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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    ArvoBlack Le 30/05/2024 à 21:44:00

    Une série qui commence très bien avec un tome 1 prometteur, notamment avec un bestiaire farfelu et très riche, mais le scénario signé Lupano fini ensuite par perdre en intérêt au fur et à mesure des tomes, malgré l'imagination débordante qui en découle. Le style de dessin de Andreae est très atypique, de multiples personnages/animaux, des formes géométriques, élancés, c’est très réussi et surement le point gros fort de la série, tout comme les couleurs. L'univers est à découvrir pour ce faire un avis.

    Erik67 Le 20/11/2020 à 12:57:48

    Les auteurs sont parmi mes préférés tant au scénario qu'au niveau graphique. Leur association aurait dû créer selon moi une œuvre magnifique. Or, cette lecture a été un peu en deçà de mes espérances.

    Pourtant, le trait du dessin est plus que correct. Le scénario est également palpitant. L’univers crée est assez original. On sent de l’inventivité source de richesse. C’est un travail totalement maîtrisé.

    Je n’ai sans doute pas aimé le côté burlesque de cette aventure dans un style steam-punk rétro. Pour autant, le second tome montre que le récit se complexifie davantage dans cet univers onirique, voire se dramatise.

    Cette série, c’est une sorte d’errance joyeuse dans un univers flamboyant et baroque. Les personnages semblent totalement surréalistes. On perd facilement le nord et c’est le cas de le dire. Bref, cela part tous azimuts ! On passe néanmoins un moment de pur dépaysement. N’est-ce pas là l’essentiel ?

    bd.otaku Le 09/02/2020 à 21:56:49

    Clap de fin d'une série totalement azimutée !

    Le lapin Polo, fou de désespoir après la disparition de la dame des sables, a déclenché une formidable tempête de neige et provoqué un désastre climatique : tout est gelé, sauf le PetitGhistan : les guerres s’arrêtent et des cohortes de migrants se jettent sur les routes pour se réfugier dans la contrée préservée. Cette nouvelle donne va par ailleurs provoquer l’ire de la banque du Temps puisque, avec l’arrêt des conflits, Manie ne peut plus rembourser en morts sanglants et trébuchants la dette qu’elle a contractée et se trouve donc en bien mauvaise posture …

    Une bd tous azimuts

    Le dernier tome de cette saga entamée en 2012 paraît peu après l’artbook « Créatures » du dessinateur et nous rappelle ainsi l’origine de la série dans un superbe jeu d’échos.
    En effet « Azimut » est né de l’envie qu’avait Wilfrid Lupano de donner à Andreae un scénario à la mesure de son univers graphique : parti des dessins de l’artiste, il a ainsi brodé et crée le monde d’ « Azimut ». On y trouve donc pêle-mêle des créatures de rêve (Manie et sa mère la reine Ether), des personnages sortis du monde du cirque : le clown Augure et autres Freaks (le saugre Bâtis, les anthropotames, la femme obèse des amants éternels), des monstres cauchemardesques (l’arracheur de Temps, le baron Chagrin, son majordome) et des personnages cartoonesques (le cochon Picaillon, le lapin Polo). Les deux auteurs font preuve d’une imagination débridée et sans limite et nous entrainent dans leur monde parallèle….

    Au-delà de l’inventivité des personnages et du scénario, il faut également souligner toute la maestria graphique d’Andreae : après la jungle et le désert, on est dans ce tome 5 dans des ambiances polaires avec des camaïeux de bleu de toute beauté. Il alterne scènes d’action et pages muettes ; monde féérique (avec des clins d’œil à Miyazaki) et ultra réalisme (le tri des réfugiés). Drôle de cocktail bien déjanté qui aurait pu finalement ne pas fonctionner par trop grande hétérogénéité ! Or ce n’est nullement le cas, au fil de ces cinq tomes, Andreae et Lupano ont réussi à créer un univers finalement très cohérent dont le fil rouge est le temps : comment ne pas le perdre, comment littéralement courir après, comment le figer dans une œuvre d’art, comment l’arrêter pour ne pas vieillir … et toutes les intrigues parallèles se petit rapprochent, se resserrent, et se complètent dans cet album conclusif.

    Un album métaphysique et pataphysique

    Dans la galerie des personnages, deux petits nouveaux et non des moindres font leur apparition : le préposé aux contentieux de la banque du temps et le bonze adepte du « zinzen ». Et on a donc deux dimensions de l’album qui sont ainsi mises en exergue : la dimension métaphysique avec la réflexion sur le temps, l’appât du gain et le jeunisme (ainsi qu’une critique de la finance !) dans une réactualisation du mythe de Faust mais également une dimension pataphysique que ne renieraient ni Vian ni Jarry lors que le maître oriental profère une sorte d’art poétique expliquant de façon ludique la démarche des deux auteurs : « la fantaisie, dans la philosophie zinzen, est la clé qui permet d’ouvrir les portes sans serrures » (p.24) et invoque le serpent anachronDADA se replaçant ainsi dans une tradition littéraire.

    Dans la lignée des grands auteurs dadas, surréalistes et pataphysiciens, on retrouve également dans ce tome ce qui faisait le sel des précédents : de nombreux jeux sur le langage. Ainsi il est question de créatures « chronoptères (liées au temps) comme les « manchots ample-heure » ou « l’anachrondada » source des jeux de mots grâce à la paronomase. L’on assiste aussi à de savoureuses reprises au pied de la lettre d’expressions telles « mystère et boule de gomme », « nous sommes au creux de la vague » ou « truc mortel » qui acquièrent un lustre nouveau grâce à leur mise en contexte.

    Fantasy, fantaisie et gravité : au-delà du miroir

    Mais toute cette verve, cette fantaisie et ces mondes parallèles issus de la « fantasy »ne devraient pas occulter un aspect essentiel de l’œuvre : si Lupano et Andreae se réclament depuis le début de Lewis Carroll et lui rendent hommage avec le lapin blanc Polo et le saugre tortue entre autres, si à son instar ils utilisent des mots-valises et refusent de donner toutes les solutions et toutes les réponses au questionnement du lecteur pour lui faire élaborer ses propres hypothèses , ils sont aussi dans la continuité de Jonathan Swift. « Azimut » se transforme en effet également parfois en un contre philosophique : ici il est question de l’aliénation volontaire de l’homme au dieu machine, de dérèglements climatiques, de la sénilité de certains hauts dirigeants, de la dénonciation de l’immigration choisie et de la façon dont on traite les migrants. A l’image d’Eugène dans l’album qui condamne le bellicisme intéressé de Manie dans son tableau et lui fait prendre conscience (ainsi qu’au grand Tracasseur) de la folie de son attitude, les deux auteurs se muent donc parfois en lanceurs d’alertes et permettent par le truchement de ce monde imaginaire de réfléchir sur notre réalité et notre monde contemporain. D’ailleurs c’est peut-être le seul reproche qu’on pourra faire à ce dernier tome : souligner les parallèles avec notre monde de façon parfois un peu trop appuyée et opter pour une fin étonnamment optimiste - tempérée tout de même par les dernières vignettes qui laissent leur lot d’ambiguïté.

    Avec ces « derniers frimas de l’hiver », on a bien une œuvre plurivoque : à la fois très aboutie sur le plan graphique, empruntant à différents genres et courants littéraires, et énigmatique. A peine le tome 5 refermé, on a l’envie de se replonger dans les autres albums pour y percevoir tous les détails et subtilités qui nous avaient échappé et rêver de nouveau!

    Shaddam4 Le 05/02/2020 à 16:52:47

    Comme depuis le premier volume de cette exceptionnelle série, la maquette, de la couverture aux intérieurs de couverture, fait partie intégrante du projet. Si les illustrations de couverture (hormis la première) ne sont pas des plus accrocheuses, le cadre de chacune (qu’Andreae ne s’est pas contenté de dupliquer mais a recréé à chaque album) vaut à lui seul le détour. Surtout, l’intérieur de couverture propose un nouvel extrait de l’encyclopédie des Chronoptères (par Aristide Breloquinte!) avec des animaux présents dans l’album et d’autres non, toujours avec un descriptif drolissime et d’une imagination folle. De quoi espérer, avec cette conclusion, que les auteurs aient l’envie de proposer par la suite un volume d’encyclopédie naturelle du monde d’Azimut, tant la richesse de cet univers reste à explorer.

    Après l’apocalyptique éternuement du Pôle Nord, le monde a été presque intégralement gelé. Partout? Non. Miraculeusement épargné, le Petighistan prépare ses plans d’invasion en vue de la création du tant attendu Grandghistan! Alors qu’un dangereux émissaire de la Banque du temps vient réclamer un dû mis à mal par le nouvel âge glaciaire, l’oiseau d’acier prépare son réveil, un réveil qui doit marquer la fin de ce qui était et le retour à la barbarie humaine…

    Jean-Baptiste Andrea est l’un des plus grands dessinateurs européens depuis pas mal de temps et n’avait peut-être pas totalement trouvé le projet qui lui ferait atteindre la perfection. Doté d’un univers personnel d’une richesse et d’une cohérence aussi grandes que celle d’un Tim Burton, il a trouvé en Wilfried Lupano son égal scénaristique et tous deux ont produit une série, Azimut, qui atteint comme très peu une perfection aussi intellectuelle que visuelle. Pour être clair si le premier tome m’avait déjà terriblement séduit et les suivant de même, je peux dire avec cette conclusion (…qui méritait sans doute une prolongation, j’y reviens) qu’Azimut est l’une des trois meilleures séries des vingt dernières années!

    Je vais pourtant vous expliquer pourquoi cet ultime opus est une frustration aussi grande qu’est la série. Respectant le format des autres albums de cinquante planches, les auteurs ont tenu à conclure en cinq tomes leur saga temporelle, format idéal comme je le clame à peu près à chaque billet. L’univers développé est cependant si riche, proposant de nouveaux personnages, idées, lieux succulents à chaque volumes, qu’arrivé à ces Frimas de l’hiver on avait le sentiment de n’être qu’à l’étape de la rupture dramatique devant nous emmener à la conclusion… Élément intriguant, l’éditeur a posé sur le premier tirage de l’album un sticker laissant entendre la suite sur un nouveau cycle… qui n’est absolument pas prévu par les auteurs. Autant ce procédé permettant de prolonger des séries commercialement rentables à l’infini peut être vu comme mercantile, autant sur Azimut il aurait été nécessaire de trouver un moyen de rallonger pour conclure de Résultat de recherche d'images pour "azimut andreae derniers frimas"façon moins brutale. Récemment Olivier Ledroit a proposé un magistral très volumineux troisième et dernier tome de sa série Wika initialement prévue en quatre tome. Certains rajoutent un ou deux épisodes lorsqu’ils réalisent que le compte n’y est pas. En maître scénariste Lupano sait créer et conclure une série et j’imagine des raisons non créatives qui expliqueraient cette insistance à vider le sablier tant le plaisir manifeste à la réalisation, le professionnalisme des deux auteurs et le contenu de la valise étaient encore fournis. A cinq albums on ne peut pas dire que la série soit à rallonge, un sixième et septième tome auraient permis de réutiliser les nouveaux personnages et de se dispenser des nombreux deus ex machina que comportent l’album…[...]

    Lire la suite sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/01/29/azimut-5-derniers-frimas-de-lhiver/

    Lakazdelonclepol Le 25/12/2019 à 18:15:17

    Quand le meilleur scénariste/dialoguiste de sa génération rencontre un dessinateur virtuose et qu'ils entrent dans une osmose narrative achevée, vous obtenez AZIMUT.
    Plaisir de lecture total.

    Meikepis Le 21/12/2019 à 14:50:26

    Cela vaut pour l'ensemble de la série puisqu'il s'agit d'une histoire en 5 tomes.
    Bravo, bravo et bravo !

    kingtoof Le 15/12/2019 à 13:07:33

    Une des BD les plus originales de la Création.
    Très bons dessins.
    Des scènes toujours loufoques et réussies.
    Et de la folie encore et toujours.
    Cependant, il me manque un petit quelque chose pour mettre une note de 4/5 pour cet avis.
    Le scénario n'est pas assez construit ou trop haché / entre découpé de scènes sans transitions les unes avec les autres.

    Jozef Le 01/12/2019 à 18:31:21

    Fin de cycle ? Aïe ! Je redoute pas mal ces séries par cycle qui s'essoufflent et s'enlisent. Bref, cette série est excellente, une histoire intelligente, poétique et folle ! Dessins splendides (n'hésitez pas à découvrir les autres séries d'Andreae !) et un scénario bien mené. ATTENTION SPOIL ! Seul regret, la fin qui est pour moi trop mièvre. J'aurais aimé quelque chose de plus dramatique, douloureux ou mystérieux... Je trouve que çà manque de force.

    Radamour Le 21/11/2019 à 13:36:49

    Quel imaginaire ! Un monde fantastique et inventif, une merveille, un scénario soigné ! A mourir de plaisir!

    kurdy1207 Le 19/11/2019 à 11:58:19

    Cet album est juste sublime ! Il clôt magnifiquement ce premier cycle et j’espère sincèrement qu’il y en aura un autre avec une idée aussi magique que celle du temps et de tout ce qui en découle.

    L’album commence très fort avec le « Vous êtes ici » d’un jalonneur qui vaut bien le « Juste Leblanc » du film le dîner de cons. Les bons mots et l’absurdité ne prennent pas le temps de s’arrêter car ils s’enchainent au fil des pages et sont autant de sources de réflexions sur le temps et sur l’humanité en général.

    Concernant l’humour, il foisonne, il détonne, il m’étonne de page en page et se fait le miroir de notre société. Le monde qui part en cacahuète en page 16, le questionnement sur les réfugiés tellement horrible et réel (pages 18 et 19), le dieu machine dont nous sommes devenus esclaves (pages 44 et 45). Pages 24 et 25, même si elle était un peu facile, la blague sur le mystère et boule de gomme est géniale.

    Quant aux phrases coups de poing comme « un crédit apocalyptique à la banque du temps », « le principal moteur de l’âme humaine, ce n’est pas le succès des uns, c’est l’échec des autres », « ce qui m’empêche de vivre heureuse, c’est l’idée qu’on me survive », elles assomment comme des uppercuts et vous envoient directement au tapis. Mais les images de cet album donnent aussi à réfléchir et le tableau de Manie et du grand tracasseur, en page 40, pourrait être une photo de notre siècle qui a la folie de sa jeunesse.

    Si je pouvais mettre un 6/5, je le ferais. Cet album est incroyable, magique, sublime et l’ensemble de la série m’a époustouflé tant par son intelligence que par son graphisme impeccable. Vraiment messieurs Lunpano et Andréae, lancez vous dans un deuxième cycle uniquement si vous êtes certain de votre coup (mais je désire tellement une suite...). N’allez pas tout gâcher… et merci pour votre Azimut.

    minot Le 14/11/2019 à 12:34:35

    Le premier cycle d'AZIMUT se termine de belle manière, non sans avoir levé le voile sur tous les mystères de ce monde extravagant. Nul doute que ces derniers seront résolus dans un second cycle que j'attend déjà avec impatience. Scénario délirant, personnages abracadabrants et dessin unique en son genre: AZIMUT est vraiment un belle série.

    kurdy1207 Le 08/07/2019 à 08:54:02

    Ce quatrième volume, très bien dessiné, n’est pas aussi intéressant que ses prédécesseurs. Moins subtil, plus aventureux, toute l’extraordinaire imagination rencontrée dans les textes a perdu en qualité. J’appréciais les idées avec le temps comme point central. Certes, la continuité de l’histoire est toujours présente, nous offrant un album de qualité, mais le génie a disparu. Un petit peu déçu…

    kurdy1207 Le 04/07/2019 à 08:35:42

    Dans ce troisième volet d’Azimut, deux idées sont à retenir.

    La première concerne les anthropotames, issus d’un peuple ancien, qui ont mangé le douzième œuf des belles lurettes, celui donnant la vie éternelle. De cette éternité, ils ne font rien repoussant toujours au lendemain la moindre petite action. Les dangers de l’éternité ! Que pourrions nous en faire une fois ce rêve réalisé ? L’urgence de vivre pourrait effectivement nous quitter.

    La deuxième consiste à vivre pour des chimères et oublier de vivre pour soi-même. Est-ce égoïste de se dire que sa vie est la plus importante ? Oui certainement, mais elle l’est sûrement.

    Les bons mots foisonnent encore tout au long de l’album même si la blague concernant les cannibales est datée (mais tellement drôle). Quand Eugène, dans le désert, fait une allusion aux tortues Ninjas… je trouve cela du tonnerre !

    Encore un album d’azimut complètement azimuté et magnifique.

    kurdy1207 Le 02/07/2019 à 08:07:17

    Le deuxième volume poursuit l’allégorie sur le temps avec des idées qui foisonnent tout au long de l’album. Cette circonvolution de métaphores autour du temps est un vrai délice.

    Comment continuer à exister après la mort ? Cette interrogation trouve sa réponse dans les pages où il est question du Baron Chagrin. Celui-ci se régénère dans la souffrance qu’il impose à d’autres êtres humains, hommes, femmes, enfants, comme les grands dictateurs qui ont trouvé l’éternité dans la mémoire commune grâce à leurs méfaits. Tout ce qui concerne le Baron se retrouve en noir et blanc pour marquer le côté sombre de cette recherche d’éternité. Génial !

    Un deuxième album au niveau du premier avec des surprises, des bons mots et des dessins une fois de plus superbes. Que demander de plus ?

    kurdy1207 Le 01/07/2019 à 08:49:48

    Dans cet album, l’imagination sans limites de Wilfrid Lupano fait merveille. Un sacré scénariste ! Quand, pour ne rien gâter, l’ensemble est servi par de sublimes dessins, on jubile de plaisir.

    La loufoquerie de cette histoire, dont le point central est le temps, démontre l’absurdité et la crainte de la vieillesse. Dans ce monde fantasmagorique, les personnages craignent plus que tout l’arracheur de temps qui est peut-être une parabole du monde d’aujourd’hui où les hommes ne prennent plus le temps de prendre le temps et se retrouvent vieux et flétris sans avoir profité de la vie.

    L’histoire se bonifie d’autant plus, qu’elle profite de bons jeux de mots et d’idées que l’on pourrait croire saugrenues mais dont l’inventivité est géniale comme cet oiseau la belle lurette. Mais le pompon de cet album arrive quand le nord vient à disparaitre. Trop drôle ! comment est-ce possible ? Le ridicule de la chose devient tordant quand l’explorateur revient sur ses pas croyant découvrir une nouvelle terre et se retrouve à son point de départ.

    Peut-on perdre le nord quand on perd son temps pourrait être la question essentielle de ce premier tome. A découvrir, comme moi, et à dévorer.

    Cellophane Le 22/03/2019 à 18:09:50

    C’est pas mal du tout…

    Le dessin a un petit côté Alice au Pays des Merveilles, plein d’inventivité…

    Les dialogues sont souvent vifs, avec des petites répliques drôles ici et là.

    Le monde créé est intéressant et plein d’imaginaire avec ces bêtes temporelles, ce pôle Nord disparu, etc.

    Après, c’est un album à lire avec les autres, je pense, parce que si tout est plutôt réussi, on a tout de même du mal à comprendre les tenants et aboutissants de l’ensemble…

    Qu’est-ce devenu le père en ouverture et à quoi bon raconter cette intro ? Quel rapport entre les différents protagonistes (du militaire à la jeune femme ?).

    Bref, où est-ce qu’on veut en venir ???

    On n’aura pas de réponse à la fin du tome mais une belle interrogation…

    De bonnes bases mais pas totalement solides, ça aurait été sympa quelque chose qui soit plus connecté dans son ensemble…

    Random- Le 23/07/2018 à 13:22:27

    La série se poursuit avec cet avant-dernier tome, dans lequel on retrouve un peu plus d'action. Le dénouement approche et, avec certaines réponses qui nous sont apportées, on devine les contours d'une fin possible... En tout cas, on retrouve avec plaisir nos héros même si on peut regretter que quelques uns soient complètement mis de côté dans cet album, ainsi qu'un dessin moins léché sur certaines planches.

    Random- Le 17/07/2018 à 18:25:28

    Cette excellente série poursuit sur sa lancée avec ce 3eme tome très réussi. Comme dans un vaudeville, les personnages continuent de se courir après, de se croiser, et de poursuivre leurs insensées quêtes respectives. Les clins d’œil se multiplient et les planches d’Andreae sont de plus en plus belles. Vivement la suite.

    Random- Le 17/07/2018 à 18:17:15

    Après un excellent 1er album, les auteurs réussissent l’exploit de ne pas décevoir. Bien au contraire, de nouveaux personnages incroyables font leur apparition et on continue de suivre avec plaisir les aventures de nos nombreux héros. Où tout cela nous mènera-t-il ? On brûle de le découvrir... mais l’insensé prend tout son sens avec les premières réponses qui nous sont données.

    Random- Le 17/07/2018 à 18:12:46

    Voilà une série qui sort de l’ordinaire. Avec une superbe galerie de personnages, les auteurs nous déclinent le concept du temps qui passe sous bien des aspects. Poésie, fantaisie, absurde... les magnifiques planches d’Andreae sont une invitation au rêve. Certes, on zappe rapidement d’un sujet à l’autre, et la première lecture est un peu difficile. Mais il suffit de se laisser bercer par cet univers. On en redemande...

    minot Le 21/05/2018 à 09:51:52

    On continue dans la féérie et le merveilleux. L'histoire est toujours aussi intrigante et le dessin reste sublime. L'album se lit peut-être un poil trop vite mais bon ... pinaillage. Cette série est top. Très bel album, encore une fois.

    minot Le 27/04/2018 à 17:15:42

    On continue dans les bizarreries et autres excentricités, avec des aventures extraordinaires d'une bande de joyeux jojos qui ne l'est pas moins, dans des mondes fantaisistes à souhait, remplis de créatures hallucinantes. Avec, cerise sur le gâteau, un dessin à la fois sublime et très typé. C'est magique. Bravo aux auteurs.

    minot Le 27/04/2018 à 17:12:33

    Le dessin est toujours aussi magnifique, l'univers toujours aussi dingue, l'ambiance toujours aussi féérique - ou cauchemardesque, c'est selon - et les personnages toujours aussi loufoques. Un vrai régal.

    Wouaf Le 06/04/2018 à 20:23:09

    L'histoire reste cohérente et tellement originale, je me laisse porter en espérant que cela le reste jusqu'à la fin. C'est tellement dur de bien conclure une série, même si je suis pas pressé qu'elle finisse...

    Wouaf Le 06/04/2018 à 20:16:37

    Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu quelque chose sur le temps qui ne soit pas ni sérieux, ni grandiloquent, ni noir intense. Un vrai plaisir de voir les éléments se mettre en place et nous guider.

    Wouaf Le 06/04/2018 à 20:09:41

    Excellent, le scénario est toujours plein d'originalité, le dessin magnifique, l'histoire se construit méthodiquement et nous tient en haleine.

    Wouaf Le 06/04/2018 à 20:07:16

    Excellent, le scénario est plein d'originalité, le dessin est magnifique notamment pour tous les mécanismes. Un renouveau des histoires concernant le temps et sa trame.

    Shaddam4 Le 29/03/2018 à 12:26:38

    Comme sur tous les albums de la série, l'intérieur de couverture comporte un extrait du dictionnaire des oiseaux du monde d'Azimut. L'illustration de ce quatrième tome est moins chatoyante que précédemment... mais je chipote. La maquette est toujours aussi élégante et prépare agréablement la lecture. En revanche le titre du volume est en tout petit sur la couverture et n'apparaît pas sur la tranche, ce qui est dommage. Beau travail éditorial néanmoins.

    Azimut est depuis quelques années ma série préférée avec Servitude. A l'époque je connaissais le scénariste Lupano par sa première série Alim le tanneur mais je n'avais pas fait attention à sa présence (pourtant essentielle!) sur la série. Non, l'argument de vente a été l'univers fantastique absolument incroyable d'un adorable illustrateur à la modestie infinie: Jean-Baptiste Andreae. Pour les plus anciens, son premier ouvrage "Mangecoeur" avait fait parler de lui pour l'univers à la fois coloré et inquiétant qu'il proposait, un monde empli d'objets mécaniques improbables, de poupées aux dents pointues ou de visages déformés. Son monde peut s'approcher de celui d'un Tim Burton par un esprit doux-amer, mais en bien moins sombre cependant.

    Azimut réussit le pari incroyable de mettre cet illustrateur de grand talent (et adepte des femmes charnues) au cœur même de son imaginaire graphique! Comme un enfant dans un bac à sable absolu, il peut laisser libre court à ses visions, au sein d'un scénario qui semble totalement fait pour lui, épousant, utilisant, tout en guidant son style. J'appelle cela l'alchimie parfaite entre le dessin et l'écrit. Avec un humour désormais connu de Wilfried Lupano, que demander d'autre que d'avoir l'une des plus importantes séries BD des vingt dernières années? (oui-oui, j'assume!).

    L'histoire basée sur le temps (avec ses corollaires du paradoxe temporel, du retour en arrière et autres sauts tous azimuts...) est complexe, révélée progressivement. Pourtant chaque album reste rapidement et agréablement lu même si l'on ne se replonge pas au préalable dans l'intégralité de la série. Une série à plusieurs niveaux en somme: le premier empruntant aux créations passées d'Andreae (comme le mésestimé Terre mécanique) construite comme une poursuite perpétuelle entre un groupe de freaks mignons et des poursuivants très méchants, le second très sophistiqués articulé sur plusieurs époques entre lesquelles les personnages naviguent en laissant le lecteur soupçonner qu'untel est le passé ou le futur d'un autre ou que cette séquence se déroule dans l'esprit de celui-la... Très casse-gueule comme scénario mais jusqu'ici admirablement construit et pas un instant l'on peut soupçonner le scénariste de partir sans plan préconçu. Après tout Bajram sur Universal War 1 avait bien un plan entièrement ficelé qui lui a permis de boucler magistralement son histoire de paradoxes spatio-temporels.

    Ce qui permet de fluidifier cela c'est donc le monde peint par l'illustrateur. Un monde aux oiseaux mécaniques, aux titans enchaînés dans un zoo côtoyants des poupées de chiffon animées et des tortues-cyborgs! Un enchevêtrement de tout de qui peut être amusant, joli, exotique... et le tout reste cohérent entre les mains de ces deux grands artistes que sont Andreae et Lupano, et surtout follement drôle. Fidèle à lui-même, le scénariste en profite même pour glisser quelques idées très politiques comme cette image muette après le passage des nuées noires, où les hommes ont été ensevelis et qu'il ne reste dans le royaume de Baba Musiir que des femmes hébétées.

    Bon, je vais m'arrêter là pour ne pas vous saturer de louanges. Les fana de Lupano sauront de quoi je parle, pour les autres, laissez vous porter par la poésie de ces mondes où chaque image regorge de détails, où chaque nom évoque un tas d'idées et de références. Azimut est une grande BD, une très grande BD.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/03/28/nuees-noires-voile-blanc

    minot Le 26/03/2018 à 15:38:02

    Un univers délirant, des personnages grotesques, des machines bizarres faites de bric et de broc, des animaux semi-mécaniques, une Vénus aux formes girondes ... bienvenue dans l'univers fantasmagorique d'AZIMUT ! Ce premier tome est un vrai régal, à condition d'adhérer à ce genre d'univers imaginaire et au dessin très excentrique.

    kingtoof Le 15/02/2018 à 13:58:43

    Un poil déçu...
    L'histoire suit son cours, toujours de manière décalée,
    Les dessins sont réussis comme sur les précédents tomes,
    Mais... le scénario avance doucement à mon goût pour ce 4ème tome...
    Il faudra attendre 2 ans pour connaître la suite...

    luuna38 Le 14/01/2018 à 11:30:27

    Pour l'ensemble de la série :

    Il est dur de comprendre et rentré dans ce monde imaginaire, on s'y perd et on arrive pas a suivre.

    Zorglubu Le 01/11/2016 à 09:58:47

    Non de Zeus que je suis fan de cette serie. C'est beau, onirique, on est déconcerte sans être perdu. Cette serie me rappelle les contes de mon enfance adaptés aux adultes. A lire absolument.

    paillasse71 Le 14/04/2016 à 10:37:21

    Un univers genial, un scenario au top, une superbe mise en place pour un premier tome qui transpire la classe et nous transporte dans un monde qui n'a rien à envier à Lewis Caroll. Une veritable reussite à decouvrir et à devorer.

    kingtoof Le 08/02/2016 à 22:14:54

    Bonne continuation de l'aventure des différents protagonistes.
    Aristide arrive au source du Nihil et reçoit une révélation,
    Manie se retrouve 103ème épouse dans un harem
    Pôle Nord est toujours dans le Sud,
    et la terrible reine mère Éther continue sa poursuite meurtrière...
    Je pense que tout ce beau monde va se retrouver lors du prochain épisode...?

    judoc Le 02/02/2016 à 00:16:56

    Un 1er tome qui, comme ce monde imaginaire, nous ferait presque perdre le nord. Cet univers tour à tour fantastique, magique et déjanté est très bien dessiné. Le scénario est un enchainement de situations cocasses, de dialogues savoureux et de personnages décalés. Curieux mélange de genre, impatient de voir vers quoi vont nous emmener les auteurs...

    A suivre donc !

    galinux Le 30/05/2015 à 11:40:33

    Après un excellent premier album, qui mettait en scène l'univers et ses (nombreux) personnages, on attendait d'en savoir plus. L'univers est toujours bien en place et s'étaye au fur et à mesure, mais finalement, on en apprend pas tant que ça sur les personnages actuels (en fait on en découvre d'autres). Le rythme de la BD ne nous laisse pas le temps de nous attarder sur chaque lieu, ce qui peut avoir parfois un petit côté frustrant... mais qui fait aussi le charme d'Azimut. Du coup j'ai été un tout petit peu moins séduit que pour le premier album, même si cela reste très bon.

    Bref une BD qui va a toute allure, toujours aussi débridée et loufoque mais qui garde une bonne part de mystère. A voir comment le prochain album saura étayer notre soif d'en savoir plus sur ce monde. Ne passez pas à côté de cette série!

    galinux Le 30/05/2015 à 11:27:38

    Superbe! Azimut m'a tout de suite fait penser à De Cape et de Crocs pour son univers loufoque, peuplé de créatures animales humanisées (les saugres), de bateaux à roues et de machines volantes que ne renierait pas Léonardo Da Vinci. De la même manière, cet univers défie les lois de la physique et du temps, l'objet central de la BD.

    L'univers est à la fois construit et léger. On est loin de l'héroïque fantasy pure et dur. Ce qui m'étonne, c'est la légèreté que Lupano arrive à donner à son récit malgré un univers complexe et de nombreux personnages : chaque personnage sert l'histoire et a finalement un rôle presque secondaire. Il pourrait presque disparaitre sans laisser de trace. Ici c'est le rapport de tout ce petit monde au temps et les différentes rencontres entre les personnages qui nous intéressent.

    Les dessins sont superbes, l'humour absurde mais pas lourd, bref un album que je recommande, et pas seulement aux fans d'univers steampunk ou d'héroïque fantasy.

    the cereal killer Le 29/04/2015 à 19:12:19

    Encore mieux que le premier ,ce tome lève le voile sur des éléments inexplicables du tome 1 mais certains phénomènes restent flous..... mais on s’en fout ,c'est le but des auteurs..... donc ouais somptueux bestiaire ,chefs-d’oeuvre et tout ça tout ça..... 19,2/20

    the cereal killer Le 29/04/2015 à 18:59:00

    Cette BD est tout simplement un CHEF D’OEUVRE!!!!! Ça déborde d’inventivité et de trouvailles graphiques et scénaristiques (mention spéciale aux saugres qui sont tous plus originaux les uns que les autres)et le dessin est tout bonnement MAGNIFIQUE!!!!! En plus ,le thème abordé (le temps) est facilement sujet à la poésie absurde à la Alice au pays des merveilles... Sûrement le must de Lupano!!!!!Ce premier tome vaut donc 19/20.....

    kingtoof Le 16/01/2015 à 07:36:43

    Belle découverte d'un monde original alliant science et magie : avec un magnifique bestiaire.
    Je trouve ce deuxième tome, plus riche et plus profond. Il éclaire l'histoire du tome 1.
    De très belles couleurs.
    On attend la suite...

    Zeul Le 31/08/2014 à 01:02:13

    Ce 2ème tome reste très bon mais j'avoue une petite inquiétude par rapport au 1er : ne part on pas trop loin dans le burlesque, au détriment d'un scénario pouvant devenir incohérent ou dans tous les cas difficilement compréhensibles ?
    Je suis tellement fan de Luppano que je reste très confiant pour la suite.

    Karoutcho ! Le 09/08/2014 à 13:33:02

    Tout le bien que je pensais du premier tome se confirme : l'inventivité des auteurs est exceptionnelle, les personnages sont savoureux, les rebondissements sont nombreux. Même si le nord a la bougeotte et que les boussoles perdent la boule, le duo sait parfaitement où il va. Et moi je les suis avec bonheur.

    Karoutcho ! Le 09/08/2014 à 13:26:45

    Un de mes coups de coeur de ces derniers mois. J'admire l'imagination débordante des auteurs ; ils font preuve d'une inventivité remarquable ! Chaque page réserve son lot de surprises, tantôt loufoques, tantôt surréalistes. Le scénario me paraît bien ficelé et les dessins sont magnifiques. Vivement la suite.

    PS : Pour ceux qui connaissent, je trouve qu'il y a un petit côté « Nef des Fous » dans cette série.

    GTB Le 06/02/2014 à 01:24:59

    De l'aventure fantastique intelligente où narration, écriture et planches sont savoureuses au sein d'un univers un brin burlesque et surprenant.

    Ce tome 2 fait donc suite aux cliffhangers du tome 1, fait la lumière sur certains mystères pour dévoiler une part d'ombre plus grande encore. L'intrigue se complexifie, devient multiple, donne de la profondeur à certains personnages...le tout se bonifie.

    De son côté JB Andreae donne vie à tout cela en caressant amoureusement nos mirettes.

    Du travail sérieux, soigné et maitrisé que je conseille à tout rêveur. Plus qu'à attendre sagement le tome 3.

    Jiefd64 Le 05/02/2014 à 19:25:37

    Un tome 2 qui prolonge le charme du 1. Un univers onirique, des personnages improbables sortis d'une imagination débridée, un monde de rêve et de terreur avec en toile de fond la question du temps qui passe et de l'échéance finale qu'on aimerait bien repousser. Un univers entre Lewis Carroll et Tim Burton.
    Au dessin Andreae nous en met plein la vue et magnifie le scénario brillant de Wilfrid Lupano. Une réussite totale. L'une des meilleures séries de ces dernières années.

    willybouze Le 04/02/2014 à 14:26:07

    Cet album est dans la lignée du précédent. Sauf qu'on connaît les personnages donc c'est un peu plus facile de se repérer.

    Comme pour l'album 1, il ne se passe pas énormément de choses. Mais ce n'est pas ennuyeux et il y a tant de trouvailles et d'imagination qu'on se laisse porter par la non-histoire.

    Enfin, c'est un poncif, le dessin est très beau et sa mise en couleurs lumineuse.

    willybouze Le 24/01/2014 à 14:34:19

    Ce premier tome part dans toutes les directions, mais il est très prometteur.
    Déjà, graphiquement, c'est très beau, avec des personnages improbables et burlesques.
    Ensuite, l'histoire commence juste et on ne peut pas dire qu'il se passe grand chose dans ce premier opus. Mais il s'en passe assez pour avoir envie d'aller plus loin.
    Sans manichéisme, les personnages sont attachants, même s'ils sont irritants. L'héroïne sexy est typique des héroïnes pour attirer les ados aux fantasmes mamelus. Mais elle a un caractère qui nous la rend attirante au delà de cette seule plastique avantageuse.

    Le 2ème tome est sur ma table de nuit... à voir s'il tient les promesses du premier.

    CriticaBD Le 18/06/2013 à 12:08:30

    Lupano est un très bon scénariste avec beaucoup de récents séries à succès et à juste titre : Alim le tanneur, L'home qui n'aimait pas les armes à feu, ...
    ici, il s'essaie au fantastique qui est plus l'apanage du très bon dessinateur Andreae.
    Le scénario est comme d'habitude très bien construit, le monde (bien que loufoque) cohérent et l'humour est présent.
    Toutefois, je dois reconnaître que je n'ai pas aimé cet album au même niveau que les autres albums du même scénariste sans trop savoir pourquoi. Sans doute est-ce juste mon aversion personnelle pour les histoires uniquement fantastiques?

    zeul Le 10/10/2012 à 05:14:38

    BD qui confirme mes attentes et les critiques que j'avais pu lire.
    A la fois drôle, très inventif, intelligent, prenant. Pourtant, la limite avec l'incohérence, l'absurde, le sans intérêt était proche ; c'est d'autant plus fort de la part des auteurs.

    tutur.57 Le 26/09/2012 à 21:34:08

    Une bande-dessinée prometteuse, un scénario original, envoutant, drôle. En effet, on pénètre dans un univers fantastique doté de créatures extraordinaires, uniques. Une histoire intrigante… Les personnages sont sympathiques, intéressants. Les dessins sont également très bien faits, mais ils gagneraient à être plus colorées.
    J’attends de pieds fermes le prochain tome. 8/10