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Une fois de plus, j'ai eu le plaisir de me plonger dans l'univers merveilleux des Elfes.
Le scénario est toujours aussi bien maîtrisé et plaisant.
Ici, nous allons faire la connaissance d'Ora, une jeune elfe sylvaine recueillie par des Orcs après le décès de son père. Celle-ci, élevée et formée aux coutumes des Orcs, ne sera pas familière avec le monde elfique. En grandissant et en devenant une combattante, ayant réussi les épreuves Orc ; Ora va chercher à se venger de la mort de ses parents en se rendant à la rencontre de la reine des Elfes sylvains.
Cette histoire incroyablement captivante est bien écrite et s'inscrit dans la continuité des autres tomes.
En ce qui concerne la qualité graphique, il est regrettable que certaines planches manquent de qualité. (baisse de la note d'une étoile).
Je suis vraiment fan de cette saga.
Dans ce volume 8, nous assistons aux péripéties de Fall, l'elfe blanc qui a provoqué une grande catastrophe pour son peuple.
Ce scénario implique qu'il n'est plus le chasseur, mais la proie.
J'ai beaucoup aimé cette histoire qui comporte beaucoup de rebondissements et d'actions.
Encore une superbe continuation, avec de nouvelles créatures, les gobelins.
Cette série est vraiment géniale.
Ce tome est dans la continuité de cette série. Les récits sont vraiment passionnants.
Le scénario de ce tome 7 est incroyablement prenant et reprend la trame du tome 2.
Dans cette histoire, l'intrigue oscille entre les deux histoires qui finissent par s'entremêler : la guerre pour le territoire et la quête du cristal.
Les dessins demeurent toujours aussi splendides. L'univers est plein de détails.
Je suis pense être accro à cette série.
Ce tome 6 nous emmène dans une nouvelle aventure avec le peuple des elfes bleus, accompagné de notre héroïne Lanawin et son compagnon Turin.
Lanawin nous expose sa mission : elle est chargée de trouver la cause de la disparition des résidents d'Aspen.
Le scénario est si bien élaboré que plus nous avançons dans l'histoire, plus le mystère s'épaissit. Nous sommes vraiment captivés par son récit.
Dans cette bande dessinée, il y a de l'action, de l'horreur, du fantastique, un soupçon d'enquête tout ceci avec un équilibre bien dosé.
Le scénario est agrémenté de superbes dessins, de paysages magnifiques, de personnages somptueux et d'une mise en couleur de toute beauté.
La fin de cette histoire nous laisse en attente d'une suite et nous expose l'émergence des frontières de Borduria et de la banquise.
J'ai hâte de me plonger dans les prochains numéros.
Pour un bon premier tome, c'est un bon premier tome. Ce fut un bon moment de lecture, meme pour quelqu'un qui adhere rarement a l'univers de la fantasy. L'univers qui nous est propose, de differentes races s'affrontant avec differents dons, empreint de mysticisme et de tours de magie, s'annonce potentiellement excitant. Certains personnages sont d'ores et deja attachants et on a envie de les retrouver. Les dessins sont tres beaux aussi.
Tellement, mais tellement mauvais. Je vous jure, Istin a perdu la main. C'est tellement mièvre, tellement peace & love, tellement moralisateur, tellement invraisemblable, tellement deus ex machina, tellement fouillis, tellement... mal écrit.
C'est sans compter les fautes de français (comme d'hab!) et en plus, des erreurs de phylactères! On a une bulle qui est présentée comme du dialogue provenant du personnage dessiné, mais qui est censée appartenir à la voix hors champ d'un autre personnage! Et on en a une autre sur une autre page dont l'extrémité pointe sur le mauvais personnage!
Zéro.
Ce troisième tome se penche sur la race des elfes blancs. Ces elfes, isolés des autres races et surtout des humains, cherchent à préserver tout ce qui est susceptible de disparaître (les écrits, le savoir, dragons, etc...).
Cette bande dessinée nous plonge dans l'histoire de deux elfes en quête du dernier dragon blanc.
Pendant cette recherche, nous faisons aussi la découverte des racines d'un des compagnons de cette aventure, le jeune Fall. Son cœur immense le pousse à vouloir aider la race humaine, malgré l'opposition de son père adoptif. Malheureusement, la bêtise humaine va lui rendre le cœur noir à l'égard de l'humain.
Je suis de plus en plus fan de cette série de bandes dessinées. Je suis constamment fasciné par ces scénarios très aboutis et captivants, accompagnés de superbes graphismes.
Ce deuxième tome nous plonge dans la civilisation des elfes sylvains. Ce volume présente une histoire totalement différente de la première et tout aussi captivante.
En nous plongeant dans cette aventure, nous découvrons les fondements de la race elfe sylvain. À la clôture du récit, nous pouvons constater une alliance possible entre l'humanité et ces elfes de la forêt.
Le scénario est vraiment captivant et nous maintient en haleine. Nous le suivons entourés de superbes dessins aux nuances de vert et d'orange, qui reflètent l'ambiance boisée de ce magnifique tome.
À ce stade, ces deux BD nous offrent de très jolies histoires presque poétiques. J'ai hâte de lire le 3e opus pour en savoir plus sur la prochaine race elfique.
En voulant me plonger dans le monde de la Fantasy, j'ai décidé de m'intéresser à celui d'aquilon. Ayant du mal à savoir par où commencer, j'ai décidé de me lancer en testant le premier tome des elfes comme spécifié sur le site du monde-aquilon.
Cette première partie possède tous les éléments d'une bande dessinée réussie. La couverture est superbement réalisée, les dessins sont d'une grande beauté, les traits des illustrations sont d'une finesse remarquable, les paysages sont d'une grande splendeur. Nous sommes complètement immergés dans les différents décors de ce monde fantasy, cela nous offre un dépaysement total. Les illustrations de Duarte sont extrêmement détaillées et d'une qualité magnifique.
Dans ce monde, nous nous retrouvons entre les hommes, les différentes races d'elfes et les orcs (mais pas de nains pour le moment).
On est captivé par le scénario de cette histoire, qui est très bien élaboré. L'intrigue repose sur une recherche autour d'un complot visant un Cristal bleu possédant d'énormes pouvoirs, si celui-ci est utilisé par l'élu. Cette trame principale est entrecoupée par les relations conflictuelles des différentes races de ce monde.
Ce tome d'introduction est bien conçu, je pense que je vais continuer ma découverte de cet univers magnifique. Une série qui doit être très intéressante.
Le Havre des ombres ne pouvait tomber plus bas que le dernier tome des elfes noirs. Sans aucune attente, la lecture se révèle agréable et cohérente.
La finesse psychologique est certes globalement absente (en dehors de l’intéressante introspection de Gawin sur le futur de la citadelle) et on se débarrasse rapidement des fades acolytes du héros.
L’évolution des elfes noirs est au centre de l’histoire et nourrit globalement le scénario avec un final mystérieux qui aurait mieux fonctionné sans l’apparition décevante du « père des elfes « dans le tome précédent.
L’histoire s’intègre bien dans les événements globaux : la violence anti elfique grandit et annonce les guerres d’Arran. On regrettera que le personnage du marchand omnipotent soit aussi caricatural, rappelant d’autres méchants médiocres.
Un album correct qui ranime l’arc des elfes noirs.
La suite des elfes rouges était attendue avec un duel palpitant interrompu au moment critique. Le résultat est honnête et la lecture agréable.
Les personnages vont au bout de leurs relations et l’atmosphère un peu gamine du tome précédent s’assombrit suffisamment pour les rendre attachants.
Les elfes rouges sont au rendez-vous, le lien est fait est avec les terres d’Ogon et l’exotisme fonctionne bien: les éléments sont réunis pour un voyage violent et intrigant.
Un album sympathique qui devrait permettre un retour intéressant vers les terres d’Arran.
Nouvel épisode où nous retrouvons l’elfe noir Gaw’yn. Après avoir réussi sa quête visant à se libérer du besoin de fleur de Thnen, ce dernier ne semble plus savoir quoi faire de sa vie. Il va se retrouver embarqué dans une mission de protection avant de découvrir que la race des elfes est menacée.
Les aventures de Gaw’yn commencent légèrement à me lasser de par leur manque d’ambition. Aucun souffle épique ne se dégage de ce que vie ce personnage. Sans être catastrophiques, les dessins ne sont pas à la hauteur de ce qu’on peut avoir sur les autres numéros. Je ne comprends pas l’intérêt de garder ce personnage dans l’univers si c’est pour ne rien en faire.
Si vous n’avez pas d’attentes, ce numéro se laisse lire et n’est pas désagréable à suivre. Pour ma part, j’en attends beaucoup plus (au scénario comme au dessin) pour un personnage aussi important et présent depuis tant d’années.
Ce numéro est la suite directe du tome 19, aussi bien que nous pourrions les considérer comme une seule et même BD. Nous retrouvons donc Lea’saa, Turuk et Irinild là ou nous les avions laissé pour nous plonger sans la suite de leur périple en terres d’Ogon.
Je vois que les avis divergent sur ce numéro, mais personnellement j’ai adoré. Quel plaisir de voyager à nouveau au cœur des terres d’Ogon, et qui plus est, avec des personnages que j’adore retrouver. J’ai vraiment l’impression de suivre une aventure, de progresser avec eux. J’aime aussi les évolutions qu’on peut observer dans leurs relations et dans leurs interactions. La quête de Lea’saa visant à faire renaître son peuple fut touchante et j’ai pris plaisir à la suivre.
Je relirai avec grand plaisir ces deux tomes que je ne peux que recommander. J’ai hâte de retrouver ces personnages qui prendront sans doute part aux guerres d’Arran.
J’ai toujours une affection particulière pour les tomes dédiés aux elfes blancs, notamment grâce à leur profondeur d’écriture. Après le départ d’Alyana, Lyorshel (son grand-père) devient le nouveau personnage principal. Ce dernier souhaite créer une force armée en capacité de combattre les dangers extérieurs. Mais lorsque une reine mourante vient à leur rencontre pour les alerter des conflits à venir, ses derniers n’auront d’autres choix que la survie ou l’extinction.
J’ai passé un bon moment devant cet album qui amorce clairement le futur crossover des Guerres d’Arran. Les elfes blancs ne seront clairement pas épargnés par les événements à venir et j’ai hâte de voir de quelle manière ils s’allieront aux héros d’Arran. Vivement la suite !
L'avis de Romain81 résume parfaitement mon sentiment après la lecture de ce tome,
Les dessins ne sont pas au niveau,
Le scénario n'apporte rien,
Même la couverture de l'album ne correspond à rien : Gaw'yn n'a pas ces armes et cette armure dans cet épisode...
Dans ce 32ème tome, les enjeux décollent enfin pour nous plonger dans une histoire faisant avancer la continuité de ce vaste univers. Trois femmes elfes sont à l’honneur et auront un rôle majeur à jouer quant à l’avenir de leur race.
Le changement de dessinateur fait énormément de bien à cette série dédiée aux elfes sylvains. J’espère que ce passage de flambeau est définitif, car Diogo Saïto propose des dessins plus matures, plus fins et surtout plus en adéquation avec l’esprit et l’ambiance de cet univers.
Ce tome est une sorte d’introduction aux guerres d’Arran puisque plusieurs héros (vus dans les épisodes précédents) sont mis en avant dans leur lutte face à un ennemi commun.
J’ai beaucoup apprécié ce numéro qui coche toutes les cases pour être une réussite. Vivement la suite !
Après une longue absence, nous retrouvons Lanawyn dans ce numéro qui est déjà le 31ème de la saga Elfes. Le récit nous plonge au cœur d’une enquête visant à éclaircir une série de meurtres. Malgré la défiance des hommes à l’égard des elfes, les protagonistes devront s’associer pour résoudre ce mystère.
Cette histoire permet d’introduire le personnage d’Ylanoon (titre de la BD), pourtant nous n’en apprenons que très peu sur elle, son histoire et son caractère. Le récit la décrit comme étant ressemblante à Lanawyn dans sa jeunesse, mais finalement, on ne le constate jamais vraiment. Ce manque de caractérisation est assez rare pour être souligné et j’espère que les prochains numéros sauront y remédier.
Sans être désagréable, cet album ne restera pas parmi les indispensables de la saga. L’histoire de fond peine à réellement avancer et on attend dorénavant les guerres d’Arran avec impatience.
Nous retrouvons Gaw’yn dans sa quête de la dague de saphir, ce dernier est toujours accompagné des deux jeunes disciples de la citadelle de Slurce.
Des éléments intéressants sont abordés comme les elfes originels ainsi que ce qui a créé leur division. Néanmoins, je pense que des révélations aussi importantes devraient bénéficier d’un souffle plus épique dans l’écriture comme dans le dessin. Après 5 numéros dédiés à Gaw’yn, son développement et son évolution peinent à se montrer à la hauteur de mes espérances. J’espère que la suite saura me faire mentir.
Je suis de plus en plus mitigé concernant mes lectures sur l’elfe noir, il y parfois un côté enfantin qui me gêne concernant cette série que j’aurais souhaitée plus sombre et plus adulte.
Ce numéro marque un tournant majeur pour les terres d’Arran puisqu’elles font dorénavant partie d’un univers beaucoup plus vaste appelé le monde d’Aquilon. Cela permet d’agrandir la carte avec l’introduction des terres d’Ogon.
Nous retrouvons Léa’saa faisant équipe avec le semi-orc Turuk et une jeune cartographe dans le but de se rendre sur ces terres porteuses d’espoirs dans leur quête visant à faire renaître les elfes rouges.
J’ai tout de suite été conquis par les dessins et car cette ambiance de fantasy africaine. Ce groupe de personnages est très agréable à suivre et donne envie d’en voir davantage dans de futurs numéros.
Je regrette juste que cette BD se termine en nous coupant au milieu de l’action, car nous aurons la suite que dans le tome 34.
Ce 28ème tome de la saga Elfes marque la fin des aventures d’Alyana. Nous reprenons là où nous nous étions arrêtés dans le tome précédent. Difficile de parler du scénario sans spoiler donc je me contenterai de dire que je suis globalement satisfait.
Il était difficile de passer après un personnage aussi important que Fall, mais Alyana s’en est très bien sortie. Sans faire l’unanimité, ses trois tomes ont le mérite de tenter des choses tout en restant connectés au fil rouge de la saga.
Oliver Peru et Stéphane Bileau forment un magnifique duo et j’espère qu’ils parviendront à créer une suite restant sur les mêmes standards de qualité.
Le précédent tome centré sur les elfes sylvains m’ayant globalement déçu, j’espérais un rebond avant la lecture de ce 27ème numéro. Nous faisons la connaissance de Kaënn, un jeune elfe ayant été adopté par une tribu de sylvains après la mort de son père. Le scénario est simple mais efficace. Je suis entré très vite dans l’histoire tout en parvenant à m’attacher aux protagonistes. J’ai beaucoup aimé la profondeur d’écriture concernant Kaënn tout comme son évolution. Ce dernier est clairement inspiré des samouraïs tant dans son apparence que dans son code d’honneur.
Par ailleurs, j’ai apprécié le fait de voir un centaure parmi les personnages principaux. (Nous en avions déjà vu dans un tome sur les elfes blancs par le passé.)
J’ai passé un très bon moment de lecture devant ce numéro qui est un de mes préférés sur les elfes sylvains.
Ce 26ème tome d’Elfes est dédié au célèbre Athé’non, fils du roi Aamon et héros de la guerre des goules. Nous découvrons ce qu’il est advenu de lui après ces événements et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne reste pas grand-chose de l’elfe qu’il a été. Après une longue dépression l’ayant fait sombrer dans la drogue, il finit par se faire capturer et sera obligé de se livrer à des combats sans merci pour survivre. Athé’non devra trouver le chemin de la résurrection au sein même d’une arène aux allures de Colisée romain dans laquelle se déroule des jeux façon combats de gladiateurs.
Dans un style différent de Kyko Duarte, Giovanni livre une excellente prestation au dessin.
Ce titre annonce clairement la couleur quant aux conflits à venir entre les hommes et les anciennes races. J’ai passé un très bon moment de lecture devant ce numéro.
Après les événements tragiques ayant marqué la fin du tome précédant sur le personnage de Gaw’yn, ce dernier compte bien exercer sa vengeance. Néanmoins, l’attaque de la citadelle semble un peu trop simple quand on sait qu’elle est censée être remplie des plus grands tueurs des Terres d’Arran.
Ce tome est agréable à lire sans être exceptionnel. Le scénario manque peut-être un peu de maturité à mon goût. Les enfants de Slurce accompagnant Gaw’yn y sont sûrement pour beaucoup. Le fait que cette série soit autant déconnectée des autres séries Elfes commence à me déranger. Où est Ilaw qui est censé avoir rejoint Slurce dans Elfes tome 17 ? Quid du rituel permettant de se libérer du mal des elfes noirs présenté dans Elfes le tome 21 ? Une nouvelle intrigue semble se mettre en place concernant le futur des aventures du célèbre elfe noir et j’ai hâte de la découvrir.
Je considère le tome 19 comme étant une introduction à ce 24ème numéro que je juge beaucoup plus réussi que les précédents. L’histoire reprend là où nous nous étions arrêtés. Tei-Nooh est parvenue à retrouver Haarn’al et poursuit sa quête visant à recréer une société semi-elfe forte et reconnue. Ce numéro est aussi l’occasion de nous plonger dans le passé de Tei-Nooh et de son frère, ce qui rend inévitablement ces personnages très attachants et beaucoup plus charismatiques. J’ajoute que les dessins de Bojan Vukic et le chara-design des personnages principaux sont très réussis.
Ce 5ème tome consacré aux semi-elfes est à mon sens le plus réussi. Nous avons enfin des personnages emblématiques pour cette caste et j’espère les revoir dans le futur.
Ce 23ème tome de la saga Elfes présente la suite des aventures d’Alyana. Une petite relecture du tome 18 s’imposait tant cet album avait été généreux en informations et en révélations. L’histoire reprend là où nous nous étions arrêtés. Alyana tente de retrouver les golems afin de les affronter avant qu’ils ne détruisent les terres d’Arran. Cette jeune elfe aux pouvoirs exceptionnels saura t’elle réussir sa quête malgré les nombreux obstacles qui lui barreront la route ? J’aime toujours autant cet arc scénaristique. Les personnages sont bien développés, tout comme leurs interactions qui fonctionnent particulièrement bien. Enfin, les événements ayant lieu dans ce tome auront inévitablement des répercussions sur l’avenir de la saga que j’ai déjà hâte de découvrir.
Que dire de cet album, qui n'est pas le meilleur de cette série, mais certainement un vrai chef d'œuvre qui nous permet 10 ans plus tard de compter 90 albums!
Le scénario est vraiment bien conçu. Les dessins et les décors rendent parfaitement. On se retrouve plongé dans un monde qui apparaît cohérent et beau.
Le fil conducteur est bien préservé et la fin apparaît de manière cohérente.
Contrairement à certains avis ici, je ne pense pas qu'il faille être fan d'Heroic Fantasy pour apprécier l'album et la série. La cohérence de l'univers, la richesse du scénario et la qualité des dessins peuvent plaire un public bien plus large auquel je m'identifie plus.
Un album qui reste passionnant à lire malgré les relectures.
Une bouillie de crossover entre les séries Elfes, Orcs & Gobelins, Mages et Terres d'Ogon.
Le plus gros problème est l'absence d'un scénario construit : c'est une suite de rencontres et de différents paysages (désert, mer, neige, forêts, villes...), que les auteurs font tenir en 3 à 4 planches grand max. Je peux rajouter la catastrophisme de certains passages comme le monstre marin qui sauve les héros de le noyade, ou bien la sorcière-elfe qui peut lire l'intégralité de tes pensées juste en quelques secondes...
Bref, un épisode nullissime !!
J'attendais beaucoup de cet album, à l'arrivée je suis mitigé sur mon avis,
L'histoire est intéressante et présente des rebondissements cependant il faudra attendre la sortie du nouveau elfe blanc pour en savoir plus...
Il est préférable d'acheter un allez-retour de saucisse sèche + 10 avocats à 0.99 centimes/pièce plutõt que cette BD. Měme lorsque j'ai fait mon plein à 2euros/litre j'ai eu la sensation de ne pas mettre fait entubé.
Il va faloir arrêter avec la médiocrité en pondant un album tous les 2 mois. On ne ressent plus la passion des premiers albums.
Le dessin, une catastrophe pour l'ambition de cette BD. Que ce soit dans les details des personnages, leurs expressions, leurs poses, le décors... tout est à refaire. Le choix des couleurs n'aide pas non plus.
Les blancs sont toujours là mais ça sent la fin. En même temps vu l’accumulation de débilités commises par leurs meilleurs éléments, leur avenir était scellé. En effet pour la énième fois, les îles secrètes sont trouvées, la surveillance déjouée, la tactique pourrie et les plus grands guerriers d’Arran appuyés par leurs dragons invincibles défaits facilement.
Franchement c’est fatigant : je les aime bien les blancs, ils ont l’air badass et philosophes à la fois et en fait c’est des losers dirigés par des pacifistes décrépits et suicidaires … Oui leur système politique est clairement une forme d’autodestruction.
Cet album en est également une avec ces fameux dessins dans lesquels la plupart des blancs ressemblent à leur premier héros et l’action est incompréhensible. Le scénario l’est aussi lors de la découverte de l’absence de complot qui ne change rien à la situation finale. Le titre est dans la même lignée : totalement abscons et le retour de l’Haruspice ne sert pas à grand chose non plus. Seul celui de La Poisse apporte à la fois humour et intelligence à ce peuple millénaire, mais visiblement un peu dégénéré.
Un album bizarre de fin des temps qui convoque toutes les histoires précédentes de ce peuple martyrisé.
Depuis plusieurs tomes, on savait qu'une grosse guerre allait se préparer, après un long trou et une mise en place lente, la série repart, à voir par la suite ce que ça va donner
Les destins croisés d'Ora, l'elfe errante (héroïne de la série) qui va trouver sa place dans le monde des Elfes Sylvains, d'Alorënn, la cheffe de tribu qui souhaite mettre un terme aux méfaits de la Kicha et réveiller le sentiment d'unité des elfes de la forêt de Torunn et d'Aliksa, "la main armée" de l'empereur humain de Dumn.
Un épisode bien construit avec des rebondissements et un florilège de personnages intéressants : cet album attend une suite directe
Moyen , la série Elfe est de mon point de vue , moins intéressante que ces premiers tomes , ce nouveau tome a le mérite de vouloir relancer cette série . Nains est devenu bien meilleure
Nouveau tome pour les elfes sylvains avec une intrigue liée, une nouvelle fois, à Lah’saa. La guerre des goules étant terminée, la terre mère porte de séquelles du passage de ces dernières ainsi que de toute cette malfaisance. Une épidémie semble à l’œuvre dans un village de sylvains. Nous suivons donc Laëdyss, un jeune elfe qui cherchera à comprendre ces événements et s’associera avec Bëloenn, un gardien des racines au caractère singulier.
À titre personnel, j’ai toujours autant de mal avec les dessins de Maconi (typés manga), même si cela n’en fait pas un mauvais tome pour autant. J’ai eu davantage de mal avec des personnages trop caricaturaux et des interactions manquant de subtilité. Je ne suis pas parvenu à m’attacher à eux ni à être touché par ce qui leur arrive. Nicolas Jarry me semble bien plus à son aise sur les Nains.
Une des nouvelles intrigues introduites dans l’excellent tome 16 nous promettait une quête à venir concernant la résurrection du peuple des elfes rouges. Lanawyn tient donc à honorer sa promesse envers son ancienne ennemie Lah’saa consistant à aider Lea’yn et Feda’yn, deux elfes noirs de la citadelle de Slurce, à faire renaître ce peuple disparu depuis de nombreuses années. Une équipe très agréable se met en place où nous retrouvons Turuk, protagoniste du tome 1 d’Orcs & Gobelins ou Belthoran, le Mage du tome 16. J’ai beaucoup aimé les interactions entre les deux elfes noirs ainsi que l’évolution de leur relation.
Un nouveau complot politique se met en place et nous découvrons que de mystérieux individus sont à l’origine d’un ordre visant à exterminer certaines races des terres d’Arran. J’ai hâte de découvrir la suite de cette trame scénarisée par Jean-Luc Istin et sublimée par Kyko Duarte.
C’est déjà le quatrième tome centré sur les elfes noirs et nous suivons toujours Gaw’yn dans sa cavale avec sa bien-aimée Dyfeline. Comme dans les tomes précédents, ces personnages sont toujours en fuite et recherchés par les assassins de la citadelle de Slurce. L’originalité de ce numéro se trouve donc dans ses nouveaux décors qui nous font voyager dans les terres d’Arran. Nous découvrons donc la cité d’Akrähyng, une terre d’éleveurs de dragons qui offre la possibilité à Dana Dimat de produire de magnifiques dessins. J’ai rapidement été happé par l’histoire et, finalement, je me surprends à aimer retrouver Gaw’yn encore et encore. La fin du récit prend un tournant inattendu qui promet une suite des plus explosives.
Nouveau tome pour les semi-elfes qui met en avant de nouveaux personnages et une intrigue qui nous plonge aux origines de cette caste souvent méprisée.
Comme pour les autres tomes traitant des semi-elfes, ce numéro est totalement dispensable pour suivre la continuité de la saga. La lecture n’en fut néanmoins pas désagréable grâce à des personnages plutôt réussis et une intrigue qui sera sans doute approfondie dans une suite qui, je l’espère, devrait donner davantage d’épaisseur à cette caste des semi-elfes.
Pour résumé, je dirais que ce numéro ne se classe pas dans le haut du panier. J’espère que la suite saura donner du sens aux dernières pages de ce numéro, en l’état, me laisse un peu sur ma faim.
La conclusion de l’intrigue centrée sur la guerre des goules avait distillé quelques pistes à exploiter pour la suite de la saga Elfes. La plus prometteuse était la mystérieuse grossesse de Tenashep : le fruit de son amour avec le célèbre Fall (alors possédé par la maléfique Lah’saa). On se doutait donc que cet enfant serait spécial, particulièrement puissant et que son avenir serait lié à celui des Terres d’Arran.
Cet album relate les premières années de la vie d’Alyana et nous montre déjà l’étendue de son immense pouvoir.
J’ai rapidement été plongé dans l’ambiance du récit grâce aux excellents dessins de Stéphane Bileau. Le scénario est de qualité, bien que parfois complexe, mais on sent une réelle volonté d’introduire une nouvelle intrigue qui sera certainement le fil conducteur de la série.
Le duo formé d’Alyana et de l’orkelin La Poisse fonctionne très bien et j’ai déjà hâte de les retrouver dans un futur numéro. Vivement la suite qui, j’espère, saura ravir les lecteurs.
Après l’excellent tome 16 venu conclure la guerre des goules, la saga se poursuit avec cet album consacré aux elfes sylvains. On y découvre Ilaw, un jeune elfe qui sera contraint de quitter sa Terre-Natale dès ses 8 ans pour d’obscures raisons. Sa quête de vérité sera jonchée de violence et le poids de la culpabilité le poussera à faire des choix décisifs pour son avenir.
Le scénario de Nicolas Jarry est de qualité malgré un sentiment de déjà vu. Les dessins de Maconi (dessinateur régulier sur les albums des elfes sylvains) ne sont vraiment pas à mon goût et me brident réellement dans mon appréciation de ce numéro.
J’ai apprécié le duo formé avec Sriza (personnage principal du tome 8 de la saga Nains), leurs interactions contribuent à donner de la profondeur au récit. J’ai passé un bon moment de lecture devant ce tome et j’espère retrouver ce nouveau personnage dans un futur numéro.
Trois jeunes gobelins sont au bord de l’eau lorsque soudain, un griffon s’abat auprès d’eux. Presque aussitôt, surgit une horde de chasseurs qui en ont après le monstre. Le coup de grâce est donné. Les chasseurs sont fiers d’eux…
Brusquement, comme surgi de nulle part, paraît un immense dragon blanc…
Critique :
J’avais été quelque peu déçu par le tome 3 des auteurs Peru et Bileau. La cause ? Un rythme trop lent. Celui d’une quête s’étalant sur des décennies, celle d’un dragon blanc. Parmi les protagonistes se trouvait un jeune Elfe blanc qui ne semblait pas disposer de la même sagesse que ses congénères, un dénommé Fall. Je le retrouve ici avec grand plaisir dans une aventure pleine d’actions mais pas que ! C’est un hymne à l’écologie qui défend les espèces les plus menacées, fussent-elles traitées de monstres par les hommes… Ceux-là-même qui ont tendance à tout ravager sur leur passage...
Cet album met en lumière trois jeunes et adorables gobelins. Oui ! Oui ! Vous avez bien lu : trois adorables jeunes gobelins ! Et puis, il y a les hommes, fort peu recommandables… Rares sont ceux qui ont encore un peu de bonté et de compassion en eux. Ils sont menés par Halleran qui dissimule son visage derrière un crâne hideux, mais peut-être pas aussi hideux que son âme.
Fall connaît l’exil, loin des autres Elfes blancs après la catastrophe qu’il a causée. Le dragon blanc vit en symbiose avec lui. La colère qui l’anime est immense ! Saura-t-il un jour la maîtriser ?
Un album que j’ai savouré du début jusqu’à la fin tant il regorge de surprises.
Après plusieurs tomes difficiles (le dernier album solide étant le 26 pour moi), la série relève la tête et satisfait ses lecteurs fanatiques (mais fatigués): retour de personnages emblématiques comme Ora et Keann, ancrage dans la culture Sylvaine, progression vers la future guerre tant annoncée. Tous ces éléments nécessaires pour moi à l’intérêt des elfes sont servis avec une histoire épique, violente, magique et sombre.
On regrettera la surabondance de personnages féminins côté elfe: 4 ça finit par compliquer la différentiation… Elle est probablement justifiée par la connerie du sylvain moyen totalement obsédé par l’Idée de se fritter avec tout elfe qu’il rencontre ! Cette dérive culturelle détaillée dans les tomes 17,22 et 27 n’est pas à leur honneur contrairement à ce que laissait croire le tome 2 éponyme.
Au titre des petites critiques, on s’interroge sur les motivations de Kaldrisia pour servir des abrutis depuis 300 ans, mais les auteurs ont peut être gardé une belle réponse pour la suite.
Un très bon album, presque déroutant après tant de déceptions.
La cité-état d’Eysine n’est plus que ruines. Les rois des Archipels ont réussi leur entreprise : la construction d’un canal protégé par de nombreuses tours, canal qui leur rapporte une fortune en droits de passage.
Que sont devenus les hommes et les Elfes qui autrefois défendaient la cité ? Ils ont dû se retirer dans la forêt de Duhann après une dizaine d’années de combats contre les mercenaires orks et les hommes des royaumes des Archipels. Est-ce à dire que pour autant ils ont renoncé à reprendre la ville et les terres adjacentes ?
Critique :
Magiiiiieeee ! Magiiiiieeee ! De la magie ! Et encore de la magie ! Il y en a qui aiment ça, alors ils vont se régaler.
Un scénario très décousu, où les repères ne sont pas clairs, voilà sur quoi repose cet album. On passe, sans transition, d’un lieu à un autre, avec des retours en arrière menés de façon confuse.
Et, ce que je déteste, une fois encore, la magie qui résout tout ! Wow ! Quand on manque d’imagination pour fournir une intrigue intéressante, un « crystal » et tout change ! Remarquez qu’ici, « crystal » s’écrit avec un « y », preuve sans doute de sa magnificence, car tout autre solide dont les constituants (atomes, molécules ou ions) sont assemblés de manière régulière, ne doit être qu’un vulgaire caillou en comparaison de ce « colossalement » puissant artefact !
Humains, orcs et Elfes (bleus ou non) peuvent-ils s’entendre et s’épauler pour mener à bien une mission dont ils ne devraient pas revenir ?
Mais que s’est-il donc passé dans la ville d’Aspen, la plus au nord des Terres d’Arran ?
Son gouverneur, Helyas, a demandé l’aide d’Hammon, le tout-puissant seigneur des Elfes bleus. La nuit, des hommes et femmes disparaissent sans laisser la moindre trace. Quel est ce danger invisible et redoutablement mortel qui menace sa ville ? Et après sa ville ne pourrait-il s’étendre aux Terres d’Arran ?
Voilà l’énigme à laquelle une équipe de héros doit s’attaquer. A sa tête une Elfe bleue, Lanawyn. Celle-ci sait qu’elle peut compter sur un humain, Turin, qu’elle apprécie, et qui l’ai… heu, qui l’apprécie aussi. Il lui faut dans son groupe, une sœur des sens pour rester en communication avec Hammon (les télécoms de l’époque). Une escorte de deux chasseurs redoutables n’est pas un luxe. Athé’non et Valamen font donc partie de l’escouade. Mais dans tous les arts de la guerre, Oriann n’a pas d’équivalent ! Embauché aussi ! Cependant, le meilleur reste à venir… Un nécromancien, histoire de faire parler les morts… Et pas n’importe lequel, un ork ! Oui, un ork ! Nerrom ! Malgré le dégout qu’il inspire, Lanawyn et lui sont amis. Cette fière escouade sera-t-elle de taille à mener à bien sa mission ?
Critique :
Voilà un scénario destiné en particulier à ceux qui aiment frissonner, non parce que l’hiver s’annonce rude, mais parce que l’horreur les fait trembler et qu’ils aiment ça. Personnellement, ce n’est pas ma tasse de thé, même si Jean-Luc Istin a conçu un scénario qui ne manquera pas de provoquer des suites car l’histoire est loin d’être terminée au terme de cet album. Ne doutons pas que cela n’est qu’un début.
Amateurs de morts-vivants, goules, et autres saletés mortes qui ne veulent pas s’en aller et foutre la paix aux vivants, cet album est pour vous ! Duarte aux dessins et Saito à la mise en couleurs ont évidemment réalisé un travail remarquable.
Mon absence totale de goût pour la viande froide et faisandée ne fera pas de cet album l’un de mes préférés.
Savez-vous qu’on ne naît pas vraiment Elfe noir ? Non ! Il n’y a pas de tribus d’Elfes noirs comme il y en a d’Elfes bleus, de Sylvains ou d’Elfes blancs ! Chez tous les Elfes peut naître un enfant qui deviendra un Elfe noir car tous les Elfes portent en eux le gène de l’Elfe noir.
Gaw’er est né sur un bateau de pêche. Ses parents sont des Elfes bleus. Le petit se montre très curieux et casse-cou. Il est aussi sujet à des crises de rage incontrôlables au grand désarroi de son père. Port-Vogue est le lieu où les Elfes du Sud se retrouvent pour échanger ce qu’ils ont à vendre contre ce dont ils ont besoin. Gaw’er adore le lieu…
Critique :
Le scénario très original d’Arleston est vraiment intéressant car il permet de découvrir comment sont recrutés ceux qui vont devenir des Elfes noirs… ou pas ! Nombreux sont les appelés, rares sont les élus… Et les autres me demanderez-vous ? Guère plus que des déchets… Bon, vous l’avez compris, désolé si vous adorez les Elfes, mais il va falloir réviser votre jugement une fois que vous aurez découvert la nature des Elfes noirs. Cet album va vous permettre de découvrir le long, et périlleux, apprentissage d’une de ces créatures, une créature qui n’aura jamais d’amis.
Les dessins de Ma Yi sont très réussis, mais la lisibilité des planches n’est pas évidente car pour des raisons thématiques, les couleurs sont très sombres et la visibilité réduite.
Comment ? Vous êtes un semi-Elfe ? Pas de chance pour vous ! Les hommes vous détestent et vous accablent de tous les maux et les Elfes ne veulent pas de vous !
J’ai entendu dire qu’un certain Nah-Thaal rassemble tous les semi-Elfes et cherche à se rendre sur une terre où se trouve une ancienne ville elfique à l’abandon. Petit problème : elle se trouve sur les terres des Elfes sylvains…
Critique :
Tout de go, je trouve que cet album est le meilleur des quatre premiers. Les dessins de Bordier font vraiment honneur à ce qui se fait de mieux, alors même que les éditions Soleil ont déjà placé la barre très haut pour les séries des Terres d’Arran. Digikore Studios rehausse encore l’œuvre par des couleurs magnifiques tout en dégradés du plus bel effet.
Le scénario de Corbeyran, le scénariste, pose la question du métissage en prenant pour héros de cette aventure des semi-Elfes. Dans des sociétés aussi fermées, les hommes d’un côté, les Elfes de l’autre, quelle place pour ceux qui sont le fruit des amours de deux races différentes ? Et si encore, les hommes se contentaient de les rejeter, mais hélas, ils trouvent la mesure insuffisante… La plupart du temps, les massacrer leur semble dès lors la meilleure voie. Faut-il s’étonner alors qu’une légende voie le jour ? Une légende qui verrait un élu, une sorte de messie, guider son peuple vers une terre promise…
Les humains sont foncièrement mauvais à quelques exceptions près. Soit ! Et les Elfes, alors ? Tout Sylvains qu’ils sont, ils n’en sont pas pour autant, tous, foncièrement honnêtes…
Bien entendu, cet album peut se lire indépendamment des autres récits des Terres d’Arran, même si pour ma part, je préfère les lire tous, les uns après les autres, histoire de ne pas perdre une miette de ce splendide univers.
Sur les hauteurs de la cité de Belleck.
Deux Elfes blancs contemplent la destruction de la splendide ville érigée voilà des siècles par des humains guerriers-bâtisseurs. D’autres hommes la ravagent, la pillent, la brûlent et la réduisent en cendres… Spectacle consternant pour les sages Elfes blancs qui ne peuvent comprendre ce besoin d’anéantissement qui anime ces viles créatures que sont les hommes…
Ces deux Elfes sont des pisteurs sur les traces d’un rarissime et puissant dragon blanc qu’ils veulent amener dans leurs îles.
Soudain, ils tombent sur un homme et une femme qui ont réussi à fuir la ville. Ils n’iront pas loin ! La femme est enceinte et cinq guerriers sont sur leurs traces. La sagesse elfique leur recommande de ne pas s’occuper des affaires des hommes…
Critique :
Le rythme de cette histoire est particulièrement lent puisqu’il s’agit d’une traque d’un rarissime dragon blanc. Cette quête prend des années et est saupoudrée d’aventures secondaires qui vont lier un Elfe blanc à un homme. Mais Fall, l’Elfe, est-il aussi blanc que ce que son père adoptif voudrait le lui faire croire ? Va-t-il respecter les lois ancestrales des Elfes blancs ?
Le principal mérite de cet album réside dans la présentation d’une nouvelle race elfique, la plus ancienne, la plus sage, celle des Elfes blancs.
Je n’ai pas palpité pour cet album autant que pour les précédents. Le rythme y est pour beaucoup. Les visages des personnages à mi-chemin entre dessins comiques et dessins réalistes ne m’a pas convaincu.
Livre intéressant à lire pour ne rien perdre de l’ensemble de la saga, mais sans plus.
Rien ne va plus pour la cité d’Eysine ! Une très puissante armée d’Orcs mercenaires l’assiège. Les commanditaires ne sont autres que des humains : ceux des cités des archipels, complètement irrespectueux des traités qu’ils ont signés et qui sont juste bons à se torcher le…
Les dirigeants d’Eysine comprennent que, pour des raisons diverses, aucun homme ne viendra à leur secours.
La fille du seigneur de ces lieux propose une solution : aller quérir l’aide des esprits de la forêt, les Elfes !
Personne ne prend sa proposition au sérieux. Qu’est-ce qu’une femme connaît en matière de stratégie ? Hein ? Franchement ! Qu’elle aille soigner les blessés et réconforter les mourants ! C’est là la place d’une femme, ou d’une fille, d’élu ! Non, mais vraiment pour qui ça se prend cette petite bonne femme ?
Têtue comme une mule, ou davantage encore, la demoiselle Llali s’extirpe de la cité avec son garde du corps personnel, Imgam, pour poursuivre son objectif : s’en aller dans la profonde forêt demander aux Elfes sylvains leur appui pour venir à bout de l’infâme armée de mercenaires orcs qui finiront sans aucun doute par s’emparer des puissants remparts de la cité d’Eysine.
A peine dans la forêt, les voilà poursuivis par de vilains gobelins, bouh qu’ils sont moches, montés sur des hyènes presque aussi hideuses que leurs cavaliers. Les paris sont ouverts : la belle Llali va-t-elle survivre à cette rencontre et atteindre l’objectif irréaliste qu’elle s’est fixé ?
Critique :
Après un 1er tome chez les Elfes bleus, bleus comme l’Océan, bienvenue chez les Elfes sylvains pour qui la forêt est le cœur de leur existence.
De prime abord, le lecteur accorderait sa confiance à ces amis de la nature qui, écolos avant la lettre, préservent la forêt avec laquelle ils vivent en parfaite harmonie. C’est mal connaître le scénariste Jarry qui va assombrir quelque peu l’âme de plusieurs d’entre eux. Il nous permettra aussi de rencontrer les impitoyables Elfes noirs qui n’hésitent pas à s’offrir au plus offrant tant leurs âmes, pour autant qu’ils en aient encore une, sont corrompues.
Il y a clairement un message écologiste derrière ce scénario qui accuse les hommes de chercher le profit à tout prix, quitte à saccager la terre qui les accueille.
Les dessins de Maconi sont d’excellente facture, forts bien servis par les couleurs de Saito.
Je regrette que le résumé de l’éditeur en dise trop et dévoile une partie significative de l’intrigue… mais comme je ne lis pas les résumés de cette collection avant d’acheter les albums, cela ne m’empêchera pas de me procurer le 3e tome des Elfes et de rencontrer les Elfes blancs…
Archipel des Polanis. An de grâce 700 du calendrier athéen.
Une Elfe bleue, Lanawyn, et un humain respecté de tous, ou à peu près, Turin, sont en route dans les contrées glacées vers la cité-refuge d’Ennlya.
Avant même leur arrivée, mauvais présage, ils découvrent la ville survolée par des myriades d’oiseaux.
Dans la ville, pas âme qui vive… Et pour cause… Ils tombent sur les cadavres de ses habitants Elfes bleus. Aucun autre cadavre ! Seul indice : une dague yrlanaise ! Les relations entre les hommes du royaume d’Yrlanie et les Elfes bleus sont tendues. Des accusations venues des hommes visent les Elfes qui seraient, selon eux, notamment, la cause de mauvaises pèches. Il faut dire que si ces Elfes sont bleus, c’est sans doute qu’ils sont des Elfes des océans. Comme tous les Elfes, ils sont immortels… Tant qu’on ne les assassine pas…
Le Crystal des Elfes bleus confère à celui qui le détient une puissance incommensurable. C’est pourquoi, dans leur sagesse, ils l’ont confié à l’océan et à des monstres marins chargés de le protéger en attendant la venue de l’élu ou de l’élue…
Une jeune fille se présente pour s’en aller le chercher alors même qu’elle est mise en garde : aucun de ses prédécesseurs n’a réussi…
Critique :
Inutile de chercher l’archipel des Polanis sur Google Maps. Il ne connaît pas ! Comme quoi, Google ignore encore bien des choses !
Toute analogie entre Schtroumpfs et Elfes bleus est un non-sens, si ce n’est peut-être que les Schtroumpfs aussi soient immortels (mais cela reste à prouver).
C’est par cette histoire que Jean-Luc Istin a lancé des sagas qui se poursuivent au fil des ans dans les Terres d’Arran avec différentes séries : Elfes, Nains, Orcs & Gobelins, Mages…
La particularité de ce scénario-ci c’est qu’il mêle enquête policière, manipulations politiques, amitié entre un homme et des peuples différents, et peut-être bien une histoire d’amour entre une Elfe et un humain...
Ce tome donne le ton : les Orcs sont des « humains » comme les autres ! A part leur laideur physique (selon nos critères), ils peuvent faire preuve d’ « humanité », et les humains de « monstruosité ».
La magie, et son extrême pouvoir, est présente de façon originale. N’étant pas un grand fan de la magie, c’est la seule chose qui me rebute dans ce récit qui combine plusieurs histoires qui, finalement n’en forment qu’une.
Les dessins de Duarte ont placé la barre très haut dès ce premier album des Terres d’Arran. Depuis 2013, cette collection a mis au monde de nombreux enfants plus beaux les uns que les autres, incluant de nombreux dessinateurs, scénaristes et coloristes, tous priés de faire évoluer leurs personnages dans le même univers, Maître Istin jouant les chefs d’orchestre pour qu’il n’y ait pas de dissonances au sein de l’orchestre.
C’est un sacré pari que les éditions Soleil ont relevé en recourant à de multiples auteurs tout en gardant la cohérence afin de pouvoir alimenter à un rythme soutenu les envies de lecture d’un lectorat d’autant plus impatient que les mangas ont donné le ton avec des séries qui paraissent à un rythme effréné.
Je cause, je cause, mais il est temps de passer au deuxième album des Elfes pour découvrir les Elfes sylvains !
Une enquête à la traque d'un mystérieux tueur psychopathe qui signe ses meurtres. Les Elfes et les humains doivent s'associer pour arrêter le massacre.
Un clin d'œil au "Silence des agneaux".
Une aventure correcte.
Les personnages légendaires des terres d’Arran se réunissent pour l’affrontement final qui marquera un véritable tournant dans la saga. Cet album vient merveilleusement conclure l’arc narratif de la guerre de goules et de Lah’saa. Le scénario m’a fait passer par toutes les émotions, avec des planches et des textes époustouflants. Le récit propose même quelques ouvertures qui seront surement exploitées à l’avenir.
Ce 16ème tome est clairement mon préféré. Les auteurs ont tout donné et le résultat a clairement dépassé mes espérances. Si vous décidez de vous lancer dans cette saga, je vous recommande vivement de poursuivre votre lecture au minimum jusqu’à ce tome 16 qui fait l’effet d’un véritable bouquet final.