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Comme bien souvent, Neil gaiman reprend des pans de mythes, mythologies, histoires fantastiques pour les mettre à sa sauce notamment avec l'aide des éternels.
Les sept histoires sont très bonnes, bien que certaines aient un goût de déjà vu, sûrement par leur fondement et que d'autre soit trop courtes.
La première surprise de cette album, c’est plutôt la galerie de dessinateur qui sont tous très doué, ce qui fait de ce tome un véritable moment de réjouissance graphique.
La deuxième surprise c'est que l'on fait la connaissance d'un éternel resté dans l'ombre jusqu'a maintenant: Destruction.
Pour finir, je dirai que c'est un bon tome qui en plus se paye le luxe d'éclaircir certaines zones d'ombre toute en apportant d'autres...
Magistral.
Le second épisode de Sandman est à la hauteur des espérances suscitées par le premier opus. Sorti de sa prison, Dream remet de l'ordre dans son royaume et dans sa vie. Cela passe par la mise au pas de certains serviteurs récalcitrants et fauteurs de troubles. Le personnage principal est ici une jeune mortelle dépassée par les événements: le rêve est dans ce tome plus terre à terre que dans les autres épisodes et plus humain sans doute. Au final un tom très chargé en émotions toujours aussi subtil et habile dans le recyclage de symboles marquants dans l'inconscient collectif, avec une apparition fugace et énigmatique de Desire...
Somptueux.
Neil Gaiman s’est fait connaître par ses talents de scénaristes et notamment pour son comics Sandman, à la fois imaginatif et intelligent. La Saison des Brumes est un des sommets de la série et plaira notamment aux amateurs de fantasy et d’aventure : ici on parle d’enfer, on recontre tous les Eternels (les frères et sœurs de Sandman). La Saison des Brumes a un accent épique qui plaît à une certaine catégorie de lecteurs. De plus, depuis Domaine du Rêve, le graphisme s’est un peu amélioré comparativement aux deux premiers tomes, et c’est presque beau par moment. Un grand moment de BD, lisez-moi cette série qui n’a pas, en France, le succès qu’elle mérite.
Splendide.
Ce troisième tome de l’histoire de Sandman est splendide. Il réunit quatre histoires indépendantes entre elles et sans lien direct avec la trame général du comics. Mais ce sont trois baffes qu’il vous faut prendre. Chacune est passionnante et d’une intelligence rare : Shakespeare, des chats, un romancier qui perd son inspiration, une pin-up qui perd sa beauté. Peut-être le summum du comics, en tout cas un de mes tomes préférés, juste avant Saison des Brumes, le déjanté tome 4.
Au-dessus du lot.
Sandman tient au sein de l'univers des comics la même place que son auteur: il est unique. Sandman a un côté intellectualisant et conceptuel trop rare dans le monde de la BD et qui lui a fait bénéficier d'un effet culte qu'il n'a pas démérité. En mélangeant avec bonheur culture et contre-culture, Neil Gaiman a puisé dans l'Histoire, la mythologie, le rock n' roll, le sexe, la drogue, la littérature fantastique pour créer un univer cohérent et dérangeant. On peut regretter le coloriage hideux, seule ombre au tableau du maître.
Sandman, Dream, ou Morphée, appelez le comme vous voudrez. L'important n'est pas son nom, ni son identité. L'important, c'est de savoir qu'il est vieux comme l'éternité, qu'il a toujours existé. A l'inverse des dieux, qui meurent au rythme des croyances des hommes, Dream fait partie de la famille des Eternels, qui forme les "7 D" : Dream, Destiny, Death, Desire, Despair, Delirium et Destruction.
Dream a ses obligations, ses contraintes, et ses faiblesses. Il cotoit dieux, démons et mortels. Nombreux sont ses pouvoirs, et nombreux sont ceux qui les convoitent. Et si ses choix sont toujours lourds de conséquence, c'est parcequ'il se doit de préserver cette éternité pour l'harmonie de l'existance.
Gaiman nous livre ainsi des histoires mures et immensément phylosophiques. Sans pour autant en comprendre le sens, le lecteur s'évade dans ses pensées, dans sa folie. Finalement, il serait dommage de se limiter au côté très basique des dessins, qui bien souvent ne sont là que pour représenter une pensée de l'auteur. Sandman se lit avant tout comme un roman illustré, de façon pensée, plutot que divertissante.
Bon je vais commencer par concéder un point aux détracteurs de Sandman : le graphisme (hors les couvertures) est assez rebutant, c'est inégal car il y a plusieurs dessinateurs par tome et c'est un style de graphisme de comics assez ancien. Mais par contre le découpage (s'il est parfois déroutant) est efficace et bien mené.
Mais surtout ce qui fait la très grande force de Sandman, ce son univers ! Immense, cohérent, complexe, fouillé ... Dream (ou Morphée ou Sandman) est un puissant parmis les puissants, le dieu des rêves en fait ;-), un dieu au milieu d'autres dieux où chacun est maître en son royaume et ou tout se joue par intrigues et rapports de forces ("La saison des Brumes" est une merveille scénaristique).
Dans "Préludes et Nocturnes", Sandman se réveille affaibli et joue et gagne pour regagner sa puissance.
J'y ai trouvé de nombreuses similitudes d'inspiration et de traitement avec "Le cycle des Princes d'Ambre" de R.Zelazni, confirmés par des commentaires glanés dans des préfaces, ils sont chacuns grands admirateurs de l'oeuvre de l'autre (enfin, était pour Zelazni, snif :'-(
En un mot comme en cent, découvrez Sandman !