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Très bon épisode en Armorique avec une excellente récupération des cercles de mégalithes. Cela se lit d'une traite sans problème, et on attend la suite avec impatience.
A noter que l'éditeur a du mal à gérer le prix de vente public. Après avoir augmenté de 6 euro le tirage de luxe (18,95 euro en 2022, et 25,00 euro en 2023), cette année il est revenu en arrière en diminuant le prix de 2,50 euro (22,50 en 2024).
Une fois encore, l'inflation a bon dos !
Désolé mais je trouve que Le serment d'Arminius manque de corps et Alix est insignifiant dans le scénario. Je suis un peu dur mais c'est mon avis.
je ne sais pas quoi penser de cet album car mon jugement est comme pour tout le monde subjectif.
je trouve les dessins et les couleurs comme toujours de belles factures.
concernant le scenario c'est autre chose tellement je le trouve plat et téléphoné.
rien à voir avec ceux de Jacques Martin qui savait raconter des histoires avec un minimum de crédibilité.
là nous avons un enchainement de scènes toutes plus ennuyeuses les unes que les autres.
je me suis ennuyé à la lecture de l'album.
mais encore une fois mon avis est subjectif et influencé certainement par le fait que mon adolescence est maintenant très loin.
cependant, je vais continuer la série en espérant que les prochains tomes seront au -dessus.
C'est dans les vieux pots....
pas toujours.
...ben, là, franchement, la série commence à s'étioler ; je pense que je n’achèterai pas le tome 12...
Note 2,5/5 : juste la moyenne.
Le scénario et les dessins sont corrects.
Cependant, la lecture de l'album se fait rapidement, on s'attend aux rebondissements scénaristiques et Alix est naïf et prétentieux.
Je n'avais pas particulièrement aimé la série originelle Alix. Elle symbolisait presque à elle seule ce que je n’aimais pas dans la bande dessinée : l’alliance entre un académisme du trait et un scénario pompeux à l’ancienne. Je sais que 25 millions de titres ont été vendus dans les supermarchés où le titre était souvent en tête de gondoles. C’est devenu une référence en matière historique à laquelle je n’ai pas adhéré tout simplement.
Néanmoins, j’avais trouvé mon bonheur dans une série historique telle que « Murena » ou encore « Les Aigles de Rome » où je me reconnaissais pleinement. Rien n’y a fait, même en essayant de la relire avec toute la bienveillance qui me caractérise. Quand cela ne veut pas, cela ne veut pas ! Dès lors, lorsque j’ai vu que l’une de mes scénaristes préférées à savoir Valérie Mangin prenait la suite de Jacques Martin, j’ai eu très peur. Ce n’était absolument pas le même univers : c’est même à l’opposé. Curieux choix tout de même mais qui peut s’expliquer en terme promotionnel.
Cependant, on ne peut juger qu’après avoir pris connaissance de l’œuvre. Et je dois dire que mon auteure a balayé tous les défauts en insufflant une vraie dose de modernité. Maintenant à crier que cela équivaut à du Murena, il ne faut quand même pas pousser ! Cela reste un travail honnête qui s’attache à l’univers d’Alix. C’est surtout son fils ainsi que celui du défunt Enak qui vont voler la vedette à notre sénator préféré. Les aventures commencent d’une manière assez soft. C’est clair que Mangin nous a habitué à mieux. Elle est prise dans le carcan d’un cahier des charges à respecter pour ne pas écorner l’œuvre du maître.
cet album est dans l'ensemble assez bon mais il manque quelque chose pour que je sois vraiment emballé.
les dialogues sont assez pauvres.
par contre j'ai bien aimé la représentation de la ville particulièrement réussie.
An 12 av. J.-C.
Rome.
Cela barde au Sénat ! La cause ? Un sénateur reproche à Octave d’interdire aux sénateurs de se rendre en Egypte. Octave ne craindrait-il pas qu’un membre de cette illustre assemblée n’en profite pour lever une armée et ne s’empare de cette riche province ? Pourtant, Octave vient d’autoriser Alix à s’y rendre, lui qui, à la naissance, n’était qu’un Gaulois !
Pendant ce temps, le bateau d’Alix arrive à Alexandrie. Il est accompagné de son fils et de Khephren, le fils d’Enak, ancien compagnon d’Alix trop tôt arraché à l’affection des siens. La mission dont Octave a chargé Alix est ultraconfidentielle, mais les deux ados sauront-ils tenir leur langue ?
Quant à ce gouverneur, ce préfet, ce Barbarus qui a quasi les pouvoirs d’un roi, comment a-t-il pu tomber dans une telle déchéance, lui qu’Alix connut en d’autres temps à ses côtés à la bataille d’Actium en fier soldat ? Il est gras et conscient de sa déchéance. Son plus cher désir est d’être rappelé à Rome. Malgré leur passé commun, il n’est pas du tout sûr qu’il soit disposé à aider Alix à accomplir sa mission…
Critique :
La scénariste, Valérie Mangin nous propose ici des trahisons à répétition au point que même Alix ne sait plus à qui se fier vu que les cartes sont brouillées. Il y est un peu question de la mort de Cléopâtre et beaucoup d’un bâtiment mythique, la Mère des Pyramides, bâtiment qui daterait de bien avant que la civilisation égyptienne ne prenne son essor…
Le lecteur va assister au retour d’un revenant… Mais, chuuut ! Inutile d’attirer les fantômes.
Thierry Démarez a accompli un travail de fou pour donner vie aux décors qui illustrent cette aventure et qui sont de toute beauté.
An 12 av. J.-C.
Mont Circé, Latium.
Alors qu’un violent orage déchire la nuit, un cavalier pressé et inquiet éprouve le regret d’avoir accepté un rendez-vous…
Le lendemain, son fils et ses hommes retrouvent son cadavre alors que les cochons se repaissaient de ses entrailles… Marcus Aemilius Lepidus, le Grand Pontife, l’ami de César, le dernier rival d’Auguste n’est plus…
Critique :
Alix a vieilli ! L’éternel adolescent est devenu un homme mûr. La blondeur de ses cheveux a cédé la place à un blanc immaculé. Enak n’est plus, mais Alix assume l’éducation de son fils, Kephren, aux côtés de son fils (?) Titus. Un homme vient de réussir à rassembler tous les pouvoirs : Octave, le neveu et héritier de César. Du coup, plus question de l’appeler Octave ! Inclinez-vous et appelez-le « Auguste ». Bien qu’il soit l’ami d’Octave, Alix ne sait s’il doit se réjouir que la vieille république romaine ait cédé la place à un homme qui concentre tous les pouvoirs.
Valérie Mangin nous propose un thriller antique où Alix tente de protéger son ami Octave, qu’il pense être la victime suivante, tout en ayant bien des soucis avec ses deux adolescents.
Le dessin de Thierry Demarez s’écarte de la ligne claire chère à Jacques Martin pour aboutir à un dessin plus réaliste mais plus statique. Petite exception, et peut-être hommage à Jacques Martin, la deuxième case de la dernière planche qui rappelle furieusement, une aventure dessinée par l’auteur original… Je vous laisse découvrir dans quel album ! … Comment ? … Qu’y a-t-il à gagner ? Heu… Mon estime, si ça vous dit !
La scénariste et le dessinateur créent une Rome qui m’a l’air des plus plausibles quant au mobilier, habitations, tenues… Mais je ne suis pas un expert.
Quant aux choix des couleurs adoptées par Thierry Demarez, je sens que cela va en faire jaser plus d’un… Mais pas moi ! … Pas cette fois-ci…
Les auteurs nous offre un one-shot qui nous dévoile la face cachée des suites de la bataille d'Alésia.
Les objectifs des protagonistes gaulois et romains diffèrent et finissent par converger avec la mise en place d'une nouvelle société dite Gallo-romaine.
Un scénario intéressant avec des rebondissements.
Excellent album !
Beaucoup plus dans ce que je m'imagine trouver en lisant un "Alix". Du mystère, une ambiance angoissante à souhait, une enquête rondement menée, et des personnages très bien campés.
Comme par hasard, le dessin s'est nettement amélioré, et Démarez a fait un super boulot. C'est beau, précis, fouillé, incroyablement documenté et reconstitué.
Franchement, des albums comme celui-là, j'en redemande !
Pour une fois, je n'ai pas envie de comparer avec la série classique du génial Martin.
Cet album est mieux que le précédent.
Graphiquement, déjà, je retrouve le Démarrez que je connais. Son dessin est plus fouillé, moins flou, plus maitrisé, et ça change tout.
Les personnages sont mieux maitrisés, et à défaut d'une histoire trépidante, j'arrive à suivre sans trop de souci.
Ce n'est pas le souffle de la grande aventure, ni du niveau des "Alix" de Martin, mais enfin c'est une déclinaison intéressante d'une série phare de l'age d'or.
Je regrette le rôle que l'on confie à Enak, qui n'est certes plus aussi "victime désignée" que dans la série classique, mais qui traine son spleen d'album en album, et c'est un peu pénible.
J'aurais espéré un Enak plus joyeux, et plus adulte, au lieu d'aigri.
Enfin, Alix n'est pas le personnage principal de cet album, c'est un peu dommage ; son fils est mis en avant, et l'histoire tient plus de la rencontre de la tragédie grècque et du vaudeville que d'un "Alix".
Pas grave, j'ai quand même envie de lire la suite.
J'avais fait une pause dans cette lecture, et en reprenant, avec quelques années/tomes de retard, je suis un poil perdu.
Alors je me suis laissé porter par l'histoire qui nous est contée, et je n'ai pas retrouvé le plaisir et l'efficacité des "Alix" de Martin. C'est moins bien, mais ça fait l'affaire, disons.
Par contre, graphiquement, cet album n'est pas très bien fini.
C'est souvent flou, pas totalement maitrisé, alors que Démarez peut faire bien mieux que ça.
Heureusement, je sais qu'il s'est repris pour les albums suivants.
Encore et toujours l’orichalque ! Raz-le-bol. La série ne pourrait-elle pas revenir à des bases historiques plus réalistes ?
Et voilà notre sénateur aux prises avec le fameux orichalque (qui en réalité n’est que du laiton !) et devant faire face à une secte se formant autour des restes de Khephren le fils d’Enak. Dans ce tome, j’ai trouvé quelques invraisemblances et pourtant je me suis laissé porter. Le tragique prend le pas sur l’aventure dans Alix Sénator se démarquant bien de la série mère. Série agréable à suivre et très rarement décevante. (3,5/5)
Un album qui traite des conséquences de la lutte contre les partisans de Cybèle. Les plus fanatiques ont pris le pouvoir et souhaitent radicaliser le mouvement de façon définitive. Alix et ses compagnons se retrouvent en première ligne pour régler ce problème qui laissera des traces indélébiles dans la vie de nos héros.
j'ai lu avec plaisir cet album.
plus pour la qualité des dessins et particulièrement de la représentation de l'architecture romaine.
les couleurs sont également très réussies.
concernant le scénario il est "un peu" capillotracté mais néanmoins il réussi à donner un minimum d’intérêt à l'histoire.
bref, un album fait pour le plaisir des yeux.
Bon album : Dessins très beaux, couleurs magnifiques. La série Alix Senator sauve la série d'origine qui devrait cesser de changer d'auteurs et décevoir les lecteurs...
Senator est une renaissance !
Cet épisode clôt de façon assez honorable l'histoire commencée avec le tome 5 et la statue de Cybèle. Le dénouement de cette histoire est plutôt bien amené, ce qui fait que cet album est correct.
Pour cet album, je trouve que le scénario n'est pas à la hauteur et que le dessin est beaucoup moins bien que dans les précédents épisodes.
Ce cinquième tome est en baisse par rapport au précédent, notamment au niveau du scénario que je trouve nettement moins bien. De plus, la castration de Khephren n'a rien à faire dans un album de cette série.
Ce quatrième tome est dans la lignée du troisième. Un bon scénario et un bon dessin en font un album très agréable à lire.
J'ai trouvé ce troisième tome meilleur que le second. Le dessin est le même, mai il y a un rebondissement à la fin qui fait que j'ai adhéré et qu'on a envie de lire la suite.
Je n'ai pas lu le premier tome, donc je trouve l'histoire un peu embrouillée. Trop de choses à suivre ou à comprendre, ce qui rend la lecture un peu pénible. Sinon, le dessin est correct, mais sans plus.
Un album complet qui mélange diplomatie-géopolitique, intrigue de cours et rivalité amoureuse.
Les dessins sont magnifiques, surtout les expressions des personnages.
Bon opus aux limites de l'Empire romain.
Certes le scénario n’est peut-être pas fantastique, mais l’intrigue est bien menée. Pas le temps de s’ennuyer entre les différentes cabales qui se montent et la jalousie du jeune adolescent qu’est le fils d’Alix. Les dessins sont plutôt bons dans cet album et Petra est magnifiquement représentée. Un bon tome 8 !
bon, le scénario n'est pas fantastique mais il se laisse lire avec plaisir même s'il ne casse pas trois pattes à un canard.
le dessin quand à lui est superbe avec des couleur parfaitement associées.
c'est un plaisir de découvrir les cases une par une et les détails.
la qualité du papier est également un plus car trop souvent les ceux utilisés pour les albums sont souvent trop brillants dans la production actuel.
bref, j'ai bien aimé et je vais attendre le prochain tome avec impatience.
Voila notre vieil Alix toujours plus fatigué et lassé de vivre (s'il en marre de faire de la BD, qu'il se retire sur l'Aventin !), parti à nouveau en mission d'espionnage au service d'Auguste, en compagnie de son godiche de fils Titus et du lourdingue et grimaçant Enak (quelle poisse celui-là, il est plus collant que le sparadrap du Capitaine Haddock) : bon, ça ne fait pas un commando de choc, tout ça… Pas étonnant que les Nabatéens se gaussent de cette fine équipe! Cela dit, le scénario s'est un peu amélioré et surtout les dessins de Démarez et les couleurs de Chagnaud sont au top (beaux décors, grandes ambiances)!
Encore un épisode de grande qualité où Khepren poursuit sa chute vers les enfers en s’entêtant dans une quête absurde. Cet album met fin à un cycle sur le désespoir d’Enak qui a perdu son fils à tout jamais. Valérie Mangin n’est pas tendre avec les personnages proches d’Alix et on peut se demander ce que nous réserve la suite.
Je suis fan depuis le tout premier épisode de cette série..
- Cet épisode est la fin d'une longue recherche à travers l'Empire Romain de la statue de Cybèle qui doit apporter la puissance et l'éternité à celui qui l'a possède. Mais, comme l'a dit le grand Jules César « Alea jacta est » , c'est tout Le dénouement de cet album.
Valérie Mangin nous montre une fois de plus son immense talent d'historienne et de scénariste. Elle nous dévoile aussi un lourd secret entre Alix et la famille de l'Empereur Auguste.
Que dire des planches ! Elles sont comme d'habitude excellentes et magnifiques, Thierry Démarez nous montre une fois de plus son immense talent.
Les couleurs correspondent parfaitement à l'ambiance générale de l'album.
En résumé :
Cet un bon album qui met fin à une quête.
Je choisis toujours la version luxe à dos toilé, avec un cahier historique supplémentaire de 8 pages. Son prix n'est pas excessif par rapport à la version classique. Vivement la prochaine intrigue.
A Collectionner !
Cette série avait remarquablement commencé.
Nous étions passé d'un Alix envoyé spécial de César pour des missions croquignolesques, accompagné d'un Enak pleurnichard qui se faisait systématiquement rattraper par ses poursuivants faute de pouvoir courir 10 mètres sans se vautrer à un Alix plus crédible grâce à un scénario réfléchi et un dessin plus fouillé.
Hélas, mille fois hélas, ce dernier tome nous montre, une fois de plus, qu'a vouloir exploiter un filon jusqu'au bout on n'en tire plus rien.
Je viens de finir la lecture. Pour moi, cet épisode est un désastre total.
Je n'en dirai pas plus, ce serait inutile.
Une tension toujours aussi intense dans cette suite. Kephren a définitivement disjoncté et ça peut se comprendre. Toujours aussi passionnant avec un petit bémol. Cela vient peut-être de moi mais en comparant le tome 1 et le 6 on distingue une petite détérioration concernant le dessin. Le tout reste de qualité.
Le mythe de Cybèle est étroitement lié à la folie et la castration. Ses prêtres pratiquaient des rituels d'auto-castration. Ceci explique peut-être cela...
Je ne puis que rejoindre certains avis exprimés. Grosse déception. La quête d’éternité et de pouvoir passerait-elle par la mutilation, par la castration ? Est-ce là le prix que les dieux font subir aux mortels lorsqu’ils désirent se substituer à eux ? Dans la Bible, le péché de déité se traduit, au contraire, par l’irruption de la sexualité ( Adam et Eve) ou par la diversité des langues (Tour de Babel). Ce qui, finalement, s’avère un plus (que serions-nous sans l’exercice de la sexualité et sans la parole multiple, diverse, diversifiée ?). Dans ce récit, c’est l’amputation, la castration qui constitue le châtiment. Qu’un Jodorowsky (que j’apprécie beaucoup par ailleurs) fasse subir de telles mutilations à ses personnages, ce serait, à la limite, plus compréhensible (son œuvre se nourrit de ces blessures dans les corps et dans les chairs) mais, dans le contexte jadis bien prude d’Alix, ceci paraît bien inadéquat. Je ne poste jamais d'avis mais là, en toute humilité, je souhaitais intervenir...
Sombre histoire autour du mythe de Cybèle.
Quelques cases encore enfantines mais le scénario tient la route et les dessins sont bons.
Première grosse déception que cet album dans la série. Le scénario est vide, sans intérêt avec en point d'orgue la mutilation de ce pauvre Kephren très penible et qui n'a aucun sens. Tout est convenu, attendu, sans surprise,...
Une série qui s'arrêtera probablement là pour moi.
Dure épreuve pour Khephren le fils d’Enak. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les auteurs de ce tome 5 n’ont pas été tendres avec lui. Celui-ci est aussi naïf que son père, et il va apprendre à ses dépens qu’essayer de toucher l’éternité apporte le malheur.
Les auteurs ont frappé très fort en faisant subir à Khephren ce que nul n’aurait osé faire à Enak dans la série mère. Je suis extrêmement impatient de connaître la suite dans le prochain tome pour savoir comment Khephren va pouvoir vivre avec ce qui vient de lui arriver. Va-t-il sombrer du côté obscur et devenir le nouvel Arbacès ou son malheur lui fera-t-il trouver la sagesse ?
Cette série, Alix Senator, me captive de plus en plus et tient vraiment ses promesses. Les dessins sont toujours admirables et on prend beaucoup plus de plaisir qu’avec la série Alix qui peine à trouver un second souffle. Excellent !
Alix, le globe-trotter mandaté par César pour des missions plus ou moins ubuesques, accompagné d'un faire valoir qui ne sait pas courir 10 mètres sans perdre sa caliga ou se tordre la cheville et que l'on retrouve tous les 6 mois depuis 30 ans est à mille lieues de cette série-ci que je n'hésite pas à qualifier d'exceptionnelle.
Avec ce 5ème tome, les auteurs sont allés très loin.
Je n'aurais jamais imaginé une telle dramaturgie.
Bravo.
J'ai trouvé ce tome assez moyen. Le scenario est assez faible, avec assez peu de rebondissements inattendus. Et très très peu de texte à lire...un peu décevant pour moi.
Une suite sans grand intérêt
Très moyen, comme la plupart des scénarios de Mangin : la narration est molle, trop peu de tension dans cette enquête, rien d'incroyable, si ce n'est cette fin juste tordue...
Les Livres sibyllins, recueil d'oracles, doivent être rapatriés de Grèce. L'envoyé de Rome qui doit s'en charger est assassiné. Les spartiates sont injustement pris pour cible de ce méfait. Alix et Héraklion enquêtent.
Cet Alix Senator est épatant. Dessins, couleurs, scénario, tout pour faire de ce 4ème tome une excellente BD. La série Alix devrait en prendre de la graine.
le moins bon des 3 tomes. une pyramide oubliee qui s effondre en enlevant une pierre, la decision de ressusciter enak ...
bon dessins, scenario OK (mais pas non plus transcendant). Le second tome est un peu moins bon mais le 3eme redresse la barre.
au final une bonne serie sur le debut de l empire (meme si murena est mieux)
De qui se moque t'ont ? Tout les fans respectueux de l'oeuvre de Jacques Martin doivent se sentir mal à l'aise- moi le premier ! L'histoire vaut peut être quelque chose mais je n'ai pas pris le temps de lire car d'emblée les dessins trop numérisés me font fuir !
Bonne histoire avec un scénario solide qui enchaîne les rebondissements. J'ai bien aimé ce 3ème opus, alors que j'avais trouvé les 2 premiers tomes trop "enfantins" au niveau du scénario.
N'ayant pas lu "Les Aigles de Sang" je trouve la multiplications des nouvelles sur la mort d'Enak, de se femme…et des enfants dont on ne sait plus qui est le père…un peu pénible à suivre.
Bref peut mieux faire.
N'ayant pas lu "Les Aigles de Sang" je trouve la multiplications des nouvelles sur la mort d'Enak, de se femme…et des enfants dont on ne sait plus qui est le père…un peu pénible à suivre.
Bref peut mieux faire.
Très bonne idée que ce "que sont-ils devenus?"
Alix a bien grandi, l'esprit de la série est toujours là.
Dessins soignés mais coloration un peu trop pâle.
Alix, accompagné de ses deux enfants, prolonge l'enquête du précédent tome, à la recherche du Général Rufus que tout semble désigner. De retour sur les sables de l'Égypte post-pharaonnique, c'est entouré de personnages équivoques aux désirs secrets bien incertains, que notre héros va voyager d'Alexandrie, au cœur du désert et d'une mystérieuse pyramide.
César, assassiné trente ans plus tôt serait-il encore en vie ?
Fidèle lecteur d'Alix lors de ma tendre jeunesse, j'ai bien entendu acheté Alix Senator. Le premier tome laisse place à une histoire assez classique mais écrite de façon plus moderne que la série mère (qui je dois le reconnaitre a un peu vieilli). Adepte de séries antiques, j'ai naturellement acheté le second tome. Je dois reconnaitre que le scénario m'a bluffé, une histoire prenante, moderne, bien racontée et je me suis laissé embarquer dans l'aventure. Les dessins sont somptueux et valent la lecture de cet opus à eux seuls. Bravo aux auteurs !