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J'ai bien aimé la première époque de cette mafia story mais beaucoup moins la seconde qui tire réellement en longueur sur 5 volumes pour expliquer la montée en puissance de Luciano. J'ai appris récemment qu'un condensé en deux volumes venait de paraître ce qui est une bonne idée en soi.
C'est mieux que La Cuisine du Diable dans le même genre. Le dessin est juste, voire agréable. On apprend beaucoup sur l'origine du crime organisé par les grands noms qui ont fait la mafia aux States. Cependant, cette chronique mafieuse est un peu trop verbeuse à mon goût.
On se retrouve environs 8 ans après la fin du premier cycle qui coïncidait avec le début de la prohibition. Et on se rend vite compte que cette fameuse prohibition a eu le mérite de donner des ailes aux petits truands que Chauvel avait décrits dans le premiers cycle.
Les premières organisations criminelles à grande échelle se forment et c’est ainsi que les Lucky Luciano, Franck Costello, Al Capone, Bugsy Siegel, Meyer Lansky, Vito et autres se regroupent afin de former le Big Seven.
L’alcool coule à flot, notre fidèle serviteur aux cheveux couleur brique est derrière le bar, le crime organisé roule sur l’or et quand il y a un pépin le groupe des sept se retrouve chez Moe et le sang finit par couler.
Le scénario reste historiquement fidèle et le dessin colle de mieux en mieux à cette excellente histoire du crime organisé new-yorkais.
Ce cinquième tome conclut le premier cycle de cette série qui s’amuse à retracer chronologiquement les origines du crime organisé américain, en reprenant dans chaque tome une anecdote qui a marqué le début de ‘carrière’ de futurs grands noms du crime comme Al Capone, Frank Costello, Lucky Luciano, Arnold Rothstein, Bugsy Siegel, Meyer Lansky, etc.
Ce tome-ci se concentre sur la juteuse combine du loto mise au point par Frank Costello, sous le parrainage d’Arnold Rothstein, et aboutira sur une date historique qui marquera le début d’une nouvelle ère pour le crime organisé et d’une nouvelle époque pour cette série: le 28 octobre 1919 et le vote de la prohibition !
Le dessin de Le Saëc est assez classique (simple, clair et efficace) et s’améliore de tome en tome au bénéfice de la lisibilité. Le scénario reste proche du documentaire avec en appendice les sources utilisées pour chaque scène et démontre le boulot colossal effectué par Chauvel.
Attention, car ce premier cycle, d’abord publié en petit format de 30 pages a depuis été réédité en grand format de 46 pages. Cette réédition contient des notes additionnelles, ainsi que de petits récits additionnels sous forme d’introduction et/ou d’épilogue.
Chauvel continue de sauter successivement du milieu mafieux italien au milieu mafieux juif, au gré des personnages centraux. Après avoir abordé le gangstérisme juif dans le deuxième tome, ce quatrième tome va se concentrer sur deux des cerveaux de cette mafia juive : Meyer Lansky et Arnold Rothstein.
En 1917, un parasite de salon, nommé Leland Turner aura la malchance de croiser ces deux futurs "grands" de la mafia américaine et commettra surtout l’erreur de remporter un pari face à Arnold Rothstein.
De leur côté, Meyer Lansky et Benny Siegel, dit Bugsy, le futur créateur de Las Vegas, forment la bande de Grand Street, et font leur premier coup.
Le dessin de Le Saec sans être exceptionnel, reste sobre, clair et efficace et colle parfaitement bien à cette série.
Chauvel continue de nous conter avec brio l’histoire de la pègre new-yorkaise en suivant les débuts de grands noms du crime organisé. Tout en suivant l’évolution chronologique de la maffia new-yorkaise, Chauvel parvient à se concentrer sur une anecdote particulière pour chaque tome : ici il s’agit du pari entre Leland Turner et Arnold Rothstein.
Ce troisième tome retrace l’année 1916 de nos trois protagonistes du premier tome : Al Capone, Franck Costello et Lucky Luciano.
Et il faut bien avouer que cette année constituera un tournant dans la vie des trois truands : Al Capone y obtiendra son surnom de Scarface, quant à Lucky Luciano il jurera de ne plus jamais retourner en prison, même s’il a réalisé qu’un travail honnête paye beaucoup moins bien que le crime.
On prend donc plaisir à découvrir la suite de l’histoire de la maffia New-yorkaise, toujours traitée de façon très historique à l’aide d’une voix off omniprésente.
Après avoir abordé les bases de la mafia italienne de New York dans le premier tome, ce deuxième tome aborde le gangstérisme juif et il faut bien avouer que celui-ci n’a pas laissé autant de traces dans la mémoire collective. Des noms comme Arnold Rothstein et Meyer Lansky n’en disent d’ailleurs pas autant que Al Capone et Lucky Luciano.
Si Monk Eastman était le premier grand truand juif, c’est l’histoire de deux jeunes loups qui ont soif de pouvoir : Rosenthal et Rothstein, qui est retracée dans ce deuxième tome. On y découvre les mécanismes de la corruption policière de New York et la leçon que Rosenthal aurait du retenir : dans la mafia juive, quand il faut choisir un côté, le bon côté est toujours celui de l’argent !
New York, mais pas le New York de Frank Sinatra, le New York de la Mano Nera, de la mafia, de la Cosa Nostra. C’est d’ailleurs de Cosa Nostra qu’est issu le titre de cette série qui retrace l’histoire de la mafia.
Tout débute à New York, dans le quartier des macaronis en plein coeur de l’East Side, également surnommé Little Italy. New York au début du XXième siècle, New York à une période où un habitant sur six est italien. Ces travailleurs immigrés venus chercher leur bonheur aux Etats-Unis et qui par peur de ce nouveau monde vont ce regrouper dans l’East Side de New York afin d’y recréer leur pays d’origine : Little Italy.
C’est dans ce quartier que Chauvel et Le Saec (Les Enragés) vont retracer les premiers pas de Salvatore Luciana, Alfonse Caponi et Francesco Castiglia, trois petits voyous que l’histoire retiendra sous le nom de Lucky Luciano, Al Capone et Franck Costello.
Une BD bien documentée, ce qui la rend réaliste et fait le charme de cette série. Le dessin est assez sobre, mais les personnages sont bien typés et surtout (pour la plupart) véridiques. Les amateurs de films sur la mafia sauront apprécier l’ambiance de cette série, avec la mafia et ses surnoms allant de Don Vito à Al Capone.
Un très bon album qui ravira les cinéphiles amateurs de Martin Scorsese.
La comparaison vaut bien sûr pour le sujet (la naissance de la mafia) que pour le style narratif avec cette façon d'aborder une m^me histoire par plusieurs personnages secondaires.
Graphiquement, c'est sobre et réussi, avec notamment des vues de New York au début du siècle très jolies.
L'histoire vaut plus par la description des personnages que pour le synopsis lui même, mais l'ensemble est très réussi.
Un regret : le titre, pas très parlant ni flatteur, même si on a droit à l'explication à la fin.