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Après ses débuts avec le roman graphique "Arkham Asylum", Grant Morrison poursuit au début des années 90 son galop d’essai sur Batman dans une anthologie narrant ses premières luttes contre le crime. Une histoire hors-continuité et ici opportunément publiée en tome 0 de la série "Grant Morrison présente Batman" (Batman: Legends of the Dark Knight 1989, #6-10).
Gotham, des mafieux et un vilain inédit lié à un traumatisme de son enfance, le récit à tout pour constituer une bonne histoire du Chevalier noir. Ajoutons-y quelques aller-retours dans un passé plus moins lointain, de la poésie, une petite dose de surnaturel et déjà un voyage pour percevoir ici les prémices de ce qui constituera la patte de Morrison bien des années plus tard. Toutefois, à la différence de sa production future, cette histoire est très facile d’accès.
On notera évidemment quelques références un peu datées tels la technologie, les gadgets de Batman ou cette mauvaise habitude que de lui laisser tout le temps nécessaire pour s’échapper mais cela ne nuit pas à l’histoire. Tout au plus, ces références lui confèrent-elles un sympathique aspect old school.
Enfin, l’histoire est illustrée par Klaus Janson, aujourd’hui davantage connu pour son encrage que pour son dessin. Bien que vieux de près d’une trentaine d’années, son trait n’a toutefois pas tant vieilli que ça – au contraire du costume de Batman – et pourtant il s’agissait également de ses débuts sur le personnage en tant que dessinateur. Par contre, la colorisation est, elle, clairement datée et à ranger aujourd’hui dans la catégories des archives aux couleurs vieillottes.
C'est vraiment mauvais. Je n'ai pas pu finir le livre. C'est vraiment à vous dégoûter de lire du Batman. J'avais déjà lu all-star Superman de Grant Morisson et j'avais aussi détesté. Peut-être que son style ne me convient pas du tout. Je regrette amèrement d'avoir pris les 4 intégrales. Pourtant la première n'était pas si mauvaise.
Voici le huitième et dernier tome du long run initié par Morrison sur Batman. Explosive, intense, dramatique, cette conclusion ne déçoit nullement et l’écossais fait ses adieux à Batman de fort belle façon.
Tout le monde n’aimera pas la direction prise par la série mais au moins Morrison ose tenter de nouvelles choses. En résulte Batman Inc un groupe de Batmen à l’échelle mondiale que Morisson se plait à nous dévoiler par le biais de diverses histoires ayant toute un point commun, Léviathan une mystérieuse organisation qui en veut à Batman.
Si l'idée de départ est vraiment intéressante, il est dommage que les histoires ne soient pas toutes du même niveau et que le récit nous perde quelques fois, passant d’un évènement à un autre sans transition, allant parfois trop vite. Au moins les choses avancent et la dernière partie du tome n’annonce que très bon pour la suite.
Après un cinquième tome assez moyen et inutilement tiré par les cheveux, ce 6éme opus revient à quelque chose de plus abordable et de plus plaisant.
On assiste à la fin de toute la partie avec le docteur Hurt et Morrison apporte enfin des réponses attendues. Le récit est bien écrit et agréable et une fois de plus le Joker a un rôle de choix (très bon traitement du personnage par Morrison d’ailleurs).
L’arc se conclu en apothéose avant d’ouvrir de nouvelles portes pour Batman. Maintenant place à Batman Incorporated !