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Goscinny au scénario. Attanasio avant qu'il ne reprenne Modeste et Pompon à Franquin. l'ensemble n'a pas trop bien vieilli. Dommage on a fait mieux depuis.
Je connaissais le Spaghetti de Goscinny . J'ai trouvé celui ci dans un vide grenier pour un euro ...... Ça ne vaut pas plus !
La première aventure à suivre du brave Spaghetti.
Goscinny mitonne une histoire d'émeraude qui porte malheur et qui a bien sûr été confiée à notre Italien de choc.
Une bande purement alimentaire certes mais à laquelle Goscinny donne un petit plus.
Excellent témoignage sur le talent de l'auteur, non pas que la bande soit géniale, loin de là, mais on voit que le scénariste (et surtout dialoguiste) est capable de donner les sel qui manque à un produit fade.
En 1965, Goscinny abandonne la série trop pris par ses autres activités. Attanasio va signer quelques aventures seul puis faire appel à un scénariste qui n'a pas laissé de trace dans la BD : Francel.
Est-ce un pseudo ? Peut-être, en tout cas, il n'est pas crédité sur cet album lequel se déroule dans le charmant pays de Tulapa, célèbre pour ses révolutions. Peu de choses à retenir sinon que Spaghetti va tomber amoureux.
Cette balade parisienne s'accompagne d'une virée dans le désert. Dans les deux cas on prend en léger plaisir, une sorte d'en-cas, mais rien qui ne s'apparente réellement à la gastronomie et encore moins à la grande cuisine.
En fait Goscinny est sur cette série en courant alternatif. Il n'a pas vraiment choisi le héros qui lui a été imposé par le journal Tintin. Mais comme ilm faut bien vivre ...
Cette pure bande alimentaire recèle ça et là quelques bons moments mais ils ne sont pas suffisants pour en faire une série d'exception.
Deux histoires initialement parues dans Tintin en 1961/1962.
La première, sans doute la meilleure, est aussi la plus originale.
Prosciutto a acheté un hôtel en pleine montagne et sur la frontière.
On devine bien sûr qu'il s'agit d'une histoire de contrebande sauf que l'élément de surpise vient des multiples cyclistes qui se donnent rendez-vous dans l'hôtel...
Cette fois-ci, Prosciutto a trouvé un emploi chez un ancien gangster devenu sage, promis juré !
Mais que vaut la parole d'un maffieux ?
Gentille galéjade qui ne porte pas à conséquence et ne transporte guère le lecteur. Il y a néanmoins ici et là quelques éclairs de génie de René Goscinny toujours non crédité mais auteur de l'album.
Bien qu'il ne soit pas crédité, Goscinny est bien le scénariste de l'album. Même si il ne s'agit pas de la première aventure de Spaghetti (L'émeraude rouge est antérieure par exemple), cette histoire est importante dans la mesure où c'est la première fois qu'apparaît le cousin Prosciutto.
Gaffeur invétéré, il animera désormais toutes les histoires de Spaghetti et apporte la touche comique, un peu à la manière d'un Obélix.
Pour autant cet album n'est pas complètement réussi même si les bizarreries du milliardaire américain feront les délices d'une horde de lapins blancs ...
Encore une bande alimentaire de Goscinny. Pour autant son talent (il a mis son génie entre parenthèses dans cette série) permet de nous faire sourire et nous divertit agréablement.
Reste le dessin d'Attanasio qui n'est pas franchement préoccupé par les décors.
Un témoignage intéressant sur une bande aujourd'hui complètement oubliée.
Ah si, encore un mot, là encore la mention "intégrale" est complètement fausse puisque cet opus recueille 5 histoires à suivre alors qu'on en recense plus d'une 15aine (toutes ne sont pas de Goscinny) sans compter les gags en 1 ou 2 pages !