Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Une deuxième partie dans la parfaite lignée de la première. Le dessin de Perger colle parfaitement à l'ambiance de ce polar gothique et le jeu des couleurs est remarquable. Scénaristiquement également on est dans le même type de récit. Seulement, les deux épisodes n'ont que très peu de liens entre eux, hormis l'équipe d'enquêteurs.
Un diptyque à l'ambiance réussie qui vaut la peine d'être lu.
Les auteurs nous plongent dans ce Londres du début de XIX ème siècle, où un enquêteur de Scotland Yard mis sur une voie de garage se voit obliger de faire équipe avec des personnages singuliers pour capturer deux fous dangereux.
Le scénario est assez rapide et directe mais très prenant.
Les magnifiques dessins teintés de finesse donnent une ambiance très réussi.
La mise en page est parfois hasardeuse et on doit relire, un ou deux fois, pour bien comprendre les intentions des auteurs.
De manière générale la première partie se ce diptyque est très intéressante.
Honnêtement, Scotland Yard ne sera pas la bd de l’année. Loin s’en faut. Le scénario est assez incompréhensible avec une mise en scène et en image assez chaotique pour ne pas dire catastrophique. On se demande parfois si on n’a pas loupé une case si bien qu’on revient en arrière parfois à tort. Bref, question fluidité, il faudra repasser. La compréhension ne sera pas à son maximum.
Et puis, et surtout, c’est d’un ennui presque mortel. Il ne se passe pas grand-chose dans cette enquête qui s’étire. On ne vit pas à l’heure des personnages. Bref, l’intérêt pour cette bd qui s’inscrit dans la galaxie des fameux Sherlock Holmes dans la même collection 1800 de Jean-Luc Istin est moindre. Il y a un mélange de genre de tout ce qui pouvait compter sur l’Angleterre victorienne. On peut certes y voir un coup de génie ; cependant cela ne sera pas mon cas. Il me faut plus que des noms pour m’impressionner !
Cela ne me donne pas du tout envie de lire la suite car aucune originalité, ni inventivité. Est-ce qu’avec cela, je suis dans les clous ? Je ne le pense pas. Allez, 2 étoiles pour ne pas me retrouver au pilori.
Cet avis vaut pour les deux tomes de Scotland Yard.
Avec ce diptyque, nous suivons une enquête mettant en scène l’inspecteur Gregson (de Scotland Yard donc) à la poursuite de deux tueurs en série sadiques dans le Londres de Jack l’Eventreur. Dans son périple, il sera épaulé du Dr. Seward, d’un gamin de rue et de Faustine Clerval, personnage féminin que l’on retrouve également dans le diptyque ‘Mister Hyde vs Frankenstein’.
Les auteurs (Dobbs et Perger) rendent une très bonne copie avec cette histoire sombre, sordide et empreinte de références avec l’apparition de personnalités ayant existé (Bram Stoker, Elephant Man) ou célèbres dans la littérature grand public (Lestadre, le commissaire Fix, le Colonel Moran). Il est dommage que certains de ces invités prestigieux ne soient pas plus mis en avant quand ils ne sont pas purement figuratifs.
Le duo Gregson/Seward m’a fait légèrement fait penser au duo Holmes/Watson par instant même si Faustine leur vole la vedette par sa présence et les mystères l’entourant. J’ai d’ailleurs trouvé dommage qu’elle ne soit pas plus développée, de même que l’histoire aurait pu bénéficier de davantage d’approfondissements et de rebondissements.
Le trait est bon et mené de main de maître par Perger : certaines cases sont magnifiées par le choix des cadrages et l’emploi du clair/obscur, enfin les aquarelles sont sublimes pour un rendu mettant en exergue le côté glauque et instaurant une ambiance noire et malsaine. J’ai particulièrement apprécié les pages 19/20 du tome 2, où les cases se déforment et se déchirent entrant en adéquation avec le fond de l’histoire.
Une très bonne enquête policière, par moment trop précipitée, mais efficacement bien menée et à l’ambiance oppressante.
Comme pour le tome 1, ce "scotland yard" vaut surtout pour le travail de Perger. Ces aquarelles sont magnifiques et le cadrage très intéressant. L'histoire aurait mérité d'être approfondie, repartie sur 2 volumes. L'enquête est vite expédiée avec des invités, elephant man et Stoker qui n'apportent rien tant peu exploités... dommage.