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Masqué m'a rappelé un peu une autre série ayant également pour cadre Paris à savoir Tanatos. Il est vrai que cette dernière est pourtant située à une époque passée et non dans le futur. Cependant, il y a ce même esprit dans un univers rétro-steampunk où il est également question d'un homme masqué. Cette vision même de cette société du futur est bien intéressante même si cela utilise toutes les inspirations des films de science-fiction des dernières années.
L'introduction est plutôt bien réussie même si on aura du mal par la suite à reconnaître les principaux personnages aux prénoms un peu étranges: Braffort et Taleb. On ne mesure d'ailleurs toujours pas les enjeux de cette histoire dès la fin de ce premier tome. Aussi, connaître la suite ne sera pas ma priorité.
Par contre, je dois reconnaître que le graphisme est franchement magnifique avec d'ailleurs une très belle couverture. La précision du trait est remarquable et appréciable. J'avais déjà loué ses louanges avec la série Acriboréa. Dommage que le super héros français ressemble plus à un des personnages de Watchmen. La suite nous dira si c'est prometteur. A ce stade, il est encore trop tôt...
Le 3 se rapproche du 1, ce quatrième se rapproche du second.
On retourne dans les gros combats, du « plein la vue » à l’américaine, du grandiloquent dans les dernières pages…
Hop, mon intérêt redescend après le tome précédent.
Certes, la « guerre civile » est pas trop mal réalisée et ça pourrait être intéressant à suivre, mais ça reste grossièrement paf paf boum boum, sans subtilité, et avec une morale décevante.
Pire, ça donne l’impression que ce n’est que l’esquisse d’un prologue et que pour vraiment profiter de l’histoire, il faudrait encore lire 50 tomes…
Ça reste joliment fait mais sans plus. Dans les comics américains, de Superman à n’importe lequel, il se dégage une force, une animosité puissante des images. Pas là. C’est joli mais ça n’est pas tripant.
Si l’arrivée des parents ne m’a pas convaincu, le tome retrouve le côté plus intéressant du premier à mon goût.
Certes, il a toujours de la bagarre de super-héros, mais on a aussi à des discussions, des réflexions qui nous montrent les évènements sous différents jours.
L’arrivée de la gargouille et la transformation du préfet, sont aussi sympas : ce ne sont pas bêtement des personnages aux pouvoirs musclés comme le Fuseur, il y a un côté psychologique qui est intéressant. La scène finale est d’ailleurs prometteuses.
Encore quelques cadrages sympas, un peu moins que précédemment, peut-être, mais surtout, des dessins qui m’ont paru plus simplistes (bien qu’excellement réalisés) !
Je retrouve de l’intérêt pour la série.
Bien sûr, c’est la suite du précédent, tout était prévu, mais on tombe d’un coup dans une sorte de comics américains moins subtil, avec plus de gros combats.
Le premier mettait crédiblement des choses en place ; là, on tombe dans le côté super-héros, gros méchant gazeux qui résiste à tout, et on tombe complètement dans le côté super-héroïque pas crédible quand le premier tome me laissait penser qu’on allait être dans la SF avec une base plus solide…
Les dessins restent plutôt bons, surtout les scènes de foule, mais j’ai moins accroché avec tout ce tape-à-l’œil du fuseur qui m’a semblé moins cadrer avec ce qu’offrait le premier opus.
Ça reste bien fait mais ça m’a moins accroché.
Un très bon premier tome, qui met dans l’ambiance.
On suit Braffort qui découvre un Paris qu’il ne connaît plus et on apprend tout avec lui, aussi décontenancé par ce qui se passe, apprenant au fur et à mesure.
Une narration bien fichue qui donne des informations lentement, on nous présente une nouveauté, une action, un personnage, sur quelques cases, pages, et après, on nous en donne une autre. Alors ça reste dense sur le coup, mais on a le temps d’ingurgiter les choses tranquillement.
Les personnages sont plutôt bien construits, identifiables, un poil caricaturaux, d’un bloc, mais ça passe bien.
Les dessins sont très bons avec, souvent, d’excellent cadrages et plein de détails.
Très sympa.
Un 1er cycle de 4 albums, sans intérêt.
La couverture est une escroquerie, puisque le dessinateur n'est pas celui de l'album, et ce dessin est bien flatteur pour le contenu.
Cela part mal.
Et la lecture des 4 albums n'arrange rien.
Est-ce vraiment nul ?
Non, mais pas terrible quand même ; le héros n'est pas attachant, son entourage non plus, et certains intervenants ne sont pas d'un grand secours pour l'histoire qui est racontée (je pense aux nautoniers, et surtout celui qui sort avec la soeur du héros).
Graphiquement, on est loin de quelque chose de correct ; par moments, cela frôle le niveau de comics de chez Image (pas un compliment), je pense à la pige de Greg Capullo période "Haunt".
Mais là où les comics sont produit à la chaine, et où il faut sortir 22 pages par mois, on ne demande à un auteur français de ne sortir que 50 pages par an, et donc cela devrait se voir dans la qualité du dessin. Ce n'est pas le cas, ici, et c'est une déception.
Le scénario révèle quelques bonnes idées (la gargouille, ami ou ennemi, amateur de citations latines, est LA bonne idée de la série), mais laisse trop peu de souvenirs, au final.
Et puis, bonjour les clichés...
Le prêtre pédophile, il y avait longtemps !
C'est marrant comme les auteurs préfèrent nous parler de catholiques dévoyés plus qu'ultra-minoritaires (et dont la déviance n'est pas spécialement liée à une religion, mais plutôt à une maladie qui dépasse la fonction et touche essentiellement des pères de famille, toutes confessions confondues, et des instituteurs) plutôt que de musulmans barbares...
Un manque de courage, peut-être ?
bon, la fin du 1er cycle laissait entendre qu'il y aurait une suite.
3 ans plus tard, le projet semble enterré, et c'est très bien ainsi.
La série MASQUE se finit avec ce quatrième et dernier album. La confrontation finale avec le héros et son ennemi est très décevante car vite bâclée. Pas de duel final spectaculaire, des révélations assommantes … rien de folichon donc, si ce n’est le personnage de la Gargouille qui apporte une fine touche d’humour à cet épisode.
La série MASQUE se poursuit avec ce troisième album aussi barbant que le précédent. Des nouveaux « super-vilains » dont on ne comprend pas bien le rôle, des scènes d’action sans saveur, une intrigue de plus en plus brouillonne … rien d’intéressant.
Cette série part en sucette dès ce deuxième tome: la lecture se révèle vite ennuyeuse à cause d’un scénario peu inspiré. Ainsi le premier « super-vilain » arrive d’un peu nulle part et ce personnage est d’autant plus inintéressant qu’il est maîtrisé en deux-temps trois mouvements par le super-héros. Qui plus est les explications sur la nature des super-pouvoirs des personnages sont confuses et tirées par les cheveux.
L’originalité de la série MASQUE est de proposer une aventure de super-héros « à l’américaine » dans un Paris futuriste. Ce premier tome est relativement décevant à mon goût: un scénario qui avance trop lentement, une intrigue qui ne se dévoile qu’avec parcimonie et des personnages auxquels il est difficile de s’attacher. Et si certaines planches sont visuellement impressionnantes par la taille gigantesque des cases, le dessin façon « comics » n’est pas du tout ma tasse de thé. Dommage car la couverture splendide donnait vraiment envie de s’intéresser à cette série.
Une bonne série qui comprend 4 Tomes.
Les illustrations,, les personnages ainsi que l'intrigue sont relativement intéressantes. Juste, quel dommage que ce soit si court !!!!
En revanche, Lehman a plutôt bien su transposer les héros américains dans une France futuriste tout en y ajoutant sa touche personnelle.
Très interessant, les dessins de Créty sont toujours bon dans le style architectural ou des vaisseaux, bonne couleur.
Effectivement, le scenario avance peu, mais les bases sont posés de manière construite et stable.
A suivre
Ce tome 4 clôt le premier cycle de la série « masqué » qui commence dans le Caucase quand le sergent Braffort est grièvement blessé en opérations. De retour à Paris, il découvre que la ville a bien changé. Ca commence comme un futur proche type Golden City, en plus noir, teinté cyberpunk puis évolue progressivement vers un paroxysme dans le tome 4 et l’avènement d’un nouveau super-héros : l’optimum.
C’est magnifiquement dessiné, le découpage est bien rythmé et cette série est vraiment une approche nouvelle des histoires de super héros.
Alors que les deux premiers tomes m'avaient plutôt convaincu, ce tome 3 me laisse vraiment dubitatif. Mon sentiment devant cet album est tout simplement l'incompréhension dans le déroulement des actions et dans des personnages au double visage et aux aspects souvent contraires à leurs actions. Enfin, les auteurs prennent plaisir à nous mener sur de fausses pistes – les anomalies dont on ne voit pas bien l’utilité tout comme le commissaire Reines. Je n'ai toujours pas compris le rôle de cette chimère si ce n'est proposé plusieurs planches de combats avec le super- héros.
J'espère que le dernier tome m'éclairera davantage...
Une série fort prometteuse, le scénario est riche, il y a beaucoup de suspense, le dessin est vif, fort, on apprécie les plans de ce «Paris-Métropole ».
Mais je sors de cet bande dessinée un peu frustré, c’est un peu court, on ne dévoile pas grand chose sur l’intrigue, on en veut plus !
Heureusement la suite est pour bientôt ! Je recommande cet album à tous. 8/10
Dans un monde futuriste (pas de précision sur l’époque), des soldats français patrouillant dans le Caucase sont attaqués par un drone russe. Seuls deux d’entre eux, Braffort et Taleb (sa maîtresse) s’en sortent grâce à une mystérieuse intervention. Nous n’en verrons qu’une ombre et le bout d’une cape rouge. Les deux rescapés tairont aux autorités ce phénomène, ce qui leur vaudra les foudres de leurs supérieurs et les amènera finalement à quitter l’armée.
Braffort rejoint Paris et découvre une ville qui lui est devenue totalement étrangère.
Très belle introduction, menée sur un rythme vif, qui ne dévoile pas grand chose de l'intrigue, des enjeux, ce qui fréquent dans des tomes d’introduction mais qui là, étonnamment ne nous livre pas beaucoup d'informations sur ce Paris et sur les protagonistes.
D'où un sentiment bizarre de frustration, mais une frustration pas liée à une déception mais plutôt à l'attente, l'excitation : j'en veux plus! Car l'histoire fourmille de pistes, d'incidents, d'évènements. Tout cela est semé tout au long du récit, de manière parfaitement maîtrisée (en tout cas on peut le penser), ce qui n'a pas manqué de m'intriguer, de m'exciter. Et puis l'idée de ce Paris, entre rétro et futurisme, qui semble, ayant atteint une certaine taille comme d'autres mégalopoles à travers le monde, devenir une entité générant sa propre vie, sa propre énergie, est particulièrement intéressante. Si le développement des personnages est pour l’instant assez léger, là aussi le potentiel semble présent en particulier en ce qui concerne Braffort, idéaliste fils de militants alter mondialistes qui a fait carrière dans l’armée, et le préfet, personnage hautement ambigu et qui semble déchaîner les passions.
L'immersion dans l'histoire m'a été fortement facilitée par une partition graphique extrêmement réussie. Le trait est précis, donnant beaucoup de dynamisme, offrant des décors urbains superbes. Il y a un très gros travail sur le cadrage et beaucoup de profondeur. Les scènes d'action sont très bien rendues. La planche où l'on aperçoit pour la première fois notre futur super héros est superbe et j'ai hâte de le voir en action.
Un projet d’histoire de super héros à la française qui utilise les codes et les techniques propres aux comics américains - travail en équipe, encrage, sortie rapprochée (T2 en mai, T3 en octobre et T4 en janvier 2013) – mais en utilisant le tout dans notre propre référentiel français.
Bref j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir à lire ce premier tome. Je suis plutôt impressionné par le travail de l'équipe même si, comme beaucoup, j'en voudrais plus. Mais comme l'attente ne va pas être très longue...