X men. On en apprend beaucoup sur les divers personnages de cette série et c'est vraiment intéressant. On sent très bien à la lecture que ces histoires sont très anciennes que ce soit au niveau des dialogues que du dessin très flashi mais celà ne gène en rien la lecture. Les histoires reste passionnante et pleines de suspense.
Je trouve cet album très sympa. Il réuni tout les Uncanny X-men du 94 au 102, et c'est vraiment pratique, car on ne peut pas les trouver partout. En plus ce sont des épisodes vraiment intéressant avec la découverte de la nouvelle génération des X-Men tel que Diablo, Colossus, Tornade... en bref, moi je conseil de l'acheter car il vaut le coup. D'ailleurs en ce qui me concerne, je pense que je vais acheter le 2e volume de 1977-1978, car le premier m'a plus et nous laisse sur notre faim... j'espère vraiment que cette collection va se poursuivre, pour ainsi avoir toutes les années ! Bref, je le trouve excellent pour tout ceux qui ne peuvent pas acheter les albums uns par uns, car en plus son prix de 20 euros reste raisonnable. A avoir absolument.
Silvie.