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Abymes est encore une série à concept pour le moins intelligent. Pour autant, j’ai l’impression que Valérie Mangin ne sort pas de son thème favori qu’est l’uchronie. En l’occurrence, elle s’applique au destin d’hommes célèbres ayant marqué la littérature ou le cinéma. Je ne vais pas critiquer car j’aime également ce genre de thèmes. Le talent de la scénariste fait que c’est bien exploité. J’ai toujours du plaisir à lire ces œuvres.
Le second tome nous transporte après la Seconde Guerre mondiale et l'épuration qui a suivi en France. Un réalisateur de film semble être dans le collimateur. Henri-Georges Clouzot sera surtout la victime d'une sombre machination alors qu'il est entrain de tourner un film sur la vie de Balzac. On voit forcément le lien avec le premier tome. La mise en abyme est encore une réussite.
Le troisième tome réserve d’ailleurs une surprise de taille puisque l'auteur elle-même se met en scène et que c’est son célèbre mari qui est au dessin. Il est vrai que dernièrement, une autre série à concept à savoir Trois Christs m’avait fortement déçu. Là, le rattrapage est plutôt réussi.
L’exercice consiste à s’amuser de la mise en abyme. Cette trilogie avec 3 dessinateurs différents est très intéressante avec un scénario inventif et une cohérence digne de ce nom. Au niveau de la qualité, cela ira en crescendo avec une tension entre réalité et fantastique qui semble brouiller les pistes.
Mieux, mais ce n'est pas encore ça.
La rencontre Bajram/Mangin mise en abyme. Il y a un peu plus de surprises que dans les 2 tomes précédents, mais le côté trop mégalo du récit gâche un peu le tout. au final, une série parfaitement dispensable.
Un poil meilleur que le premier opus, mais il y a toujours un manque cruel de suspense (on se doute de la chute très rapidement tellement les indices disséminés le sont assez grossièrement).
Beau mais bien trop classique.
Une histoire cousue de fils blancs. Dommage, il y avait vraiment matière à la rendre très intéressante. Rien à redire sur le dessin qui est superbe.
Troisieme tome qui rehausse le niveau du tome 2 (qui était particulièrement mauvais), l'histoire s'imbrique mieux avec les 2 tomes precedement mais ca parle trop de la vie de l'auteur et de Barjam, faire une BD sur soit c'est byzarre
sinon bon le fin fond de l'abyme et du jeu de miroir, bin le scénario global me laisse sans voix, c'est pas terrible du tout
On a atteint un fond, que dis je, un abyme ....
Comment Air Libre de Dupuis a pu éditer un truc pareil ? pour faire du pognon ? arrêter de prendre les lecteurs pour des vaches a lait.
Cette partie est complétement loupé, l'imbriquement avec le tome 1 est très faible, scénario très faible, la mise en abyme decrite par l'auteur comme un jeu de miroir, bon franchement, il faudra travailler bcp plus niveau scénario ( a part qu'on fait un film sur Balzac et qu'avant dans le tome 1 on parlé de Balzac)
j'ai trouvé cette histoire très fade
heureusement j'ai payé la BD 6.20euros
Une histoire sur Balzac, sans vraiment de plus.
Le truc de "l'abymes" de l'auteur, bin c'est mal développé, on vois pas vraiment ce qu'elle veux raconter.
Moyen (et pourtant c'est le meilleur des 3) !
Que de prétention de la part des auteurs !
Les deux premiers tomes étaient intéressants, mais celui-ci est d'un narcissisme écoeurant.
Les personnages, dont celui de Balzac, virevoltent dans tous les sens. On apprécie la restitution de cette ambiance électrique. Néanmoins, le scénario n'évolue pas. Le même gag est répété maintes fois. On voit arriver dès le début l''impasse du scénario.
Alors que le tome 1 m'avait particulièrement plu, ce tome 2 me laisse vraiment sur ma fin.
Le premier volet était séduisant par son originalité, son scénario et sa partie graphique. Cette deuxième partie est moins réussie. Le dessin de Malnati est honnête mais manque de charme si on le compare au travail de Griffo. Et surtout, le scénario de Valérie Mangin paraît à la fois poussif et creux. On apprécie de voir mis en scène un réalisateur de renom mais je trouve les dialogues plats et on peine à s'intéresser à ce qui nous est montré. Le principe de l’œuvre manipulée évoque trop le premier album alors qu'on n'a plus le plaisir de la découverte.
Balzac est furieux. Non seulement la Revue de Paris a suspendu la publication de La peau de chagrin, mais en plus celle-ci a été remplacée par un feuilleton anonyme qui raconte dans un style tout balzacien la vie, et donc les turpitudes, d'un certain... Honoré de Balzac. Tout ce que l'écrivain a cherché à cacher avec le plus grand soin tout au long de son existence se retrouve exposé au grand jour, au risque de ruiner sa vie sociale, sa carrière, et même de le mener en prison ! Prêt à tout pour découvrir l'auteur de ce canular, il s'engage dans une quête qui le mènera au bout de lui-même. Un récit brillant, entre enquête policière, conte philosophique et farce macabre, au coeur de la vie mondaine et littéraire du XIXè siècle.
Le tout relevé par le talent de Griffo. Je me réjouis déjà de lire les prochains tomes.