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Avis pour l’ensemble de la série (les 5 albums parus chez les aventuriers de l’étrange) :
Des bonnes ambiances, de bons dessins, de bonnes idées, mais des manques cruels de rythme et de développement. C’est dommage, les 3 albums centraux ont un énorme potentiel, il aurait juste fallu prendre plus de temps et de planches pour les améliorer.
Lectures agréables quand même. :)
Le dessin de Wininger, trait, couleurs, plans, est agréable et le scénario de ce qui constitue une sorte de mini-série réussit une synthèse à la fois ésotérique et légèrement steam punk surprenante mais satisfaisante dans son originalité. En revanche, le découpage n'est pas satisfaisant, avec des coupures et des sauts brutaux. Au final reste une impression de fantaisie mal ficelée.
L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
Convenons-en, lire Wininger est un plaisir véritable afin de ressentir l'ambiance sirupeuse de ce Paris 1910. Sous la neige de l'hiver, on déambule tranquillement ( malgré l'histoire policière) entre Javel et Montsouris tout en se baladant surs les rives du Nil sous la Seine.
Il y a biens des meurtres, des poursuites et une intrigue atypique de deux bandes rivales qui sont pourtant de la même secte. Mais les meurtres sont planplans, les courses poursuites aux ralenties et les ressorts dramatiques bien faciles. Si le second tome de cette trilogie rappelait les histoires d'Adèle Blanc-Sec, le dernier album de la série Victor Billetdoux se veut apocalyptique sans surprise. Les héros ne sont que des spectateurs inoffensifs d'une guerre fratricide entre les 2 clans possédant tout deux des armes de destruction massive surannées à la sauce science fictionnelle de l'époque ( et ça c'est savoureux).
Et puis, il y a ce final ou un champignon atomique pète sur le Nil et en plein Paris. Le final de la trilogie est sans appel. Tout le monde y passe même les héros qui, au final, n'ont été que témoins à peine privilégiés d'une histoire foutraque dans des décors splendides.
Wininger avait pourtant tenté de construire un 4ème tome à cette série durant l'année 1987., alors qu'il travaillait déjà sur 2 autres albums. Que s'est-il passé? Il a tout arrêté pour revenir à la BD plus de 10 ans après. On parle d'une dépression importante durant cette décennie de silence. Et voila pourquoi le final est sans appel. Le cliffhanger au départ est devenu le point de conclusion. Et, moi, j'aime bien ce final là. Pourquoi les héros devraient toujours s'en tirer? Ils ne quittent pas tous leurs aventures solitaire et au soleil couchant. Et puis il n'avaient pas qu'à être là au mauvais endroit et au mauvais moment. Surtout que clairement ils n'ont rien fait pour inverser ce qui devait être. Et la secte voulait être arroseuse de destruction et elle est arrosée. Et cela convient parfaitement avec le ton de la trilogie.
Wininger serait-il un Tardi en mieux? Je sais. L'affirmation peut déplaire mais je m'explique.
Car Wininger ( un artiste injustement oublié dans le 9ème art) lorgne vers l'Adèle Blanc sec de Jacques ou des groupes éclectiques et atypiques se coursent les uns derrière les autres dans un paris en l'époque du début du siècle dernier.
Et si on demeure dans cette seule période Tardienne alors il faut se plonger dans les œuvres Wininger.
Car l'auteur suit à la lettre les déroulés scénaristiques d'Adèle avec des personnages hauts en couleurs tout pareil avec un mélange tout pareil d'ésotérisme, d'égyptophilie et tout un tintouin d'autres choses qui sent bon l'uchronie et le modernisme vu à l'époque. Wininger, tout comme Tardi, est grave fortiche pour nous créer un melting pot de thématiques qui sent bon l'imaginaire de l'époque. En cela, les ombres de nulle part ( Mais quel titre!!!!" ne diffère pas d'Adèle Blanc Sec et égalise en qualité le rythme, le déroulé et le suspense narratif.
Mais je préfère le dessin, le cadrage, les séquences de Wininger. Et Bon dieu que l'atmosphère de ce Paris-là est superbe. Que la finesse du trait des personnages autant que les décors sont superbes! Que les couleurs offrent une nostalgie sincère autant qu'une noirceur visuelle! Wininger est un orfèvre dans le cadrage de ces décors. Certes le rythme a cette lenteur sirupeuse de ce début de siècle-là et la lecture de ce BD, pour ado reconnaissons le, est d'un vrai régal.
La pseudo enquête et les pseudos sciences occultes sont prétextes à nous faire déambuler dans Paris 1901 magnifique de neige, de pluie, période dans laquelle une crue centennale se déclenche. Et là encore le crayon de Wininger est somptueux de précision et d'ambiance nostalgique.
Voila un Tardi en scénario qui nous en met plein les mirettes à la Wininger.
Je ne possède que l'ancienne édition, celle en noir et blanc.
Wininger est un auteur oublié alors qu'il ne devrait pas l'être tant sa plume est superbe et ses histoires fantasques.
Dans "la pyramide oubliée" l'auteur fait ses gammes. Et déjà c'est superbe de finesse et de grâce dans le trait et les décors. Digne fils d'un Tardi avec son Adèle Blanc-sec, Wininger n'a pas à rougir de la comparaison sur ces prochains albums. Bien au contraire, je le trouve bien plus doué dans l'ambiance et la restitution d'un paris au début du siècle dernier.
Mais dans ce premier opus, le noir et blanc dessert la plume si précise de l'auteur. De plus, l'histoire , bien que merveilleuse dans la légende urbaine, est aussi une succession de facilité scénaristique. Ce n'est pas grave, le plaisir est entier car si la claque ( que j'ai personnellement eu à chacun de ses albums futurs) n'est pas, il en reste pas moins un plaisir véritable à lire une œuvre de jeunesse sans temps morts, plein de rebondissements foutraques, servie par un dessin qui fait du bien par sa précision et sa, encore une fois, finesse.
Pour la version de 2018, ajout d'une planche "oubliée" lors des éditions de 1978 et 1980, planche faisant le lien entre les deux parties de l'album. La colorisation est fidèle aux tonalités des tomes 2 et 3 de la série et répond, à titre posthume, au souhait de Pierre Wininger de voir son 1er album coloriser (lire interview dans le n°9 du fanzine PLGPPUR) . Bien plus qu'une simple réédition.
Le lieu et la date ou se deroule cette histoire , debut du 19° siecle et a PARIS sont interessants , le dessin nous accroche sans probleme maisz il manque un petit quelque chose pour etre electrise peut etre les bouches toujours closes , les couleurs pour l'Egypte un peu fade , dommage .