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L'une de mes 20 BD préférées, sur un peu plus de 3000 lues ... Chef d'Oeuvre. Et accessoirement : Bourgeon, le plus grand auteur BD de tous les temps.
On retrouve dans le cycle de Cyann ce que je n'aime pas dans la scénarisation chez Lacroix, mais aussi Bourgeon, il complexifie trop les éléments dès le départ, sans aider le lecteur. Ainsi, le T1 devient rapidement terne tellement il y a d'informations sur chaque planche et que l'enjeu n'est pas identifiable rapidement. Le dessin n'est pas non plus des plus réussi à mon goût. Heureusement, les tomes suivant permettent de développer et rendre l'intrigue plus attrayante, hormis le T3 qui était pour moi un supplice de lecture avec un language loufoques et une éternité sur le monde d'Aldaal. Les T4/T5/T6 s'enchainent ensuite assez bien. Le final est astucieux et boucle bien la série. L'univers de Cyann est riche, mais manque de qualité, surtout dans le dessin qui me parle peu ; j'ai largement préféré les mondes d'Aldébaran (Aldébaran, Betelgeuse, Antares) plus coloré et fourni dans les personnages et le bestiaire.
Je relis avec un bonheur incroyable cette série pourtant déjà lue une dizaine de fois : chaque relecture permet d'en apprécier davantage la richesse, la complexité. De très loin la meilleure BD de SF et une des meilleures œuvres de SF à l'égal des cycles de Thoan, de Majipoor, ou les Seigneurs de l'instrumentalité... Superbe travail !
Avis portant sur la série:
J’ai littéralement adoré les aventures de cette héroïne dans un monde encore plus « adulte » et encore plus intéressant que les mondes imaginés par Léo dans Aldébaran. Je trouve enfin un personnage féminin qui a une vraie consistance et du caractère! Sur le plan de la maturité, c'est quand même un cran au-dessus. Pour autant, on n'a pas vraiment le même plaisir de lecture. Cela s'explique par la complexité de l'univers mis en place par l'auteur. Il y a une véritable réflexion sur la façon dont sont liés les choses. J'aime également toutes les trouvailles qui sortent de l'ordinaire.
Il est un peu dommage que le tome 3 se situe chez un autre éditeur que celui chez lequel il a commencé, à savoir Casterman, et que l’album soit beaucoup plus court. Toutefois, je remarque qu’a été conservé le même format ce qui est déjà pas mal et en même temps une forme de respect pour les collectionneurs. Lorsque j'ai appris que le tome 5 sortira chez un 3ème éditeur à savoir 12 bis après Casterman et Vent d'Ouest, là je me dis qu'il y a une limite qui a été franchie. Cependant, on peut analyser cela de différentes manières. Par exemple comme voilà un auteur qui s'affranchit du poids de ses maisons pour conserver une part d'indépendance protégeant sa liberté de créativité. Pour autant, ce n'est pas forcément au goût des collectionneurs cartésiens qui aiment l'uniformité. Cela sera d'ailleurs la première fois que j'aurais une série qui s'étale sur 3 maisons d'édition. L'overdose n'est jamais profitable. Tout dépend du point de vue et de l'importance qu'on y attache.
Le dessin est vraiment exquis et met bien en valeur les anatomies des différents personnages en plus d’avoir des décors réellement extraordinaires. La lecture est un peu fastidieuse au début de cette saga mais on s’immerge petit à petit dans ce monde qui a ses propres codes. Il faut un peu s'accrocher et le plaisir vient après. Cette BD a tout de même beaucoup de potentiel! Cela m’a permit de découvrir un auteur dont le style est totalement atypique et qui a beaucoup de talent. Je me suis jeté dans l’achat de la totalité de ces œuvres sans exception. Je dois avouer que cette série est ma préférée dans ce qu’il a réalisé.
Dans le détail, voilà ce que cela donne:
La sOurce et la sOnde:
Ce premier tome est un pur bonheur de découverte d'un monde extrêmement bien détaillée jusque dans sa géographie, dans sa faune et dans sa flore. On fait la connaissance de deux personnages féminins qui ont du caractère et de la trempe ce qui les rend intéressant. Il est dommage que le décollage se fasse tellement attendre dans les deux sens du terme mais je crois que c'était sans doute bien nécessaire. On sent bien que c'est un tome d'introduction à un univers encore plus vaste. Il va falloir s'accrocher mais le plaisir viendra par la suite. Bref, une pure réussite que ce monde détaillé avec finesse!
Six saisons sur Ilo:
Le second volume sera celui placé sous le signe de l'aventure dans une nouvelle contrée sauvage. Il clôt un premier cycle placé sous le sceau de la conspiration par une sorte de secte qui souhaite étendre son pouvoir. Nous aurons enfin les réponses sur la pandémie qui sévit dans le monde d'Olh. Nous aurons également droit à des rebondissements et des retournements de situation assez inattendues. Même le personnage de Cyann semble évoluer du passage de l'adolescence à l'âge adulte et celui de la maturité intellectuelle. Bref, c'est le temps de la métamorphose. La fin du cycle ouvre de nouvelles pistes pour notre héroïne promise à un voyage intergalactique encore plus vaste.
Aieia d'Aldaal:
Il aura fallu 7 ans d'attente. Le résultat est étonnant de maîtrise surtout au niveau de la couleur. Il y a un réel progrès avec une ambiance graphique nouvelle. Le trait de Bourgeon se bonifie au fil des tomes. On remarquera également l'émergence d'un autre personnage féminin qui volera un peu la vedette à notre Cyann. Nacara est presque totalement oubliée. Les dialogues seront de hautes volées et parfois cinglants de vérité et d'humour. On se situe là encore sur une autre planète qui connait également une caractéristique particulière. C'est une nouvelle aventure à part entière élaborée et intelligente qu'on va découvrir avec toujours autant de bonheur.
Les Couleurs de Marcade:
Paradoxalement, c'était l'un de mes tomes préférés de par la richesse de son scénario et par l'inventivité. Pourtant après relecture, il a été surclassé par d'autres tomes. Il faut dire que chaque relecture nous offre la possibilité de percevoir des détails supplémentaires ce qui bonifie d'autant la série tout entière. Aïeïa nous manque un peu. Marcade, c'est le reflet futuriste des travers de nos sociétés actuelles, de la lutte pour le Pouvoir, de l'asservissement d’un peuple, de la société de consommation, de l'endoctrinement, de la censure et de la violation de la vie privée, du mercantilisme à outrance…
Les Couloirs de l'Entretemps:
Encore 5 ans d'attente ! Visiblement, notre héroïne est ballottée de monde hostile en monde hostile. On joue également sur l'espace-temps. Il va falloir s'accrocher pour comprendre le mécanisme de tout ce fatras temporel. Cependant, le charme de la saga demeure intact. On sent toutefois que c'est bientôt la fin.
Les Aubes douces d'Aldalarann:
Le cycle de Cyann est enfin terminé. C’est la première fois que j’ai une série de 6 tomes dans 4 collections différentes. L’auteur termine finalement chez Delcourt. Tout cela pour ça aurait-on envie de dire. C’est la fin du voyage interstellaire pour notre héroïne enfin mâture et qui va gouter au charme écolo de la planète Aldalarann. Avec le recul, on se dit que cette série est un peu à part grâce à ses dialogues philosopho-cosmique dans une planitude morne qui peut sans doute conférer à l’ennui pour un jeune lecteur pour peu qu’il ne soit pas déjà vieux jeu bien entendu. On aura droit à une fin convenable mais qui ne répond pas tout à fait aux attentes de cette saga de science-fiction complexe.
Note Dessin : 3.75/5 – Note Scénario : 4.25/5 – Note Globale : 4/5
Un vrai travail d'orfèvre, d'architecte, de scientifique ou encore d'historien : François Bourgeon nous offre dans cet ouvrage le complément idéal de la série-mère.
Un indispensable, autant pour le néophyte qui a trouvé quelque peu abrupte la série de prime abord que pour le passionné qui souhaitait en découvrir tous les rouages.
Les schémas annotés sont de toute beauté, et ils sont si réalistes qu'on croirait à un documentaire sur le monde réel du futur.
Pour info Mr Zorgaya si la fluidité narrative de Bourgeon met le chao dans la masse mole qui te sert de cerveau file acheter un Michey mais surtout, pour la série en question, tente de lire "la clé des confins" . Vos analyses de comptoir sont quasi (tragi) comiques
Quel bonheur que de lire enfin cette magnifique histoire d'une traite. Je l'ai découverte dans les albums originaux, et j'avais tellement attendu les différents épisodes que cela devenait difficile à suivre.
Cette intégrale est un magnifique écrin pour un chef d'oeuvre, au scénario complexe illustré par les dessins flamboyants de François Bourgeon.
Il est temps que Bourgeon et Lacroix ferment leur "cycle de cyann" qui va en s'anémiant irrémédiablement, au fil des albums, depuis la "catastrophe" (au sens étymologique du terme) qui se produisit après les deux premiers volumes (et le troisième qui présentait les coulisses de l'univers d'O).
Pour ma part, je me serais satisfait qu'il s'achevât à ce stade, ayant atteint ses sommets, se terminant sur une sorte d'acmé. Après les interruptions, les procès, les errements d'un éditeur à l'autre, l'inspiration, peut-être la force, le souffle, s'étaient perdus. Oui, le dessin s'est simplifié et allégé, de façon fort regrettable, mais c'est aussi le cas pour le scénario qui est devenu plus classique (il pourrait y avoir autant de volumes inintéressants qu'il y a de planètes dans l'univers), les décors et les mondes moins fouillés, moins complexes.
Cyann elle-même avait atteint sa pleine maturité à la fin du tome II et l'on aurait aimé qu'on nous laisse imaginer sa vie future, plutôt que de nous la montrer en héroïne ordinaire, vivant des aventures ordinaires.
Même chose pour l'intrigue principale ou les intrigues secondaires : pourquoi faudrait-il tout expliquer, tout dénouer et clôre cette histoire avec un cadenas ? Le lecteur n'a-t-il pas le droit de laisser aussi vagabonder son imagination, de se perdre dans cet univers mystérieux ? Cela ressemble plutôt à un prétexte pour poursuivre une saga quand on n'a plus grande chose à raconter et faire tourner la machine à imprimer de l'éditeur...
Quel gâchis !
Mais rien ne peut abîmer ce chef-d'oeuvre que constituent les deux premiers volumes et leur volume d'annexes. C'est un pur joyau qui demeure non terni.
C'est d'ailleurs pourquoi, en reconnaissance de la grandeur de Bourgeon dans ce premier cycle, ainsi que dans celui des "Passagers du Vent" (qui a, lui aussi connu, tardivement, une suite inutile avec "La fille de Bois-Caïman") que j'ai maintenu 3 étoiles. Je ne peux me résoudre à donner à ce dernier tome la véritable note qu'il aurait mérité s'il avait existé seul : une ou deux étoiles maximum.
Pokespagne je te rejoins totalement belle analyse! Très belle analyse!! des dessins magnifiques et travaillés c'est la l'un des seuls points forts (et pas des moindres) de cet ouvrage. Dans d'autres circonstances j'attacherais de l'importance au scénario, la fluidité, le travail de fond sur l'univers entourant la BD, ou l'ironie des répliques ou la profondeur des personnages. Ici c'est plus simple et plus primaire l'intérêt réside dans les positions suggestives dans les plus simples appareils transparents constamment prise par les jeunes femme très souvent en action. Ceci est une bande dessinée pour les mâles, avec une pointe de machisme. Ceci étant dis cela reste un classique de référence du genre pour les BD de l'époque. Bel ouvrage a ne conseiller cependant qu'à des collectionneurs avertis.
Pour info pouetepremier, ce manque de fluidité narrative chaotique et cette intensité érotique se retrouve dans 100% des albums de bourgeon , que ce soit le sortilège du bois des brumes ou les passagers du vents. Cela reste de très bons ouvrages pour qui aime ce style.
Soyons parfaitement clairs (et concis) pokespagne : tes positions sur la faiblesse endémique et la fluidité narrative de Bourgeon me parait bien vaseuse !
Avec ce quatrième tome du "Cycle de Cyann", on s'approche dangereusement du n'importe quoi, voire même du mépris pur et simple du lecteur. Jugez-en plutôt : on a droit à une ballade sans queue ni tête dans un nouvel univers - la planète de Marcade - au fonctionnement sensé être pittoresque, mais se révélant purement aberrant (montrant au passage combien Bourgeon se moque de la moindre cohérence dans ses créations ) ; on enchaîne par un retour rapide sur IO, qui permet à Cyann de renouer avec ce qu'elle y a toujours fait, c'est à dire se glisser clandestinement d'un lieu à l'autre (bâillement de profond ennui !) : l'aspect intrigant des changements induits par une temporalité visiblement différente est évacué pour sans doute pouvoir y revenir dans un autre tome ; et Bourgeon conclut sur un nouveau départ spatio temporel qui pourrait nous stimuler si on ne craignait que Bourgeon ne bâcle tout cela à sa manière habituelle. Si l'on ajoute que le dessin est sensiblement inférieur à celui des 2 tomes précédents, il ne nous reste plus qu'à savourer quelques brefs passages érotiques, affadis en outre par la superficialité grandissante de notre héroïne. Bref "les couleurs de Marcade" est un mauvais livre, un point c'est tout.
Il aura donc fallu plus de 7 ans à Bourgeon pour se démêler de son conflit avec son éditeur et pour nous donner une suite au "Cycle de Cyann". Résultat : le bougre a encore amélioré son dessin, et arrive sur "Aïeïa d'Aldaal" à une sorte de perfection formelle, qui fait que le lecteur a envie de faire une pause sur chaque page pour savourer les beautés qui s'offrent à lui. Dommage néanmoins que ces 7 années n'aient pas été mises à profit pour développer un scénario digne de ce nom, car, s'il faut noter quelques petits progrès par rapport aux tomes précédents, c'est toujours au niveau du récit que le bât blesse : accumulation insane de détails sur la planète "visitée" cette fois par Cyann, qui se fait au dépens de vrais enjeux scénaristiques. L'amour à sens unique d'Aïeïa pour Cyann est traité comme une sorte de plaisanterie et ne donne lieu qu'à un seul moment fort, celui des adieux de la scène finale. Les enjeux politiques et sociaux autour de l'utilisation des Portes par une société capitaliste contrôlant le pouvoir et réduisant les habitants d'Aldaal à la misère totale sont totalement esquivés, les révélations successives se faisant, comme toujours chez Bourgeon, par la bouche des protagonistes. Quand à l'abandon pur et simple de la trame narrative de base du "Cycle de Cyann" - le mensonge des DeO -, il est entériné avec une négligence ahurissante, qui semble dénoter que Bourgeon n'avait simplement plus envie de raconter la même histoire et préfère s'adonner à sa véritable passion : dessiner de nouveaux mondes imaginaires. Tant mieux pour lui et tant pis pour ses lecteurs.
Second tome du "Cycle de Cyann", "Six Saisons sur ilO" nous emmène en balade sur une nouvelle planète dont nous découvrons les mystères, les charmes et les dangers avec nos héroïnes (toujours aussi peu vêtues, qu'on se rassure, Bourgeois préfère visiblement le climat de ses planètes chaud pour ne pas encombrer ses créatures de trop de vêtements !) : la flore, la faune et les paysages de ilO, soigneusement croqués par un Bourgeon meilleur que jamais constituent indubitablement la vraie raison de lire ce livre, au rythme indolent de la poursuite au ralenti que se livrent Cyann et Crysane, sans grande logique par rapport au but pourtant urgent (trouver l'antidote à la maladie décimant la population mâle de leur planète) de la mission sur ilO. Ce qui est curieux dans la narration, c'est la manière dont Lacroix et Bourgeon donnent un coup d'accélérateur à 15 pages de la fin, comme s'ils se rappelaient qu'ils ont une "énigme" à résoudre et une planète à sauver. Du coup, on a droit à toutes les ficelles du genre, depuis le personnage qui dévoile en ne longue explication ce que le livre n'a pas pris la peine de nous laisser découvrir avant (qui sont les affreux méchants, en bref) jusqu'au "deus ex machina" au sens littéral du terme qui vient régler tous les problèmes du haut de sa toute puissance. A ce niveau là, on frôle le foutage de gueule complet en termes de narration. Bref Bourgeon dessine comme un dieu, mais il est incapable de raconter une histoire. Dommage quand même parce que dans ces conditions, il est difficile de voir comment "le Cycle de Cyann" pourra sortir de l'anecdotique.
Soyons parfaitement clairs, l'un des principaux motifs pour lesquels on lit les livres de Bourgeon, c'est pour se rincer l’œil à coups de poitrines généreuses et de croupes tendues, et ce d'autant que les jolies demoiselles qu'il se plait à croquer sont souvent très peu vêtues et engagées régulièrement (pas assez à notre goût, toutefois) dans des entreprises charnelles. Parce que sinon, il ne serait pas certain que ses œuvres soient particulièrement mémorables ! "La sOurce et la sOnde" est l'illustration parfaite de cette prépondérance du dessin - régulièrement splendide de Bourgeon - sur le scénario, qui frise ici occasionnellement le n'importe quoi au long de cette petite centaine de pages pas toujours lisibles et parfois même indigestes. Le livre commence très mal, d'ailleurs, du fait du parti pris - certes honorable - de nous larguer sans carte ni boussole dans un monde fort étranger, dont nous devons d'abord nous efforcer de comprendre à demi-mot le fonctionnement et les défis. Ce pourrait être ludique, ce ne l'est pas vraiment du fait du manque de fluidité narrative - une faiblesse endémique des livres de Bourgeon à mon sens - qui rend vraiment difficile notre acclimatation à cet univers extraterrestre. Heureusement, la deuxième partie de "la sOurce et la sOnde", que je me plais à comparer de par la similitude de son sujet au fameux "Objectif Lune" de Hergé (les préparatifs d'un voyage spatial, avec agissements criminels pour saboter le départ de la fusée et embrouillaminis entre les "astronautes"), est beaucoup plus intéressante et fonctionne bien, nous laissant finalement plutôt satisfaits de ce premier tome d'un "Cycle de Cyann" que l'on poursuivra avec curiosité... malgré quand même la personnalité pas très attachante de l'héroïne, tête à claques à la sexualité débridée.
C'est exactement dans la lignée du tome précèdent : bavard et brouillon.
Je suis très déçu par la fin de ce cycle. Ca sent le coup éditorial....
Quelle déception !
J'étais vraiment emballé par les tomes précédents mais là, avec ces nouvelles aventures de Cyann, je me suis ennuyé ferme !
Le dessin est toujours sympathique mais il y a des passages entiers de dialogues où je n'ai absolument rien compris !
L'intrigue est très (trop) complexe et ça parle, ça parle,.....il n'y a quasiment pas d'actions....
Bref, c'est un album très décevant.
L'histoire marque un peu le pas dans ce tome. On se demande où cela va nous mener et cela manque un peu de rythme. En fait, on est certainement un peu intransigeant car on attend beaucoup de cette série.
Au fait cela reste un plaisir de suivre les aventures de Cyann.
Beau rebondissement dans ce tome.
On plonge dans une planète inquiétante et très violente.
Les dessins sont très beaux, les décors sont magnifiques. On ne se lasse pas de regarder chaque case.
Et Cyann est toujours aussi sexy !
Je fais partie du camp des déçus, mais ça ne date pas de cet album. Autant les 2 premiers tomes m'ont bien accroché, autant les suivants s'apparentaient pour moi plus à du remplissage éditorial qu'à une véritable création, comme je l'ai déjà écrit ici.
Ptète que c'est moi qui ai vieilli plus vite que les auteurs m'enfin, le résultat est là, ça ressemble plus à une BD à destination de grands ados qu'à celle d'adultes, qui ne se contentent pas de fantasmer sur les formes plantureuses de l'héroïne.
Je ne suis pas un grand spécialiste du genre mais cette série est un véritable chef d'oeuvre. Tout y est de très très haut niveau. Cette série est incontournable pour tout lecteur de bd digne de ce nom
Merveilleux... une fin heureuse et pleine d'espoir pour une héroïne qui me fait rêver depuis si longtemps...
Au terme de ces 6 albums passionnants, je me sens aussi apaisé que Cyann. Il n'y a pas que les aubes qui soient douces sur Aldalarann, et Cyann ne pouvait recevoir meilleur cadeau que d'être délivrée de son lourd passé.
Je n'ai pas eu besoin de relire les tomes précédents pour comprendre le surprenant dénouement final, je connaissais par coeur chaque détail des aventures trépidantes de notre héroïne. Et bientôt j'aurai lu et relu cet album-ci comme si je l'avais toujours connu.
Merci à nos deux auteurs géniaux pour m'avoir fait connaître ces mondes extraordinaires, j'ai vécu avec eux et Cyann une aventure fabuleuse !
déçu...
oui cela reste un beau dessin, épuré et chaleureusement mis en couleur mais désolé ce n'est pas tout pour apprécier une bande dessinée ! Et oui, le charme est rompu depuis 2 voire 3 tomes, tout à fait d'accord. Apporter un final, une explication à tous les fils de l'intrigue, etc... n'excuse en rien un laissé-aller flagrant à un scenario fade, lent et insipide pour une série devenue mytique et par là même très attendue et forcement très critiquée.
Ohlà!là! Quelle fin ennuyeuse , alors que Bourgeon nous avait habitué à une Cyann trépidante et romanesque dans des univers extraordinaires .
On a vraiment l'impression qu'il fallait trouver une fin à tout prix ! Que de blabla et de verbiage moralisateur .
Vraiment décevant .
Le tome qui conclut cette magnifique histoire. Messieurs Bourgeon et Lacroix sont finalement arrivés au bout de cette aventure avec plus de ménagement que l'on aurait pu croire. Cyann choisit d'arrêter le combat et de partir vivre paisiblement sur Aldalarann. On découvre son peuple, les origines d'Ilui et ce qui fait de ce treizième monde un havre de paix pour les bannis, les révoltés, tels que Cyann. Ce n'était pas sans compter sur les rebondissements et le dénouement final concoctés par les auteurs qui apportent tous les éclaircissements nécessaires à cette fresque temporelle, bien loin de là où elle a commencé.
François Bourgeon sait clôturer toutes les pistes ouvertes de main de maître, et c'est un véritable plaisir de tout relire pour comprendre toutes les clefs de cette histoire à tiroirs et où les paradoxe temporels ne facilitent pas les choses. Mais cela permet une fin optimiste malgré la surprise de son caractère un peu popote vue le caractère de l'héroïne. La sagesse vient peut-être avec l'âge et les responsabilités ?
En tout cas les dessins sont sublimes et ne souffrent pas les critiques des épisodes précédents.
Cette série est définitivement un must du genre et Bourgeon le Maître incontesté, car si j'aime aussi beaucoup Léo et ses mondes, il faut reconnaître que Bourgeon avait déjà tout inventé avec une dessin insurpassable.
Chef d'oeuvre.
Tout le monde nous attends sur le propos: mon voisin pas sympathique, ma belle-mère qui s'en fout royalement et même mon collègue de boulot qui lit "Détective" et se fout du reste du monde.
Donc nous sommes tous obligés d'en parler puisqu'il est là entre nos mains tout frais de l'imprimerie avec l'odeur qui va avec, près à être lu, sans tremblement, sur de nous dans une sérénité apparente (l’introduction est trop longue et le reste après aussi...).
Bon.
Rentrons dans le vif du sujet sans trop se presser puisque Monsieur Bourgeon et monsieur Lacroix ne se sont absolument pas pressés. Je le dis sans aucune rancœur de ma part enfin presque... Mais merde, attendre plusieurs longues années pour sortir ce dernier tome ça fait chier royalement. Il fallait le dire.
Il suffit.
L'histoire est suffisamment dense, complexe et intéressante pour vous en parler.
Alors la fille qu'on aime beaucoup, voir plus, se retrouve confrontée à son passé de 5 albums remplis de riches aventures.
Bon d'accord les gars, moi mes préférés c'est les tomes 1, 2 et 3. Mais bon la continuité de l'histoire est là toujours dans une imagination étonnante. Du belles ouvrages...
Oui, le dessin a baissé sur les 2 derniers de la série. Mais bon le gars Bougeon et son compère on les connait ils sont grands, forts et il sont est intelligents (après moi) donc ils peuvent pas nous décevoir dans l'esprit du truc.
C'est peut-être l'album le plus calme et le plus tranquille de la série. Une simple annonce d'une fin tranquille en opposition d'un début plein de mouvement. Une pose finale, un moment de vérité sans aucune violence. Un petit moment de sagesse dans un monde de brute...
Merci Monsieur Bourgeon et Monsieur Lacroix pour ce moment clef d'un joli parcours de belle science fiction. Science-fiction bien traitée entre vos mains. On attend la prochaine série. Peu importe le sujet, vous avez le feeling pour la SF comme pour l'Histoire avec Brunelle et Colin, les passagers du vent et de notre pauvre Larcinet retrouvant, trop tard, un courage qu'il avait oublié.
Pour tout ces rêves je vous dit merci.
Les quelques maladresses du dessin... On s'en fout.
Continuez je vous attends avec impatience...
Une très belle Série et un dernier tome qui téléporte une nouvelle fois le lecteur à l'autre bout de la Galaxie. La série a gardé une cohérence du début à la fin. Certes le graphisme et le découpage des premiers tomes se sont allégés, il n'en demeure pas moins que c'est toujours un plaisir de lire un Bourgeon. J'ai apprécié ce dernier tome qui ne tombe pas dans la facilité. L'auteur sait encore nous surprendre et c'est bien là l'essentiel. 35 ans de BD et que du bon ! BRAVO et MERCI !
Autant les deux premiers de la série sont deux chefs d'oeuvre absolus, autant le 3ème est un peu moins bon mais poursuit la lignée, autant celui ci m'a fortement déçu par son scénario
On achève le tome 3 sur un rebondissement, et le tome 4 ne l'exploite pas du tout. Les dernières planches servant de transition au tome suivant sont extrêmement décevantes.
La fin d'une série de science-fiction devenue mythique par sa longévité mais aussi et surtout par sa beauté, son exotisme, sa sensualité et sa poésie. Le récit demeure toujours aussi complexe mais la lecture du hors-série La Clé des Confins permet de mieux comprendre le monde merveilleux de Cyann. Une série à lire et à relire !
Déçu par cette fin, moi qui en espérais tant; 2001 l'odyssée de l'espace en moins métaphysique.
Le Wekan d'autre part évoque fortement FOL DE DOL de la quête de l'oiseau du temps.
Le lecteur n'ayant que le QI d'un U et non d'un Vé il a du mal à suivre certaines explications et est en droit de se demander si les notions de temps et d'espace (et de gravité) sont correctes.
Heureusement qu'on aborde pas les théories quantiques car il faudrait perspicacité d'un Wė.
Pour ne pas finir certains personnages ne semblent pas avoir dessiné par la même plume (Vé et pitance).
Mais qui aime bien châtie bien. Et en parlant de chattes après tout on est gâté tout au Long de ce cycle; bon la dernière rouquine.....
Le dessin de Bourgeon s'est apuré (appauvri, voir les scènes sur Marcade ? ), quelques scènes de paysages font penser à Giraud ou Cosey, mais sans convaincre. La morale moralisatrice propre aux fins de séries est là, mais le scénario spatio-temporel est on ne peut plus... complexe, compliqué, tortueux, c'est selon. Barjavel, mais en moins compréhensible. Par contre, le personnage de Cyann reste intéressant jusqu'au bout. Mais la fin semble bien pauvre, rien à voir avec l'inoubliable dernière planche des Passagers du vent ... Bref, je persiste à penser que cette série aurait gagné à s'arrêter après les fabuleux deux premiers tomes. Désolé.
Pour moi le meilleur album de la série (en tout cas jusqu'au couloir de l'entretemps). Les auteurs ont su créer un univers et une ville fascinante. Le personnage de l'inspecteur d'empire est très réussi, à la fois séduisant et inquiétant - la suite le confirmant. Le scénario reste complexe et le lecteur peut se perdre quelquefois lui même dans les couloirs du temps: on ne comprend pas toujours tout, et pas tout de suite. Mais cela fait partie du mystère de ce cycle et de sa poésie.
Cyann gagne en densité dans cet album. Elle qui aurait pu rester une jolie majO sans scrupule et insouciante se révèle être une meneuse d'hommes. La planète dans laquelle se déroule l'histoire est incroyablement bien dessinée, avec une forêt, une flore et une faune plus vraie que nature.
Cyann revient sur sa planète d'origine pour y retrouver sa soeur. Pour cela il lui faut affronter son destin dans les Mondes indépendants et les Planètes sauvages. On la sent plus humaine, plus fragile en quelque sorte! Les paysages toujours saisissants dessinent un décor original et crédible parsemés d'êtres plus ou moins fiables peuplant ces différents univers que notre héroïne côtoie.
Le scénario reste aussi puissant et nous laissent haletants et pressés de lire la suite et la fin au Tome 6...
Plutôt agréablement impressionné par le bon niveau après avoir lu des critiques. Certes le délai d'attente fait qu'il faut se replonger dans les premiers tomes pour tout comprendre vu qu'on revient à la source et qu'on retrouve avec plaisir le monde du premier tome. N'étant pas un spécialiste, j'ai du mal à voir la différence de qualité du dessin. Et comme je ne suis pas un grand amateur de SF, ce n'est pas ce que je préfère chez Bourgeon.
Donc une très bonne série pour moi et un bon tome que celui-ci sans que ce soit dans mon top 100 vu le sujet.
Cet album est difficile à lire sans s'être rafraîchi la mémoire car il fait référence à un tome assez ancien... Et comme tout n'est pas limpide dans les histoires de Cyann, j'avoue que je me suis un peu perdu.
De plus, l'histoire n'est pas fantastique. On a l'impression de stagner et les idées originales ne sont plus au rendez-vous. Cette série s'essouffle ; ça donne l'impression que c'est du remplissage éditorial.
Donc on peut lire ce tome, on ne s'embête pas, mais on l'oublie aussi vite qu'on l'a lu.
Le scénario est toujours excellent, Cyann gagne en maturité et l'histoire s'écoule parfaitement. Bravo Lacroix, vous savez où vous allez...
Déçu pourtant par rapport aux 4 premiers opus...
Pour commencer, c'est quoi cette couverture hideuse des année 60?
Puis on ouvre et on comprend mieux (enfin presque...):
Le dessin est parfois grossier, manque de détails et certaines planches servent quasiment de remplissage!
La calligraphie de certaines bulles laissent aussi perplexe. Pourquoi ces différences?
Bref, après une si longue attente (5 ans quand même!!!) j'ai un sentiment vraiment mitigé.
Il est clair que le même soin n'a pas été apporté à toutes les cases...
Monsieur Bourgeon, j'espère que vous n'avez pas totalement perdu "la flamme" et que le tome 6 sera plus travaillé afin de conclure en beauté cette saga!
C'est un fan qui vous le réclame... 8/10
Après une longue attente (5 années), le T5 fait enfin sont apparition.
Pas emballé à la 1ère lecture, je l'avoue, j'ai relu tout le cycle avant d'attaquer une 2ème lecture des Couloirs de l'Entretemps. Et alors l'appréciation n'est plus la même. La suite logique des évènements, les réponses aux questions soulevées dans Les Couleurs de Marcarde, et de nouvelles interrogations qui se posent. Cyann a grandi. Son évolution à travers les mondes et le temps n'a fait qu'élargir ses blessures et nourrir sa rancoeur, mais elle en a gagné en maturité.
Dans ce T5, le rythme de l'histoire s'accélère. Si dans les 1ers tomes, Cyann évoluait et découvrait un monde à la fois, ici elle enchaine les mondes et les bonds temporels. Son seul but est de retrouver Azurée et de s'enfuir avec elle avant son assassinat.
Le dessin a évidemment évolué, mais sans pour autant perdre son charme. Même si de grandes planches font évidemment penser à du remplissage plutôt qu'à un sentiment d'immensité... bien qu'il s'agisse au final de voyage dans l'espace.
Encore 2 ans à patienter pour connaître la conclusion de cette histoire. Ca n'en a pas l'air, mais je pense que ça va être long.
JUSTE un INCONTOURNABLE de la SF....
Les 2 premiers tomes sont sidérants et les 2 suivants sont à peine un peu moins prenant.
Bref, le 9ème art dans toute sa splendeur!!!
10/10
Le cycle de Cyann aurait pu s'arrêter après les 2 premiers tomes. En effet, ces 2 albums faisaient une histoire qui se tenait et qui n'avait pas besoin d'aller plus loin.
Pourtant, les auteurs nous ont fait un tome 3 très décevant, à mon goût, qui tenait plus du surf sur la vague du succès que de la vraie création.
Autant dire que je n'étais pas très chaud pour ce tome 4 !
La surprise fut donc d'autant plus agréable. L'univers futuriste de Marcade est bien pensé, quoi que son originalité graphique ne soit pas exceptionnelle. A force de faire de l'anticipation urbaine depuis les années 50, les auteurs ont du mal à créer de nouvelles cités. On se déplace toujours dans les airs, il n'y a pas plus d'espaces verts, il y a toujours des zones avec des exclus... Enfin, bref, c'est la même cité que Schuiten et Peeters ou d'autres encore.
Ceci dit, le graphisme fait parfois penser au génial Moebius et Bourgeon arrive à ne plus (sur)exploiter les formes généreuses de son héroïne. Un peu de sexe mais pas trop de décolletés ou de chemises qui collent inutiles. Ca, c'est un bon point...
En complément, les concepts futuristes (conversation payante par exemple) sont bien trouvés.
M'enfin, on reste sur des idées déjà eues, entre XIII et Philémon, le héros qui est pris dans un mécanisme piégeux qui le dépasse et qui découvre qu'il est peut-être même la cible d'un vilain complot.
A lire, donc, mais pas un chef d'oeuvre impérissable !
Cette bd est magnifique tant par son graphisme très travaillé, ses couleurs et lumière et son scénario bien monté même si un peu compliqué.
Personnellement, je trouve que c'est la meilleure bd de ce cycle. Les deux auteurs ont fourni un gros travail de recherche que ce soit sur le dessin ou l'histoire.
Bravo et merci !
Le meilleur album de la série après le premier tome.
Enfin un vrai suspens, plus de descriptif sur cette société futuriste et un retour à des personnages passés, le tome 5 devrait boucler la boucle?
Question dessins rien à redire.
Une vrai réussite.
8/10.
Troisième tome et début d'un nouveau cucle pour notre héroïne.
Je trouve cet album plus abouti que le tome 2 au plan du scénario.
Les dessins restent fidèles à eux-mêmes et l'ensemble reste très agréables à lire.
7/10.
Bien moins bon que le premier, les auteurs semblent avoir du mal à parvenir à leur fin et à raconter leur histoire. Et finalement la fin est baclée en 10 pages sur les 100 que comptent ce tome.
A noter une tendance à l'érotisme gratuit grandissante par rapport au tome 1.
Il va falloir changer de cap, dégraisser le tome 3 et nous surprendre enfin avec une nouvelle histoire.
5/10.
Premier tome d'un série bien enlevée.
On y retrouve tous les ingrédients qui font les sagas réussies avec notamment une longue présentation des personnages tous ni trop blancs ni trop noirs.
La description de cette planète et de son monde de vie vaut le détour.
Et les déssins sont remarquables.
On regrette un peu d'érotisme gratuit.
Série à suivre.
7/10.
grand amateur du cycle d'Albébaran, j'ai été attiré par cet ouvrage. Même genre, et très apprécié dans les différents commentaires que j'ai lu.
Ainsi j'ai voulu me lancer. En effet, très belle bd, beau dessin, moins statique et stéréotypé de Aldébaran, très originale, dessin agréable et vivant.
En revanche j'ai eu du mal à rentrer dans la bd, scénario lent à venir, bref une maladie qui décime les hommes si je me souvient bien. Mais le problème vient du faite que les dialogues ne sont pas toujours claire et facile à comprendre. Vulgaire dans les paroles, elle se fait niqué, baisé au sens figuré comme au sens propre. L'héroine passe se temps à poils, considéré comme une pute...
lorsqu'elle est habillé, les positions sont très clairement sexuelles, et les vêtements laissent très aisément deviné les formes des femmes.
Ou est-ce que cette bd veut en venir ? est-ce de la SF ou de l'érotique ?
Pour en revenir à Aldébaran, les femmes apparaissent qq fois nus, mais sans plus, sans provocation, sans langage provocateur et à nombreuses connotations.
Dommage car pour le reste cela s'annonçait du tout bon, je me demande si je vais lire les autres tomes et si vraiment cela vaut le coup pour avoir un scénario en béton.
d'ailleurs, le scénario au final vaut il réellement le détour ?? Difficile de se faire une idée en 120 pages que comporte le 1er tome, quid de rebondissement ? Quid du suspense ? est-il plus complexe qu'il n'y parait ? Pour le moment, pour moi cela n'augure pas grand chose.
Malgré tous les avis positifs sur cette série, j'ai été très déçu. Peut être que j'ai lu l'histoire trop vite, mais j'avoue n'avoir rien compris. Des dialogues peu clairs, je ne vois pas ou veut en venir l'auteur. Par contre, rien à redire au niveau du dessin. Je devrais peut-être lire le second tome pour mieux comprendre et peut-être revoir mon avis.
Cet avis concerne la série en général et non pas ce quatrième tome uniquement. Les deux premiers tomes constituent pour moi un véritable chef d'oeuvre. Près de 240 pages de pur bonheur, qui se lisent à toute allure. Le dessin est vraiment travaillé, les couleurs magnifiques. Le scénario très bien ammené. Et que dire de l'univers crée de toute pièce par les auteurs. Un énorme travaille d'imagination. Je conseille d'ailleurs la lecture du hors série qui met encore plus en valeurs la richesse de cet univers.
Malheureusement, les tomes 3 et 4 m'ont moins plus (attention ça reste très bon quand même!). Toujurs autant de richesse dans l'univers de cette série, mais un scénario trop mou à mon gout. J'espère vraiment que le prochain tome redonnera de l'allant à cette série qui s'essouffle à mon gout.
Une série à lire absolument donc mais peut-être faut t'il attendre le tome 5 pour se lancer sur les numéros 3 et 4.
Note maximum pour c'est album. Dessin magnifique de Bourgeon, il se bonifie avec les années. Précision du trait, de l'univers décrit, traduisant un scénario riche, voir très riche.
Nous découvrons un univers dur avec des gens en perpétuel fuite en avant... Lacroix raconte ce monde avec une richesse de détails, beaucoup de détails même. Ses gens, ses mœurs, ses cultures, ses exploiteurs, sa faune... Ça tient la route, et ça passionne le simple lecteur que je suis.
Un grand moment de plaisirs.
La suite de l'excellent "la source et la sonde" se isse à un niveau comparable de qualité tout en explorant une voie plus aventureuse. Si la découverte d'un univers extraodinaire occupe la majeur partie du premier volet, celui-ci se consacre à une intrigue bien pensée avec des rebondissements crédibles et en nombre raisonnable.