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Humour
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Europe
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LE BIJOU COULEUR OCEAN
'Tintin aux Indes ou Le Mystère du Diamant Bleu', à l'exception de sa couverture est, à ce jour, introuvable en album à part quelques extraits sur Internet. Cependant, l'histoire étant une pièce de théâtre à l'origine, il est possible de trouver le texte et de profiter de son intrigue au même titre que les autres aventures écrites par Hergé.
Certes, si le nom de l'auteur original de Tintin est mentionné sur la couverture, l'auteur ne faisait que surveiller le travail d'un autre créateur et demander des modifications quand l'intrigue n'était pas à son goût. Créateur étant Jacques Van Melkebeke. Et ça se sent.
Commençons par le commencement. Situé après 'Le Sceptre d'Ottokar', 'Le Mystère du Diamant Bleu' débute la fête du Maharadjah de Padakhore en Inde. Divers personnages parlent de Tintin loué pour avoir empêché la Bordurie d'accomplir un coup d'état en Syldavie. Lorsque le reporter se joint à la fête, le Diamant Bleu du Maharadjah est volé. Ni une, ni deux, Tintin décide d'enquêter pour démasquer le voleur.
'Le Mystère du Diamant Bleu' est plus une enquête policière qu'une aventure. Suspects sympathiques, antipathiques ou excentriques, soupçons, recherches d'indices...et même de la violence vu que le voleur se révèle être aussi un assassin au cours de l'histoire.
Mais est-ce tout ça suffit pour faire de 'Le Mystère du Diamant Bleu' une aventure incontournable de Tintin? Ben, pas vraiment. Certes, des personnages comme le professeur Chippendale entendant très mal (en gros, un pré-Tournesol), sa femme tentant vainement d'aider son mari ou la fofolle madame Nicholson sont très divertissants. On a même droit à la présence des Dupondt (bien qu'ils ne soient pas nommés ainsi dans la version théâtrale) toujours aussi hilarants dans leurs stupidités.
Cependant, les autres personnages sont assez fades et le Maharadjah est agaçant et capricieux au point que son pauvre ministre doit calmer ses ardeurs. Ce qui fait qu'on se demande si Tintin devrait vraiment aider ce personnage vu son mauvais caractère.
Ah, puisqu'on parle de Tintin. S'il arrive à faire des déductions aussi réfléchies et travaillées que dans 'L'Oreille cassée', Jacques Van Melkebeke a cru bon, lors de certaines scènes, de lui donner un caractère désinvolte pour des facilités scénaristiques. Ce qui ne correspond pas du tout au personnage qui, normalement, ne brusque jamais personne et se contente de rester, parfois, faussement poli pour mieux piéger ses adversaires. Heureusement que les scènes en question sont peu nombreuses sinon, on aurait eu l'impression de ne pas reconnaître le Tintin qu'on aime tant (de plus, le voir tutoyer un serviteur du Maharadjah alors que celui-ci le vouvoie montre que 'Le Mystère du Diamant Bleu' a mal vieilli).
Mais malgré ces hics, 'Le Mystère du Diamant Bleu' contient de bonnes idées. Déjà, la façon dont Tintin s'y prend pour découvrir le coupable est simple mais assez surprenante dans l'élaboration de son plan pour démasquer le voleur. Ensuite, Milou fait beaucoup rire de par son caractère espiègle et est également aussi intelligent que dans les albums d'Hergé.
Puisqu'on parle de l'auteur de Tintin. Les quelques pages de la version album de 'Le Mystère du Diamant Bleu' trouvables sur le net n'auraient certainement pas plu au créateur de Tintin. En effet, le dessinateur de la version album, encore anonyme à ce jour, est loin de maîtriser la maestria d'Hergé. En effet, les proportions des personnages/décors sont approximatives/hasardeuses et les couleurs ne sont pas très jolies.
Si 'Le Mystère du Diamant Bleu' vous intéresse, penchez-vous plutôt sur la version théâtre et non pas la version album.
Bref, malgré quelques, 'Le Mystère du Diamant' est un bon roman policier version-Tintin valant le détour.
Indispensable à tous les amoureux de Tintin ainsi qu'aux objets insolites ! Derrière une fausse narration décalée, l'effet d'itération plonge le lecteur dans un voyage temporel et culturel étonnant.
Très belle finition du livre avec son dos toilé !
Mon exemplaire, je l'avais trouvé aux puces de Saint-Ouen, sur un étal de fringues. Prix raisonnable. Quand je suis repassé, il avait été remplacé par un autre...
C'était avant les rééditions officielles (c'en fut peut-être la cause). Et j'ai connu le bonheur, celui dont nous rêvons tous, d'un être suprême qui nous dirait : "Il existe un un Tintin caché, tu ne l'as jamais vu. Et bien le voilà, il est à toi, lis-le !"
Hmmmm
Le must du pirate pour un collector.
Imprimé sous le manteau par une bande de fondus du petit Belge à la houppette le plus célèbre du monde.
Distillé au compte goutte dans le cercle restreint des étudiants de polytechnique de Montréal, à l'occasion du 20ème anniversaire du journal Le Polyscope … c'est un des pirates les plus recherchés et presque un mythe.
Bienheureux les détenteurs de cette petite merveille, les portes du château de Malinsourt leurs sont ouvertes !
Magnifique édition originale, au dos toilé rouge, produite à 20 exemplaires ayant pour mérite de donner un bel aperçu de l’œuvre de Yves Rodier s'agissant du personnage de Tintin: le talent du dessinateur canadien est manifeste.
Seul petit regret : la qualité du papier ainsi que la qualité d'impression des couleurs pour certaines pages (ex. le Thermozero).
Il existe une version similaire, à 50 exemplaires, au numérotage différent, reprenant des pages de garde illustrées: cette édition postérieure semble être une copie de celle-ci.
Ah là là quelle daube. Des dessins pris à gauche à droite dans les albums existants. Le tout mélangé n'importe comment sans scénario ni ligne directrice et vous avez Tintin en Euskadi. On touche le fond avec cet album
Un pastiche de Tintin légèrement de meilleure qualité que l'ensemble. Il faut dire que ce n'est pas difficile vu le nombre de navets que l'on trouve dans ce domaine. Ici, la réalisation est plutôt bonne même si le scénario laisse à désirer. Un album correct sans plus
Une histoire sans queue ni tête. L'auteur se contente de reprendre des pages entières d'albums existants. Les quelques cases inédites sont dessinées de façon médiocre. Tout ce mic mac ne ressemble à rien. Aucun intérêt
Une version couleur effectivement tronquée de nombreuses images originales et montées parfois dans le mauvais ordre. Je possède la version 4c, bizarrement remaniée : Sur la couverture, le nom d' Harry Edwood a été remplacé par celui d'Hergé et le 4ème plat n'est plus celui de Rodier, (bien que crédité en page 2) mais un type B modifié. Paru semble-t-il peu de temps avant la version officielle colorisée(complète celle là!), celle-ci n'a plus d'intérêt hormis pour un collectionneur acharné !
Le Scenario n'est pas de Rodier ni de Denis, mais de Yves et Alain.
Ce n'est pas un album en N&B mais en couleurs.
Livre très sympa et intéressant.
Cette version n'est pas que colorisée, elle a été également repaginée à la hache ! Des vignettes supprimées, d'autres tronquées, pour être réorganisées dans le mauvais ordre. Pans entiers de dialogues qui disparaissent. La mise en scène voulue par Hergé est massacrée, quasiment insupportable pour quiconque est familier de l'original en N&B. Quel dommage, vraiment, d'autant que la colorisation elle-même facilite grandement la lecture.
En fait, Tintin à l'ENA a été créé en 1988-89, par un élève de l'ENA (promotion Liberté-Egalité-Fraternité = LEF), pour deux premières éditions : une des six premières planches publiée à l'été 1988 dans une brochure sur papier glacé, puis l'intégralité des planches en 1000 exemplaires ronéotés agrafés en 1989 pour la fête de sortie, à l'occasion de laquelle il a été adapté pour la scène et joué par les élèves. puis à nouveau à 1000 exemplaires en édition soignée redessinée par un autre élève, et enfin réédité en 1996, toujours à 1000 exemplaires, à l'occasion d'une mission sur l'école. Il y a eu quelques éditions très confidentielles. Je sais tout cela parce que j'en suis le dessinateur et le scénariste ! Le défaut, c'est qu'il y a pas mal de private jokes !
A ma connaissance, de cet album, il existe deux versions différentes. La version toilée bleue et la version dos imprimé jaune. Le dos toilé est beaucoup plus fragile que la version imprimée. Il existerait 1000 exemplaires pour chacune des versions.
lorsque je note 5 sur 5 pourquoi dois je détailler mon appréciation c'et parfait jecontinue pur ne rien dire car cette obligation d'arriver à 100 caractères "est inutile et ridicule la cotation suffit à elle même dans de telles conditions je n'émettrai plus d'avis
Une réalisation de qualité (dessin, couleur, reliure,...) pour une diffusion aussi confidentielle.
Le scénario pourrait être plus riche, on est habitué à plus de rebondissements dans les aventures de Tintin. La fin est trop rapide, et semble inachevée. La surdité de Tournesol amuse au début et lasse le lecteur à la longue.
Cette version est moins intéressante que celle de Rodier.
Le dessin est moins bien maîtrisé, et l'épilogue me plait moins.
Mais elle reste plus divertissante que l'originale juste crayonnée et au scénario inachevé.
Cette édition qui est une histoire complète, en couleur, n'a pas a rougir devant les originaux d'Hergé.
Et je la préfère à celle de Fan2Tintin qui est moins aboutie.
L'original en N&B a peu d'intérêt, si ce n'est la genèse du héros. Cette édition est plus agréable à lire car en couleur. Des dessins sont tronqués, d'autres enlevés, ce qui fait un album avec moins de pages.
Vérification dans le BDM 2013 2014 page 887 , numéro 48 des albums pirates, Album paru en 1996 Édition l ´oeil du Pirate
Album à saisir d'urgence. Nous sommes en proche collaboration avec l'auteur et les seuls à éditer la version originale (Ziedaneky) désormais toute en couleurs. A commander directement sur la page Facebook de notre entreprise toineinbangkok. Les livres peuvent être envoyés partout en Europe.
https://www.facebook.com/pages/toineinbangkok/108086569240747
A bientôt.
Cet album comporte essentiellement des images d'origine du "Canon" Hergé, agencées sur un scénario complexe et libertaire/anarchiste/parodique, et un minimum de dessins ou cases "non d'origine". C'est un parti pris, et il il peut ravir les connaisseurs décontractés ou énerver les autres. En ce qui me concerne, j'ai apprécié et joué le jeu qui consiste à retrouver les albums d'origine des images ainsi détournées, et l'autonomie du scénario. Le parti pris du noir et blanc, qui limite les coûts et le prix, évite aussi d'éventuelles fautes de raccord sur les couleurs.
Comme le premier épisode, cet album comporte essentiellement des images d'origine du "Canon" Hergé, agencées sur un scénario complexe et libertaire/anarchiste/parodique, et un minimum de dessins ou cases "non d'origine". C'est un parti pris, et il il peut ravir les connaisseurs décontractés ou énerver les autres. En ce qui me concerne, j'ai apprécié et joué le jeu qui consiste à retrouver les albums d'origine des images ainsi détournées, et l'autonomie du scénario. On ne s'ennuie pas, et cela tient la distance sur 2 albums denses. Apparemment cela plaît à d'autres puisque le copain à qui je l'avais prêté ne me l'a jamais rendu.