Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Après le Wolverine de Jason Aaron (à retrouver dans la collection Marvel Omnibus), voici pour débuter la période Marvel NOW! celui de Paul Cornell. Sur deux ans, il va fort maladroitement lui faire perdre son facteur auto-guérisseur, lui faire multiplier les affrontements toujours plus bourrins et le mener à l’événement éditorial que constituera sa mort, rien que ça (Wolverine 2013, #1-13).
Si Wolverine constitue un personnage aussi intéressant, c’est d’une part par sa grande violence qui détone du reste des super-héros et d’autre part pour son facteur auto-guérisseur qui lui permet d’encaisser à peu près n’importe quoi. Le perte de cette faculté devrait constituer un événement digne d’intérêt mais, malheureusement, la manière dont Cornell l’amène démontre tout l’inverse.
Wolverine part ainsi à la recherche d’un pistolet laser capable de manipuler mentalement son porteur (déjà, ça commence mal...). Ce qui l’amène à affronter des scientifiques fous, puis le S.H.I.E.L.D. rendu fou, puis des armures au design des années 70, pour enfin perdre son pouvoir à cause d’un nano-virus insectoïde, trouver le coupable en faisant un détour opportuniste par le Wakanda, affronter un super-héros français pratiquant la savate (le ridicule de cette scène est à souligner) pour finir par les ninjas de la Main et le sempiternel Dents-de-Sabre. Il n’y a que l’épisode 7 à sauver – celui où Logan vit sa première journée de réflexion sans son facteur auto-guérisseur – sinon tout le reste est mauvais du début à la fin. A déconseiller à tous et en particulier aux amoureux de Wolverine.
Le dessin ne permet même pas d’apprécier un tant soit peu cette lecture tellement Alan Davis et Mirco Pierfederici ont un style cliché et rassemblent dans ce volume tout ce que le comics de super-héros à de plus mainstream.
Les histoires ne sont pas très intéressantes mais on y prête un peu d'attention vers la fin, donc je lui met un trois sur cinq pas vraiment mérité.