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Beau format, beau papier. Belle préface de l'inévitable Philippe Goddin. Par nature un contenu inégal vu la variété des styles et talents (en gros : 1/3 de très bon 1/3 de sympa 1/3 de "bof !")
Superbes illustrations de couv' et de 4ème de couv'.
A noter que ces planches semblent dater du milieu des années 80 (certaines indiquent 1986/87, la RFA était encore de ce monde et Chaland aussi :/ ).
Difficile d'identifier certains auteurs car, contrairement à une pub de l'époque, ils n'avaient pas tous signé.
Ceux qui s'en sortent le mieux : Bilal donc, Moebius, Cleet Boris, Cornillon, Ted Benoit, Kelek, Stox & Mme Spell...
Hasard amusant et ne devant rien à un abus de popaïne : un détail du fétiche arumbaya moins repérable dans l'album d'Hergé que son oreille cassée, sa main brisée et ses cicatrices est particulièrement mis en valeur sur les grandes vignettes : le signe "www" qui orne son front... pile-poil à l'époque où cet acronyme (qui deviendra bientôt infiniment plus célèbre dans le monde que la houppette du reporter) était créé !
Ce recueil devait apparemment lancer une collection "Variations - Hommage à Hergé" mais il semblerait qu'il n'y ait pas eu de suites, ce qui n'est pas très étonnant (2 ans plus tard débarquait un certain Rod Nickwell et l'univer$ hergéen ne sera plus le même...)
Spin-off pour le moins inattendu, ce tout petit ouvrage au format carré explore les tourments existentiels d’un salaud emblématique des Aventures de Tintin, Allan. Tout juste libéré de prison, le célèbre « marin bandit », semble prêt à prendre un nouveau départ, mais les circonstances vont lui montrer qu’on n’échappe pas si facilement à son destin de tueur…
Difficile de savoir ce qui a poussé Sarah Belmas à créer une histoire autour d’Allan, personnage secondaire et récurrent des Aventures de Tintin, canaille sans foi ni loi pour qui la vie humaine ne vaut pas bien cher. Cette jeune autrice-illustratrice a déjà à son actif une BD intitulée « Lever l’ancre », où elle se livre sans fards, avec ses angoisses, ses doutes et ses peurs de femme ordinaire. Et en matière maritime, de la métaphore de ce titre à la réalité narrative de son nouvel album, il n’y a qu’un pas, puisque la mer est omniprésente ici…
En revanche, pour ce qui est des liens avec l’œuvre d’Hergé, elle se limitera au fameux Allan – rebaptisé ici Allan Thomas Scott, alors que dans « Tintin », il a pour patronyme Thompson, probablement pour des raisons de copyrights comme on peut l’imaginer sans peine – et à la ligne claire si particulière de l’auteur belge. Sarah Belmas emprunte à son univers graphique, sans abus, avec juste quelques touches référentielles ça et là qui permettent une immersion minimale du lecteur.
Car en effet, ce bref récit pourra dérouter ceux, ne parlons même pas des fans pur jus, qui s’attendent à une véritable histoire. Le format est bien trop court pour cela. On est plus dans une approche expérimentale, une sorte d’échappée poétique, non dénuée de charme, où l’on découvre la crapule Allan errant sur la jetée d’un port à sa sortie de prison, appréciant la sérénité des lieux et se récitant à lui-même des vers aux accents baudelairiens, prêt à s’acheter une conduite. Une parenthèse de courte durée pour cet homme avouant se sentir encore prisonnier malgré cette liberté retrouvée, car le destin, allié à sa nature profonde, aura tôt fait de le replonger dans la spirale de la violence. La mer est ainsi faite, alternant, tel un écho à l’âme noire du marin bandit, la quiétude de l’oubli aux secousses des sombres maelströms.
Autre incongruité de cet OVNI hergéen, première bande dessinée de la collection Zoom sur Hergé, on découvre qu’Allan entretient une liaison amoureuse avec une femme, qui n’est autre que l’autrice. Belmas se met ici en scène telle une Pénélope attendant le retour de son Ulysse voyageur au long cours. Etrange d’ailleurs sa façon de se représenter avec un nez crochu évoquant un perroquet… Doit-on y voir un lien avec la Castafiore, le seul personnage féminin marquant dans « Tintin », qui plus est guère flatteur pour la gent féminine et fort peu susceptible de susciter des sentiments amoureux…
D’une certaine façon, l’autrice braque un projecteur sur le rôle de la femme dans l’œuvre d’Hergé, à travers ce personnage d’amante mélancolique et délaissée. Pour autant, on n’y trouvera aucun discours féministe offensif. C’est assez inattendu voire déconcertant, sans prétention aucune. Cela vous traverse l’âme à la manière d’une brise marine, laissant sur la mémoire un léger goût de sel, celui de l’océan et peut-être des larmes.
Quel intérêt ? Une lecture un peu ampoulée case à case de l’album sans aucun apport notable ou de remarque intéressante.
J’ai relu 2 fois en me disant que j’avais loupé quelque chose. Mais non.
@voltaire:
Interdit par la fondation...
Exactement la raison pour laquelle il vaut la peine de l'avoir dans sa collection ;-)
Bien à vous!
Exceptionnel ouvrage réunissant tous les documents qui ont concouru à la vision de l'Amérique par Hergé, depuis les films muets, la vie scoute, ses rencontres et ses deux voyages aux USA.
Ce large panorama intègre toutes les créations de Hergé ayant trait à l'Amérique, et elles sont nombreuses tout au long de sa vie !
L'édition néerlandaise dans Het Laastst Nieuws de Tintin en Amérique est proposée en français, le traducteur Patrick Vandersleyen transposant les textes calibrés dans les surfaces modifiées des phylactères de la version hollandaise: un travail d'orfèvre !
D'incroyables ébauches de scénarios crayonnés et sommairement découpés sont exposés "dans leur jus", qui auraient pu mener Tintin chez les Peaux-Rouges. Plus généralement, le livre fourmille d'anecdotes inédites, dont plusieurs lettres de voyage dans lesquelles Hergé révèle son intérêt pour la nation Sioux, ses rencontres avec les dessinateurs américains et Andy Warhol.
Philippe Goddin, dans la lignée de ses ouvrages précédents sur l'oeuvre, comble l'amateur par la qualité de ses analyses pertinentes : il a eu cette chance d'avoir connu Hergé, et sait en partager sa connaissance étendue.
Jean-François Douvry
"Tintin au Congo" ne fait certes pas parti de mes albums "Tintin" préférés, loin de là.
Mais j'ai beaucoup apprécié l'édition présentée par Philippe Goddin, auteur déjà de la remarquable édition "La malédiction de Rascar Capac", que je consulte très régulièrement.
L'originalité de cette édition inédite réside dans la publication intermédiaire de l'album, sous le titre de "Tintin in Kongo", de septembre 1940 à octobre 1941, dans le journal belge "Het Laatste Nieuws".
Cette version est basée sur celle du "petit vingtième" de 1930 et va se rapprocher au fil des pages de celle publiée,cette fois-ci en couleur , en 1946.
Cet album, en format à l'italienne bénéficie, outre d'une iconographie très abondante, d'un dossier assez complet, et de commentaires de Philippe Goddin sur chaque page de l'album.
Certes, j'ai trouvé ces tribulations de Tintin au Congo un peu moins intéressantes que le formidable diptyque intitulé " la malédiction de Rascar Capac", mais les les amateurs (ou plutôt les collectionneurs) de Tintin doivent lire cette monographie, qui en fin de compte réhabilite un album que certains voulaient voir retirer du circuit il y a encore très peu de temps, en 2012 et que d'autres ont réussi à faire retirer de certaines bibliothèques.
Il s'agit d'un ouvrage écrit à l'occasion d'expositions sur le sujet, en quelque sorte le catalogue.
Les vrais tintinomaniaques le trouveront très incomplet même s'il est très agréable. Disons qu'il s'agit davantage d'une introduction sur ce domaine qu'une somme réelle.
Mérite toutefois sa présence dans toute bibliothèque tintinophile.
Après le Secret de la Licorne et Le Trésor de Rackham le Rouge
parus précédemment chez Moulinsart voici les 7 boules de Cristal parues initialement dans Le Soir en 1943 et 1944.
Même formule à savoir, 3 strips originaux sur la page de droite, commentaires sur gauche.
L'aventure s'arrête brutalement au strip 153 pour la bonne et simple raison que Bruxelles venait d'être libéré par les Alliés et que le journal cessa de paraître un temps.
Tintin reprit le fil de ses aventures dans son propre journal mais en 1946.
Reste que cette version ci nous offre quelques jolies pépites non reprises das l'album comme ce savoureux passage au music-hall où une dame ne porte pas un manteau de vison mais du lapin, ou plus énigmatique encore la présence de petits disques de plomb qu'on retrouve auprès de chaque victime de la malédiction inca.
Un album à réserver néanmoins aux seuls tintinophiles.
L'invasion de la Belgique par les nazis en 1940 met fin aux aventures de Tintin dans le Petit 20ème alors que le héros est perdu dans les sables du désert de "L'or noir" et que le simoun se lève.
En 1942 notre reporter de choc reprend du service mais sous forme de strips quotidiens paraissant dans Le Soir.
Occupation oblige, nulle allusion guerrière désormais mais une histoire de parchemins et de pirates.
Cet album réunit les 174 strips quotidiens du Secret de la Licorne à raison de 3 strips par page d'où ce format à l'italienne.
Mais l'ouvrage n'est pas simplement une réédition de qualité. Les dessins originaux sont sur la page de droite tandis que sur la gauche Philippe Goddin nous gratifie de commentaires le plus souvent de grande qualité.
Compte tenu de cela on comprendra que ce livre est à réserver aux tintinophiles qui l'apprécieront grandement; les autres préféreront la version couleur avec ses grandes images de batailles dont cette version ci nous prive par définition.
Cette édition de la prépublication du diptyque Objectif Lune-On a marché sur la lune en journal TINTIN (1950-1953) est intéressante à plus d'un titre.
Non seulement elle permet de découvrir la première mouture de cet épisode culte mais elle apporte énormément d'informations sur le travail préparatif d'Hergé sur un sujet techniquement difficile.
Les séquences, vignettes et montages remaniés, rajoutés, supprimés pour la mise en album mettent en évidence le retour critique permanent exercé par Hergé sur ses productions.
Très édifiant quant à la mise au point d'une horlogerie graphique et scénaristique fondamentale dans l'achèvement d'une BD.
Un point m'a marqué dans l'évolution de détail de l'oeuvre, on peut regretter certains choix non justifiés et surtout une révision de la mise en couleurs que je trouve assez discutable. Les couleurs originales ont un charme fou et participent au plaisir de lecture.
Il est dommage qu'une édition d'une telle pertinence soit proposée dans un format si réduit, elle méritait même un agrandissement du format original comme il a été fait pour le diptyque de La licorne.
Indispensable à tout Tintinophile patenté.
assez bizarrement mon album commence à la page 4,avec la page de garde au verso de cette page 4,donc il n'y a pas eu d'arrachage des pages 1,2,3 ...est ce la même chose pour tous les albums ?bizarre,vous avez dit bizarre.ou un zouave est il passé par là ?
C'est certainement avec cette édition à l'italienne que m'avaient offert mes parents en 1988, que ma passion pour Tintin s'est affirmée et que j'ai commencé à collectionner les différentes éditions de Tintin.
Avec cette version originale, je découvrais qu'il existait des variantes aux albums que l'on trouvait habituellement dans le commerce.
Et que dire de la présentation de Philippe Goddin et de Stéphane Steeman qui me faisaient découvrir quelques strips inédits en n&b des "7 boules de cristal". Il me faudra attendre "les mystères des 7 boules de cristal" (2012) et surtout "la malédiction de Rascar Capac" toujours commentée par Philippe Goddin (2014) pour lire enfin ces planches parues dans "le soir volé".
Pour revenir à cet album, je dois dire que les couleurs sont nettement meilleures à celles de sa réédition de 2003.
Une édition qui certes date de 1988 mais qui préfigure déjà les rééditions des "Blake et Mortimer" dans le format du journal de Tintin, et bien sûr les superbes ouvrages de Philippe Goddin ("la malédiction de Rascar Capac", "les tribulations de Tintin au Congo").
Une édition passionnante voire indispensable qui ravira les tintinophiles.
Philippe GODDIN rentre trop dans les détails et au final ça en fait un album ennuyeux et fatigant a lire,si tintin avait des chaussettes jaunes GODDIN expliquerais pourquoi tintin a des chaussettes jaunes,Philippe GODDIN a voulue faire une version de tintin au congo qui péte le feu et au final il a fait un album trop long et c'est bien dommage,malgré tout si ont est tintinophile ou collectionneur de bandes déssinées ça fait quand même plaisir de l'avoir dans sa collection
L'intérêt de cet ouvrage est bien sûr l'appareil critique de P. Goddin. L'avis d'Ocatarinetabelatchixtchix me semble biaisé... puisqu'il a reconnu sur le forum n'avoir aucune intention de lire l'ouvrage.
Une biographie du célèbre professeur, pleine d'humour et de tendresse, offert aux passionnés de Tintin, par Albert Algoud.
Une version de Tintin au Congo présentée comme inédite mais qui ne l'est malheureusement pas à part quelques (très) rares cases en fin d'album. Tout le reste n'est en fait qu'un mélange de cases reprises soit de la version noir/blanc, soit de la version couleurs. Bref, tout cela ne présente en fin de compte que peu d'intérêt et seuls quelques collectionneurs acharnés y trouveront vraiment leur compte.
Livre extrêmement bien documenté qui nous apprend beaucoup de choses sur Tintin au Congo et son époque. Un véritable petit bijou indispensable à tout collectionneur de Tintin qui se respecte.
Analyse et décryptage de l'univers tintin au fil des pages.
Les timbres sont illustrés par les personnages de la série.
Anecdotique, même si on en apprends sur la marine de Louis XIV, l’exégèse reste un pe artificielle.
L’iconographie reste sommaire, avec plus de photos de maquettes que de véritables originaux d’Herge.
Instructif toutefois.
1er version du crabe rouge avant qu'il ne devienne le crabe aux pinces d'or,album indispensable pour les tintinophile,quelle plaisir de re lire cette aventure ou tintin rencontre son futur ami le capitaine haddock qui aprés le suivras partout dans toutes ces aventures
Album-film écrit par les scénaristes du long métrage agrémenté nombreuses photos. La lecture est plaisante et permet de se rappeler le film. Pour compléter la collection.
Excellent : bien écrit, intéressant et très belle mise en page ! A découvrir et à offrir autour de vous.
La liste est très complète et je suis positivement étonné d'y trouver l'ouvrage pour lequel j'ai fait l'illustration de couverture et qui n'était même pas commercialisé.
Chapeau pour le travail de recherche.
À lire pour tout connaître des secrets de fabrication de Tintin. Les "7 boules..." n'est pas le plus intéressant mais les circonstances de sa pré-publication interrompu par la libération et la collaboration avec Jacobs donnent un éclairage particulier à l'histoire. On y découvre aussi des gags disparus dans l'album.
Un plus donc pour les tintinophiles.
Des images ligne claire magiques avec des décalques incluant des timbres à collectionner et indispensable pour tout collectionneur averti
Qui ne sait que "achtung" en allemand signifie "attention" ... inutile d'en faire 3 lignes dans ce minuscule petit album (le prix par page atteint des sommets). Certes la partie sur le chinois, l'arabe ou l'hindi est plus utile mais non illustrée.
Par contre un grand intérêt de l'oeuvre d'Hergé est basée sur le langage arumbaya ou syldave. Là c'est vraiment marrant ... mais absolument pas décrit dans le livre. Le bruxellois n'est peut-être pas une langue mais un patois ? Et pourtant, quelle saveur ! Dans L'affaire Tournesol, Tintin face à l'hôtel "Zsnôrr" ... en bruxellois, cela signifie "moustache", et comme par hasard les décorations de l'hôtel (appliques et accent circonflexe dans le nom de l'hôtel) symbolisent les petites moustaches de Plekszy-Gladz ...
Bref : petit, cher, incomplet et donc décevant. Dommage.
Point de mystères révélés, mais une adoration sans borne du dieu Hergé.
Le plus petit ombrage est prétexte à savante dissertation, du genre « la ligne claire, ici, c'est le jeux rigoureux des tracés et la gestion de leurs recoupements au sein de l'espace modulable de la case. » Joost Swarte, au secours !
Si au début l'influence et l'amitié de Tchang semblent être le fil conducteur du narratif, celui-ci se résume ensuite en une série de dissections de quelques images du « Lotus bleu. » L'auteur en profite pour encenser la clairvoyance du propos, et va chercher des significations stylistiques parfois tirées par les cheveux. Comme l'auteur le rappelle dans sa dernière phrase, « Hergé n'a pas trente ans.»
Curieusement, le livre s'achève en queue de poisson page 32. Il y aurait eu pourtant beaucoup à dire sur d'autres pistes du Lotus...
Les reproductions des planches originales valent à elles seules la lecture de l'album.
Vous aimez tintin, vous aimez la Lune. Alors cet album est fait pour vous.
Ouvrage très documenter sur l'exploration de la Lune. La vraie avec les missions Apollo et la quasi vraie avec la mission de notre chercheur adoré "Triphon". C'est une comparaison très intéressante sur ces deux technologies.
Nous apprenons plein de choses... Passionnant du début jusqu'à la fin.
Dommage ça se lit trop vite.
A lire pour les amoureux de Tintin et de l'exploration spatiale.
Contrairement au mystère de la Toison d'Or, cette aventure est d'une affligeante médiocrité. La raison a un scénario d'un infantilisme rare qui met justement en scène des enfants, histoire que le public puisse mieux s'identifier aux petits héros.
Cett histoire d'oranges bleues qui poussent dans le désert et pourra ainsi vaincre la faim dans le monde, laisse vraiment un goût amer.
A noter que dans cette version, c'est Jean Bouise qui remplaçait Georges Wilson dans le rôle du capitaine Haddock.
Des deux films avec acteurs celui-ci est le plus réussi. Le scénario dans lequel a trempé Rémo Forlani, un vrai fan de BD, est digne de la saga hergéenne et nous vaut de nous balader à Istanbul.
Dans cette période de grande pénurie tintinesque, il ne serait pas idiot de mettre cette histoire en planches et vignettes et beaucoup réaliseraient alors qu'elle tient largement la route.
Reprise des 183 strips quotidiens en N&B parus dans le journal de Bruxelles, Le Soir, le même qui passera à la posterité sous le nom de "Le Soir volé" par les Allemands et qui vaudra quelques soucis à Hergé à la libération.Le livre est intéressant dans la mesure où il permet de mieux saisir la qualité du travail d'Hergé entre cette aventure parue dans le journal et celle publiée en album.
Il y a certes l'ajout de la couleurs et une multitude de petites modifications qui vont toujours dans le sens d'une meilleure lisibilité. C'est à ça qu'on mesure le génie d'Hergé.
Pour autant, je pense qu'il aurait préférable d'avoir comme pour l'Ile Noire, un album qui offrait simultanément les deux versions. Les commentaires prodigués reviennent en effet sur la version couleur qu'on n'a pas directement sous la main.
Histoire déplorable et infantilisante. Reprend en les tranformant les cellulos du film. Il existe une version "pirate" qui reprend une publication (dans un quotidien belge, je crois) qui, elle, a vraiment été redessinée dans l'esprit "Tintin" mais le sceénar est évidemment le même.
Sent le soufre car interdit par la fondation Hergé. Il s'agit d'un livre -barbant- sur les méfaits de l'alcoolisme.
A part ça ...
La version originale (à l'italienne) d'une des plus fameuses aventures de Tintin. Les planches étaient publiées en pages centrales de l'hebdo.
Un doucment pour tous les tintinomaniaques.
Ce n'est pas de la bande dessinée mais un recueil de jeu de plateau (sur 2 planches le plus souvent).
Impossible de noter car destiné aux afficionados uniquement.
Un bien bel objet que cet album petit format reprenant le secret de la licorne publié en version strip noir et blanc pendant la guerre. La page de droite nous permet de lire l'aventure tandis que celle de gauche nous explique les changements entre les versions strip et album. Un peu rébarbatif quand on n'est pas tintinophile (ou logue, ça dépend - mais faut vraiment être passionné pour apprécier de lire "là, il a enlevé un g sur le drriinnggg de la sonnette" et autres infos du même aquabit) , mais certaines anecdotes sont passionnantes pour les néophytes, et c'est agréable de découvrir une version "inédite" de tintin en noir et blanc. Le trésor de rackham le rouge a été également édité sous la même forme. Ne manque plus que les sept boules de cristal...
Cette édition est passionnante car on (re)découvre les aventures de tintin au temple du soleil dans les conditions où les lecteurs des années d'après-guerre l'ont découvert. Un beau projet éditorial bien documenté dans sa préface, avec de nombreux dessins et planches inédites en album. Un regret : les planches auraient pu être un peu mieux "nettoyées", pas pour le fait que les couleurs d'époque font "passées" (au contraire, ça ajoute de l'authenticité), mais les traces d'agrafes, de trous et d'effets de papier froissé par endroits auraient pu être masqués (ça ajoute aussi de l'authenticité mais c'est moins agréable...)